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Temps de lecture estimé : 19 mn
22/02/10
Résumé:  Sur un camping, le Net peut s'avérer un outil précieux.
Critères:  fh inconnu vacances fsoumise voir exhib noculotte vidéox fmast rasage jouet uro -voyeuract -camping
Auteur : Bob4Betty      
Rencontre en Ardèche

Nous sommes partis cette année en vacances avec Betty et les enfants dans un camping d’Ardèche. Comme d’habitude, afin de limiter les frais perso, nous sommes partis avec la voiture du bureau qui est très pratique, le seul inconvénient est la discrétion car elle est bariolée du site et de l’email de la société.


Cette année encore, nous avons choisi un bungalow avec une petite terrasse en bois et bien arrosée par une borne WiFi proche afin de pouvoir conserver le lien avec le reste du monde. Notre bungalow est donc noyé au milieu d’une foule d’autres bungalows du même type séparés les uns des autres de quelques mètres. Et pas de chance, nous nous rendons compte que nous sommes cernés cette année par des Hollandais. Pas de soucis pour les enfants qui n’ont pas le problème de la langue pour communiquer mais pour Betty, qui ne parle pas du tout anglais, un vrai isolement.


Le soir venu, après le repas du soir, je m’installai donc sur la terrasse en bois légèrement surélevée avec mon ordinateur, et je regardai gentiment les enfants jouer aux alentours. Tout cela s’est passé tranquillement la première semaine, lorsque le samedi suivant, les voisins hollandais faisant directement face à notre bungalow sont partis. Nous espérions bien voir arriver des Français, mais pas de chance, encore des Hollandais.


Un couple de 35 ans avec, nous le saurons plus tard, leur fils de 12 ans et leur nièce de 20 ans. Les deux filles étaient très belles, fines et sportives avec de belles fesses dessinées et de beaux seins saillants. Manifestement pas très réservées car elles sont descendues de la voiture en maillot de bain. Le mari quant à lui, parla un peu fort en hollandais, et elles enfilèrent chacune un long tee-shirt au-dessus de leur maillot de bain.


Le soir venu, le mari vint toquer à notre bungalow, il ne parlait ni anglais, ni français, et il essayait de se faire comprendre par des gestes et des mots lents en hollandais. Après quelques efforts, je compris qu’il n’avait pas d’eau chaude, et je lui proposai de le suivre avec ma boite d’allumettes pour mettre en route son chauffe-eau à gaz. Il m’invita bien volontiers, et j’ai mis en route son chauffe-eau avec une simple allumette. Il me remercia chaleureusement dans une langue dont je ne connaissais rien, et machinalement, je lui répondis en anglais. À ce moment, sa nièce sortit de sa chambre, toujours avec son tee-shirt, mais manifestement sans le haut de son maillot de bain dessous, car ses tétons pointaient fièrement, faisant une marque brunâtre sous le vêtement.


Elle parlait parfaitement anglais, et me remercia en m’expliquant, hilare, que son oncle essayait de leur allumer l’eau chaude depuis plus d’une heure, et que sa tante et elle ne souhaitaient pas se laver à l’eau froide. À la demande de son oncle, elle fit donc les présentations, et je connaissais donc maintenant toute la petite famille dont seule la nièce connaissait l’anglais.


De retour sur ma terrasse, je m’installai comme chaque soir devant mon PC pour bosser ou pour un film, Betty et les enfants étant couchés tôt suite à nos journées sportives. Vers 23 heures, je vis ma voisine d’en face sortir sur sa terrasse à quelques mètres en vis-à-vis de moi, et installer son PC. Elle me fit un petit signe de la main du genre coucou, et travailla aussi pendant plus d’une heure, son mari et sa nièce devant eux aussi déjà dormir.


