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n° 13751Fiche technique7857 caractères7857
Temps de lecture estimé : 5 mn
13/03/10
Résumé:  Quand d'anodins jeux de société suscitent d'autres intentions...
Critères:  fh collègues toilettes pénétratio
Auteur : Pharaon75            Envoi mini-message
Jeux de société...



À l’écoute de ce prénom, mon visage s’éclaira et je relevai la tête de mon journal pour questionner davantage mon ami Henri.



J’étais un peu vexé qu’Henri ait perçu mon attirance pour cette jolie brune, moi qui m’étais évertué à me montrer impassible et discret en sa présence. Voilà en effet quelques mois que je rencontrai par hasard cette jeune femme lors de dîners chez des amis communs. J’étais tout de suite tombé sous son charme. Intelligente, raffinée et séduisante, cette belle brune de trente ans avait tout pour me plaire.



Je fis mine de réfléchir quelques instants et acceptai bien évidemment son invitation.


Le vendredi soir, c’était rempli d’appréhension et d’excitation que je me rendis chez Henri. La plupart des convives étaient déjà présent, y compris Lorène qui semblait ravie de me revoir. Les yeux crayonnés de noirs, vêtue d’une robe de laine grise et bleu marine et portant un petit diamant autour du cou, la jeune femme était véritablement resplendissante dans cette soirée qui comptait pourtant de très belles femmes. Après un dîner plutôt frustrant où j’étais placé loin de la jolie brune, Henri me fut d’un grand secours lorsque l’idée d’un jeu de société fut lancée, puisqu’il s’arrangea innocemment pour que Lorène et moi soyons dans la même équipe. J’étais aux anges et elle semblait l’être aussi. Le jeu était un quizz de culture générale sans grand intérêt, si ce n’est qu’à plusieurs reprises nos mains se touchèrent, trop pressées d’appuyer sur le « buzzer ». Et c’était également l’occasion d’admirer ses magnifiques yeux verts lorsque nous nous concertions pour le choix d’une réponse. La soirée prit fin dans une ambiance détendue, et il fut rapidement convenu que tout ce petit monde se retrouverait la semaine suivante. J’échangeai mon numéro de portable avec Lorène et, rentré chez moi, reçu un SMS sans équivoque de sa part :



les jeux de société ont parfois du bon, merci pour cette agréable soirée…



Je repensais sans cesse au contact de ses mains sur les miennes, à son parfum délicat que j’avais senti à loisir durant la soirée. Avant de m’endormir, je me masturbai longuement en pensant à elle.


Malgré un travail envahissant, la semaine s’annonçait horriblement longue. Elle fut néanmoins interrompue par un mail d’Henri, aussi laconique qu’enthousiasmant.



Jeudi soir pourtant, elle envoya un mail qui me délivra.



Pas spécialement bon au poker, c’est avec une certaine appréhension que je me rendis chez Henri, me voyant déjà plumé bien avant les autres. Je le savais plutôt doué, mais n’avais par contre aucune idée du niveau des quatre autres participants. Prévoyant et motivé à l’idée d’impressionner Lorène, j’avais de façon un peu puérile passé ma semaine à jouer intensivement en ligne pour me remettre à niveau. Une fois là-bas, Lorène me subjugua une nouvelle fois par sa beauté simple mais élégante. Elle portait un pull aubergine sur une chemise blanche, complétée d’une jupe moulante noire et de bas à motifs. Ses cheveux étaient attachés en une courte queue de cheval, ce qui dégageait sa nuque et accentuait l’échancrure de son décolleté.


Par chance, le niveau de mes adversaires était à peu près équivalent au mien. À la fin de la première heure, j’étais dans une situation confortable à l’inverse de Lorène, dont je voyais la mine se décomposer en face de moi. Je fis même mine de lui prêter des jetons pour la titiller davantage. À la fin de la deuxième heure, et sentant que la partie lui échappait, Lorène, en habile stratège, cala son pied entre mes jambes et commença de lentes circonvolutions. Surpris, je tressaillis et faillis renverser la table pleine de jetons et de boissons. Lorène pouffa discrètement mais ne retira pas son pied pour autant.


Ses caresses étaient une véritable torture pour ma concentration mais un délice pour mes sens. Je luttai de longues minutes contre un plaisir si bon qu’il m’amena irrémédiablement à l’orgasme. Ses va-et-vient furent bientôt si réguliers et précis que je jouis, me déversant copieusement dans mon caleçon, tendant mes muscles pour masquer tant bien que mal mon plaisir. Lorène ne cessa de me fixer des yeux, accentuant encore davantage mon trouble.


Je perdis complètement le fil de la partie et fut le premier à quitter la table peu de temps après. J’en profitai pour me diriger vers la salle de bain me nettoyer. En me débarbouillant devant la glace je songeai à l’effronterie de Lorène, pleine de surprise. Je décidai finalement de jeter mon caleçon. En pleine toilette je fus interrompue par Lorène qui toqua à la porte. Je me réajustai comme je pus et fis mine de me laver les mains lorsqu’elle entra.



Je l’embrassai à pleine bouche ce qui lui arracha un cri de surprise qui mourut dans sa gorge. Elle répondit à mon baiser avec la même avidité, me saisissant le visage à deux mains et me mordillant la lèvre inférieure. Je lui saisis un sein au travers du pull et le malaxai sans ménagement alors que sa main cherchait déjà mon sexe. Elle le libéra de l’étreinte du pantalon et s’en saisit avec fermeté. Je bandai à nouveau comme un âne. Je relevai sa jupe au-dessus de sa taille et écartai le pan de sa jolie culotte de dentelle noire. Elle releva une jambe qu’elle plia derrière moi et me guida en elle. Je m’enfonçai en elle sans ménagement d’une longue poussée continue.


Nous avions conscience de négliger des préliminaires qui auraient pu être au demeurant fort agréables, mais cette étreinte exutoire libérait des semaines d’approche, de séduction, d’envie. Je la pénétrai avec énergie et régularité. Lorène se cramponna au lavabo sous mes coups de reins puissants, renversant au passage brosse à dent, savon et produits de toilette. Elle jouit très rapidement, secouée de délicieux petits spasmes et minaudant de sa jolie bouche arrondie un « oh-oui » sans équivoque. Encore tremblante, je ne lui laissai pas de répit et la retournai pour la pénétrer par derrière. Je me délectai de ces magnifiques petites fesses rebondies qui ondulaient sous mes assauts.


Proche de l’orgasme à présent, je saisis Lorène par les hanches et la pilonnai véritablement à présent. Nous jouîmes en même temps et je me déversai en elle si copieusement que cela me sembla durer une éternité. Terrassés par le plaisir, nous nous tenions à présent difficilement debout. J’enfouis mon visage dans sa chevelure, laissant le monde quelques instants suspendu. Collé contre elle et comme apaisé, j’écoutai maintenant avec détachement son rythme cardiaque rapide. Encore pantelante de désir elle plaisanta :