Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13766Fiche technique46686 caractères46686
Temps de lecture estimé : 27 mn
19/03/10
Résumé:  Maryse cède à ses envies d'exhibition et s'achète une tenue des plus sexys pour l'occasion. Elle fait la rencontre d'un réalisateur de films pornographiques qui l'invite à assister à un tournage...
Critères:  ff fffh grossexe grosseins essayage exhib vidéox fdanus fsodo
Auteur : Lecteur            Envoi mini-message

Série : Maryse, naissance de la perversion

Chapitre 05
Maryse, naissance de la perversion (5)

Résumé de l’épisode précédent : Maryse se décide à acheter quelques jouets sexuels. Elle se rend dans un sex-shop. Devant le prix élevé de ces articles, elle accepte la proposition indécente du caissier qui lui offre 50% de remise pour une gâterie. De retour sur son site de chat, elle fait la connaissance d’une femme autoritaire qui lui donne rendez-vous le lendemain chez elle.



Le lendemain est une journée plus courte pour Maryse. Le vendredi, elle finit son travail plus tôt, ce qui va lui laisser une soirée plus longue. Elle ne cesse de repenser à Mme XDom. Une fois l’excitation retombée, l’idée d’aller chez cette inconnue ne lui semble pas raisonnable. D’ailleurs son comportement de ces derniers temps est totalement irraisonnable. Une partie d’elle voudrait se reprendre mais les dernières expériences qu’elle a vécues lui ont apporté tellement d’excitation et de plaisir qu’elle ne s’en sent pas capable. Elle n’en a pas la volonté. Le moindre regard sur son corps réveille en elle une envie insatiable. Elle reste tout de même assez forte devant ses envies à son travail. Ce lieu est beaucoup trop difficile à gérer. Malgré cette décision, elle s’habille de manière plus sexy tout en restant correcte. Elle porte aujourd’hui des talons hauts qui cambrent sa silhouette, une jupe tailleur bleu clair arrivant au-dessus du genou, une veste légère assortie par-dessus un petit chemisier blanc. Elle remarque les regards qui se posent sur elle. Certains de ses collègues osent quelques compliments qui la font sourire. Elle trouve très agréable d’être aussi désirée, mais elle reste ferme sur sa décision de résister à ses envies les plus folles au travail. Elle décide aussi d’envoyer un e-mail à la mystérieuse Mme XDom :


« Bonjour Madame, Je suis sincèrement désolée mais je suis obligée d’annuler notre rendez-vous de ce soir. Hier soir, j’ai été prise d’une folie provoquée par l’excitation. Je ne suis pas encore prête à vous rencontrer. Je serai heureuse de continuer à dialoguer avec vous si vous le souhaitez. Votre dévouée… »


Elle envoie son email avant de quitter le bureau. Elle se dit qu’elle va profiter de son temps pour aller flâner au centre commercial. Elle trouvera sûrement quelques petits achats à faire et puis il y aura du monde… Elle monte dans sa voiture et se dirige vers le centre commercial. Elle conduit sans penser à rien. La journée est ensoleillée, c’est très agréable. À un feu rouge, elle retire sa petite veste de tailleur. Elle est obligée de se contorsionner un peu pour ne pas l’abîmer. C’est alors qu’elle remarque le regard d’un ouvrier dans une camionnette sur sa gauche. Il l’observe sans se soucier qu’elle le remarque. Elle fait mine de ne pas le voir. Elle sent qu’elle est de nouveau prise par l’excitation de se montrer. Sa respiration s’est accélérée. Sa jupe s’est un peu relevée alors qu’elle retirait sa veste et elle offre à cet ouvrier la vue de ses cuisses nues. Elle prend dans son sac un petit tube de rouge à lèvre et fait remonter un peu plus sa jupe qui est maintenant un peu plus haute sur ses cuisses. Elle se passe sensuellement du rouge sur ses lèvres tout en essayant de voir son spectateur dans son petit miroir. Il la regarde avidement et cela l’excite de plus en plus. Il lui semble que la température monte de quelques degrés dans sa voiture. Le feu passe soudainement au vert et la camionnette démarre. Elle se reprend et démarre elle aussi. Elle a maintenant une petite boule dans l’estomac. Elle ne sait pas ce que va lui réserver cette soirée mais elle commence bien. Elle a de moins en moins d’inhibition, cela l’effraie un peu, mais l’excite davantage encore.