Le lendemain matin, ayant déjà pris mon petit déjeuner, je la vis arriver sur sa terrasse en nuisette super courte, quelques centimètres sous les fesses, dévoilant ses interminables jambes. Elle s’installa à quelques mètres de moi avec un grand sourire, en me faisant à nouveau un petit coucou du genre « c’est difficile de se lever ». Elle but son café en parfaite ingénue, les yeux dans le vague, et rentra dans son bungalow en tortillant du derrière.


Puis le reste de la journée, elle joua avec son fils et sa nièce autour du bungalow, rien d’exceptionnel, sauf peut-être sa tenue due à la chaleur accablante de l’Ardèche… Un marcel bien échancré sans rien dessous et un mini bas de maillot de bain brésilien cachant à peine ses fesses. Un vrai bonheur à regarder. Puis la nièce proposa à ma fille de jouer avec elle et sa tante au badminton. C’est donc tout naturellement que je sortis mon appareil photo pour faire une photo de ma fille. J’ai ensuite posé l’appareil sur un petit pied portatif posé sur la table, et discrètement orienté vers nos sportifs. Puis, peu innocemment, j’appuyai régulièrement sur le déclencheur dans la plus haute résolution en espérant quelques photos un peu croustillantes, avec un décolleté plongeant ou une fesse mutine dans l’objectif.


Je dus attendre le soir venu, seul sur ma terrasse afin de voir le résultat de mes photos. Hélas, peu de succès, l’éloignement et la forte luminosité ne laissèrent que quelques photos laissant apparaitre un sein par l’échancrure du marcel. Quelques minutes plus tard, comme la veille, ma voisine apparut sur sa terrasse, cette fois habillée dans un ample survêtement bouffant. Elle me fit un petit signe de la main, et alluma son PC. Je me replongeais dans ma photothèque lorsque je reçus un mail, ce qui est peu courant à 23 heures. C’est un inconnu avec une adresse en NL qui m’envoyait un simple point d’interrogation avec une photo en pièce jointe. En ouvrant le fichier, je découvris une photo de ma camionnette garée à proximité du bungalow. Je levai la tête en direction de ma voisine qui surveillait ma réaction et me fit à nouveau un petit signe.


Sachant que je ne pouvais pas communiquer autrement, je lui envoyai par retour quelques photos très sages de la partie de badminton de l’après-midi. Elle me renvoya un simple smiley avec un grand sourire. Quelques secondes plus tard, je reçus un nouveau mail contenant une des photos que je lui avais envoyées, avec un rond rouge encadrant l’ombre d’un de ses seins apparaissant dans l’échancrure de son marcel. L’image était accompagnée d’un petit smiley qui semblait faire « oh » ! et d’un autre qui faisait un clin d’œil. Surpris par sa réaction, et ne sachant pas si elle était choquée, je décidai de risquer le tout pour le tout, en lui envoyant une de mes photos de l’après-midi laissant apparaitre carrément un sein par un mouvement sportif de toute beauté. C’était quitte ou double, soit je me faisais traité d’obsédé, soit elle entrait dans mon jeu.


L’attente fut longue, pas de réponse, soudain elle se leva, laissant son PC sur la terrasse. Mon inquiétude augmenta, j’ai eu peur qu’elle n’aille chercher son mari pour faire un esclandre. Soudain, la lumière de la salle de bain de son bungalow s’alluma et, à travers la vitre dépolie, je devinai sa silhouette dans la lumière. Brusquement, je vis apparaitre contre la vitre ses deux seins qu’elle collait, faisant disparaitre en partie le dépoli de la fenêtre. Je me précipitai sur mon numérique, et je fis plusieurs clichés de ses seins collés sur la vitre. L’image était floue à cause du dépoli, mais on distinguait nettement les volumes et ses deux aréoles sombres. Puis la lumière s’éteignit et elle revint sur la terrasse avec un large sourire sur les lèvres et les yeux brillants.


