Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13769Fiche technique25828 caractères25828
Temps de lecture estimé : 15 mn
20/03/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  La rencontre d'un écossais et d'une conductrice de car.
Critères:  fh inconnu bus fmast fellation anulingus fsodo -initfh
Auteur : Propilot            Envoi mini-message
Une heure et "car" de bonheur !

En cette belle après-midi de printemps, je roulais tranquillement dans la campagne, avec la ferme intention de rentrer chez moi retrouver ma petite femme.


La saison étant propice à l’accouplement des mammifères, je ressentais dans le bas-ventre une espèce de picotement caractéristique qui me laissait penser que ma petite femme allait certainement faire l’objet d’un raid amoureux dès mon arrivée.


Ça, c’est ce que j’avais échafaudé avant que les événements n’en décident autrement.


À environ un kilomètre devant, dans une grande ligne droite en rase campagne, juste sur le bas-côté, un car scolaire était arrêté tous feux de détresse allumés. Une légère fumée blanche s’échappait du logement moteur à l’arrière.


Bien que cette route soit relativement fréquentée, je décidais de m’arrêter derrière le car pour éventuellement donner un coup de main au chauffeur.


Une fois mes feux de détresse mis en route, je descendis de ma voiture et ne voyant personne autour du véhicule, je me suis hasardé à l’intérieur en grimpant les quelques marches d’accès.


Personne n’était au volant. En me retournant vers l’arrière de la cabine, j’eus une vision pour le moins étonnante.


Une femme d’une quarantaine d’années était assise, ou plutôt presque allongée sur l’un des sièges de la rangée contiguë à la porte centrale en milieu de cabine, avec les jambes posées sur la barre en inox supposée empêcher un éventuel passager de basculer en avant.


Je m’approchais sans précipitation pour entamer la discussion et lui proposer mon aide.


En arrivant à sa hauteur, je m’aperçus qu’elle dormait.


Profitant un peu de la situation, je l’observais avant d’intervenir.


Elle était brune, coiffée assez court, avec un joli minois et une peau particulièrement blanche.

Son chemisier vert clair à manches courtes laissait apparaître ses bras croisés sous sa poitrine qui semblait être d’une taille qui comblerait les mains de bon nombre d’honnêtes hommes. Ses bras étaient recouverts d’un duvet très brun qui lui donnait un certain caractère.


Je restais là, à la regarder sans mot dire. Il me faut avouer que la position qu’elle avait adoptée m’offrait une vision plutôt profonde sur son entrejambe, car pour être un peu plus à l’aise, elle avait écarté ses jambes et la jupe vert foncé qu’elle portait avait quelque peu glissé.


Je pouvais donc observer, tel un vilain voyeur, cette belle femme sous un angle que seule une certaine intimité aurait pu autoriser.


Ses jambes étaient bien proportionnées et ses courbes étaient accentuées par des bas que je supposais en soie, d’un brun très discret, retenus par un porte-jarretelles lui aussi de couleur verte.


Il n’était pas nécessaire de se pencher pour constater que la culotte en dentelle légère qui m’interdisait le spectacle de son intimité était de la même couleur que son porte-jarretelles.


Au bout de quelques minutes de ce spectacle ô combien agréable pour les sens, elle ouvrit un œil et d’un bond se leva, presque effrayée de me voir adossé en train de l’observer.


En remettant en place ses vêtements, elle ouvrit des yeux gros comme des boules de billard.



Ah ! Je crois que j’ai omis de me présenter. Si je ne le fais pas, vous ne pourrez pas comprendre cette dernière remarque.


Je suis un homme de 45 ans, 1,69 m, châtain très clair avec des yeux vert-bleu. Un mec tout ce qu’il y a de classique et standard, mais sur lequel bon nombre de mes congénères se retournent dans la rue, plus souvent les femmes d’ailleurs. Eh oui ! Je suis écossais et ayant toujours défendu mes racines, je porte le kilt presque au quotidien.


Au début, au bureau ça n’a pas été facile de me faire ainsi accepter. Mes supérieurs n’appréciaient qu’à moitié cette particularité vestimentaire, quant à mes collègues féminines, je n’ai pas besoin de vous dire qu’elles m’ont toutes posé la seule et unique question qui hante leurs fantasmes ! En tout état de cause, elles n’ont toujours pas la réponse.


