Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13698Fiche technique31456 caractères31456
Temps de lecture estimé : 19 mn
10/02/10
Résumé:  Deux couples d'amis se retrouvent pour un week-end. Le soleil d'abord, la pluie ensuite, la fondue savoyarde enfin les entraînent vers des chemins qu'ils n'auraient pas imaginé emprunter.
Critères:  2couples couplus copains vacances campagne voir exhib nudisme noculotte fellation pénétratio fdanus fsodo échange jeu -entrecoup
Auteur : Bali Balo  (Petit week-end entre amis avec gros dérapage)
Week-end


Une belle fin d’après-midi de mai. Nous arrivons tous les quatre dans ce gîte, pour un week-end prolongé. Tous les quatre c’est-à-dire mon vieux copain André, moi-même, et nos femmes respectives Sophie et Martine. Je connais André depuis la fac, depuis plus de dix ans, et Martine et Sophie se connaissaient déjà bien avant de nous avoir rencontrés : au lycée d’abord, puis comme colocataires. Autant dire qu’on a été inséparables pendant longtemps. Et puis nos activités respectives et l’éloignement nous ont conduits à espacer nos relations. On est arrivés à mettre enfin ce week-end sur pied, mais ça n’a pas été facile. But de l’opération : se retrouver au calme, se promener, « buller » tranquillement, quoi.


On s’installe, on prend possession des lieux. Le gîte est très chouette, avec un grand séjour équipé d’une cheminée ouverte, un coin cuisine. Au premier, deux chambres tout en bois, une salle de bain… Tout bien, quoi. On a projeté une balade demain matin, il va falloir se coucher pas trop tard. Après le repas on allume le feu dans la cheminée : pour le fun d’abord et ensuite parce qu’il ne fait pas très chaud. Martine propose de regrouper les matelas devant la cheminée, pour dormir tous ensemble. Adopté !


Chacun va faire ses petites affaires, les femmes ont un tee-shirt et — peut-être — une culotte, les hommes sont en slip. On est tous les quatre assis sur les matelas devant le feu, une couverture sur les épaules… Ambiance régressive très boy-scout. Heureusement, on n’a pas de guitare ni d’harmonica ! On discute, un silence… On est bien, dans la pénombre, éclairés faiblement par le feu maintenant calmé. Je pense… Le vieux fantasme de faire l’amour sur une peau de bête devant une cheminée… Sur le ton de la plaisanterie, je propose :



André renchérit :



Bon, c’est raté pour cette fois. Mais — est-ce que je prends mes désirs pour des réalités ? — j’ai eu l’impression que Sophie n’était pas complètement contre et, qu’en insistant un peu…


On se couche, on éteint, on échange quelques bêtises. Puis le silence.

Martine est couchée en chien de fusil. Elle porte effectivement une culotte. Je me serre fort contre ses fesses. Elle appuie. Ma main s’insinue sous le tee-shirt, remonte, trouve la courbe toute douce du sein, le téton qui durcit sous mes doigts. Elle ne bouge pas. Ma main caresse le sein, le presse… Elle redescend doucement, vers la taille, la hanche, tourne vers le pubis, s’y attarde. Le doigt essaye de s’insinuer entre les cuisses jointes, il bat en retraite. Je me décolle un peu d’elle pour laisser le passage de ma main sur ses fesses. Le passage entre les fesses est fermé lui aussi. Je contourne le bassin, arrive sur son petit abricot protégé par une mince culotte. Je le titille un peu, je remonte vers les seins, que je possède à nouveau en me serrant très fort contre elle. Je laisse le sein, redescends et baisse un peu mon slip pour dégager mon sexe. Je glisse un peu sa culotte autour de ses hanches.


