Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13735Fiche technique18444 caractères18444
Temps de lecture estimé : 11 mn
03/03/10
Résumé:  Après une rupture amoureuse, un homme rencontre une femme qui s'apprête à fêter son anniversaire de mariage.
Critères:  fh fplusag extracon inconnu grossexe essayage voir lingerie fellation pénétratio fsodo -occasion
Auteur : Eros57      Envoi mini-message
La boutique de lingerie

Maria et son mari fêtent, ce soir, leur anniversaire de mariage. Maria est tout excitée car elle lui a réservé une surprise de qualité : petit dîner aux chandelles, robe sexy, une parure de lingerie des plus excitantes et surtout, après dîner, elle le laissera faire d’elle ce qu’il voudra. Avant tout ça, petit tour chez l’esthéticienne pour parfaire la soie de sa peau et donner forme convenable à la toison qui orne le sommet d’un mont que s’est approprié Vénus, puis direction le magasin de lingerie. C’est l’été, le soleil brille et Maria sourit. La belle a revêtu une robe légère, assemblage de voiles multicolores qui épouse parfaitement ses courbes incroyables. Cette robe qui met nettement en valeur sa poitrine ne la rend pas moins sexy en comparaison de celle qu’elle revêtira ce soir. Elle chausse ses sandales à talons, ouvertes et dorées. Elle achève sa parure en enfilant une montre et de petites bagues en or, ainsi qu’un petit tour du cou. Elle attrape les clefs de la voiture. Direction centre-ville.


Réveil douloureux pour Dominique. Il secoue la tête pour se retrouver lui-même, allongé sur le sofa, tout habillé. Cathy l’a quitté voilà deux jours, il n’a plus vraiment goût à rien et s’est noyé dans le vin la veille pour oublier. La valeur de son thermomètre moral est symétriquement opposée à celle de celui qui indique la température au dehors. Voyant le cadavre gisant sur la table du salon, Dominique prend le taureau par les cornes. "Dom, ne te laisse pas aller ! Il faut que tu te reprennes !" Il va dans la salle de bain pour se doucher. Nu devant le miroir, il se dit qu’il n’est pas si mal, du haut de ses 35 ans, il paraît jeune tout en faisant très "homme". Cette pensée, si elle ne lui redonne pas le moral, lui redonne au moins un regain d’énergie pour ne pas sombrer plus bas. Sorti de la douche, il enfile un jeans, une chemise noire, ses chaussures et attrape les clefs de la voiture. Direction centre-ville. Pour faire quoi ? Il ne sait pas encore. Un ciné, les boutiques, flâner… Draguer ? Qui sait ? Peut-être tombera-t-il amoureux aujourd’hui.


Maria est dans la foule du samedi. Le flux est inconstant entre les gens qui se hâtent au pas de course et ceux qui ont décidé de prendre leur temps et d’avancer à deux à l’heure. Elle fait plutôt partie de la seconde catégorie. Elle laisse le regard désireux des hommes glisser sur elle. Maria aime se sentir désirée. Il y a le regard en coin des hommes accompagnés par leurs femmes. Ceux, libidineux, des vieillards impuissants. Les sûrs d’eux qui lancent des sourires carnassiers auxquels elle répond par un sourire timide et candide. Les timides qui détournent la tête. Maria aime ces yeux qui la déshabillent et qui font d’elle le centre de leurs fantasmes. Elle pense à tous ces hommes qu’elle ne comblera malheureusement pas aujourd’hui. Aujourd’hui, oui, car Maria est une libertine assumée, épanouie et surtout comblée. Tous ces yeux qui la déshabillent, elle imagine que ce sont autant de mains qui la frôlent, la caressent… quand une main la saisit par l’épaule.


Quand elle se retourne, c’est un homme grand et svelte, d’une trentaine d’années, au regard sombre mais séduisant qu’elle aperçoit.



Maria aurait pu gagner un César pour cette prestation. Malgré ce qu’elle dit, elle sent le désir poindre au creux de son ventre devant ces yeux perçants. Mais elle aime le jeu et se serait trop facile de dire oui tout de suite. On peut être une femme non exclusive, sans pour autant être facile.



Maria continue son chemin.