Après s’être garée dans le parking couvert, elle se dirige vers les boutiques. Elle passe devant les vitrines sans grande conviction. Tout ce qu’elle voit est plutôt classique. Elle ne sait pas vraiment ce qu’elle recherche. Elle entre dans plusieurs boutiques, regarde les différents articles mais elle n’est pas satisfaite de ce qu’elle voit. Elle arrive devant une boutique qu’elle ne connaît pas. La vitrine présente des mannequins habillés de manière très sexy. Elle reste quelques instants devant cette vitrine. L’un des mannequins est habillé d’une mini-jupe blanche très moulante qui ne couvre qu’une toute petite partie du haut de ses cuisses. Le haut est de la même matière et fait ressortir impudiquement les tétons artificiels du mannequin. Des talons aiguilles blancs à la pointe argentée finalisent la tenue. Un autre mannequin porte des bottes à talons hauts, un short couvrant tout juste les fesses et un haut totalement ouvert à l’arrière et laissant deviner la forme de ses seins. Elle hésite quelques instants devant cette vitrine avant de se dire que c’est de la folie, elle ne peut se permettre de porter ce genre de tenue. Elle continue son exploration de la galerie commerciale. Sans rien trouver. Tout lui paraît fade.


Elle se retrouve « par hasard » devant la vitrine qui l’a faite hésiter une demi-heure plus tôt. Elle se décide à rentrer pour voir ce que le magasin propose d’autre. Elle est accueillie par le sourire d’une vendeuse d’une trentaine d’années. Elle regarde les différents articles. La vendeuse lui demande si elle a besoin d’aide. Elle lui répond que pour le moment elle souhaite découvrir par elle-même ce que la boutique propose. Elle prend le temps d’observer la vendeuse qui s’affaire à remettre des tops en place. Elle est plus grande qu’elle, fine, ses longues jambes sont mises en valeur par des bottes à talons aiguilles, le même modèle qu’en vitrine. Elle porte une jupe courte évasée qui ne cache rien de ses cuisses fuselées. Ses petits seins sont libres sous son haut moulant. Elle peut distinctement voir les petits tétons tendre le tissu. Elle est très troublée d’observer cette femme et son trouble augmente encore plus quand elle remarque à travers le tissu un petit anneau suspendu au téton droit de la vendeuse. Elle veut essayer la jupe blanche moulante qu’elle a vue en vitrine. Elle souhaite juste voir par curiosité ce que cela donnerait sur elle. Elle choisit aussi le top échancré dans le dos de même couleur. Une fois le rideau de l’unique cabine d’essayage tiré, elle se déshabille et enfile la jupe ainsi que le petit haut. En s’observant dans la glace, son excitation augmente. Elle est tout à fait impudique. La jupe couvre tout juste le haut de ses cuisses et moule indécemment ses fesses. Le petit haut est très sexy, l’ouverture du dos est très large et la met joliment en valeur. Si elle lève les bras trop haut, on peut apercevoir la courbure de ses seins soutenus par un soutien-gorge blanc. L’avant du haut est tendu par sa poitrine. La vendeuse lui demande si elle est satisfaite ou si elle veut qu’elle lui apporte une autre taille. Maryse ouvre le rideau et aperçoit une lueur furtive dans le regard de la vendeuse. Après un regard appréciateur, cette dernière lui dit :



Maryse est surprise par cette dernière remarque et est prise d’un petit rire nerveux :



La vendeuse lui lance un regard coquin :



Maryse referme le rideau en lui disant qu’elle va essayer sans le soutien-gorge. Quand elle ouvre de nouveau, elle peut voir dans le regard de la jeune femme une sorte d’envie. Elle lui dit :



Maryse s’observe dans la glace en disant cela. Elle peut voir dans le miroir que la vendeuse observe ses courbes.



La jeune femme l’observe sans retenue. Maryse se demande quelles idées peuvent traverser son esprit. Elle sent ses seins libres caressés par le tissu. À chacun de ses pas ils se balancent légèrement. Elle adore cette sensation de liberté qu’elle avait presque oubliée. Elle retourne dans la cabine et se change de nouveau. Puis elle se souvient des talons aiguilles de la vitrine. Pourquoi ne pas les essayer aussi se dit-elle. Elle demande à la vendeuse s’il lui reste cet article dans sa pointure.



Elle revient quelques instants plus tard, avec une boîte et la fameuse paire de chaussures. Elles sont superbes, fines et blanches. Le talon est argenté. La jeune femme s’accroupit devant elle pour lui passer délicatement les chaussures à ses pieds. Elle lui soutient la cheville. Ce simple contact l’électrise, mais elle n’ose pas aller plus loin de peur de rompre la magie de l’instant. Elle se lève et marche un peu à travers le magasin. Elle pensait avoir plus de mal à s’habituer à la hauteur de ces talons. Ils l’obligent à se cambrer un peu plus encore. Cela fait ressortir sa poitrine et ses fesses. Elle imagine sans mal l’effet qu’elle produirait avec la petite jupe qu’elle a essayée et le petit haut. La vendeuse l’observe et lui dit :



Maryse rougit légèrement et remercie la vendeuse pour ses compliments. Elle se décide à prendre tous les articles qu’elle a essayés. Elle remet ses chaussures à talons qui lui paraissent bien bas après avoir essayé les autres. La vendeuse réunit les articles dans un sac et après avoir encaissé lui dit de ne surtout pas hésiter à revenir si elle a un souci avec l’un des articles ou pour toute autre raison. Maryse la remercie de sa gentillesse et l’assure qu’elle reviendra.