Les cuisses sont toujours bien serrées. Je me colle contre elle. Elle remue doucement et silencieusement les fesses. Je bande. J’essaye encore de baisser sa culotte. Cette fois elle écarte imperceptiblement les cuisses pour m’aider, referme immédiatement. Elle creuse maintenant les reins. Ma verge va-et-vient contre la raie de ses fesses, tandis que ma main a retrouvé le sein… Je bande de plus en plus. Je veux baisser encore sa culotte, arrive aux genoux. D’un rapide mouvement de jambe, elle s’en dégage. Elle plie sa cuisse, elle s’ouvre…


Tout se passe en silence, à cause d’André et Sophie qui sont là à côté. La situation m’excite terriblement. Je remonte son tee-shirt jusqu’à ses épaules, son cou : l’impérieuse nécessité de l’avoir nue. Ma main, plus fiévreuse, caresse son dos, le galbe de son épaule, le sein, la nuque, le dos, les reins, la taille, la hanche, la cuisse, qu’elle contourne pour atteindre son triangle de poils et le haut de sa fente. Elle revient autour de la hanche, descend doucement entre les fesses, achoppe sur son petit trou. Tiens ? D’habitude elle a une réaction de retrait immédiate dès que je touche cet endroit, accidentellement ou volontairement. Cette fois elle reste immobile malgré les doigts qui s’y attardent, l’agacent en l’effleurant doucement, parfois exercent une pression un peu plus ferme comme pour une intrusion.


Mon pouce garde la place tandis que les autres doigts partent de l’avant vers sa vulve complètement trempée. Ils y pénètrent comme en glissant, y jouent avant de s’aventurer plus avant vers son petit bouton. Je sais que si j’insiste trop à cet endroit, elle aura beaucoup de mal à se retenir de se tortiller et de gémir. Elle a replié sa cuisse au maximum, cambré encore ses reins. Elle m’offre son cul. Je retourne vers son petit trou, le caresse avec plus d’insistance. Je rencontre sa main qui écarte sa fesse pour me faciliter le passage. Cette rencontre m’électrise littéralement. Brusquement, elle donne un petit coup de reins et, comme par accident, mon pouce se trouve dedans, stupéfait. Martine semble soudain tétanisée.


Elle qui s’est jusqu’ici toujours dérobée à mes tentatives de la prendre par là, elle s’est littéralement empalée dessus. L’effet est tel que je suis sur le point de jouir… Situation embarrassante dans le cas présent. D’un mouvement de reins, elle se dégage et se remet en chien de fusil. En position de « petite cuillère » je n’ai qu’à présenter mon gland à sa vulve et à presser doucement pour la pénétrer tout naturellement, et m’enfoncer au plus profond d’elle. On ne bouge plus, mais je sens les contractions de son vagin sur ma verge. J’ai terriblement envie de jouir, mais ça va poser des problèmes pratiques. Je me retiens, difficilement. On se calme. On s’endormira, comme ça.


Quand je me réveille le lendemain matin tout le monde dort encore. La lumière du jour filtre par la porte-fenêtre Je m’assois. Je soulève le drap. Martine est à plat ventre, le tee-shirt encore remonté aux épaules. Je repense à la scène d’hier soir, à son cul… Je la recouvre pudiquement. Sophie, elle, a rejeté le drap et les couvertures. Elle aussi n’a plus de culotte. Elle dort sur le côté, une cuisse repliée. La position me permet d’admirer tout à loisir un très beau cul et une très sympathique intimité ! Le spectacle est charmant. Dans la pénombre je remarque qu’elle n’a pas de poils autour de ses lèvres. Cette coquetterie me va droit à la bite ! Je vais faire un petit tour dehors : le ciel est bleu, prometteur. Il y a bien quelques nuages blancs là-bas, mais ça devrait aller. En rentrant je croise le regard de Sophie, à moitié réveillée, qui ramène le drap sur elle. Galant homme, je fais celui qui n’a rien vu. Les autres se réveillent. Martine cherche à tâtons sa culotte au fond des draps…


Chaque couple utilisera la salle de bain à son tour. J’avoue que Martine et moi, restés sur la frustration de la veille, nous avons baisé précipitamment et comme des fous sous la douche.


On est partis. Il fait très beau, mais encore frais. La bonne heure pour marcher. Au début on discute, puis les propos se font plus rares, surtout quand on attaque une pente un peu plus raide. Pendant la marche, les pensées vagabondent. J’ai le loisir d’admirer le balancement des fesses de Martine en jupette et débardeur et de Sophie en minishort et tee-shirt. On grimpe en sous-bois vers un petit lac à environ deux heures de marche. André et Sophie ont moins l’habitude de ce genre d’exercice, et nous prenons de l’avance. On s’arrête à une bifurcation pour les attendre.