Immédiatement, je lui envoyai mes clichés par mail, elle sembla subjuguée par son image. Elle resta longtemps à regarder son PC sans m’envoyer de réponse. Il me fallait passer à autre chose, si je voulais poursuivre ce jeu qui m’excitait au plus haut point. Je décidai donc de lui envoyer trois photos de superbes poitrines piquées sur internet représentant des seins en pommes, des seins en poires et des seins légèrement tombants, et j’accompagnai mes images d’un énorme point d’interrogation. La réponse fut immédiate, elle m’envoya un énorme smiley faisant le « ohhhh » que je connaissais bien.


Puis à nouveau, elle se leva, rangea son PC et éteignit la lumière de la terrasse. Je me retrouvai donc seul sur ma terrasse, désolé que cette aventure photographique s’arrête ainsi. Avais-je été trop loin, ou trop vite ? Je réfléchissais toujours sur cet échec lorsque la lumière de la salle de bain s’alluma à nouveau en face. Je sautai sur mon appareil afin de capturer une éventuelle image à travers le verre dépoli, et je la devinai en train de se déshabiller. Soudain, la fenêtre s’ouvrit en grand, et mon modèle apparut simplement vêtu de son brésilien, de profil dans le miroir, se brossant les dents, et me laissant admirer et immortaliser sa belle poitrine en poire, se tenant seule, très haute sur son buste, et coiffée d’un long téton tout gonflé posé sur une large aréole sombre. C’était formidable, je n’en pouvais plus, je bandais comme un cerf.


Elle prit tout son temps pour se brosser les dents, ses mouvements faisant onduler souplement ses seins. Puis, une fois terminé, elle se tourna vers moi avec un magnifique sourire, fit un tour sur elle-même doucement, ce qui me permit de voir ses fesses, puis la lumière s’éteignit. Pendant au moins une heure, je fis une sélection dans les 150 photos que j’avais prises. Ma voisine était sublime, bandante et semblait aimer le jeu. Enfin, je lui envoyai un mail avec mon top 10, il était 2 heures du matin…


Le lendemain matin, pas de voisine au petit déjeuner. J’étais très déçu, et je n’avais pas envie d’attendre le soir pour la revoir. En fin de matinée, ma grande fille rentra avec les courses, et elle me dit que la nièce de la voisine avait un laissé un message pour moi. Elle me remerciait d’avoir allumé sa chaudière hier soir. Ma fille rigola en disant qu’elle était un peu longue à me remercier, et que ce n’était pas hier, mais avant-hier pour la chaudière. Pour ma part, j’avais bien reçu le message. Je lui répondis de dire à la tante que j’étais à sa disposition, et que ce fut avec grand plaisir.


Ma journée fut radieuse, comme le temps, une canicule extrême. Après le dîner, je m’installai donc pour une sieste à mon poste, à l’ombre sur la terrasse. Toujours pas de nouvelle de mon mannequin… Quand soudain, elle sortit avec son mari, sa nièce et son fils. Elle m’adressa un grand sourire. Elle était vêtue d’un haut de maillot de bain, et d’un paréo très court sur son bas de maillot brésilien. Nos Hollandais n’avaient pas encore mangé, et ils mettaient la table. Je me fis tout petit, allongé sur mon transat, mon numérique prêt à surgir. Puis en mettant la table, elle fit tomber une fourchette, elle me fusilla du regard, puis se tourna pour ramasser la fourchette sans plier les genoux. Cela eut pour effet de faire remonter son paréo, et de rentrer le tissu de son brésilien légèrement dans ses fesses. J’avais une vue superbe, et mon doigt martyrisa le déclencheur de mon appareil, je ne voulais rien rater. Elle resta plusieurs secondes dans cette position, puis son fils arriva avec les assiettes, elle se releva le plus naturellement du monde, comme si de rien n’était. Puis elle partit à l’intérieur pour rapporter les serviettes. De nouveau, une serviette tomba au sol ; vérifiant que je ne perdais rien du spectacle, elle se pencha à nouveau, cette fois, elle prit le soin de bien rentrer son brésilien entre ses fesses. Il ne faisait plus qu’une fine bandelette au fond de son sillon. À cinq mètres, je ne vis aucun détail, mais j’espérai bien que la haute résolution des clichés m’en donnerait plus.