Elle continue à errer dans la galerie, puis une idée saugrenue lui traverse l’esprit. Elle a envie de voir l’effet qu’elle peut produire en portant cette nouvelle tenue. Rien que d’y penser, l’excitation la gagne. Il faut qu’elle trouve un endroit pour se changer. Elle ne peut pas revenir au magasin, cela serait absurde. Elle réfléchit, regarde autour d’elle puis elle aperçoit un panneau indiquant les toilettes publiques. Ce n’est pas l’idéal se dit-elle mais s’il n’y a personne, cela pourra faire l’affaire. Elle se retrouve dans un petit couloir éclairé de néons. L’ambiance est un peu glauque mais curieusement cela rajoute à son excitation. Elle se sent presque fébrile. Elle ouvre la porte des toilettes pour dames. Il n’y a personne. Elle se dirige vers l’une des cabines du fond et s’enferme. Elle n’a pourtant pas couru mais elle est obligée de reprendre sa respiration pour se calmer un minimum. L’endroit est assez propre heureusement.


Fébrilement elle retire sa veste et son chemisier. Elle hésite quelques instants puis se décide à retirer son soutien-gorge. Elle passe ensuite son nouveau haut. Elle apprécie la sensation de l’effleurement du tissu sur sa peau. Elle retire ensuite sa jupe tailleur et là encore hésite un instant. Son cœur bat la chamade. Elle ne peut quand même pas se balader les fesses à l’air se dit-elle. Et pourquoi pas. Après tout, elle s’apprête à se promener dans une tenue plus que suggestive. Elle arrête ses réflexions et retire en toute hâte sa culotte. Elle se rend compte de la folie de son attitude mais elle a envie de vivre cette petite expérience. Personne ne saura qu’elle est nue sous sa jupe. Elle passe la jupe et après avoir baissé le couvercle, s’assoit sur la cuvette pour mettre ses nouveaux talons-aiguilles. La jupe est si courte qu’elle sent la fraîcheur du couvercle sur une partie de ses fesses. Elle la tire vers le bas mais elle peine à la couvrir décemment. Une fois habillée et ses vêtements jetés dans le sac, elle sort de la cabine. Elle est saisie par son reflet. Sa tenue la change du tout au tout. Elle qui s’habillait toujours assez classiquement, est maintenant très provocante. Elle se tourne légèrement, et en s’observant, se demande si elle n’a pas été trop loin… La porte s’ouvre et une femme d’un certain âge la regarde avec désapprobation. Elle ne peut plus revenir en arrière et ce regard est comme un défi pour elle. Elle va assumer cette envie de se montrer et de provoquer le désir.


Elle sort des toilettes, et dans le couloir, elle croise un vigile à la carrure de rugbyman. Il la dévisage. Elle sent son regard comme si c’était ses grosses mains qui lui parcouraient le corps. Les talons l’obligent à accentuer le déhanchement de sa démarche. Elle l’entend émettre un petit sifflement qui traduit son plaisir de la regarder. Elle se retrouve dans la galerie de nouveau. Elle sent nettement la différence. Tous les hommes qui la croisent ne peuvent s’empêcher de la regarder. Leurs regards sont tantôt discrets, tantôt appuyés. Certains lui sourient, d’autres restent la bouche ouverte. Elle croise un groupe de quatre jeunes dont elle entend les sifflements et les commentaires :



Cela la fait sourire. Elle ne s’offusque pas de leurs commentaires, au contraire cela l’excite davantage. Elle croise un couple dont l’homme s’arrête tout net de parler en la regardant. Sa partenaire lui donne un coup dans les côtes pour le rappeler à l’ordre et la fusille du regard. Elle semble attirer tous les regards. Elle croise celui de certaines femmes où se mêlent un brin de jalousie et de désapprobation quand ce n’est pas de l’envie. Elle sent ses seins bouger au rythme de ses hanches. Le frottement du tissu sur ses tétons les fait se tendre et lui procure un plaisir augmenté par le regard que les gens posent sur son corps.


Elle s’arrête devant une vitrine autant pour observer le reflet des gens que pour regarder les paires de bottes qui y sont exposées. Certains n’hésitent pas à lui regarder longuement les fesses alors qu’ils la croisent. D’autres se retournent plusieurs fois pour profiter le plus longtemps possible du spectacle qu’elle leur offre. Elle s’intéresse de près à une paire de chaussures en contrebas qui l’oblige à se pencher un peu. Elle offre ainsi sa croupe arrondie et moulée à la vue des passants qui n’en perdent pas une miette. Alors qu’elle admirait une paire d’escarpins, elle sent une main se plaquer sur sa fesse gauche et profiter l’espace d’un instant de leur fermeté. Elle sursaute en poussant un petit cri. En se retournant, elle voit un vieux monsieur s’éloigner d’elle et lui faire un petit signe de la main. Elle n’a pas vraiment eu le temps de réagir. La respiration haletante, elle ressent plusieurs impressions. D’abord une part de honte, elle s’est offerte dans cette tenue. Puis une satisfaction grandissante car elle sait qu’elle est excitante.



