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n° 13721Fiche technique14234 caractères14234
Temps de lecture estimé : 9 mn
21/02/10
Résumé:  Deux amies en vacances et deux couples, l'un jeune, l'autre âgé partagent les plaisirs du sexe.
Critères:  fh ff fff fhh fbi hplusag fplusag vacances plage nudisme intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio -groupes -fbi -plage
Auteur : Mongil      
Sur une île en Grèce

Un jour de printemps, Michèle débarque à la boutique de Nathalie. C’est son amie et la partenaire occasionnelle, avec son mari, de ses soirées échangistes



Corinne, sa vendeuse, qui a entendu la conversation intervient :




Dix jours plus tard, elles embarquent à destination de leur île.


À l’hôtel, Michèle et Nathalie s’ennuient un peu entre la piscine, la plage réservée et le restaurant. Elles sortent donc volontiers de l’hôtel pour se promener, aller jusqu’au village proche ou se promener le long de la côte. Elles finissent un jour, descendant un sentier escarpé, par découvrir une petite crique sympa. Elles décident d’en faire leur plage privée.


Un soir où elles dînent avec un jeune couple de Belges qui, comme elles, pratiquent le naturisme, elles leur proposent de les accompagner dans leur petit paradis.


Dans l’eau le couple belge chahute gaiement, prises par l’ambiance les filles font de même.

Lorsqu’ils sortent de l’eau, Georges, jeune homme blond et sportif, ne peut cacher son excitation qu’en se couchant dos aux filles. Claude, sa jolie jeune femme, une vraie rousse, ne s’en laisse pas conter et continue à l’asticoter. Il finit par se dire qu’ils sont presque seuls et caresse sa femme qui visiblement en meurt d’envie.


Michèle se dit que si elle aussi se laisse aller, cela les libérera et comme en plus, elle en a très envie, elle prend Nathalie entre ses bras et, par un baiser profond, elle éveille ses sens. Ce sont donc deux couples qui forniquent non loin l’un de l’autre. Les Belges jouissent dans un rugissement de bonheur, ils avaient vraiment besoin l’un de l’autre.


Repus, ils assistent à la fin des ébats lesbiens des deux filles dont les caresses les amènent au plaisir.

Ils sont maintenant face à face. Les Belges ne savent pas trop quelle contenance prendre et se contentent de sourire.



Nathalie, toujours disponible pour une jolie fille qui lui plaît, s’est approchée de Claude et l’a prise dans ses bras. Approchant sa bouche de la sienne, elle l’embrasse et force de sa langue l’ouverture de ses lèvres. Claude répond très rapidement à sa demande et fouille elle aussi la bouche de sa complice. Les mains de Nathalie ne restent pas inactives et caressent les seins, le ventre, pour s’insinuer entre les jambes de sa partenaire qui, au premier contact, les ouvre largement appelant la caresse.


Plus timide dans ce premier contact, Claude pelote tout de même les tétons de Nathalie qui décide de passer au stade suivant. Embrassant sa partenaire sur tout le corps passant des tétins qu’elle suçote au nombril qu’elle excite de la langue, elle noie son nez dans la toison rousse du pubis pour atteindre son bouton d’amour. Les soupirs de Claude témoignent de son bonheur. Elle se décide et plonge à son tour sa tête entre les cuisses de sa partenaire.


Pendant que les deux nouvelles amazones se donnent du plaisir, Georges, assistant au spectacle, n’a pas pu empêcher une nouvelle érection. Michèle opportuniste lui dit :



Prenant sans hésitation la virilité qui se trouve à sa portée, elle entreprend une masturbation à deux mains. Une subite envie lui prend et elle gobe le beau phallus de Georges. Celui-ci, excité par la vue de sa femme dans les bras de Nathalie, bascule Michèle et lui glisse la langue au plus profond de son intimité.

Les deux couples, accouplés tête-bêche, trouvent successivement l’accomplissement de leur plaisir ; Nathalie goûtant les sécrétions de sa compagne et Michèle, au fond de sa gorge, l’éjaculation de son compagnon.


Quelques minutes passent leur permettant de reprendre pied sur terre.



Ils retournent tous prendre un bain avant le retour à l’hôtel.



Après cet agréable moment passé ensemble, ils décident de retourner à quatre, le lendemain dans leur crique sauvage. Les deux amies sitôt arrivées se mettent nues, Georges et Claude suivent le mouvement. Tous se ruent dans la mer et chahutent gaiement. Lorsqu’ils sortent de l’eau, Georges ne peut cacher son excitation bien dressée, si cela est moins visible chez les filles, ce n’en est pas moins vrai.


C’est d’ailleurs Claude qui ouvre les hostilités en prenant Michèle dans ses bras pour découvrir avec elle les plaisirs lesbiens déjà découverts avec Nathalie la veille.


Nathalie trouve cela à son goût, elle a très envie depuis hier de retrouver le plaisir que procure une virilité. Georges, lui, a connu la main et les lèvres de Michèle, mais souhaite faire l’amour avec Nathalie depuis que son épouse lui en a donné l’autorisation.

Ils se retrouvent donc dans les bras l’un de l’autre. Leurs caresses débutent dans un baiser profond et, ayant basculé, ils se livrent à un 69 qui exacerbe leur sens.