Le repas se déroula sans autre fait notoire, et dès qu’ils eurent fini, je pris mon PC pour regarder les photos. C’était magnifique. La première série me dévoila ses longues jambes sans défaut, même en gros plan ; un grain parfait. Ses fesses tendues dans son brésilien étaient appétissantes à souhait, je n’en pouvais plus. Cependant, ce n’était rien à côté de la seconde série, son brésilien rentré dans ses fesses, couplé avec la position penchée, les jambes légèrement écartées me donnant une vue imprenable sur son mont de Vénus et son anus, traversé en son milieu par le brésilien replié. De chaque côté du brésilien dépassaient quelques poils sombres ce qui, esthétiquement, assombrissait le tableau.


Le soir venu, une fois son petit monde au lit, elle apparut en jogging sur la terrasse avec son PC, et me fit son habituel coucou. Bien décidé à voir jusqu’où elle voulait aller, je travaillais sur des devis en attente, feignant de ne pas m’occuper d’elle. Après 30 minutes de ce jeu, je reçus un mail avec deux images, un sexe masculin de belle taille au repos, et le même sexe en érection. À côté de chaque image, un gros point d’interrogation…


Tout allait pour le mieux, elle se languissait de savoir quel effet elle m’avait fait, nous allions pouvoir aller plus loin. Alors, je lui ai adressé les clichés du midi, montrant ses jambes et son côté pile, avec un gros smiley de contentement… puis en dessous, j’avais ajouté des « + » avec des points d’interrogation.


La réponse ne fut pas longue. Je reçus à nouveau mon smiley « Ohh » et un grand « Yes » en dessous. J’attendis donc quelques minutes, mais rien ne se passa. Elle m’envoya à nouveau un point d’interrogation. J’étais pris de court et en plus j’avais une terrible envie de miction. Mais si je rentrais dans le bungalow, j’aurais peur que tout s’arrête. Alors je me levai, je passai sur le côté du bungalow à l’abri des regards de l’allée, mais pas de celui de ma Hollandaise, et je pissai contre un arbre. Je rangeai ensuite tranquillement mon sexe et je retournai à la place sur la terrasse. J’étais à peine assis qu’elle se leva, passa sur le côté de son bungalow en plein dans mon champ de vision, remonta son tee-shirt sous les aisselles laissant apparaitre ses seins nus, baissa totalement son pantalon de jogging et son brésilien face à moi, prenant tout son temps pendant que je la mitraillais sans me cacher. Puis, le rouge aux joues, elle s’accroupit et se soulagea face à moi. Le bruit caractéristique de l’urine féminine sous pression me mit dans un état second. Sans hésitation, je m’approchai à un mètre d’elle en mitraillant avec mon appareil. Voyant qu’elle ne bougeait pas et ne se cachait pas, je fis le tour en positionnant mon numérique en pleine action très près du sol, immortalisant à jamais l’urine coulant de son sexe ouvert côté face, et ses fesses ouvertes par la position accroupie côté pile.


Le jet s’arrêta, je repris ma place sur ma terrasse, et elle se releva, se rajusta et retourna elle aussi, le souffle court et le visage rouge écarlate sur sa terrasse. Il me fallut au moins 30 minutes pour trier mes photos, supprimant les mal cadrées et les floues. Pendant ce temps, elle ne me lâchait pas des yeux, guettant la moindre de mes réactions. Quand ce fut prêt, je choisis les quatre plus belles photos. L’une assez artistique, la montrant nue, debout face à moi, me regardant avec la tête penchée sur le coté ; une seconde très crue montrant l’urine coulant de son sexe ; une troisième montrant ses fesses en gros plan avec la flaque sous ses pieds, et enfin une quatrième montrant uniquement son visage après qu’elle se fut rhabillée, avec les pommettes rouges et les yeux brillants et rieurs comme une petite fille ayant eu son cadeau de Noël.


