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n° 13785Fiche technique17305 caractères17305
Temps de lecture estimé : 11 mn
30/03/10
Résumé:  Qui domine qui ? C'est chacun son tour, dans une relation particulière qui commence.
Critères:  fh couple parking fsoumise hsoumis voir hmast intermast attache baillon -fsoumisah -hsoumisaf -jeux
Auteur : ClaudeRousseau  (Jeux d'été à la mer)            Envoi mini-message
Kristel - Défi dans les dunes

« Chiche » avait-elle répondu, me lançant un grand sourire.


L’idée d’un gage associé à nos petits défis cyclistes semblait énormément lui plaire.



Nous sommes partis à fond tous les deux sur ce chemin de terre. De justesse, je suis arrivé premier… et le temps de reprendre mon souffle, j’imaginais un gage improvisé.



Kristel parut d’abord surprise, puis amusée.



Visiblement gênée, Kristel jette un œil à droite et à gauche, puis fait glisser son short. La culotte suit rapidement, et le short reprend sa place. Alors qu’elle s’empresse de mettre sa culotte dans son sac, je lui demande de me la donner. Elle s’exécute, non sans paraître surprise par ma demande.


Je suis très excité et imagine bien que nous rentrions à mon appartement, pour quelques caresses un peu coquines. Kristel et moi en sommes juste à nous donner un peu de plaisir par des caresses réciproques. J’adore sentir sa main descendre dans mon caleçon, puis me branler avec douceur.



Kristel, visiblement plus vexée qu’excitée remonte sur son vélo. Le départ est lancé, et je prends une nouvelle fois l’avantage… jusqu’à ce que ma roue avant s’enfonce dans le sable. Tout à ma réflexion sur le nouveau gage que je vais formuler, je n’arrive pas à redresser le vélo… et m’étale de tout mon long. Kristel passe à côté de moi en trombe et, tandis que je lui réponds que je ne me suis pas fait mal, prend plusieurs longueurs d’avance… que je ne peux rattraper avant le bord de l’eau.



Je la suis, excité malgré tout par ce qu’elle a pu imaginer.



Mon excitation tombe d’un coup. Je suis vêtu d’un short large, et je sais que « tout va pendre » en dehors du short ! Par ailleurs, je ne veux pas que Kristel s’aperçoive que je suis excité. Mais rien n’y fait, Kristel maintient sa demande. Je me tourne alors pour tenter de cacher mon excitation.



Penaud, le rouge aux joues, je fais glisser mon short, bientôt rejoint par mon slip. Kristel tend la main, je lui donne mon slip encore chaud, mais elle ne le range pas de suite comme j’ai fait avec sa culotte, mais inspecte rapidement l’intérieur de celui-ci. Et tandis que je me félicite d’avoir choisi un slip noir, je m’aperçois qu’elle arbore un petit sourire fugitif en constatant qu’un peu de sperme en tache l’intérieur. Elle éclate alors de rire, et je réalise tout à coup que, tout à ma honte, je n’ai pas remonté mon short, ce que je fais rapidement.



Je lui adresse un sourire et m’approche d’elle pour la saisir et la caresser, mais elle lève la main :



Je n’en reviens pas ! Elle a choisi ce moyen pour se venger de moi. D’accord, je ne proteste pas. Je fais glisser mon short, dégageant mon sexe déjà bandé, puis tombe à genoux dans le sable. Je suis à genoux devant Kristel, j’ai une vue superbe sur ses cuisses et sa jupe short sous laquelle je sais qu’elle n’a pas de culotte. Je lève les yeux vers elle, elle a un sourire satisfait aux lèvres mais ne dit rien, elle me regarde avec la tête délicatement penchée de côté. Mes yeux reviennent sur ses cuisses musclées, je sens le plaisir monter dans mon sexe. Puis, tout à coup, elle change légèrement de position, faisant rouler un mollet sous sa peau blanche. Je jouis alors dans un râle, mon sperme fusant sur le sable de la dune.



Je replace mon short. Mon sexe toujours bandé et luisant de sperme balade comme je le craignais au gré de chaque coup de pédale. J’ai la tête en feu, mal à l’aise de ce qui vient de se passer. Elle a voulu me donner une leçon, c’est sûr. À moins qu’elle ait des fantasmes de dominatrice, sous ses airs candides … Ça y est, mon sexe rebande. Pourvu qu’elle ne s’aperçoive de rien …



La question de Kristel me surprend en même temps qu’elle m’inquiète. J’ai déjà donné, et je ne sais pas jusqu’où elle est capable d’aller. Et puis je suis maintenant moins excité, la fraîcheur qui tombe combinée à ma gêne à tout maintenir à l’intérieur de mon short… Mais bon, après tout, c’est moi qui ai lancé le jeu, alors on y va.