Avec toute cette excitation, elle a besoin de boire quelque chose. Elle se dirige vers un petit bar assez branché pour se désaltérer et surtout pour reposer un peu ses pieds. Même si elle n’a eu aucun mal à adopter ses talons, ils restent difficiles à garder longtemps aux pieds. Son entrée ne passe pas inaperçue. Les hommes l’ont tous vue et elle a senti leur regard carnassier sur elle. Elle se met au bar. Elle ne compte pas rester bien longtemps. C’est une femme brune au regard bleu qui sert au bar. Elle semble apprécier tout autant que les hommes du bar ce qu’elle voit. Elle s’approche :



Elle lui fait cette dernière remarque avec un sourire enjôleur. Peu après elle lui apporte un cocktail glacé d’une couleur rouge.



La serveuse la laisse déguster son cocktail à base de rhum et de liqueur de fraise. Elle ne tarde pas à être rejointe par un homme d’une quarantaine d’année. Il est tout d’abord assez discret, mais elle le surprend à plusieurs reprises regarder ses jambes ou sa poitrine. Ce petit jeu l’amuse. Elle est grisée par le désir des autres à moins que cela ne soit l’alcool qui commence à faire son effet. Cet homme a un physique assez banal, la quarantaine, ses cheveux commencent à virer au gris par endroit. Il porte un costume dépareillé. Il appelle la serveuse et lui murmure quelque chose qu’elle n’arrive pas à entendre. Elle s’éloigne pour préparer un nouveau cocktail et le présente à Maryse en lui disant que ce dernier est offert par son voisin. Maryse se tourne vers lui et lui adresse un petit signe de la tête en souriant pour le remercier. C’est la première fois qu’elle se voit offrir une boisson dans un bar, cela lui plaît et lui fait peur en même temps. Que va-t-il se passer ensuite ? Va-t-il s’approcher, lui parler, lui faire une proposition indécente ? Elle est plongée dans ses réflexions l’estomac un peu serré quand l’homme s’approche d’elle et s’assoit à ses côtés. Elle n’ose plus le regarder. Elle est soudain prise d’un doute, elle est sans doute allée trop loin.



Elle trouve le courage de lui sourire. Elle remarque que son assurance n’est que feinte.



Maryse se dit qu’il est vraiment direct. Il ne manque finalement pas tant que ça d’assurance…



Maryse se demande ce qu’il lui prend, elle vient de l’inviter à aller plus loin.



La discussion continue encore. Manuel est assez prévenant, il l’écoute, lui pose des questions sur elle, ce qu’elle fait dans la vie. Il lui offre un autre cocktail. Elle commence à se sentir plus à l’aise. Elle se confie à lui qu’elle ne connaît pas. Et puis elle commence à lui poser des questions.



Maryse est comme paralysée. Il se moque certainement d’elle… non pourtant il semble dire la vérité. C’était donc cela qui provoquait son manque d’assurance.



Elle ne trouve pas la force de dire le mot. La conversation prend une tournure qu’elle n’aurait pas imaginée.



Elle reprend son souffle. Et pourquoi pas, se dit-elle ? Il ne lui propose pas de tourner, seulement d’y assister. Cela ne se représentera peut-être jamais. Qu’a-t-elle de mieux à faire ? Oui, mais elle ne le connaît pas… cet argument ne tient pas devant son excitation croissante. Elle se laisse finalement convaincre par ses désirs.



Il paye les consommations et la guide vers sa voiture, une Mercédès grise, intérieur cuir aux lignes agressives. Il lui ouvre la portière puis entre à son tour. Le cœur de Maryse bat tellement fort qu’elle est sûre que Manuel peut l’entendre. Sa jupe ne cache rien de ses jambes croisées, et elle voit régulièrement Manuel les apprécier. Sa respiration est difficile, elle n’ose parler. Ils arrivent peu de temps après dans un pavillon imposant à deux étages. Il y a déjà trois véhicules sur place. Des câbles courent partout. Manuel la guide à l’intérieur. Dans une pièce, elle aperçoit deux femmes se maquillant en discutant. L’ambiance a l’air assez détendue. Un homme s’affaire aux réglages de sa caméra aidé d’un autre qui semble prendre des mesures de luminosité. Celui qui semble être le preneur de son est concentré sur le boîtier électronique de son micro. Des panneaux blancs réfléchissent la lumière des projecteurs et derrière eux, le décor apparaît. Il s’agit tout simplement d’un bureau éclairé d’une lampe ancienne et sur lequel sont éparpillés des dossiers. Un écran d’ordinateur est posé sur la gauche. Derrière le bureau, il y a des étagères remplies de dossiers.


