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n° 13707Fiche technique14470 caractères14470
Temps de lecture estimé : 9 mn
16/02/10
Résumé:  Vive le pass Navigo !
Critères:  fh inconnu taille poilu(e)s train fsoumise voir exhib lingerie -transport
Auteur : Zezette et Felix      
On a toujours besoin d'un plus petit que soi

On a toujours besoin d’un plus petit que soi…



Je vais vous conter ce qu’il m’est arrivé ce lundi 23 novembre 2009 pendant le trajet vers ma boite à cons.


Mais tout d’abord les présentations. Pour les besoins de ce récit, je me prénommerai Zézette, sobriquet dont m’affuble régulièrement mon époux Félix sans doute en rapport avec ce film culte – bientôt de saison – le Père Noël est une ordure.


Âgée de quarante-cinq ans et sans être un canon, je ne suis pas trop mécontente de mon physique, un mètre soixante-dix, cinquante-six kg (enfin bientôt car en plein régime), brune aux cheveux longs, une poitrine menue, un tantinet tombante avec des tétons toujours fièrement dressés mais qui suffit à Félix, à chaque fois qu’il la touche, pour le mettre au garde-à-vous. Comme quoi, point n’est besoin d’avoir des obus en plastique pour que le canon soit prêt à tirer. Ma chatte est recouverte d’une abondante toison dont j’entretiens savamment les bordures en prenant soin que la longueur soit suffisante pour qu’ils dépassent de certains types de lingerie. Ce n’est pas tout à fait du goût de Félix qui préfèrerait un abricot lisse quand il s’agit de le lécher avant de s’y répandre, mais il convient aussi qu’une chatte poilue est beaucoup plus obscène surtout si je décidais d’accéder à sa requête de m’exhiber et me faire reluquer sans vergogne lorsque nous sortons en tête-à-tête. Je crois n’avoir pas beaucoup de tabous et, sous un abord plutôt calme et romantique, bout un volcan dont les éruptions ravissent à chaque fois mon Félix.


Félix n’a pas grand-chose à voir avec le Jugnot du film. Plutôt grand, chevelu comme un œuf, un rien bedonnant mais surtout une imagination lubrique au moins aussi énorme que son kiki au repos est rikiki. Qu’importe, au bout de quinze ans, je le connais sur le bout des doigts et je sais quoi faire pour le rallumer en toutes circonstances. Lui non plus n’a pas beaucoup de tabous, accro à la masturbation (en solo ou par mes soins). Assez branché SM, il ne manque jamais de lire et relire romans et BD sur lesquels il peut tomber ou acheter à La Musardine. Il ne crache pas non plus sur quelques doigts fichés dans son arrière-train. Bref, un jouisseur et un pervers auquel tous les jeux se rattachant au sexe et au plaisir illuminent les yeux.


Or donc, revenons à cette matinée du 23 novembre. Comme tous les jours après ma douche, je déambule nue dans l’appartement à la recherche de la tenue du jour. Ça peut prendre une, cinq ou quinze minutes en fonction de mon degré de motivation et d’envie d’aller bosser. Ce matin, mon choix s’oriente vers une jupe courte à carreaux, un pull, de la lingerie rouge, un collant et mes cuissardes.


Débarrassée de quelques kilos superflus, je me sens revivre et en mesure de laisser mes sempiternels jeans au placard. Je commence par enfiler mon soutien-gorge (au grand dam de Félix qui voudrait que je l’oublie de temps en temps) puis me saisis du string. J’enfile une jambe puis subitement je fais marche arrière. Je décide d’aller au bureau sans culotte. Le string rouge regagne ses homologues dans le tiroir de ma commode et j’enfile mon collant. Un collant tout ce qu’il y a de plus classique mais d’une transparence telle que mon absence de sous-vêtements ne peut passer inaperçue. J’enfile ma jupe, chausse mes cuissardes et vais dans le couloir m’observer devant la glace. Je me penche légèrement afin de m’assurer que je peux conserver toute latitude de mouvement sans créer une émeute à caractère sexuel. De fait, je me trouve plutôt séduisante pour ne pas dire bandante et si Félix était là, la bosse de son pantalon ne me démentirait pas.


Ainsi vêtue, j’enfile mon manteau et prends le chemin du bureau. En plus du climat pluvieux, la température s’est rafraichie et il ne me faut pas plus de quelques centaines de mètres pour sentir l’air frais s’engouffrer entre les pans de mon manteau et remonter jusqu’à ma forêt vierge. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas habillée de la sorte et je dois dire que cette sensation de froid sur mon intimité nue n’est pas sans me troubler. Félix ne me contredirait pas, lui qui ne porte jamais de boxer en dehors des jours travaillés (et encore… il arrive à ce cochon d’aller travailler sans sous-vêtements !). Bref, c’est très agréable et le ressenti est à la hauteur de ce que j’en attendais.