Un temps d’hésitation. Elle l’enlève et me la donne également.


Les autres arrivent. On se repose un moment, on boit un peu, on échange quelques mots… On reprend le chemin. Martine marche en tête, je la suis. Un peu plus loin derrière, André et Sophie. Nous reprenons rapidement un peu d’avance. Je profite sans vergogne du spectacle encore plus charmant que tout à l’heure. Les mouvements de la jupette laissent de temps en temps entrevoir ses fesses et, lorsqu’il y a un pas un peu haut à franchir, j’ai même droit au minou…


Mes pensées vagabondent de plus en plus. Il nous est arrivé dans le temps de batifoler en forêt. Je l’avais une fois convaincue de se mettre nue au cours d’une balade. Elle était si belle, les jeux d’ombre et de lumière magnifiaient encore son corps déjà naturellement superbe. Et puis ça n’avait pas manqué : on avait croisé un couple de personnes d’un certain âge. Ils avaient eu l’air surpris, plus amusé que choqué. Après le « bonjour » rituel entre promeneurs, en me croisant la femme m’avait glissé : « et vous, alors, vous n’êtes pas tout nu ? ». Martine n’avait pas bronché sur le moment, mais une fois le premier virage passé on avait éclaté de rire. Je l’avais prise dans mes bras, et tout de suite, à quelques mètres à peine du chemin, on s’était pris comme des bêtes…


Je reviens au présent.



J’insiste :



Elle s’exécute en soupirant :



Nous reprenons la marche. Elle est trop belle. Je la vois de trois quarts arrière, son bassin et ses seins balancent… Nous arrivons à notre point de rendez-vous.



Je lui tends son top, elle l’enfile ; elle demande :



Ce qui n’est pour moi qu’une plaisanterie la met en rogne.



Nos amis nous rejoignent. Au bout de quelques dizaines de minutes, on arrive au bord du petit lac. L’endroit est désert. Il est beaucoup trop tôt pour les hordes citadines. On s’installe pour manger un morceau. En s’affairant Martine se baisse, se relève, et il est effectivement difficile d’ignorer qu’elle a le derrière et le reste à l’air. Mais c’est si mignon… Je surprends un regard admiratif d’André et un échange surpris entre lui et sa femme. Finalement, n’y tenant plus, André demande :



Martine sourit et hausse les épaules…



Une fois le casse-croûte terminé, on s’étend sur l’herbe pour somnoler. Sophie propose :



Sans attendre de réponse elle se lève, se débarrasse de tous ses vêtements, et va tranquillement vers l’eau. Martine a tôt fait de l’imiter. Elles sont vraiment belles, chacune dans leur genre. Martine, petite brunette vive et pétillante. Ses seins ne sont pas très gros, mais admirablement fermes et les pointes bien dressées. Sa taille est fine, ses hanches très féminines, ses cuisses et ses jambes nerveuses juste ce qu’il faut. Ses poils sont taillés en un petit triangle très net. Sophie est plus grande, plus imposante, « belle femme ». Blonde, comme l’atteste sa toison taillée en une minuscule touffe au-dessus de sa fente, elle-même bien dégagée. Sa poitrine est superbe, pleine et orgueilleuse, sa taille fine, ses hanches bien pleines. Je repense à son cul ce matin… Oui, belle femme !


À notre tour, on se déshabille et on les suit. Nous ne sommes pas gênés d’être nus les uns devant les autres. Autrefois, il y a une dizaine d’années, on aimait bien s’amuser et nous nous étions très souvent retrouvés nus tous les quatre. Strip-pokers, bien sûr, bains en piscine chez les uns et les autres, bains de minuit… Mais nos échanges se limitaient à quelques frôlements, quelques gages coquins, sans plus. Nous avons toujours évité les dérapages susceptibles de ruiner une amitié… Par la suite, ça nous avait un peu passé. Passé un temps je m’étais demandé s’il y avait eu quelque chose entre les deux filles. En fait Martine m’a raconté qu’à l’époque de leur colocation, elle avait déboulé un soir en larmes, en nuisette et en string dans la chambre de Sophie à la suite d’une rupture (c’était peu avant que je la connaisse).