Je sentais que je reprenais la main. Kristel semblait maintenant hésiter, puis après une petite réflexion accepta avec un petit sourire. Un frisson me parcourut le dos, c’était le même genre de sourire que celui qu’elle affichait tout à l’heure alors que je me masturbais à genoux devant elle. Et tout à coup, ce fut moi qui eus peur. Deux jours complets plus ceux qui nous séparaient du week-end, qui promettaient d’être longs si je perdais. Je m’étais peut être un peu emballé.


Tandis qu’on reprenait nos vélos, elle dit :



Je restais sans voix. Ce n’était vraiment pas dans les habitudes de Kristel, plutôt effacée, de tenir ce genre de propos. Surtout qu’elle m’avait lancé cette phrase en posant un regard furtif mais appuyé sur mon short et sur ce qu’on devinait sans mal.



Nous avons alors bondi de concert sur nos vélos. J’ai choisi de rejoindre la route au plus tôt, tandis que Kristel coupait par les dunes. Jamais je n’ai pédalé avec autant de ferveur, comme si ma vie en dépendait. Je suis tombé à plusieurs reprises, m’écorchant même le genou, mais rien ne pouvait m’arrêter. J’eus même un instant de panique en apercevant la voiture au loin, lorsque je crus y discerner Kristel assise à côté de son vélo. Mais non, il n’y avait personne. Lorsque j’ai déboulé sur le parking, manquant de heurter une voiture qui sortait, la voiture m’attendait, seule. J’avais gagné. Kristel arriva moins d’une minute plus tard, mais je ne pouvais toujours rien dire. Je n’avais pas repris mon souffle.


Après quelques minutes, mon souffle revenu, je rejoignis Kristel à l’arrière de la voiture. Elle avait sorti les sangles pour attacher les vélos sur le toit. Après les avoir attachés, je décidais de briser le silence que nous partagions depuis qu’on s’était rejoints.



Kristel s’approcha. Elle commença sa phrase, mais s’arrêta lorsqu’elle senti ma main remonter sa cuisse et lui caresser un globe fessier. J’entrepris alors de le malaxer doucement, en disant :



Cet aveu d’impuissance murmuré me fit l’effet d’un coup de fouet. Je bandais de nouveau très fort et, comme le parking était désert, j’ai eu une idée de vengeance pour mon gage de tout à l’heure.



Kristel hésita un instant, puis vint se placer à un bon mètre de moi, à genoux sur les talons. Je m’approchai alors d’elle, jusqu’à ce que mes pieds soient quasiment contre ses genoux.



Kristel s’est exécutée, remontant lentement ses mains le long de mes cuisses, puis les joignant autour de mon sexe bandé. Lentement, elle fit des allers et venues sur mon sexe tandis que son autre main me caressait l’entrejambe et le haut des cuisses. J’ai rapidement joui dans mon short, et nous sommes rentrés dans la voiture sans échanger un mot.


Arrivés à mon appartement nous avons, toujours en silence, rangé les vélos dans le garage. Je possède un box dans un garage souterrain, fermé par une porte en fer. À la surprise de Kristel, j’ai refermé le volet roulant de l’intérieur. Un simple halo de lumière passait par une large grille aménagée au-dessus de la porte, suffisant toutefois pour que l’on puisse distinguer sans mal les différents objets du garage.


J’ai alors demandé à Kristel de se déshabiller complètement. Elle a tout d’abord hésité, puis a rapidement ôté son tee-shirt, son soutien-gorge et son short. Comme le sol est poussiéreux et taché, elle s’est avancée vers moi en gardant ses baskets. J’ai fait mine de ne pas y accorder d’importance, et lui ai attaché les mains très haut au-dessus de la tête à une étagère fixée dans le mur. Une sangle fut aussi passée autour de chacune de ses chevilles, de sorte que ses jambes étaient maintenues légèrement écartées.


Je l’ai alors embrassée fougueusement, passionnément, profondément. Elle avait le souffle court, j’aimais ce sentiment qu’elle ne pouvait pas se soustraire à mon baiser… Kristel imaginait sans doute que j’allais laisser glisser mes mains partout, et semblait résignée malgré sa gêne de savoir que des inconnus pouvaient passer de l’autre côté de la porte du garage que je n’avais pas pu fermer à clé de l’intérieur…


Mais elle était loin d’imaginer ce qui l’attendait. J’ai posé mes mains sur ses hanches, et laissé glisser mes pouces vers l’intérieur de son ventre, allant du nombril à l’aine, délicatement. Kristel ne put réprimer un petit geste de recul devant ce contact de mes mains froides sur sa peau délicate et sensible à cet endroit. Elle eut même un petit rire nerveux, bien consciente qu’elle m’encourageait par là à continuer son supplice. Mes mains remontèrent alors ses flancs, et lorsqu’elles atteignirent finalement ses aisselles, Kristel se débattit violemment pour se soustraire à mes chatouilles. L’étagère était violemment secouée, mais elle semblait solide. Mes mains passèrent alors de ses aisselles à son cou, puis descendirent sur son ventre, l’intérieur de ses cuisses, l’arrière des genoux. Son sexe ne fut pas caressé mais juste effleuré par des doigts légers qui passaient entre ses cuisses.