Maryse est presque déçue par ce décor simpliste. Manuel lui présente l’équipe, il les appelle tous par leur prénom. Il y a Jeannot à la caméra, le petit qui l’aide à mesurer la luminosité se nomme Pierre. Ce dernier la dévore du regard en souriant. Le preneur de son se nomme Max. Manuel lui demande de le suivre afin qu’il lui présente les acteurs. Dans la pièce voisine, elle fait la connaissance de Bruno, un beau trentenaire aux yeux bleu et à la stature impressionnante. Il est habillé d’un costume rayé gris. Les deux femmes qui discutent ensemble se nomment Gina et Sophie. La première est une grande blonde à lunette, habillée d’un tailleur strict mais très court. La seconde est une brune aux yeux très clairs, aussi grande que Maryse. Maryse est étonnée par la taille énorme de sa poitrine relevée par le corset d’une tenue de soubrette aussi courte que sa propre jupe. Maryse peut très bien imaginer le futur tableau que les acteurs vont jouer devant la caméra. Les trois acteurs lui semblent très sympathiques. Ils lui demandent comment elle a connu Manuel. Sophie l’observe avec insistance. Son regard trouble Maryse, elle n’ose pas le croiser. Bruno est plutôt charmant, il essaie de la mettre à l’aise.


Un acteur n’est toujours pas arrivé mais Manuel décide de commencer le tournage. Il demande à chacun s’il a bien lu son script qui ne tient qu’à une page. Puis les acteurs et les techniciens se mettent en place. Manuel indique un endroit ou Maryse pourra observer le tournage sans gêner les mouvements de chacun. Maryse se fait l’effet d’une voyeuse quand la scène commence, malgré les techniciens présents. La scène commence avec Sophie qui fait la poussière parmi les dossiers du bureau alors que Bruno tente sans succès de se concentrer sur son travail. Ses yeux sont attirés par le corps de Sophie qui fait tout pour se faire remarquer. Elle prend des poses aguicheuses qui ne cachent rien de ses lignes sculpturales. Elle se baisse devant le bureau les jambes tendues, montrant son petit string coincé entre deux fesses rondes.


Maryse est de plus en plus excitée par ce qu’elle voit. La démonstration de Sophie est très convaincante. Elle s’approche de Bruno qui s’écarte de son bureau pour que la soubrette fasse correctement la poussière mais surtout pour mieux l’observer. Les deux acteurs échangent quelques mots sans intérêts. Maryse n’entend plus rien, elle vit presque la scène. Elle n’est plus elle-même. Sophie ouvre le pantalon de Bruno qui ne porte visiblement pas de sous vêtements. Elle extirpe un membre imposant bien qu’encore mou. Il est parcouru de grosses veines et est complètement imberbe. Elle le caresse doucement, puis le serre et commence un lent mouvement de va-et-vient.


Maryse sent son excitation croître au fur et à mesure que la scène s’intensifie. Sa vision se réduit à la main enserrant ce gros membre. Elle n’en a jamais vu de cette taille hormis dans les films ou photos qu’elle a pu regarder sur internet. Sophie écarte légèrement les jambes en les laissant tendues au maximum et se baisse sur le membre de Bruno pour le gober entièrement. Ce dernier prend du volume d’un coup en se gorgeant au maximum. Sophie gémit doucement alors qu’elle s’applique à sucer ce puissant sexe. Maryse se sent rougir de honte d’observer cette scène ou de vouloir être à la place de cette soubrette. Le cameraman approche des deux acteurs pour faire un gros plan. Bruno grogne de plaisir alors qu’il défait le laçage dorsal de la tenue de Sophie. Cette dernière se relève pour prendre son souffle et pour offrir à la vue de tous sa magnifique poitrine libérée de son corsage. Ses seins sont en forme de poire, très lourds, aux aréoles assez larges. Ses tétons sont tendus vers Bruno qui s’en empare pour les tirer, les pincer et pour finir par les sucer presque violement. Il presse son visage contre un énorme sein qui se déforme. Sophie sourit, elle prend manifestement beaucoup de plaisir de ce traitement. Elle lui prend les cheveux et le force contre sa poitrine. Il la repousse ensuite. Il se lève alors qu’elle se retourne contre le bureau lui faisant dos. Elle se penche en avant, sa poitrine généreuse reposant sur la table. Il lui arrache son string et s’agenouille derrière elle. Il commence alors à lui lécher ses lèvres intimes le visage pris entre ses deux fesses rondes.