Quand elle a eu bien raconté son histoire et bien pleuré, elle avait soulevé le drap de Sophie, qui dormait nue, et elle s’était glissée à ses côtés. D’abord blottie contre elle, elle avait commencé à la caresser, les seins d’abord. C’était la première fois qu’elle caressait une autre fille. Le contact des seins l’avait quelque peu émue, et sa main était descendue. Arrivée au bas-ventre, elle avait interrompu sa caresse, s’était redressée pour faire voler sa nuisette et son string, et avait repris son exploration. Sophie avait d’abord ouvert ses cuisses, mais quand les doigts de Martine s’étaient faits plus inquisiteurs, elle s’était refermée et avait gentiment bloqué son amie en la serrant très fort contre elle. Elles s’étaient endormies ainsi. Elles n’avaient jamais renouvelé l’aventure.


On a beau essayer de se persuader qu’elle est bonne, l’eau est quand même bien froide et on n’y tient pas très longtemps. Nous sommes installés au bord du lac, au pied d’une falaise orientée plein est, il est dix heures du matin : autant dire que ça commence à chauffer. On est bien, couchés, la chaleur sur notre peau… Si quelqu’un arrive — c’est encore un peu tôt — on le verra arriver de loin. On somnole. André s’est même endormi. Je remarque :



Elle se tourne vers lui. Il dort, et a développé une très belle érection.



Martine se soulève sur un coude pour voir :



Sans pudeur, Sophie s’agenouille à côté du bassin de son homme, et commence doucement à caresser sa verge. Martine s’est installée de l’autre côté. Elle regarde, subjuguée. Il est vrai que la taille du sexe d’André est vraiment au-dessus de la moyenne, et se développe encore. Elle demande :



La main de Martine s’avance presque timidement, et se pose sur l’engin… Ça me fait drôle. À la fois excitant, et agaçant. Elle referme les doigts, ne fait pas le tour… Elle demande :



Sophie déclare fièrement :



Je demande :



Pour toute réponse, Sophie a un petit sourire… J’imagine aussitôt l’énorme bite d’André (et pourquoi pas la mienne) dans le cul somptueux de Sophie… À ce moment André ouvre un œil, et a une réaction surprenante en découvrant le tableau. Au lieu de profiter de la situation et de déguster l’instant, il bondit sur ses pieds en protestant. Il a un air vaguement ridicule, râlant avec sa pine bien dressée. On éclate de rire !


Le ciel est devenu menaçant : il faut redescendre. À regret on se rhabille, on entame la descente. On croise quand même avec une certaine délectation sadique quelques familles qui montent au lac. Bon courage !


Une petite pluie nous surprend à un quart d’heure du chalet. Avec André, on voudrait finir en courant, les filles préfèrent se faire mouiller. Comme on n’est pas loin et que Martine connaît bien les lieux, on décide qu’André et moi partons devant pour allumer la cheminée. Quand on arrive au gîte, l’orage se déchaîne brutalement, avec des éclairs, du tonnerre… J’espère que les filles ne vont pas tarder. Elles seront sûrement complètement trempées jusqu’aux os. On allume un grand feu, et on les attend. Elles arrivent assez vite, encore plus mouillées qu’on le pensait.


On les cueille dès l’entrée, et pour ne pas mettre d’eau partout on les fait se déshabiller. On les aide, car même les sous-vêtements sont mouillés, et glissent mal. Elles grelottent. En plus, elles ont eu peur de l’orage, à juste titre d’ailleurs. Une fois nues, on les frotte avec des serviettes de toilette, et on les emmène à la salle de bain, sous la douche bien chaude. Du coup, on est copieusement mouillés aussi et on se déshabille pour les rejoindre dans la cabine. Celle-ci a beau être relativement spacieuse, pour quatre elle est un peu limite. On va y rester un bon moment, à s’arroser en riant très fort pour faire semblant de ne pas remarquer les contacts plus ou moins hasardeux, plus ou moins appuyés entre les fesses, les sexes, les seins, les torses. C’est en demi érection qu’on sort de là. On se frotte tous à nouveau, on s’enveloppe dans les sorties de bain et on va vers le feu.