Cet homme, en deux phrases et un regard l’a séduite. Sur la table de l’esthéticienne elle ne pense qu’à Dominique. À son approche empreinte de timidité, comme un enfant qui aurait eu peur de demander des bonbons à l’épicière. Penser à cet homme agit sur la belle blonde comme un anesthésiant qui ne sent plus la douleur que lui fait subir une jeunette d’une vingtaine d’années qui n’a pas un don inné pour son métier.


Dominique s’assoit à la terrasse d’un café et repense aux formes généreuses de cette belle blonde qu’il a osé aborder tout à l’heure. « Dom, ne te laisse pas abattre par cette défaite » pense-t-il tout en observant avec dégoût les squelettes que l’on tient pour summum de la féminité de nos jours. Il aurait aimé être à cette terrasse, ici, avec elle. Il aurait savouré son sourire, se serait abreuvé de ses paroles et aurait, aussi, discrètement lorgné vers son décolleté.


Une silhouette passe devant Dominique, l’extirpant de ses fantasmes. C’est Maria. Elle lui sourit et s’assoit à la terrasse du café à quelques mètres de lui. Dominique n’explique pas son geste. Pourquoi s’est-elle installée près de lui alors que l’instant d’avant, elle lui faisait comprendre que c’était impossible ?


Il dévisage cette femme d’une cinquantaine d’années, en faisant mine de regarder la rue derrière elle pour plus de discrétion. Il savoure sa chevelure blonde coupée court, ses yeux bruns et pénétrants, sa bouche parée d’un rouge si éclatant qu’il rend son sourire fatal. Son regard descend et stoppe net, subjugué par ses seins, arrogants par leur rondeur et leur taille admirable. Quel genre de téton peut orner ces seins ? Dominique les imagine petits mais très pointus, agrémentés d’une aréole large, sans être démesurée.


Son regard continue son ventre, longe ses cuisses, ses mollets et s’arrête aux chevilles. Des pieds magnifiques, la lanière dorée de sa chaussure leur rend un éclat plus sublime encore. Il remonte lentement, scrute ses jambes lisses et merveilleusement galbées. Tandis que ses yeux atterrissent sur ses cuisses, Marie remonte un peu sa jupe. Dominique relève le regard et croise le sien, malicieux. Maria relève encore un peu sa jupe et Dominique croit rêver. Il voudrait se frotter les yeux, mais l’émotion qui l’assaille l’en empêche. Maria se lève, il la suit en respectant quelques mètres de sécurité.


Elle déambule entre les passants, fait mine de semer Dominique pour mieux ressurgir dans son champ de vision. Dix minutes après ce jeu qui met les sens et l’attention à l’affût, Maria s’intéresse soudainement à une vitrine. Dominique avance doucement, comme vers un faon qu’il ne faudrait pas effrayer. Arrivé à sa hauteur il lui sourit dans le reflet de la vitrine. Un sourire qu’elle lui rend peu avant de s’engouffrer dans la boutique. Une boutique de lingerie.


À peine entre-t-elle dans le magasin qu’une vendeuse d’une soixantaine d’années lui saute dessus :




Dominique entre à son tour. Le plus discrètement possible. Comme s’il pénétrait le fort ennemi pour une mission à haut risque.


Maria regarde les différentes parures de lingerie proposées. Un soutien-gorge noir transparent avec un string fendu. Trop vulgaire, la prochaine fois peut-être. Un ensemble string/soutien-gorge rose bonbon. Trop candide. Un shorty à carreaux. Non pas assez incandescent. Elle voudrait quelque chose d’indécent mais qui ne fasse pas vulgaire non plus. Puis un ensemble guêpière/string finit par retenir son attention. Avec des bas noirs et la robe que j’ai achetée, mon mari sera ensorcelé, songe-t-elle. Et Dominique aussi. Il l’observe d’ailleurs du coin de l’œil, comme un espion. Elle se saisit de l’ensemble et file vers la cabine d’essayage en attrapant une paire de bas noirs en passant.


Elle entre dans sa cabine et Dominique investit la cabine voisine afin d’assouvir son instinct de voyeur. Il halète et s’époumone en essayant de rendre sa respiration plus discrète. Il entend Maria fermer le rideau.


Nue devant le miroir elle s’observe. Malgré ses cinquante-quatre ans et ses formes, elle se trouve encore très désirable (et elle l’est même bien plus que ce qu’elle s’imagine). Elle en tient pour preuves le regard de tous ces hommes qui la déshabillaient et la prenaient dans leur lit il y a quelques instants encore.


