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n° 13741Fiche technique12832 caractères12832
Temps de lecture estimé : 8 mn
04/03/10
Résumé:  Ma-Pi reçoit un cadeau d'au-revoir d'un de ses collègues.
Critères:  fh couleurs collègues travail fellation pénétratio journal -extraconj
Auteur : Single H  (Une autre de mes aventures...)            Envoi mini-message
Ma-Pi au labo du Sart-Tilman

Préambule : Toutes mes histoires sont vraies. Je me suis seulement permis d’un peu les romancer, peut-être de les embellir. Quel but poursuis-je ainsi ? Je ne sais pas. Tout comme je ne sais pas ce qui m’a poussé à vivre ces situations. Les écrivant, je recherche, je retrouve les émotions que j’ai vécues, même si certaines m’apparaissent encore très floues…





Sart-Tilman :



Il m’embrasse sur le front et sort de ma voiture.



Son train l’attend pour l’aéroport de Zaventem d’où il repartira chez lui, en Côte d’Ivoire.

Il est juste de passage en Belgique, où il est, enfin, venu chercher son diplôme.


Je me regarde dans le rétroviseur. Il reste quelques traces de son sperme autour de ma bouche, ultimes vestiges de la fellation que je viens de lui prodiguer. Je les essuie avec le bout de ma langue ; c’est vrai que la semence des noirs a un goût exotique.


Je démarre nerveusement l’Opel Zafira familiale ; Djidji m’a drôlement excitée en me masturbant pendant qu’avec ma bouche je l’amenais à l’éjaculation. Je suis sûre que mon string doit être taché, tellement je mouille.


Un petit coup d’œil sur l’horloge du tableau de bord m’apprend que, le temps de faire le chemin, mon mari sera à la maison. J’irai bien vite déposer mes deux filles chez ma mère, juste à côté, pour le goûter et puis je me ferai culbuter par Th. Il ne comprendra pas cette envie soudaine et je ne lui expliquerai pas… J’ai le sexe en feu et il faut éteindre l’incendie…





Deux ans plus tôt :




Je le fixe droit dans les yeux et ne parviens pas à m’en détacher. S’il n’est pas vraiment beau, il est très racé, Djidji.


Ivoirien, il est venu terminer sa formation à Liège, dans le laboratoire juste voisin au mien. Il a une démarche féline, presque aérienne. Tous ses mouvements sont empreints de sensualité et puis, quel sourire…


Si Th., mon mari, pouvait être ainsi… mais raide, comme la Justice, froid, comme la banquise… Même dans les câlins, il parvient à rester distant ! Pourquoi l’ai-je épousé ?



Je le regarde à nouveau en lui décochant mon plus beau sourire.



J’ouvre grand la bouche. Moi, spéciale ? J’en suis tout étonnée…



Et comment que j’accepte ! Trop longtemps que mes dîners en tête à tête se résument à ce que je cuisine. Et cela, je l’avoue sans gêne aucune, m’ennuie au plus haut point.


Nous y voilà donc… Joli petit bistrot, sans style particulier, mais qui dégage un certain charme. Djidji est superbe dans sa tenue blanche, immaculée, qui laisse entrevoir à chaque mouvement une musculature souple. Moi, comme d’habitude, je me sens mal fagotée. Quelle idée, ce jean qui fait ressortir encore plus mes grosses cuisses… et ce bustier dont les bretelles ne pensent qu’à s’enfuir !


La voix de Djidji est suave et, peu importe ce qu’il dit, je n’en retiens que la musicalité. J’ai trop bu, comme toujours… le vin me tourne légèrement la tête.


Ai-je bien compris ? Djidji vient de me dire qu’il a envie de me faire l’amour. Reprends-toi Ma-Pi, tu divagues.



Je prends un air que je veux langoureux. Je veux savoir jusqu’où il peut m’emmener…



Nous y voici donc dans son studio. Hormis un rien de vaisselle sur la table, tout est déjà rangé dans des caisses. Il n’y a pas de lit dans ce deux-pièces. Veut-il me prendre bestialement, à même le sol ? Légèrement ivre, cette idée me fait sourire, au moins je ne tomberai pas de la table.


Pourquoi pas, après tout ? L’amour pépère, dans un lit, en position du missionnaire, j’y ai droit trois fois par semaine, juste entre le « Bonsoir » et le « Bonne nuit, je t’aime ».


Je tourne sur moi-même et, dans l’élan, enlève mon bustier. Mon soutien-gorge suit ; ce qui me pose le plus de problème, c’est ce foutu jean… Je dois me tenir au dossier d’une chaise pour parvenir à le faire glisser des hanches ; Djidji s’en amuse. Il me prend par la taille et m’embrasse, doucement, sa langue frétille dans ma bouche. Il se recule, me regarde à nouveau et me déclare :



Ce langage, cru, me surprend un peu, mais ne m’offusque pas. Il se dirige vers le sofa, presque seul mobilier de la pièce et déplie le clic-clac. Il se retourne, je suis entièrement nue.