L’orage s’est éloigné, mais il pleut toujours. Sophie est à la fenêtre, songeuse. Elle murmure :



Pour ce soir, on a prévu une fondue, et on a apporté tout ce qu’il faut pour cela : emmenthal, comté, vin de Crépy, et kirsch (il y en a qui frottent le caquelon à l’ail, mais ce n’est pas notre propos). Et comme rituellement il ne faut pas boire de vin pendant la fondue, on en boit avant et, pendant, on boit du Kirsch. En même temps que le niveau de fromage fondu (et de Kirsch) baisse, l’ambiance devient de plus en plus conviviale, décontractée et bruyante. Qui a commencé à proposer un gage au premier morceau de pain perdu, je ne sais pas, et on s’en fout un peu. Toujours est-il que, comme des collégiens, on va encore tous se retrouver tout nus. Dans ces conditions, il était imprudent d’envisager un dessert à base de Chantilly. Lécher de la crème sur les seins de Martine, pas de problème ; sur la minette de son amie Sophie, c’est déjà plus hard. Mais pour qu’André lèche la crème sur le bout de ma pine, il a vraiment fallu que les filles insistent.


Il y a déjà un moment qu’on a laissé tomber les gages, et qu’on s’arrose de Chantilly de façon plus aléatoire ou au contraire très précise. Tout cela reste sur le mode du jeu. Mais je tique un peu quand Martine nettoie avec sa langue tout le tour de la base de la verge d’André : la façon dont elle la soulève en l’entourant délicatement de la main, l’application qu’elle y met, la demi érection qui s’ensuit, c’est un autre registre. Et quand, pour prendre la crème sur mon gland Sophie me prend entièrement mon sexe dans sa bouche, je ressens une excitation qui n’a plus rien de ludique. Je la mets à genoux, lui mets de la Chantilly dans la raie des fesses, et je la nettoie soigneusement avec ma langue. Elle m’aide en me présentant son cul de façon parfaitement indécente. Malgré notre état, on sent bien qu’on est au bord de quelque chose de décisif. Je sais que Martine est assez fascinée par la bite d’André, et moi par le cul de Sophie… Dehors, il pleut toujours, il fait sombre. Tout d’un coup, Sophie crie :



On n’a pas le temps de réagir qu’on les distingue déjà, courant, tournant, caracolant nues sous la pluie, les bras en l’air comme pour invoquer le ciel… Des gamines ! Elles se prennent par la main, courent, s’enlacent, s’embrassent, se roulent dans l’herbe…



On tente une sortie… C’est sûr qu’il faut vraiment avoir envie d’y aller… J’hésite. André m’entraîne.



On court vers les filles, nus, sous la pluie… Au début c’est franchement désagréable. Au bout d’un moment, c’est comme une ivresse, j’y prends plaisir. On rejoint les femmes. On forme un rond, tous les quatre, serrés les uns conte les autres en se tenant par la taille. On se frotte mutuellement le dos, puis le torse, la poitrine, les seins, les ventres, les cuisses… Les filles s’échappent, on les poursuit, on les plaque au sol. Les corps glissent entre les bras, les mains. On se roule par terre, sans se soucier de ce que nos mains, nos bras, nos jambes, nos cuisses, nos ventres rencontrent… On se serre, très fort. Je me trouve derrière Sophie qui est sur les genoux, le derrière en l’air, le visage dans l’herbe. J’écarte ses fesses, fais couler la pluie dans sa raie, l’accompagne de ma main… Martine me rejoint, se met à califourchon au-dessus de Sophie, lui écarte les fesses et la minette à lui faire mal, ses doigts flirtent avec le petit trou, s’enfoncent entre les lèvres…


André arrive derrière Martine, se saisit de ses hanches et, d’un coup d’un seul, il s’enfonce en elle. Elle pousse un cri : son vagin n’a pas l’habitude d’un tel engin. Il lui empaume les seins, lui donne de grands coups de bite. Du coup elle a cessé de s’occuper de Sophie, dont mes doigts fouraillent l’intimité, le cul, le vagin… Je me redresse, approche ma pine de son petit trou dilaté, me pose pour la pénétrer. Elle se dégage et se couche sur le dos… Martine s’est dégagée elle aussi. André et moi nous agenouillons de part et d’autre de son torse. Alors elle prend nos bites dans ses mains, et entreprend de les branler. À califourchon au-dessus du bassin de Sophie, Martine caresse nos fesses. Glissant ses mains entre nos cuisses elle caresse nos testicules, remonte jusqu’à nos sexes, aidant Sophie dans son travail. Nous caressons les fesses de Martine, les seins de Sophie.


