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n° 13684Fiche technique8284 caractères8284
Temps de lecture estimé : 6 mn
01/02/10
Résumé:  Après une soirée au restaurant, le retour en voiture dérape dans une sensualité torride.
Critères:  fh couple boitenuit danser voiture voir exhib fellation fdanus
Auteur : Karesse31  (Épicurien épris de littérature érotique)            Envoi mini-message
Quelle belle soirée de réveillon !

« Quelle belle soirée de réveillon ! » me dis-je en montant dans le taxi.

Muriel avait été superbe comme d’habitude… et même plus ! Sa sensualité ne s’était jamais aussi bien épanouie et le rouge de la robe fuseau dans laquelle elle s’était glissée la mettait magnifiquement en valeur.


Dès notre entrée dans le restaurant, les regards envieux des hommes et jaloux des femmes s’étaient portés sur elle. Rehaussée par ses talons aiguilles qui mettaient en valeur le galbe de ses hanches et la cambrure de son dos, elle avait traversé la salle d’un pas qui semblait très naturel mais qui laissait entrevoir la beauté de ses jambes entre les larges fentes de son vêtement. Lorsqu’elle remit sa veste au serveur ceux qui continuaient à la contempler purent constater l’ampleur de sa poitrine dont les seins voluptueux semblaient prêts à jaillir des profondeurs de son décolleté.


Comme à mon habitude, j’avais passé mon repas à l’admirer, une fois de plus je me laissais prendre aux jeux de sa bouche tandis qu’elle dégustait coquillages et crustacés et mon imagination ne put s’empêcher de penser aux délices que ses lèvres sensuelles savaient me prodiguer… et ce n’étaient pas les titillements de sa langue le long de la boule de glace qu’elle avait prise au dessert qui risquaient de me calmer.


Quelques minutes plus tard, elle avait pu constater en se frottant à moi sur la piste de danse que la proéminence qui encombrait mon pantalon était bien proportionnelle à l’espièglerie de ses aguichements. Serré contre elle, j’avais laissé mes mains caresser son dos à la limite de ses rondeurs que je rêvais d’empoigner et ce n’est que par respect de ce lieu select que je m’étais contenté de déposer quelques baisers au bas de son cou. Je ne regrettais pas pour autant ce choix d’un établissement un peu trop guindé car la retenue qu’il imposait convenait admirablement à ces jeux de chat et souris que nous aimons tant. Muriel s’amusait donc à m’émoustiller en me laissant plonger son regard dans son décolleté ou en dévoilant ses jarretières par un astucieux jeu de jambes. De mon côté je répondais par de sensuelles caresses parfois à la limite de la discrétion.


C’est en échangeant un baiser passionné après un slow langoureux que nous décidâmes de rentrer. Minuit était passé et les farandoles sur lesquelles le DJ venait d’enchaîner pour célébrer la nouvelle année ne convenaient pas à notre humeur plus lascive.


Après avoir donné l’adresse au chauffeur, je m’installe pour un trajet que je sais un peu long. C’est d’ailleurs à cause de cette distance que j’ai fait le choix de ne pas conduire, ce qui m’a laissé la possibilité de boire mais me donne tout de même quelques regrets. En effet, une délicieuse habitude s’est mise en place avec Muriel pour nos trajets nocturnes. Afin de me distraire un peu et sans doute pour me tenir éveillé, elle glisse sa tête sur mes jambes, ouvre ma braguette et, de ses doigts, de sa langue et de sa bouche elle avive ma tension… au risque de nuire parfois à mon attention (ce que je compense par une conduite lente et prudente).


Ces pensées me ramènent à ma très chère et je m’aperçois qu’en s’asseyant, elle a laissé sa robe se relever bien plus que de coutume et que le rétroviseur donne au chauffeur un magnifique point de vue sur le haut de ses jambes ! Sans savoir s’il s’agit d’un hasard ou si l’alcool a désinhibé les tendances exhibitionnistes de ma chérie, je me dis qu’il y a là une occasion à saisir. Je m’approche d’elle et commence à déposer une légère pluie de baisers sur son front, ses yeux et ses joues. Déjà bien échauffée, elle me répond en enroulant sa langue avec la mienne au fond de ma bouche. Me sentant bien encouragé, ma main part à la découverte de sa jambe remontant le long de ses bas jusqu’à trouver la fraîcheur de sa peau. Ne percevant aucune réticence de la part de mon amante, je continue ma caresse et atteins le bord de son string que je trouve déjà humide. Manifestement la situation n’a pas l’air de lui déplaire !