Il retient son souffle pour entendre le bruissement du tissu de la robe qui glisse sur sa peau. Il imagine le vêtement tomber doucement. Il tend l’oreille afin d’entendre le clic des agrafes de son soutien-gorge. Il l’entend tomber à terre. Dans ses rêves, il voit déjà la lourde poitrine de Maria. Vallées de promesses sensuelles et délicieuses. Elle se déchausse puis enlève son.. string ou culotte ? Par dessous la cabine, Dominique voit ses mains ramener un string à ses pieds. Elle se saisit de la guêpière et l’enfile. Elle déchire le sachet des bas et faufile ses jambes à l’intérieur. Dominique frissonne lorsqu’il sent le nylon glisser sur la cuisse de Maria. Il trépigne quand le son de l’attache de ses bas résonne à son oreille. Elle enfile son string, Dominique ne tient plus, il pénètre dans la cabine de Maria.


Maria joue les vierges effarouchées, mais espérait bien que Dominique irait jusque-là. Elle lui sourit, baisse les yeux mais ne cache pas son corps à ce regard embrasé.



Il l’admire dans sa quasi-nudité. Il la regarde. L’admire. La détaille. Tout d’abord, son regard. Celui-là même qui plus tôt l’avait fasciné et dont le sortilège opère encore. Puis ses lèvres, au rouge femme fatale. Des bretelles noires ornées de petits flots dorés le conduisent jusqu’au décolleté de Maria. Il n’avait pas remarqué tout à l’heure ce tour du cou, un cœur doré serti d’un diamant lumineux. Le chemin d’or qu’annoncent les flots continue jusqu’à la bordure de son décolleté. Le chemin se fait maintenant tortueux, en dessins baroques et féeriques. Il redescend les collines de ses seins, fruits mûrs, engoncés dans les corbeilles de la guêpière noire transparente. Le regard de Dominique glisse le long de celle-ci jusqu’à la parure de son trésor. Il s’agrippe maintenant aux attaches du porte-jarretelles pour descendre jusqu’en haut de ses bas où un petit flot indique la fin du chemin doré. Dominique se laisse alors conduire par les courbes enchanteresses de ses jambes et ce jusqu’à ses pieds. Magnifiques.


Il lui sourit puis l’embrasse avec fougue en plongeant ses doigts dans ses cheveux blonds. Maria ne dit mot et se laisse conquérir. Tandis que la langue de cet inconnu se mélange à la sienne, elle sent ses mains qui caressent ses fesses. Elles descendent et caressent tout son corps. Ses mollets, ses cuisses, ses hanches, son dos…


Maria inonde déjà. Elle ferme les yeux et embrasse Dominique passionnément. Les mains de ce dernier suivent le chemin qu’avaient ouvert ses yeux en éclaireurs. Son doigt glisse de son épaule jusqu’à son sein. Il longe les côtes d’or qui ornent la guêpière de Maria. Sur le dessus d’abord, puis le dessous. En prenant soin d’aller s’aventurer par pure inadvertance un peu plus loin et frôler son téton. À chaque inadvertance, le baiser se fait plus intense.


Pour Maria, les tergiversations de Dominique paraissent durer des siècles lorsqu’il se décide à mettre fin à ses politesses de bon aloi et à entrer enfin dans le vif du sujet en libérant à pleines mains ses seins gonflés. Il les considère. Il les tâte. Les apprécie. Il admire la finesse de ces petites pointes érigées telles deux petites cerises écarlates. Dominique les lèche, les flatte d’une langue habile et experte, puis les goûte. Il les suce délicatement et, comme s’il fallait qu’il les écrase, d’un coup de sa langue durcie appuie tout contre. Maria savoure cette oscillation entre douceur et sauvagerie.