Depuis maintenant cinq ans que j’officie dans les bureaux et ayant pris du galon, il est entré dans les mœurs que je puisse venir travailler en pareille tenue. C’est même presque devenu une sorte d’image à laquelle tient l’entreprise. Comme quoi avec le temps…


Manifestement, pour l’occupante du car, un certain temps d’adaptation était nécessaire.


Pour la rassurer, c’est moi qui pris l’initiative.



Une fois présentable, la femme me passa devant pour se rendre à l’avant du car.


Compte tenu de l’étroitesse de l’allée centrale, elle ne put faire autrement que de me frôler.


Elle sentait bon le frais. Vous savez, cette odeur très particulière que l’on ne peut apprécier qu’au printemps. Cette senteur délicate qui vous chatouille les narines en vous rappelant que l’été est proche et que les femmes sont belles.


Tout en se déplaçant avec grâce vers l’avant de la cabine, elle vitupérait :



Elle se retourna vers moi et assez étonnée elle me demanda :



Arrivée à la hauteur de son poste de conduite, elle se pencha très en avant pour saisir son téléphone portable.


Lui ayant emboîté le pas et placé comme je l’étais, je ne pus qu’observer qu’elle avait de très belles jambes et que sa culotte était bien de la même couleur que son porte-jarretelles.


Pendant qu’elle composait un numéro sur le combiné, je ne pus m’empêcher de lui dire :



Elle fit mine de ne pas entendre et se retournant vers moi, tout en me faisant signe de me taire, elle entama la conversation avec son interlocuteur en me regardant droit dans les yeux.



Elle écouta ce qu’avait à lui dire son correspondant et termina la conversation.



Elle reposa le combiné sur la planche de bord et, avec un grand sourire, elle me dit :



Elle s’assit sur la planche de bord, juste devant le pare-brise dans lequel le soleil déjà bas m’éblouissait.


Dans ma tête tout se bousculait. Je me disais que j’avais une heure pour tenter de séduire cette femme magnifique. Juste pour le plaisir.



Pour faire bonne figure et pour masquer quelque peu mon impatience de la tenir dans les bras, je fis mine de m’intéresser plus avant à son problème technique.



Elle se retourna vers le tableau de bord et du doigt elle me montra le fameux voyant.


Comme pour mieux voir ce qu’elle me montrait, je me rapprochai d’elle et me reposant presque sur son dos, je fis mine de perdre l’équilibre.


Me raccrochant à son ventre, je ne pus éviter de lui caresser l’un de ses seins.



Je prenais sa remarque comme un encouragement.



Nous descendîmes du car et une fois le capot arrière relevé, je me penchais sur le monstrueux moteur qui continuait inexorablement à fumer.


Le logement dans lequel le moteur était installé était tellement grand qu’il me fallut prendre appui sur le bâti pour me pencher plus encore et inspecter ce que je supposais être à l’origine de la panne.


J’avais beau parler pour expliquer ce que je pensais du problème, Clotilde ne disait rien.


C’est en me relevant et en me retournant vers l’infortunée conductrice que je compris pourquoi elle restait muette. Un grand sourire lui barrait le visage et ses yeux mutins ne laissaient aucun doute sur le petit plaisir qu’elle s’était offert à mes dépens.



Elle baissa la tête et tout en pouffant elle insista, un peu gênée par son audace.



Je ne lui en voulais pas de s’être ainsi rincée l’œil, sachant que pour ma part, je ne m’étais pas privé quelques minutes auparavant. Échange de bon procédé.



Je restais là, comme un imbécile qui avait fait une grosse gaffe.



La porte s’entrouvrait lentement devant moi. Certes, je ne faisais pas dans la finesse, mais ce n’était pas là mon propos. Aussi, pour accélérer un peu le mouvement et peut-être mettre fin au picotement qui me démangeait au bas du ventre, je proposais à Clotilde un marché que je savais d’ores et déjà gagné.



Je remontai à bord du car et avant même que j’ai pu gravir la dernière marche, je sentis une main douce et délicate parcourir ma jambe gauche.


Je m’immobilisai et appréciais la caresse.


Ses mains montaient maintenant doucement jusque sur mes cuisses. Clotilde prenait un malin plaisir à redescendre de quelques centimètres avant de reprendre son ascension chaque fois un peu plus haut.



Elle continuait à caresser le haut de mes cuisses, jusqu’au moment où elle s’aventura à l’entrejambe.


Là, elle fut un peu déroutée et surprise.



En insistant sur mes testicules qu’elle malaxait avec délicatesse, elle essayait de comprendre ce qui pouvait l’empêcher de toucher la peau de mes bourses.