Ses yeux étaient rivés sur son écran, et au bruit du clic de sa souris, elle repassait sans cesse d’une photo à l’autre. Au bout de 10 minutes, j’ai rangé mon PC et je me suis levé. Alors elle m’a regardé partir et son petit coucou habituel de la main fut complété d’un baiser sur sa main, envoyé vers moi par un souffle. Je n’en pouvais plus, et j’ai négligemment réveillé Betty en me couchant, et nous avons fait l’amour, ce qui m’a bien apaisé.


Le lendemain, pas de nouvelle de la journée, nos Hollandais étaient partis à l’aube, et ce n’est que vers 22 heures qu’ils réapparurent. J’étais très frustré et elle me fit comprendre qu’elle aussi, par un petit haussement d’épaules doublé d’un pincement de lèvres.


Le mercredi, la chaleur dépassa les 40 °, et les deux familles restèrent amorphes, à l’ombre de la terrasse sans pouvoir fournir le moindre effort. Vers 23 heures, la chaleur tomba, et les enfants purent rentrer se coucher. Fin prêt sur ma terrasse, il ne fallut que quelques minutes pour que ma voisine apparaisse avec son PC. Elle me jeta un rapide coup d’œil en coin, et m’envoya un mail laconique : une page complète de signes « + ». Sûr de ses intentions, il me fallut réfléchir en express à la prochaine étape, souhaitant ne pas aller jusqu’à la relation charnelle, Betty ne méritant pas que je la trompe pour quelque motif que ce soit. Cependant, je ne pouvais pas décevoir une pareille attente. Mais comment faire plus qu’une séance uro sous le crépitement de mon appareil photo ? Une idée me vint en regardant les photos d’elle nue. Elle avait une toison pubienne relativement sombre et assez fournie. Avec un coup de Photoshop, je me suis amusé à retoucher une photo en retaillant sa toison. Une fois en ticket de métro, une fois en cœur, une fois avec un signe $, une fois avec une flèche vers le bas montrant la direction de son sexe. Puis je fis une variante en bleu, blanc, rouge, couleurs communes de nos deux drapeaux. Sitôt mes œuvres achevées, le mail fut envoyé.


L’ouverture de celui-ci provoqua chez elle une véritable hilarité. Je crois que cela l’amusa beaucoup. Elle coupa son PC, et se leva en me faisant au revoir. Avais-je été trop loin, ou cela aurait-il trop alerté son mari ? Pendant plus d’une heure, j’ai espéré voir la lumière de la salle de bain s’allumer, mais rien, alors dodo…


Le lendemain midi, après le repas, j’étais en poste sur ma terrasse, quand ma voisine apparut en petite jupe volante et T-shirt échancré. Après avoir déjeuné avec son mari et les enfants, elle fit la vaisselle sans même m’envoyer un regard. Puis son mari et elle s’installèrent sur la terrasse pour lire. Elle s’installa sur une serviette posée au sol de la terrasse, et s’orienta en tailleur face au soleil comme pour bronzer. Son mari, quant à lui, se tenait en retrait d’un mètre à l’ombre. Pendant au moins dix minutes, elle gigota, se déplaçant de deux centimètres par-ci et de trois par-là. Je compris vite sa manœuvre, elle était en train de se positionner pleinement face à moi, de sorte que ni son mari, et ni Betty si elle venait sur la terrasse, ne puissent avoir le même angle de vue sous sa jupe savamment positionnée avec ses jambes en tailleur pour me présenter son sexe. Discrètement, mon appareil se remit en action, et je pris de nombreux clichés que je me suis empressé de mettre sur mon PC pour enfin découvrir ce qu’elle cachait sous sa jupe. Dès la première photo, le résultat fut clair, elle ne portait pas son habituel brésilien sous sa jupe, elle était nue comme au premier jour, sans vêtement ni aucun poil sur le sexe, je pouvais distinctement voir ses grandes lèvres et ses petites lèvres entrouvertes totalement glabres.