Je décidai alors d’interrompre momentanément ce supplice, et reculai d’un pas pour contempler mon œuvre. Kristel haletait, la chaleur moite et poussiéreuse du garage était chargée d’odeurs lourdes. Kristel était moite et luisante de sueur, et si la pénombre du garage m’empêchait de distinguer son regard, la blancheur de sa peau contrastait magnifiquement avec la clarté de ses baskets, mais aussi le noir de sa toison pubienne et de ses cheveux.


J’avisai alors une boucle dans le plafond, à peu près deux mètres à la droite de Kristel. J’attrapai alors une nouvelle sangle qui, après avoir été passée dans l’anneau, vint rejoindre la première sur la cheville droite de Kristel. La première retirée, je fis lentement coulisser la sangle dans l’anneau du plafond. Kristel dut à plusieurs reprises sautiller sur la jambe qui restait au sol pour permettre à sa jambe droite de s’ouvrir jusqu’à être à l’horizontale.


Je pris à nouveau un pas de recul, le spectacle était magnifique. Kristel, visiblement inconfortable, gémissait doucement. Les muscles tendus de sa jambe horizontale faisaient ressortir le galbe de ses cuisses musclées, et les os de part et d’autre de son sexe saillaient dans la pénombre…


M’approchant à nouveau d’elle, j’entrepris de lui retirer délicatement la basket de sa jambe droite. Elle comprit immédiatement ce que son supplice pouvait avoir d’encore plus pénible, et tenta une nouvelle fois de se soustraire et de protester. Mais les liens étaient solides, et basket et chaussette furent bientôt retirées. La chaussette émettait une odeur légère de transpiration… et devint un bâillon de rêve, maintenu par un petit bout de scotch marron.


Quel plaisir que d’embrasser alors Kristel en sentant cette odeur dans sa bouche. Même si bâillon et scotch m’empêchaient de prendre sa bouche, j’ai abondamment embrassé (et même léché) les joues, le nez, les oreilles, le menton de cette superbe fille condamnée à assouvir mes fantasmes. Elle gémissait son inconfort, tentant de se soustraire à plusieurs reprises, tant et si bien que je dus la tenir par les cheveux pour qu’elle accepte sa rémission.


Ce faisant, une main glissant sur sa poitrine vint à la rencontre de deux tétons fièrement dressés. Une main venant à la rencontre de son sexe pour la première fois depuis le début de ce « jeu » confirma l’état d’excitation de ma Kristel : mon doigt, bien que n’ayant qu’effleuré ses lèvres intimes, sortit trempé de ses sécrétions, tandis qu’un gémissement sans ambiguïté envahissait le garage. Ainsi, Kristel appréciait cette séance !


Mes mains abandonnèrent alors leurs caresses pour entamer une palpation appuyée de cette jambe horizontale. Puis la palpation devint chatouille. Un ongle descendit sous sa cuisse aux muscles bandés, de l’entrejambe au mollet. Le gémissement et les gloussements émis derrière le bâillon en disaient long sur l’état de Kristel. Son pied chaud et moite eut ensuite droit aux pires supplices, m’aidant même à la fin de ma langue furetant entre les orteils tandis que Kristel, à nouveau trempée de sueur, respirait bruyamment, soulevant à chaque inspiration magnifiquement sa poitrine érigée.


Me replaçant ensuite face à elle, tandis que ma main gauche recommençait à parcourir l’intérieur de sa cuisse ouverte, je risquai à nouveau une main sur sa toison intime, à la recherche de son sexe écartelé par la position. L’humidité déjà remarquée s’était transformée en marée de sécrétions, le haut de sa cuisse verticale, maintenant douloureuse et tendue, était trempé du jus de ma victime. J’entrepris alors un mouvement de va-et-vient sur ses grandes lèvres, suivi d’un petit massage du clitoris gonflé, tout en maintenant une faible activité de chatouilles de l’autre jambe.


Kristel jouit dans un râle rauque après quelques secondes de ce traitement et s’affala de tout son poids. Sa jambe gauche, supportant tout son corps depuis tout à l’heure avait cédé sous la vague de plaisir qui l’aurait fait hurler si elle n’avait eu sa chaussette dans la bouche. Je dus la retenir de peur qu’elle se blesse, et l’enlaçai avec ferveur. Nous étions tous les deux stupéfaits de la violence de ce que nous venions de vivre, et c’est une Kristel amoureuse que j’ai patiemment détachée de sa potence de supplice.