Arrivée à la gare, je me dirige vers mon quai habituel en direction de Saint-Lazare. Quelques minutes d’attente et de réfrigération supplémentaire de ma chatte, mon train pointe le bout de son nez. Je m’engouffre dans le wagon afin d’essayer de trouver une place assise. À défaut d’être dans la partie fixe des places assises, je me retrouve en bout de wagon sur un strapontin en vis-à-vis d’un nain (une personne de petite taille et non un enfant comme les surnomme affectueusement Félix). Ce n’est pas le Pérou car je sais qu’il faudra que j’abandonne ce siège de fortune avant d’arriver au terminus mais c’est mieux que rien.


Comme souvent, j’écoute de la techno sur mon MP3 pendant que je lis un gratuit distribué à l’entrée de la gare. Les minutes s’égrènent, cette lecture de potins et d’informations tronquées me saoule. Mes yeux reviennent alors à l’horizon et je constate que le nain a les yeux rivés sur moi ou plutôt sur mon entrejambe. Sans m’en apercevoir et les vibrations du train aidant, les pans de mon manteau se sont séparés et je prends conscience que le sacripant se rince l’œil à loisir. Faisant mine de rien, je décide de croiser les jambes pour masquer le panorama. Mais mes hautes bottes me gênent et je me remets dans la position initiale. Immédiatement, les yeux du nain, tels des radars de présence, détectent la faille vestimentaire et scrutent autant qu’ils le peuvent.


Étant presque arrivée à bon port, je décide de lui en donner pour son argent ; j’amplifie donc volontairement l’angle de mes jambes. Au vu de la rougeur qui envahit son visage, je constate que la vision le ravit. Ce petit jeu dure quelques minutes jusqu’au moment où nous arrivons à l’avant-dernière station.


Là, c’est un flot continu de personnes qui montent, au point qu’il me faut me lever, tout comme mon voyeur. Les personnes s’entassent, chacun se serre comme il peut, en essayant de conserver un minimum d’espace vital. L’afflux de voyageurs faisant, le nain a suivi le mouvement et, hasard ou non, se retrouve mon plus proche voyageur. Autant assis, cela ne se voyait pas, autant debout c’est un vrai nain d’un mètre trente à tout casser. Les portes se referment et nous voilà repartis. Le départ, comme souvent, provoque une secousse et tous ensemble nous tanguons dans le sens de la marche. Tous, sauf le nain, car n’ayant pu se saisir de la barre verticale de soutien, il vient s’écraser contre moi et par réflexe, il pose sa main sur ma cuisse pour se rattraper. Il s’excuse platement et je ne lui manifeste aucun mécontentement.


Sans doute a-t-il pris cela pour un encouragement car alors que le train poursuit sa route, je sens à nouveau sa main se poser sur ma cuisse mais là, non pas pour se rattraper, mais bien pour toucher. Je décide alors de le toiser mais alors que j’attends qu’il prenne cela pour une réprimande, il la laisse en place et accentue sa prise. Le nombre important de voyageurs et le peu d’espace pour se mouvoir annihilent toute tentative de fuite et ce sacré nain l’a bien compris.


J’ai vraiment hâte d’arriver à quai car si la situation n’a rien de critique, le nain n’est franchement pas mon type d’homme.


C’est sans compter sans la loi de Murphy qui fait retentir la sirène d’alarme de la rame dans laquelle je me trouve. Le train s’immobilise brutalement et le nain déjà agrippé à ma cuisse en profite pour gravir quelques centimètres supplémentaires. Compte tenu de la longueur de mon manteau et de la largeur des pans, son bras inquisiteur est entièrement caché et je ne peux empêcher ses manœuvres ni me dégager. Autant au début, la situation m’amusait, autant elle finit par m’indisposer par la tournure qu’elle prend.


Nous sommes maintenant immobilisés et serrés comme des sardines, les gens commencent à pester à voix haute. Mon nain, lui, est affairé sur ma cuisse et chaque fois que j’essaie de me dégager, il remonte le long de ma cuisse tant et si bien que je sens maintenant le bout de ses doigts tout en haut de ma cuisse.


Afin de bloquer son ascension, je décide alors de serrer mes cuisses le plus possible en me disant qu’il va finir par lâcher prise. Grave erreur ; au moins aussi adroit que Félix dans ses gestes, mon changement de posture lui permet de saisir sa chance et décale immédiatement sa main du haut de main vers l’intérieur de ma cuisse. J’ai beau frotter mes jambes l’une contre l’autre pour évincer ce membre étranger, l’effet obtenu est contraire, il ne fait que contribuer davantage à l’installer à plat dans ma fourche. Pire, ce pervers de tiroir réussit à saisir le collant au bord de l’empiècement et je le sens tirer les fibres pour tenter de le filer.