Je le regarde droit les yeux, son regard me désarme… Cela m’excite.



Je lui obéis, totalement envoûtée… Pendant que je me couche, il se déshabille.


Il s’approche du lit et, directement, caresse mon sexe. Son majeur droit trouve mon clitoris et le fait rouler… J’ai tout le corps qui prend feu. J’essaye de me redresser, mais Djidji me repousse, couchée sur ce lit. J’aimerais bien le voir, le caresser… Son majeur quitte mon bouton et s’enfonce, lentement, profondément dans mon sexe… Sa main gauche trouve un de mes seins et ses doigts emprisonnent le téton, le triturent… Son majeur effectue quelques mouvements de rotation… Je gémis de plaisir.


Djidji se relève et s’approche de la tête du lit. Son sexe est droit comme un I, son gland est déjà entièrement décalotté. Je n’en ai encore jamais vu d’aussi imposant.



Je suis incapable de répondre. Djidji reprend alors :



Je passe ma langue sur mes lèvres desséchées. Jamais encore, je n’ai parlé en faisant l’amour. Je n’ai même encore jamais parlé de sexe avec mon mari ; nous pratiquons simplement, trop simplement. Maintenant Djidji veut que je m’exprime et en mots crus ; je ne sais si je vais y arriver…



Sa voix s’est faite plus grave, plus autoritaire…



Tout l’après-midi se passe ainsi. Djidji sera mon cadeau. Il veut, il exige que je sois passive et que je le reçoive, me faisant prendre mille positions. Ses paroles sont de plus en plus crues. Je me perds dans une sensualité voluptueuse. Je n’ai qu’un regret. Malgré toute sa bonne volonté, Djidji n’éjacule pas… sans doute le manque de pratique dû à son abstinence forcée.


Je reste sur ce regret… Rentrée au domicile conjugal, je me fais câline… Une bonne partie de la nuit, je me donne, Th. me reprend. Mais la déception de n’être pas parvenue à libérer Djidji reste, que son sperme ne m’inonde pas, que je ne puisse pas goûter sa semence… mon plaisir est incomplet.


Le lendemain matin, ma décision est prise. J’y retourne aujourd’hui. Une douche rapide, un petit chemisier foncé sous lequel je n’ai rien mis, une jupe à fleurs et un tout petit string noir. Djidji va me baiser, comme une folle, que je suis, et je lui viderai les couilles, quoi qu’il m’en coûte…


Mon mari m’embrasse avant de partir au boulot.



S’il savait que ma seule préoccupation actuelle est de redevenir l’esclave de mon collègue, d’enfin lui sucer la bite et qu’il me défonce encore et encore en me traitant de « Petite pute blanche » ! Ah, s’il pouvait m’éjaculer sur le visage tandis qu’à genoux je me masturberais, glissant deux, voire trois doigts dans le sexe qu’il aurait dilaté avec sa grosse queue ! Djidji, j’arrive… Je regarde sortir Th. et j’essaie de me rappeler si j’ai joui cette nuit.


10 h. La pause-café. Je n’ai toujours pas aperçu Djidji. Pourtant, il doit encore ranger son bureau et clôturer ses dernières expériences. Soudain, je sens ses mains sur mes hanches.



Je me retourne et lève la tête, pour plonger mes yeux dans ses yeux. Nous sommes seuls, tous nos collègues sont à la cafétéria. J’attaque directement. Je plaque ma main sur son sexe et lui demande :



Et, avant qu’il ne réponde, je descends son zip, introduis ma main dans son slip, sors son sexe et, me penchant, le mets en bouche. Je le sens se gonfler et durcir, d’un coup. Ma bouche va exploser.



Moi qui, hier encore, me croyais si prude… Ce langage, presque ordurier, me met le ventre en feu !


Djidji a refermé, à clef, la porte de la réserve. Minuscule pièce dans laquelle, hormis les étagères, il n’y a qu’un meuble-évier… Tous mes vêtements sont à terre et, à genoux devant mon collègue, je lui suce la bite.



Nul besoin de me le dire, je pompe comme une folle… Je veux son sperme, partout ! Il me relève et me place face à l’évier.



Je m’exécute. Je n’ai qu’une envie, son sexe en moi, au plus profond de moi. Il me traite de tous les noms, me prend, me retourne, me reprend, debout, assise, son sexe m’écartèle… Tout mon corps brûle… et, soudain, c’est l’explosion. Il m’inonde le sexe comme cela ne m’était encore jamais arrivé. Comme si, pendant ses deux années d’abstinence, il avait accumulé des réserves… J’ai deux ans de sperme dans la chatte. Il se retire doucement… Je n’aurai donc pas son sperme sur le visage… à moins que… je m’enfonce profondément deux doigts dans le sexe. Je sens son sperme et m’en macule le plus possible les phalanges, que je porte ensuite à la bouche. Je lèche mes doigts et avale sa semence…


Il me regarde, amusé.



Toute la soirée et une grande partie de la nuit, je vais pleurer le départ de Djidji.


Th. en restera désemparé ; il ne saura jamais la raison de ce chagrin.