Georges n’y tient plus et bascule sa partenaire pour la prendre en levrette. Cette position lui permet d’observer Claude et Michèle.

Après d’autres positions, cette dernière apprend à sa partenaire le plaisir procuré par la friction de leur clitoris l’un contre l’autre en croisant leurs jambes en X.


La crique résonne bientôt de cris et halètements de plaisir. Quelques minutes de récupération et un bain de mer plus tard, sa femme propose à Georges de faire l’amour à leurs deux amies. Elle a envie de jouer les voyeuses. Michèle s’empale sur son érection nouvelle tandis que Nathalie offre son minou à ses lèvres.


Claude se caresse en jouissant du spectacle, mais les deux amies, qui se font face, veulent qu‘elle participe et l’attirent entre elles.

Elle est debout, les jambes ouvertes au-dessus de son homme. Sa chatte et son œillet sont fouillés par les mains expertes des deux filles. Michèle tortille ses hanches sur le mât dressé, tandis que Nathalie se fait lécher le minou, inondant le visage de Georges de sa cyprine.


Une nouvelle fois l’écho de leurs plaisirs qui se suivent, l’un après l’autre, résonne dans la crique.



Le reste des vacances se passe ainsi entre excursions et baignades à la crique. Il faut dire que, pour Michèle et Nathalie, le séjour en club-hôtel n’est pas trop leur truc. En fait, elles fréquentent leurs amis belges et aussi Marcel et Louise, un couple de retraités parisiens, avec lesquels elles ont sympathisé. Elles les invitent même un jour dans leur crique naturiste.


Lorsque les deux amies se mettent nues, Marcel et Louise n’hésitent pas à faire de même.


Après un bain de mer, ils bronzent au soleil printanier. Les deux copines se rendent compte que Marcel est en érection.



Nathalie s’est approchée et en douceur prend entre ses doigts le membre de Marcel qui malgré sa petite soixantaine montre une forme exemplaire.

Michèle, elle, est proche de Louise.



Tout en parlant avec Louise, Michèle l’a prise dans ses bras et tend ses lèvres. Un peu d’hésitation, puis Louise tend les siennes. La langue qui les entrouvre est bien acceptée et croise la sienne après un moment.


Michèle allonge sa partenaire et, abandonnant sa bouche, couvre son corps de baisers. Lorsqu’elle aborde ses cuisses, les jambes s’ouvrent naturellement et offrent une chatte en chaleur à la langue experte de Michèle. Prise par ce nouvel appel du désir, Louise ne pense pas à faire de même, mais glisse une main entre les jambes de Michèle pour la masturber en profitant de ses caresses buccales.


De l’autre côté, voyant la tournure des événements, Nathalie s’est allongée et attire Marcel qui ne peut résister à l’appel de la jeune femme et la pénètre avec un bonheur évident.

Marcel, qui éjacule dans la chatte de sa jeune partenaire, et Louise, qui noie le visage de Michèle de son plaisir, trouvent presque ensemble, dans des râles de bonheur, l’aboutissement de leur plaisir, les deux amies suivent de peu leurs aînés dans la jouissance.


Revenant sur terre, Louise leur dit :



Leurs vacances s’achèvent en passant plus de temps à la crique qu’à l’hôtel. Ils y amènent une fois les Belges, une autre fois les gentils pensionnés. Ils s’y retrouvent tous la veille de leur départ.


C’est la première fois qu’ils y sont tous les six. L’atmosphère devient rapidement érotique, chaque couple ayant eu des rapports avec les deux amies, ils se doutent qu’il en est de même pour l’autre, mais rien ne s’est jamais passé entre eux. Chacun des deux couples espérait, à la veille du départ, revivre une dernière aventure avec Michèle et Nathalie !


Ils sont tous étendus au soleil, après un premier bain de mer. Les trois jeunes femmes ont envie de se rafraîchir et repartent à l’eau. Leurs jeux érotiques et les échanges de caresses lesbiennes sont sans équivoque. Assistant à ce spectacle, ces messieurs, qui sont restés sur la plage en compagnie de Louise, ne tardent pas à montrer une virilité dressée vers le ciel.


Très excitée, elle aussi, Louise ne peut résister au plaisir de prendre le membre de son homme entre ses doigts. L’autre érection étant à portée, elle tente une main timide, ne rencontrant pas de recul, elle s’enhardit et branle maintenant les deux virilités.


Elle n’a jamais eu l’occasion d’avoir deux hommes en même temps, tout en gardant dans une main le sexe de Georges, elle bascule pour prendre entre ses lèvres celui de son mari. À quatre pattes, au-dessus de lui, elle sent le membre de Georges, qui s’est libéré de sa main, s’introduire en elle. Marcel, allongé sur le dos, voit le sexe de son ami s’introduire dans la chatte de son épouse et commencer un va-et-vient viril. Cette vision exaspère son excitation qui, ajoutée à la succion de la bouche sur son gland, le fait gicler au fond de la gorge qui l’accueille. Cela provoque un premier orgasme à Louise, un second suit rapidement lorsqu’à son tour Georges jouit, lui projetant de longues giclées de sperme au fond de son vagin.


Quand les filles sortent de l’eau, les trois corps sont encore enlacés. Claude voyant la situation s’exclame en rigolant :



Et tout le monde part d’un grand éclat de rire !