Martine s’est concentrée maintenant sur le sexe d’André qu’elle découvre, lâchant des petits baisers, des petits coups de langue sur son gland, de grandes léchouilles le long de la verge… Elle essaye de l’apprivoiser avant de l’engloutir. Je n’en vois pas plus : Sophie s’est redressée, a pris ma bite pour la branler, et puis elle se retourne sur les genoux, me présente sa croupe, écarte ses fesses. J’y mets ma langue, mon nez, mon visage, je la lèche, je la bouffe. J’enfile à la fois ma bite dans son vagin, mon pouce dans son cul, qui va-et-vient de plus en plus librement. Alors je présente mon sexe, il rentre dans le petit trou, presque sans difficulté. Putain ! Je suis dedans ! Je suis en train d’enculer Sophie ! J’ai attrapé ses hanches, je la pilonne à la hussarde ! Mes couilles battent contre ses fesses. Il pleut, fort. On crie, à part Martine qui a réussi à prendre en bouche la queue d’André. C’est vraiment complètement fou, ce qui nous arrive, on est déchaînés. C’est la jouissance sans frein ! Quand je sens que je ne vais plus pouvoir retenir, je sors et j’éjacule sur les reins de Sophie, elle se retourne et en reçoit encore sur les seins, le ventre. Je me tourne vers Martine au moment où elle reçoit de longs jets de sperme dans la figure, sur la bouche, dans les cheveux, sur les seins…


On tombe tous en arrière, les bras en croix, essoufflés, sous la pluie qui redouble. Et il pleut toujours à verse quand on rentre en courant au gîte. On a froid. On ravive le feu pour faire une grande flambée, on se frotte mutuellement avec des serviettes sèches devant les flammes hautes… Et c’est quand on se retrouve tous les quatre devant la cheminée, enroulés dans les couvertures, qu’on atterrit !



On va s’endormir, comme ça, sans prendre la peine de mettre des vêtements de nuit.


Quand je me réveille le lendemain, j’ai un peu de mal à connecter mes neurones. J’ai un peu la gueule de bois, je suis un peu surpris d’être tout nu à côté des autres… Je me lève, vais faire mon petit tour dehors : il fait beau. Petit pissou du matin en regardant la nature. Autrement, c’est pas la peine d’être à la campagne. Quand je rentre, je constate qu’on a tout laissé en foutoir hier. Odeur vaguement écœurante de fromage fondu refroidi, vêtements épars par terre, crème Chantilly un peu partout, vaisselle sale… Lendemain de fête, quoi. Je fais marcher une cafetière, et commence à ranger. On n’était jamais que quatre, ce sera vite fait. Sophie bientôt se lève. Toujours nue, à moitié réveillée, ébouriffée, elle vient vers moi, me fait la bise en vieux copain :



Martine nous rejoint, nue comme nous. Elle me fait un petit bisou sur la bouche, la bise à Sophie…



Je crois que c’est quand André arrive, pas plus frais que nous, la bite à demi bandante, qu’on réalise qu’on est tous les quatre à poil, et que ça nous paraît normal. On prend le café, comme ça… C’est Martine qui, la première, dit :



Quand on se retrouve tous les deux dans la salle de bain, elle m’enlace, me serre très fort, et pleure sur mon épaule :



Je n’ose pas lui dire carrément « tu sais, j’ai enculé Sophie ».



Quand on a rangé tout le chalet, on va faire une balade tranquille dehors. On a tous l’impression qu’on évite d’évoquer notre folle soirée d’hier. C’est André qui va mettre les pieds dans le plat :



Un ange passe, passablement déconfit… C’est Sophie qui se lance :



On a souvent revu André et Sophie par la suite. On n’a jamais osé refaire un week-end ensemble : c’est souvent tellement décevant, quand on essaye de reproduire quelque chose qui a bien marché… Par contre, avec Martine, on s’est aperçu qu’il y avait des tas de choses à essayer entre nous deux, auxquelles on n’avait jamais pensé…