Maryse prend appui contre le mur derrière elle. Elle trouve la scène tellement sauvage et tellement excitante qu’elle a du mal à tenir sur ses jambes. Les techniciens autour d’elle, même si elle les voit, n’existent plus. Elle sent sa propre poitrine tendre le tissu fin de son haut. Son sexe s’humidifie et commence à couler. Elle a du mal à se tenir sur ses talons hauts. La scène s’intensifie quand Bruno se relève et s’enfonce d’un seul coup dans le sexe de Sophie qui pousse un cri strident. Il entame un mouvement rapide qui provoque à chaque pénétration profonde un cri de Sophie. Maryse peut entendre un clapotis qui lui permet de deviner l’état du sexe de Sophie. Bruno s’arrête ensuite quelque temps. Le cameraman se place autrement pour avoir un autre angle de vue. Puis Bruno reprend avec plus de vigueur encore. Cette petite interruption ramène la présence des techniciens dans l’esprit de Maryse. Ils sont tous témoins, comme elle, de l’accouplement sauvage de Bruno et Sophie.


Manuel annonce une pose. Bruno est en nage. Il doit reprendre sa respiration. Manuel se tourne vers Maryse un sourire aux lèvres qui disparaît lorsqu’il la voit. Il lui demande si tout va bien. Elle lui assure que oui mais qu’il règne dans la pièce une chaleur qui l’étouffe. Manuel lui sourit de nouveau en lui répondant un « sans doute » qui laisse entendre qu’il n’est pas dupe. Pendant ce temps, Gina applique délicatement du gel sur le petit orifice de Sophie qui est toujours penchée sur le bureau. Elle semble apprécier cette nouvelle caresse, surtout quand Gina lui enfonce un, puis deux doigts en rajoutant du gel. Gina se s’attarde pas plus longtemps et se retire de la scène.


Manuel annonce la reprise et tout le monde fait silence. Maryse espère que personne n’entend sa forte respiration. Elle a les yeux rivés sur le petit trou de Sophie qui ne va pas tarder à être envahi par le sexe de Bruno. Elle aimerait tant être à la place de la soubrette même devant tous ces gens. Elle veut se faire prendre sauvagement aussi. Elle essaie de repousser ses pensées quand elle voit le sexe investir le petit trou étroit de Sophie. Bruno va lentement mais sa progression est inexorable malgré le râle de Sophie. Une fois complètement en elle, il fait une courte pause avant d’entamer une lente sortie qui semble interminable à Maryse. Puis de nouveau, il la pénètre de toute sa longueur. Il accélère peu à peu jusqu’à être pris d’une fureur sexuelle. Son bas ventre claque sur les fesses de Sophie qui peine à freiner les mouvements de Bruno. Ses seins frottent sur le bureau. Son visage est crispé, ses dents sont serrées et elle râle de plaisir ou de douleur, Maryse ne saurait le dire mais elle voudrait être à sa place. Elle aimerait subir les assauts de Bruno, le sentir en elle. Bruno n’y tient plus, il se retire rapidement et Sophie se retourne face à lui le visage au niveau de son sexe. Il éjacule en poussant un cri bestial. Sophie prend trois premiers jets copieux sur le visage puis elle ouvre la bouche et deux autres jets atterrissent sur sa langue. Elle fait face à la caméra au moment ou elle avale le sperme de Bruno. Un filet blanc coule le long de sa joue pour s’écraser sur son sein. Elle le récupère du bout de son index et le suce en souriant. Maryse a le cœur qui s’emballe, le feu aux joues et une boule dans l’estomac. Elle est au comble de l’excitation. Elle n’aurait cru qu’elle pourrait prendre tant de plaisir à regarder une telle scène de débauche. Elle sent l’humidité de son sexe libre de toute entrave couler légèrement sur ses cuisses.


Manuel reçoit un bref coup de téléphone et annonce que Sergio arrive d’ici quelques instants. Il se rapproche de Maryse et lui demande de l’accompagner dehors quelques instants pour prendre l’air. Elle accepte avec joie.



Il l’observe puis il s’arrête de marcher :



Il lui fait un petit clin d’œil.



Maryse ne le voit pas partir. Elle reste seule dans le jardin. Elle se repasse la discussion plusieurs fois en tête. À nouveau des sentiments opposés la partagent. Une mère de famille à la réputation irréprochable ne peut pas se permettre d’accepter, elle n’aurait jamais du se retrouver ici d’ailleurs. Irréprochable ? Depuis quelques semaines, sa vie a basculé dans la luxure. Elle n’est plus du tout l’oie blanche qu’elle était avant de pénétrer dans cette déchetterie. Elle a découvert une face de sa personnalité qui l’effraie et l’attire en même temps. Elle a envie de céder à ses instincts sexuels, ses tabous sont de plus en plus ébranlés. Elle se trouve sur le tournage d’un porno, dans une tenue à la limite de la décence. Elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle est déjà allée trop loin pour refuser de continuer. Le cœur battant, les joues en feu, elle rentre dans la maison pour accepter l’offre de Manuel.



Elle l’entraîne un peu à l’écart sous le regard amusé des acteurs et de l’équipe technique.