Sans attendre plus d’explications, et comme elle était placée en contrebas, elle releva l’arrière de mon kilt et tout en admirant mes fesses à l’air, elle s’étonna.



Je jubilais. D’abord par les caresses de mon exploratrice et ensuite par le fait qu’elle ne pouvait pas deviner ce que je portais.


D’un mouvement vif, elle me fit tourner sur moi-même et relevant à nouveau mon kilt, elle parut subjuguée par la vision qu’elle avait sur mon sexe, qui avait déjà pris du volume et qui se dressait à la verticale.



N’écoutant même plus ce que je pouvais lui dire, Clotilde pris d’une main mon pénis et de l’autre elle caressait mes testicules au travers de la poche de coton.


Elle rabattit mon kilt sur sa tête et commença un mouvement lent de masturbation qui ne fit que gonfler mon sexe qui n’en pouvait déjà plus d’un tel traitement.


Je fermais les yeux et profitais pleinement de la situation.


Elle me léchait sur toute la longueur de ma hampe, puis par petites saccades, elle me suçait le gland pour ensuite me prendre en totalité dans sa bouche.


Je sentais par moment mon gland buter dans le fond de sa gorge. Elle m’engloutissait, elle m’avalait, elle me dévorait. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas ressenti la douce moiteur de la bouche d’une femme. C’était divin !


Jamais on ne m’avait si bien honoré. J’étais à deux doigts de jouir.


Chaque fois que j’étais au bord de l’extase, elle se retirait et posait ses mains sur mes fesses, avec quelques mouvements délicats de ses doigts sur ma raie essayant par là même d’explorer le trou interdit.


Elle me mordillait les bourses et reprenait sa succion dès qu’elle avait la certitude que je n’exploserais pas tout de suite.



Entre deux succions, elle trouva le moyen de me rassurer.



Et elle reprit son expertise. Je n’en pouvais plus.


Discrètement, elle passait ses doigts autour de mon anus, allant même jusqu’à délicatement s’insérer de la longueur d’une phalange. C’était pour moi une grande première et j’étais à mille lieues de me plaindre.


J’essayais de lui prendre les seins, mais elle était installée trop bas. Je me contentais de lui passer la main sur le cou et les épaules.


Je lui pris la tête et tout en la retirant de dessous mon kilt, je la pris sous les aisselles pour la guider vers l’arrière de la cabine.



Je vis son visage et dans ses yeux j’ai lu une certaine forme de bonheur. Elle semblait heureuse de reprendre son rôle de femme, de maîtresse.


Je l’installais sur la banquette, à l’arrière du car.


Assise face à moi, elle semblait un peu déroutée devant mon kilt qu’elle ne savait pas retirer.



Je lui ouvris le chemisier et, comme je l’avais supposé, je me retrouvai face à deux seins bien lourds et bien blancs, retenus par un soutien-gorge vert. Bandant !


Une fois le chemisier retiré, je ne pris aucun soin à relever sa jupe sur son ventre et à me jeter entre ses cuisses qui étaient déjà inondées de son liquide de bonheur. Mes narines sentaient son envie de se faire à son tour lécher.


J’écartais la dentelle de sa culotte et passais ma langue sur ses grandes lèvres, toutes humectées et ruisselantes. Je buvais son bonheur.


Elle releva les jambes pour me laisser le libre passage.


Avec ma langue, je passai sur l’entrée de son vagin qui s’était largement ouvert de désir et j’adoptai un cheminement qui allait de son petit trou jusqu’à son bouton magique qui luisait, gorgé qu’il était de sang.


Lorsque j’insistais sur son bouton, je sentais un petit jet de liquide chaud qui m’inondait le menton. Elle jouissait par petites touches, de plus en plus rapprochées et intenses. Elle me tenait la tête entre ses jambes tout en accentuant mes mouvements de langue en montant bien haut son bassin.


Mon nez bien planté dans son vagin, j’explorais de ma langue son petit trou rose. J’en faisais le tour, puis je revenais au centre en insistant un peu plus à chaque passage. Je sentais son muscle progressivement se détendre, même si elle murmurait un « NON ! Pas ça ! » avec une conviction qui ne laissait aucun doute sur son souhait de se faire sodomiser.


D’un geste rapide, je lui retirai sa culotte qui devenait un obstacle gênant pour la suite.


Je découvris avec un certain plaisir qu’elle était totalement épilée, avec beaucoup de soin.