Tout en lisant son livre, elle relevait régulièrement les yeux pour voir ma réaction. Je lui fis un petit signe avec le pouce relevé et un grand sourire pour lui montrer ma joie et mon contentement. Puis négligemment, toujours en lisant, elle passa sa main sous sa jupe, écartant à deux doigts son intimité, puis elle passa doucement un troisième doigt sur son clitoris faisant des allers-retours discrets sur celui-ci. J’adoptai donc une autre stratégie. Je posai mon appareil photo au sol, en position vidéo, et je regardai sur mon écran de portable en direct ce zoom surréaliste de cette superbe hollandaise mariée, jeune mère de famille qui, installée à un mètre de son mari, offrait la masturbation de son sexe fraichement rasé à mon objectif. La vue était parfaite, je voyais son clito gonfler sous le passage régulier de son majeur, et sa mouille couler le long de ses lèvres intimes. Soudain, son doigt se crispa, je relevai la tête et je la vis en plein soleil, la tête renversée et les lèvres pincées pour ne pas crier son plaisir. Puis elle posa son livre, se leva, embrassa son mari sur le front en passant, et je ne la vis plus de l’après-midi.


En fin d’après-midi, avec Betty et les enfants, nous sommes allés visiter Aubenas, charmante bourgade perchée sur un rocher, mais très prisée en été. Ne trouvant pas de stationnement en centre-ville, j’ai déposé ma petite famille, et je me suis éloigné du centre pour me garer. Après 20 minutes de recherche, enfin une place. Je ferme la voiture, je relève la tête, et là je me retrouve devant la façade relativement discrète d’un sex-shop. Ce ne pouvait pas être le hasard. Je décide donc de rentrer et de trouver rapidement un « cadeau » pour ma voisine. Après trois minutes de réflexion, mon choix s’arrête sur un œuf vibrant de 5 cm de long géré par une télécommande. Malgré le coût élevé de ce type d’article je me dis qu’elle en vaut la peine et que, si elle refuse, je pourrai toujours jouer avec Betty. J’ai ensuite visité Aubenas, mais avec bien d’autres idées en tête.


Le soir venu, sur ma terrasse, je prépare mon jouet, j’installe les piles et je teste la distance de déclenchement. Avec environ 5 mètres, cela me suffira largement. Ensuite, je pars dans le camping à la recherche de hautes herbes à cueillir, et je confectionne un nid façon oiseau. Je le place ensuite, garni de son œuf blanc, dans un arbuste à proximité du bungalow, et je prends une photo du nid montrant ma terrasse et le nid afin de permettre de le situer. L’heure suivante me parut interminable en attendant de voir apparaitre ma voisine avec son PC, toujours vêtue de la petite jupe légère. Je lui envoyai de suite une photo du midi avec son sexe rasé et ouvert, puis une autre avec les lèvres dégoulinantes de mouille, le tout accompagné d’un smiley très, très heureux. Elle prit le temps de regarder les photos, puis je reçus une réponse avec le même smiley en trente exemplaires et une autre page de « + + + + ».