Sophie s’approche d’Annabella et la prend par la main pour la conduire dans la pièce voisine. Elle se mordille la lèvre inférieure sensuellement en la regardant.



Annabelle s’assoit, mais n’ose pas ouvrir ses cuisses. Elle n’a jamais montré son intimité à une autre femme.



Sophie lui caresse doucement les lèvres intimes recouvertes par un duvet sombre. Elle effleure de ses doigts son clitoris qui est tendu par l’excitation. Ses lèvres sont toutes ouvertes, prêtes à accueillir n’importe quoi pourvu que cela leur apporte du plaisir. Maryse sent un frisson la parcourir des pieds à la tête. Elle se laisse aller à l’extase de cette simple caresse. Sophie est consciente de l’effet qu’elle a sur Maryse. Elle ressent une certaine fierté et son désir pour cette femme augmente à mesure qu’elle voit les indices de son excitation. Les pointes des seins de Maryse dardent à travers le tissu. Son sexe coule à flot autour de ses doigts. Elle la pénètre d’un doigt. Elle sent la chaleur et l’humidité de son sexe autour de son doigt. Elle trouve une petite zone plus rugueuse non loin de l’entrée de ce sexe béant qui fait immédiatement réagir Maryse. Elle se tend et pousse un long gémissement de plaisir. Sophie n’en revient pas de la réactivité de cette femme offerte. Elle aimerait pousser l’exploration de ce corps plus loin mais il faut qu’elle la prépare pour sa rencontre avec Sergio.


Maryse l’observe dans un semi brouillard de conscience. Elle est dans un état second. Les doutes et les appréhensions ont disparu. Elle voit Sophie saisir un tube de lubrifiant qu’elle fait couler entre ses fesses. Ses doigts ramènent le gel au niveau de son œillet et l’étale tout autour. L’intimité de cette zone encore vierge il n’y a pas si longtemps la rend très sensible aux caresses. Elle sent un doigt la pénétrer sans effort, puis un deuxième ramenant encore plus de gel en elle. Elle écarte au maximum ses jambes pour permettre à Sophie de la pénétrer au plus profond. Sophie prend visiblement autant de plaisir qu’elle mais elle est obligée de s’arrêter. Manuel les surprend et le sourire aux lèvres leur dit que tout le monde est prêt. Il tend à Maryse un masque vénitien décoré de petites plumes et de paillettes dorées.



Maryse est soudain prise d’une sorte de trac. Sa respiration est difficile mais elle se refuse à reculer. Elle passe derrière la porte. Elle entend sans comprendre les dialogues derrière la porte. Et puis c’est à elle d’intervenir. Elle met son masque et après avoir frappé à la porte, elle entre les jambes flageolantes. Elle reste un instant tétanisée par la scène qu’elle voit. Sergio est debout, face à elle. Son sexe est comprimé entre les bouches voluptueuses de Sophie et Gina qui s’arrêtent. Maryse se reprend et dit son texte comme elle peut. Au signe de Sergio, elle approche. Il la prend par les cheveux, l’oblige à mettre sa tête en arrière pour l’embrasser. Sa langue omniprésente, lui fouille la bouche. Il s’arrête et la fait se reculer un peu. Il lui lâche les cheveux et agrippe son haut pour le tirer vers lui, libérant ainsi les deux seins volumineux de chaque côté du tissu. Il s’en empare pour les pétrir.


Maryse n’avait pas vu la caméra jusqu’à présent. Mais elle sent la présence de Jeannot et de sa caméra. Puis elle sent le regard de toute l’équipe technique sur elle. La honte de se livrer à la caméra et aux regards de ces inconnus décuple son plaisir. Elle sent les deux actrices lui caresser les jambes et s’insinuer sous sa jupe pendant que Sergio lui pétrit les seins. Il la reprend par les cheveux et l’oblige à s’agenouiller devant lui. Elle fait face à un sexe monstrueusement volumineux. Il est un peu plus court que celui de Bruno mais il est nettement plus large. Son gland est encore recouvert mais il ne demande qu’à s’échapper. Les bourses de l’acteur sont volumineuses et complètement imberbes. Son corps est musclé et luisant de sueur.


Elle caresse d’abord ses abdominaux saillants puis descend vers son sexe puissant. Elle le prend en main délicatement puis le serre pour le décalotter. Le gland apparaît maintenant violacé et fuselé. Elle le branle quelques instants. Gina déchire un petit sachet rose. Elle présente le préservatif à Maryse qui le place sur le gland avant de le dérouler interminablement sur toute sa longueur. Elle le lèche, puis elle prend le gland autour de ses lèvres et joue avec sa langue sur le pourtour. Sergio grogne, la prend par les cheveux et lui ordonne de le sucer profondément comme une salope. Il l’oblige à avaler la moitié de son sexe. Le volume de ce sexe déclenche chez Maryse une envie irrésistible de le satisfaire. Elle reprend sa respiration, puis elle le suce bruyamment en essayant d’en prendre le plus possible en bouche. Sergio continue de la tenir par les cheveux en grognant des insanités. Maryse est déchaînée. Les filles aussi la traitent de putain, de bouffeuse de bite. Plus elle entend ces insultes, plus elle se déchaîne. Le regard de l’équipe la galvanise.