Mes mains en profitaient pour se perdre sur ses seins que j’avais pris soin de sortir de leur carcan de dentelle verte. Ils étaient bien hauts, dressés avec une noble fierté. Les tétons particulièrement volumineux et en pleine érection. L’aréole brune s’était élargie au fil de mes caresses.


Tout en poursuivant avec ma langue mon exploration anale, j’introduisis un doigt, puis deux, puis trois dans sa grotte de jouissance.


À chaque fois que je bougeais les doigts, elle me gratifiait d’un long jet de liquide chaud qu’elle accompagnait d’un râle de plaisir. Elle jouissait à chaque seconde.


Voyant qu’elle y prenait grand plaisir, j’insérai un quatrième doigt m’offrant ainsi l’opportunité d’introduire la presque totalité de ma main dans son sexe béant d’envie. Elle ruisselait de toute part en émettant des cris de plaisir.


J’en profitai pour humecter de son liquide sa rosette, ayant bien l’intention de lui faire découvrir les plaisirs de la sodomie.


Au bout de quelques minutes de ce traitement qui la rendait folle, je lui demandai de se retourner et de s’appuyer sur le dossier de la banquette.



Confiante, elle se retourna, pris appui sur le dossier en l’enserrant de ses bras et se cambra me présentant ainsi la totalité de son intimité. Ses seins se balançaient au rythme de ses mouvements. Elle était belle dans cette position impudique.


Son sexe dégoulinait. Je la léchais avec délectation tout en introduisant délicatement mon petit doigt dans sa rosette turgescente longuement préparée. Je ressentis un léger resserrement sur le doigt, un court instant, puis progressivement le passage se fit plus facile.


Ne souhaitant pas la brusquer, je fis entrer un par un chacun de mes doigts pour lentement agrandir l’entrée de ce qui allait devenir pour elle le début d’une nouvelle jouissance.


Avec mon pouce, je faisais de lents allers-retours pour bien la préparer. Elle se dandinait d’impatience.



Débarrassé de mon kilt, gardant mon suspensoir en place, j’approchai mon gland de la grotte interdite. Je faisais glisser toute ma verge sur sa raie et m’attardais un peu plus sur son petit trou.


Lorsque l’entrée fut bien lubrifiée j’appuyai fermement mon gland là où il devait entrer.



Elle mit alors ses doigts sur les lèvres de son sexe et lentement imprima un mouvement de rotation pour stimuler plus encore son clitoris. Elle se faisait jouir.


C’est en l’entendant pousser un long cri rauque que j’ai pris conscience que mon gland était maintenant entré. Je ne bougeais plus pour faire oublier la courte douleur que ma partenaire ressentait pour la première fois.



Je ressentais les pulsions de son muscle sur mon sexe que j’entrais progressivement.


Une fois bien au fond, je restais immobile avant de reprendre doucement ce mouvement de va-et-vient sur toute la longueur de ma hampe. Le muscle se laissait faire. Le passage se faisait de plus en plus large à chaque aller-retour.


Clotilde continuait à se faire jouir et ses cris étaient maintenant des cris de bonheur. Chaque seconde qui passait lui faisait découvrir l’ivresse d’une jouissance qu’elle n’avait jusqu’alors jamais vécue.


Elle hurlait tout en accompagnant mes mouvements qui devenaient de plus en plus amples.


Je tenais en main ses seins qui battaient la mesure de nos ébats.


Elle était resplendissante et j’avais très envie de la faire jouir.


Au bout d’un moment qui m’apparut une éternité, j’ai lâché prise et je me suis répandu au plus profond de ma partenaire.


Ce qu’elle ne savait pas, c’est que c’était pour moi aussi la première fois !


Nous restâmes l’un sur l’autre de longues minutes.


J’étais vidé, épuisé, mais heureux.


Elle était en nage et restait muette.


Je lui caressai gentiment les fesses en me retirant avec délicatesse.


Elle se retourna et me prit dans sa bouche, comme pour me remercier de lui avoir fait découvrir une autre façon de se faire plaisir.



En même temps que je l’embrassais langoureusement, je vis au loin à travers la vitre arrière un camion "dépanneuse" qui se dirigeait dans notre direction.



Clotilde tourna la tête vers l’arrière.



Nous nous revoyons régulièrement, toujours dans son car et je prends toujours autant de plaisir avec elle.


Elle ne m’impose qu’une seule contrainte : être habillé de mon kilt !