Elle était prête, et moi aussi. J’envoyai donc la photo de mon nid, avec une flèche rouge montrant le haut de l’œuf dans mon nid de fortune. Immédiatement, elle se leva, chercha le nid du regard et s’approcha. Lorsqu’elle vit l’œuf synthétique, elle le prit entre ses doigts, et c’est à ce moment que je déclenchai la première vibration. Elle fut saisie, sursauta en poussant un petit cri, et lâcha l’œuf qui tomba. Alors j’entendis son mari de hollandais parler à travers la cloison du bungalow et elle lui répondit aussi vite pour le rassurer. Puis, quand tout fut calmé, elle ramassa l’œuf et repartit sur la terrasse. Elle le trempa dans son verre d’eau pour le nettoyer, le détailla sous toutes les coutures, puis elle se mit à le lécher à la façon d’une fellation en me regardant droit dans les yeux, ou dans la caméra devrais-je dire, car je ne manquai rien de la scène. Une fois cela terminé, elle s’assit sur le bord de sa chaise, remonta sa jupe, et fit pénétrer l’objet devenu gluant dans son sexe. Celui-ci rentra tout seul, sans effort, le terrain étant lui aussi fort glissant.


Elle se releva, s’approcha de son PC et je déclenchai à ce moment la vibration. Elle faillit tomber tant la surprise fut forte, et elle s’affala sur sa chaise. Elle s’installa face à moi, en me regardant dans les yeux. Je sortis alors la télécommande de ma poche pour lui montrer, et en la fixant, je mis en route la fonction vibrante. Ses yeux brillaient, et ses hanches ondulaient de plus en plus. Elle continuait à me fixer, serrant et desserrant ses jambes convulsivement. Lorsque je crus déceler, à sa tête en arrière et ses lèvres pincées, l’arrivée de sa jouissance, je stoppai net le vibreur. Elle se redressa sur sa chaise, me regardant avec des yeux implorants. Je lui envoyai alors un mail avec une photo de ses seins. Elle comprit alors que je voulais voir ses seins. Devant le risque d’être vue, elle me fit non de la tête, je haussai les épaules faisant semblant de partir, elle me regarda alors faisant remonter son T-shirt pour me dévoiler ses seins. Je lui fis signe deux fois de monter plus haut, puis de le retirer complètement. Après 30 secondes de réflexion, elle se recula au fond de sa terrasse et ôta son T-shirt.


La vibration reprit, et elle se remit à onduler. Une seconde fois, je stoppai la vibration en limite de jouissance. Elle grogna, et se rapprocha de son PC pour connaitre mon souhait. Je savais maintenant qu’elle était prête à tout. Je lui envoyai donc une photo de son sexe rasé. Elle ne réfléchit plus, elle ôta sa jupe presque aussitôt, et se retrouva complètement nue face à moi. La vibration reprit, je lisais sur son visage la crainte d’être surprise nue et le sexe rasé sur sa terrasse mais aussi l’envie de jouir. Une troisième fois l’œuf se figea au plus profond d’elle-même. Elle était trempée de sueur, et regarda son écran les yeux livides. Je lui envoyai alors une photo de ses fesses entrouverte lors de la séance uro. Vu qu’elle était déjà nue, elle se tourna ne comprenant pas bien ma demande, elle se mit de dos et attendit que l’œuf finisse son œuvre. Mais j’en voulais plus. Comme elle ne comprenait toujours pas, je me suis levé, et je suis venu sur sa terrasse avec mon appareil photo. Elle ne s’est pas reculée, ni cachée, elle ne m’a simplement regardé, volontairement soumise et dans l’attente. J’ai pris sa main, et je l’ai fait grimper sur la table en bois, puis je l’ai guidée pour qu’elle se mettre à 4 pattes, très cambrée, les genoux bien écartés, les fesses face à ma terrasse. Elle s’est laissé faire, les yeux brillants, et l’œuf a repris son œuvre. Maintenant tout prêt, j’entendais son ronronnement sourd en elle, et je la voyais onduler de plus en plus, les fesses largement ouvertes par la position dévoilant son anus légèrement ouvert, ses seins épanouis balançant sous son buste, et ses lèvres dégoulinantes de mouille jusque sur la table. J’ai alors promené ma main sur son corps bouillant, ses seins, son sexe, ses fesses, continuant à filmer cette scène surréaliste avec mon autre main. Ne résistant pas, j’ai doucement introduit un doigt trempé de mouille dans son anus, et je l’ai mis en contact avec l’œuf dans son vagin à travers la fine membrane les séparant. Sa jouissance est arrivée, fulgurante, l’écrasant sur la table. Elle resta figée plusieurs minutes reprenant son souffle mais conservant son œuf maintenant immobile au plus profond d’elle-même. Je lui ai fait une bise sur le front, je suis retourné sur ma terrasse et deux minutes après elle est rentrée. Il était 3 heures du matin dans le camping silencieux.