Soudain Sergio la tire de nouveau par les cheveux. Il la soulève presque pour la coucher sur le bureau. Il lui écarte les jambes en V, ce qui achève de remonter totalement sa jupe. Sans attendre, il la pénètre d’un coup jusqu’à ce qu’elle sente des bourses s’écraser contre ses fesses. Elle hurle sous l’assaut de Sergio qui lui empoigne les seins pour la pénétrer de plus belle. Ses mouvements sont puissants. Son sexe l’envahit totalement et butte à chaque coup au plus profond. Son visage est crispé. Elle sent les mains des actrices sur tout son corps. Gina lui fait sucer ses doigts pendant que Sophie lui caresse le clitoris. Sergio continue à la pénétrer sans relâche. Il lui tient maintenant les jambes pour permettre à la caméra de prendre des plans rapprochés de son intimité. Elle se rend compte que tout le monde pourra la voir, que certains s’exciteront sur sa vidéo… et cela achève de la faire jouir une première fois. Elle se tend en se cambrant. Elle ne peut plus respirer alors que la vague de plaisir la transperce inexorablement. Puis elle se laisse aller, en gémissant. Son sexe est trempé, les pénétrations successives de Sergio produisent des clapotis indécents. Gina lui suce un sein alors que les doigts de Sophie s’activent toujours sur son clitoris.


Elle ressent soudain un grand vide alors que Sergio se retire. Puis, sans lui laisser le temps de se reprendre, il pousse son énorme sexe à l’entrée de son petit orifice. Elle n’a pas la force de paniquer, juste de gémir plus fort alors qu’elle sent le sexe s’enfoncer et l’envahir peu à peu. Il se retire totalement pour reprendre sa pénétration plus profondément. Ses dernières résistances lâchent et Sergio l’envahit totalement. Elle ne sait plus si elle souffre ou si elle jouit de plaisir. Les doigts de Gina la rendent folle et elle se sent totalement livrée au sexe de Sergio et à la caméra. Il accélère le mouvement. Elle est violemment secouée par les pénétrations. Ses seins ballottent en tout sens. Elle s’agrippe aux bras des filles qui continuent à la caresser. Gina pénètre frénétiquement son sexe de deux doigts alors que Sergio continue telle une machine, à la sodomiser. Elle n’arrive pas à crier, mais elle gémit et grogne son plaisir. Quand elle sent les doigts de Gina frotter en elle, une seconde vague de plaisir manque de lui faire perdre connaissance. Sergio n’en peut plus, il arrache le préservatif et jouit abondement sur le ventre de Maryse. Une bonne quantité de semence arrive sur le tissu de son haut alors que le reste coule sur son sexe et ses cuisses. Sophie et Gina prennent la place de Sergio et s’appliquent à lécher les traits de sperme, lui apportant encore un peu plus de plaisir.


Maryse est épuisée par la scène. Manuel la rejoint et lui dit que c’était fantastique et criant de vérité. Elle se redresse et essaie de remettre un peu d’ordre dans sa tenue. Son top est maculé de sperme. Elle tire sur sa jupe pour la remettre en place et recouvrir son sexe béant et trempé ainsi que ses fesses. Elle sent une douce souffrance au niveau de son petit trou. Manuel l’accompagne jusqu’à l’écran de contrôle pour lui montrer la scène. Maryse a peine à croire ce qu’elle voit. Elle est déchaînée sur cette vidéo. Elle se voit jouir et en redemander. La caméra a filmé au plus près et elle voit les ravages que le sexe de Sergio a faits sur son petit trou qu’elle voit béant, rouge et luisant. Un nœud a l’estomac, elle demande si elle peut avoir une copie. Manuel lui répond en souriant qu’il lui enverra un exemplaire du film. Elle accepte sans trop y penser. Puis Il lui fait un chèque pour sa participation et lui donne son numéro de téléphone.


Sophie s’approche d’elle et lui propose de la raccompagner ce que Maryse accepte avec joie. Sophie lui demande quelques instants, le temps qu’elle se change. Elle réapparaît peut de temps après habillée d’un jeans serré, d’un tee-shirt lui moulant avantageusement la poitrine, de bottes à talons aiguilles et d’une petite veste en jean assortie. Maryse la suit jusqu’à sa voiture, une mini-cooper. Quand elle s’assoit, elle ressent un gêne entre ses fesses, mais cette sensation lui plaît et lui rappelle l’expérience intense qu’elle vient de vivre devant la caméra.