Je n’en mène plus large et je prie pour que le train redémarre car je sais que s’il parvient à ses fins, je m’expose à d’autres conséquences. Bizarrement, une partie de moi lutte comme j’en ai toujours l’habitude et une autre plus vaporeuse m’échauffe les sens car cette main, pour étrangère qu’elle soit, sait parfaitement se diriger, opérer et trouver mes failles.


Ce qui devait arriver arriva. Dans un ultime étirement des fibres de nylon, je ressens un craquement. Ça y est, ce fichu DIM vient de rendre l’âme. Non content de cette première victoire, le nain fait mine de retirer sa main et je profite de l’aubaine pour reprendre mes esprits et relâcher la pression au niveau de mes cuisses.


Seconde erreur, et je pense que le nain est parfaitement conscient de ce faux retrait, car avant même que j’aie pu me remettre en position de combat, il profite de la béance de mon collant pour passer sa main dessous. Il est maintenant parfaitement installé, caché des autres occupants du wagon et à moins de faire un esclandre, il ne semble pas du tout prêt à retirer sa main.


D’ailleurs, les premiers gestes de ses doigts en attestent. Plaqués sur ma toison, je les sens maintenant à la recherche du sillon qui va les mener jusqu’à ma grotte. Je devrais dire mon marais car à force d’être titillée, mes sens se sont échauffés et ma propension à me laisser faire prend clairement le pas sur ma hargne habituelle. Lentement et à la fois avec douceur et fermeté, il continue ses investigations jusqu’au Graal, il vient de trouver mon bouton et ne manque pas de le frotter entre ses doigts.


Ce coup-là, c’en est trop. Je ne peux plus résister et c’est résignée que je desserre l’étau inutile et lui facilite les choses. Le malin est aux anges. Alors qu’il avait pris soin jusqu’à présent de garder la tête baissée, il la lève maintenant et me regarde fixement pendant qu’il continue de me chauffer. Abandonnant mon bouton prêt à exploser, il poursuit sa route jusqu’à mon marais. Je n’oppose plus aucune résistance. Au contraire, je me cambre un peu plus pour lui faciliter l’accès. D’abord, un puis deux, ce sont finalement trois doigts boudinés qui prennent place dans mon intimité. Je suis sur le point de défaillir quand la sirène retentit, nous informant d’un prochain redémarrage de la rame.


Il ne lui reste que quelques instants pour achever son œuvre. Il y met toute sa fougue, sa perversité et, de mon côté, je m’ouvre autant que possible tant et si bien qu’il parvient à y mettre un quatrième doigt. Ceux-là me ramonent comme nulle autre bite, et de son pouce il exerce des pressions sur mon bouton. À l’instant précis où le train entame sa décélération, je jouis dans un orgasme intense.


Le train s’immobilise, je me stabilise, le nain se désenlise. L’air satisfait, il croise mon regard vide de sens mais plein de sensations. Le wagon commence à se vider, nous gagnons le quai côte à côte et je constate que si la nature l’a desservi par sa petite taille, elle a compensé sous la ceinture car son pantalon laisse apparaître une protubérance le long de sa cuisse qui en ferait rougir plus d’une.


Remise de mes émotions, je prends la direction du bureau avec une étape par le monoprix car je ne peux décemment aller travailler dans cette tenue. Je finis par trouver le collant qui me va, le paye et, sitôt arrivée au bureau, je le change.


Quel début de journée ! Tout au long de la journée, je me remémore chacun de ces instants. De retour à la maison, je commence à m’affairer et fruit du hasard ou non, Félix est de retour plus tôt que d’habitude. Rapidement et comme à l’accoutumée, il me dévisage de haut en bas. Au vu du rictus qui anime son visage, je sais que j’ai fait mouche. Je profite de l’occasion pour lui demander de m’aider à retirer mes cuissardes. Évidemment, il met sa main si haut qu’il peut constater l’absence de culotte et ne manque pas de me traiter de cochonne…


Demain est un autre jour, je pense à nouveau laisser la culotte dans la commode et retourner travailler cul nu. Je sais que cela excite Félix et, si je devais n’en faire qu’à sa tête, il faudrait que je remplace le collant par des bas, le tout avec une culotte évasée facilitant les invasions.


Nous n’en sommes pas là, si déjà il peut rentrer aussi tôt qu’il puisse me débotter, constater l’absence de culotte et en profiter pour me chauffer un peu. Ensuite, je pars au cheval et en rentrant pour peu que tout soit rangé (dans le cas contraire, je ne vais pas lui promettre quelques coups de cravache sinon il serait capable de mettre l’appartement à sac), il nous restera peut-être un peu de temps pour nous chauffer mutuellement.