Le lendemain, feignant le coup de fatigue, je n’ai pas été avec les enfants et Betty au marché des artisans. Je n’étais plus sûr de ce qui s’était réellement passé la veuille ; était-ce un rêve ? Mais non, les cartes SD de mon appareil photo me confirmaient la réalité des faits. J’ai donc passé la matinée à trier et classer mes photos et mes vidéos de la veille. J’ai aussi envoyé quelques fichiers sur la boite de la principale intéressée en souvenir de cette soirée. Sur l’une des photos, en levrette sur la table, son intimité explosée, j’avais mis quelques flèches soulignant quelques poils non éliminés autour de son anus, espérant un prochain nouveau jeu.


Vers midi, je vis le mari et le fils de ma Hollandaise rentrer des courses, la voiture déjà chargée pour un départ qui s’annonçait pour le début d’après-midi. Puis vers midi, ma voisine et sa nièce apparurent sur la terrasse pour le brunch toutes deux vêtues d’une nuisette légère et suggestive. Les hommes et la nièce s’occupaient du service pendant que ma voisine, de grands cernes sous les yeux, était attablée les coudes sur la table me fixant avec des yeux pleins de reconnaissance. Elle balançait son bassin sur la chaise machinalement d’avant en arrière de façon très discrète mais indéniable. J’imaginais alors son œuf encore en position, amplifiant ce léger mouvement en une légère masturbation. L’idée me vint alors d’activer l’œuf pour faire profiter à ma voisine une dernière fois de ma compagnie. J’appuyai donc sur ma télécommande, et à ce moment un bruit terrible se produisit, la nièce lâchant alors sur la terrasse la pile d’assiettes quelle était en train de desservir. Abasourdi, je tournai la tête vers ma voisine qui exultait intérieurement, fière de son méfait. La nièce s’excusa platement auprès de son oncle, mais n’arriva pas à faire un pas devant l’autre pour ramasser les morceaux. Elle me regarda désespérée et implorante, et je compris alors où était installé mon œuf. J’arrêtai donc la vibration, et le service reprit.


Vers 15 heures, la nièce est venue me voir, sa tante lui ayant demandé de venir me remercier pour tout, et me dire qu’elle regrettait de ne parler ni anglais ni français pour me dire elle-même sa reconnaissance. Puis la nièce repartait vers la voiture quand je la rappelai. Je lui donnai la télécommande de l’œuf, en la priant de remettre ce cadeau à sa tante. La nièce sourit, repartit à la voiture sans rien dire, et donna discrètement la télécommande à la tante par le carreau. Celle-ci me fit un petit coucou avec la télécommande à la main, puis je vis la nièce s’appuyer soudainement contre la voiture avant de réussir à ouvrir sa portière.


Deux jours plus tard, j’ai reçu des photos sur mon mail. La première série montrant la nièce raser le pubis de sa tante. C’est donc elle qui avait fait le travail dans le bungalow. Puis une autre série prise depuis le côté de mon bungalow, montrant sa tante en levrette sur la table de sa terrasse avec mon doigt dans l’anus. Et enfin, une photo de la tante et de la nièce côte à côte en levrette, sur une table que je n’avais jamais vue, totalement offertes, le sexe et l’anus exempts de tout poil rebelle. Je n’ai jamais su qui avait pris ces photos, mais je sais ce qu’il a ressenti en pressant le déclencheur de son appareil.