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n° 13681Fiche technique7696 caractères7696
Temps de lecture estimé : 5 mn
30/01/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  Témoignage : utilisation d'une machine.
Critères:  fh couple fsoumise fellation cunnilingu fgode pénétratio fsodo jouet confession -fsoumisah
Auteur : Attilus  (auteur débutant voulant faire part de ses expériences)            Envoi mini-message
"Fuck my wife, fucking machine !"

Marié depuis seize ans avec une femme merveilleuse mais coincée, je dois bien avouer que, du point de vue sexuel, la passion n’était plus au rendez-vous. Mais je voudrais témoigner par ce récit de mes expériences récentes qui sont venues renouveler ma vie sexuelle et celle de ma compagne.


En effet, depuis quelque temps, nos ébats amoureux étaient de plus en plus espacés. Je me suis alors réfugié dans le monde de l’informatique et Internet. Un soir, je suis tombé par hasard sur une vidéo présentant une « fucking machine » en pleine action et voir cette femme soumise à cette machine m’avait beaucoup excité. J’ai téléchargé d’autres vidéos et par la suite j’ai contacté des sites de vente. Malheureusement, ces machines coûtent cher, plus de mille euros pour certains modèles.


J’ai donc affiné mes recherches et j’ai pu dénicher un blog où un internaute présentait une machine simple, à partir d’un moteur électrique issu d’une sorbetière électrique. Ni une, ni deux, je me précipite dans mon garage, je fouille des cartons laissés à l’abandon depuis des années. Je retrouve la sorbetière perdue. Bingo !


Après vérification, la machine fonctionne et je me lance aussitôt dans la construction avec du matériau de récupération de mon atelier. Au bout de trois-quatre heures, la machine est montée et, avec le bouton variateur d’un vieil halogène, je peux faire varier la vitesse d’action de la machine. Il me manque un gode. Résidant proche de Paris, je me rends dans un sex-shop afin d’acquérir l’objet ainsi que d’autres articles (autant en profiter).


L’engin finalisé fonctionne à merveille, il ne manque qu’à le présenter à mon épouse. Tout excité à cette idée, je prépare mon coup pour vendredi soir où les enfants ne sont pas au domicile et je cache l’engin sous le lit. Ouf ! Il passe juste…


Vendredi soir, comme à son habitude, elle va prendre son bain pour se détendre. Elle revient dans le salon dans son joli pyjama kimono et s’installe devant la télévision. Je la rejoins sur le canapé. Discrètement, je glisse ma main sur sa cuisse. Elle me sourit, je prends cela pour une invitation et ma main glisse sous son pantalon. Elle écarte les cuisses et ma main s’insinue vers sa chatte. Elle est déjà toute mouillée, la coquine. Je lui caresse le clitoris cela la met rapidement dans tous ses états. Je lui retire son pantalon rapidement et je m’agenouille entre ses cuisses pour lui brouter son minou tout en douceur. Elle adore la gâterie, elle écarte les cuisses largement pour m’inviter à lui manger davantage son petit minou. À ce jeu, elle se met à jouir de manière intense. Je m’assieds à côté d’elle et, remise de ses émotions, elle déboutonne rapidement mon pantalon et prend en main mon sexe.



Elle enfourne alors mon sexe dans sa bouche et me suce, me lèche la queue pendant quelques minutes, avec une telle douceur que je suis au bord de la jouissance. Je la freine dans son élan.



Je me rends dans la chambre pour installer la machine sur le lit, j’appelle mon épouse. Elle arrive rapidement et reste bouche bée. Je la déshabille rapidement et tout en la caressant, je lui dis :



Je la pousse sur le lit, elle est toute rougissante et surprise. Mon épouse est plutôt d’un caractère « classique » en ce qui concerne la sexualité : pas de sodomie, la position du missionnaire. Mais elle semble accepter le jeu et positionne sa croupe devant la machine. Je lubrifie le gode et je pousse l’ensemble vers sa chatte. Madame se positionne et l’engin glisse jusqu’aux testicules dans un soupir de soulagement.



Elle ne répond pas, je pousse le bouton. L’engin glisse dans un joli va-et-vient. Elle glousse ! Pousse des petits cris. La machine fonctionne à merveille, j’accélère le rythme et observe le spectacle. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, reste yeux clos sans bouger. L’engin glisse dans un rythme régulier et l’amène vers la jouissance.



Je m’installe devant son visage et j’attrape ses longs cheveux.



C’est la première fois que j’insulte de la sorte ma femme, elle accepte la chose assez facilement. Elle s’exécute et prend mon engin en bouche.



À peine le bouton poussé, ma femme se met à grogner mais continue de me sucer. Ce jeu dure quelques minutes puis je retire ma queue brutalement. La machine va à un bon rythme et ma femme halète comme un petit chien à chaque coup de boutoir.



Je lui verse du lubrifiant dans la raie du cul et rapidement je lui glisse un doigt puis deux dans son anus. Elle sursaute, refuse la caresse mais une claque sur les fesses la remet dans le droit chemin.



J’enjambe ma femme et positionne mon gland sur son anus. Un peu de lubrifiant et zou ! Ma queue glisse au fond de son cul. Je sens le sexe de la machine glisser dans sa chatte. Elle ne bouge plus. Je me mets à bouger doucement puis de plus en plus vite. Mes testicules frappent ses fesses, c’est délicieux !


Le rythme devient de plus en plus brutal, je lui défonce l’anus. Je pousse la machine à fond et pendant quelques minutes c’est la chevauchée infernale. Elle supplie, elle crie, elle râle, elle insulte mais elle se laisse faire. Le pied jusqu’au point de non-retour. Quelle jouissance, mes amis !


Remis de nos émotions, nous avons bien discuté. Tous les vendredis soir, la machine est de sortie. Ma femme est dans l’attente de ce moment.


Cette machine a révolutionné ma vie et a dévergondé mon épouse. Maintenant, tout est possible. Récemment, elle a accepté d’avaler mon sperme et elle s’est déguisée à plusieurs reprises. Elle adore se faire insulter et une soirée sans sodomie n’est plus envisageable.


Alors, amis bricolos, montez vos machines et présentez-les à votre femme. Elle va aimer et vous aussi.


Aujourd’hui, nous envisageons l’achat d’une machine plus perfectionnée. Au final, cette machine m’aura coûté le prix du gode : soit 11 euros, bon investissement !