Un coup d’œil vers l’avant de la voiture me permet de me confirmer que le conducteur apprécie le spectacle que lui transmet son rétroviseur. Au vu de l’approbation générale, je laisse ma main poursuivre son chemin et mes doigts se glisser sous la culotte. Tandis que mon index commence sa sarabande avec son clitoris, ma belle fait danser nos langues au même tempo. Elle arrête un instant son baiser pour laisser un soupir sortir de ses lèvres lorsque mon majeur se glisse à l’intérieur de celles de son sexe. L’endroit est si accueillant chaud et humide que mon annuaire s’invite à rejoindre ce premier doigt. Ce sont maintenant de délicieux gémissements qu’exprime ma belle complice, ainsi encouragé, je fais pivoter son corps vers le mien ce qui libère pour ma main droite l’accès à ses fesses et qui fait glisser sa tête vers mon bassin… Osera-t-elle ? Jamais nos jeux ne nous ont conduits à aller aussi loin devant un inconnu… mais aujourd’hui c’est jour de fête !


Sans même une hésitation, sa main ouvre ma braguette et libère mon sexe, qui ne demandait qu’à jaillir trop à l’étroit dans mon slip. Tandis qu’elle me caresse, Muriel approche sa langue rejouant sur mon gland les arabesques qu’elle faisait quelques heures plus tôt sur la glace de son dessert. Puis elle lèche minutieusement ma hampe de haut en bas et de bas en haut. Mon regard croise à ce moment celui du chauffeur qui de sa place n’en perd pas une miette. Pourvu qu’il regarde aussi la route, il ne faudrait pas que notre comédie se finisse dans les décors. Mais bon, il a l’air prudent tout de même et roule lentement (sans doute pour prolonger le spectacle…). Rassuré, mon attention retourne pleinement à la gâterie qui m’est accordée.


Ma belle a pris ma queue dans sa bouche et me suce comme elle sait si bien le faire. Un océan de volupté me gagne et pour ne pas me laisser trop vite aller, je m’occupe moi aussi de son plaisir. Ma main droite flatte les fesses de ma délicieuse suceuse et mes doigts rejoignent ceux de ma gauche qui s’activent déjà dans sa chatte. J’en enfonce un troisième et après l’avoir bien mouillé, je l’enfonce dans son petit trou. Au fur et à mesure que je rentre dans son cul tout serré, ma délicieuse salope glisse ma bite au plus profond de sa gorge. Que c’est bon ! Elle fait descendre ses lèvres jusqu’à mes couilles et m’avale complètement puis remonte prendre un peu d’air et recommence.


Elle est déchaînée, je ne tiendrai pas longtemps un tel traitement. Je profite d’une de ses respirations pour ajouter un deuxième doigt dans son anneau qui s’est bien détendu et je la pistonne des deux mains. Mon excitation est telle que je ne me suis pas rendu compte que la voiture s’est arrêtée. Mon sexe se tend serré dans sa bouche, sa chatte dégouline sur mes doigts, j’explose dans sa gorge et je sens mes pulsations comme si c’était tout mon corps qui jaillissait avec mon sperme. Elle garde mon sexe dans sa bouche buvant toute ma semence, j’ai encore mes doigts fichés en elle.


Soudain je m’aperçois que le chauffeur s’est retourné et se masturbe en nous regardant. Ma belle se redresse et le voit, comme si elle découvrait sa présence. « Fin du spectacle dit-elle, vous vous débrouillerez sans nous pour la suite… » Pendant qu’elle se rajuste, je constate que nous sommes arrivés à destination. Je règle le taxi qui aurait sans doute voulu en profiter un peu plus mais qui me remercie tout de même de notre prestation et m’invite à refaire appel à lui pour nos prochains trajets. Muriel s’approche et je vois qu’elle lui donne son string qu’elle vient d’enlever. « Cela vous fera un souvenir ».


Nous rentrons dans la maison et sitôt la porte fermée je saisis ma belle dans mes bras. Elle m’a tellement excité que je veux sans tarder reprendre son corps.