Maintenant, la langue de Dominique rampe sinueusement jusqu’au string de cette trop belle inconnue. Sa langue se perd en haut de sa cuisse et rase les broderies de l’ultime rempart qui protège encore le trésor de Maria. Il louvoie un moment à cet endroit puis risque un doigt sous la tendelle et écarte le string. Il frôle sa toison et redescend, avec toute la délicatesse qu’une dame mérite, son sillon. Comme un sésame magique, cette formule ouvre la fleur élégante de Maria laissant entre elle et lui un filet de désir. Il s’abreuve de l’ambroisie de Maria qui passe sa jambe sur son épaule. Il entreprend d’amadouer sa perle. Il lape tout en gardant une main sur ses fesses et l’autre le long de son corps. Elle le laisse faire tandis qu’elle se pâme. Sa langue est douce et son intimité fraîchement épilée prend chacune des papilles de Dominique comme des chocs électriques qui la bouleversent. Elle se retient de crier, se mord les lèvres à mesure qu’il la lèche de plus en plus intensément, pour ne pas révéler leur présence dans la cabine.


Il n’en revient pas. Elle qui l’avait éconduit quelques heures plus tôt s’offre et s’abandonne maintenant sans vertu ni retenue aucune. Avec agilité, il continue tant et si bien que Maria finit par jouir en long souffle pour éviter tout cri alarmant et inutile.


Maria reprend doucement ses esprits. Puis, dans l’excitation, rend son baiser à Dominique qui n’en revient toujours pas de ce qu’il vient d’accomplir. Elle l’embrasse sensuellement puis s’assoit sur le tabouret de la cabine. Face-à-face avec une bosse qui décrit facilement l’état dans lequel elle l’a mis. Elle défait sa ceinture, puis déboutonne son pantalon. Elle caresse sa queue au travers de son boxer. Elle essaie de contenir son ahurissement face à la taille de la bête. Cet homme a tout. Une approche délicate, une fougue justement mesurée et un chibre de belle taille. Ce dernier jaillit du boxer comme d’une boîte à musique. Elle se retrouve nez à nez avec un sceptre digne des rois les plus vigoureux. Elle l’absorbe. Elle n’imaginait pas qu’une si grosse queue puisse rentrer dans sa bouche. Et pourtant elle prend ce membre turgescent tout entier. Sa langue glisse sur son gland, elle en fait le tour.


Elle veut donner à Dominique autant de plaisir qu’il vient de lui en procurer. Elle suce petit à petit cette queue qui s’offre à elle. C’est ainsi membrés qu’elle s’imagine tous ces hommes qui la contemplent dans la rue. Elle suce avec frénésie. Elle palpe ce gland du bout de la langue. Quand Dominique n’en peut plus et qu’il s’écrie, qu’il gémit… en fait « Je vais venir », elle le laisse se déverser sur seins. Maria est satisfaite. Elle voulait réserver cette journée exclusivement à son mari, mais en voyant cette queue se ramollir, elle se dit qu’il aurait été dommage de laisser passer pareille occasion. Elle regarde avec délectation tout ce sperme écoulé sur ses seins. Elle assume avec bonheur son statut de libertine affirmée. Dominique change de ton est redevient Dominique le timide. Il offre un mouchoir à Maria pour qu’elle s’essuie et sort une carte de visite qu’il lui tend.



Il remonte à la hâte son pantalon, regarde derrière le rideau si personne ne les a vus et s’en va. Elle n’a pas la force de le retenir et ne peut sortir comme ça, les seins à l’air. Elle s’essuie la poitrine et pense aux merveilleux moments que pourront lui apporter cette carte qu’il lui a laissée.


Le soir venu, elle propose un apéritif à son mari qui accepte bien volontiers. Elle arbore une robe façon Marilyn, mais noire. Le mari de Maria est conquis. Elle ne le laissera pas aller jusqu’au repas que déjà une guerre sexuelle est déclarée.



Il commence par caresser ses fesses. Elles sont belles, rondes et lisses. Il fait glisser sa robe jusqu’au plancher et admire sa parure.



Et Maria lui confie toute l’histoire. Jérôme en bande d’autant plus fort. Il l’amène sur le canapé et la fait se mettre à quatre pattes. Il descend le string jusqu’à mi-cuisses et déjà son doigt s’amuse de ces fentes. Il commence à la besogner en levrette puis se retire afin d’introduire délicatement sa queue dans son trou le plus secret. Il la torpille. Maria aime quand il la défonce. Qu’il lui donne tout, qu’il s’épanche en elle, qu’il la remplisse de son foutre et de bonheur. Et quand jaillit le jet, Maria aimerait que Dominique soit, au même instant, de l’autre côté en train de jouir de même au fond de sa chatte. Mais ça, c’est une autre histoire…