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n° 13792Fiche technique16386 caractères16386
Temps de lecture estimé : 10 mn
02/04/10
Résumé:  Alors que j'avais 23 ans, pendant mes études de droit, j'ai réalisé un stage de perfectionnement durant l'été dans un cabinet d'aide juridique mais j'ai finalement fait plus que perfectionner mes connaissances en droit !
Critères:  fh ff fbi jeunes collègues anniversai travail cunnilingu fsodo init -initff
Auteur : Sandy13  (Jeune femme de 27 ans, j'aime partager tout simplement !)
Un stage pas comme les autres

Tout commence en mai 2006. Arrivant à la fin de ma troisième année de droit, je décide de réaliser un stage complémentaire dans le cadre de mes études car j’ai une large préférence pour le terrain.


Dans le cadre de mes recherches, je tombe sur l’annonce d’un petit cabinet indépendant d’aide juridique destinée à conseiller les jeunes sur le thème du code du travail. Je décide donc de faire parvenir un CV et une lettre de motivation. Au bout de quinze jours, je reçois un appel pour me demander de venir passer un entretien d’embauche pour un stage de mi-juin à mi-septembre.


Le lundi suivant l’appel, je me rends au cabinet qui se situe dans un petit quartier résidentiel proche d’une zone commerciale. Après un petit moment à chercher la maison, je finis par la trouver, je stationne pas trop loin et sonne au portail. Une personne me répond à l’interphone, me dit d’entrer par une porte sur la gauche de la maison et je m’exécute. Arrivée devant cette fameuse porte, je frappe et entre, comme indiqué.


Après cinq minutes d’attente, une femme et un homme sortent du bureau à côté de la salle d’attente où j’avais pris place. L’homme part après avoir remercié la femme pour ses « précieux conseils » et là, cette femme me salue :



J’entre alors dans un bureau, assez grand pour s’y sentir à l’aise avec un bureau principal et une petite table qui fait office de bureau secondaire. Il y a également une grande armoire noire où, je le suppose, doivent être rangés tous les dossiers en cours.



Elle me reconduit à la porte puis je rentre chez moi toute contente d’avoir eu une réponse si rapide et d’avoir un boulot pour cet été. Comme prévu, le fameux lundi, je me rends au cabinet avec un peu d’avance pour mon premier jour, cela me paraît normal. Je sonne et fais le même chemin que lors de mon entretien. Christine (qui est donc ma patronne) me fait faire le tour du cabinet qui se compose de la salle d’attente, du bureau et d’un petit local où elle range le nécessaire de travail. Elle me donne quelques conseils sur sa façon de travailler et nous recevons notre premier rendez-vous comme prévu, à dix heures.


Jusqu’à la mi-juillet, mon stage se déroule parfaitement bien et nous sympathisons ; une vraie complicité s’installe au fur et à mesure.


Christine a trente-deux ans ; elle est plutôt grande (un mètre soixante-treize), assez mince et plutôt jolie avec un corps bien proportionné ; elle est brune et a les cheveux longs et lisses. Elle n’a personne dans sa vie et vit seule depuis plus de deux ans dans la maison où se situe son cabinet.


Le 13 juillet, Christine me propose de passer le soir du 14 Juillet ensemble, ce que j’accepte. Étant moi-même célibataire et n’ayant rien prévu pour le 14, c’était plutôt bienvenu.


Nous nous retrouvons le lendemain soir vers dix-neuf heures chez elle pour boire un verre avant d’aller manger dans un petit restaurant pas très loin de là où devait être tiré le feu d’artifice. La soirée se passe bien et même si j’ai un peu trop bu, nous passons un bon moment à rigoler toutes les deux. À la fin du feu d’artifice, Christine tombe sur un ami à qui elle propose de rester avec nous pour le petit concert qui suit. Il est très sympa, il a à peu près son âge et est plutôt bel homme, je dois l’avouer. Il s’appelle Christophe et semble plutôt proche de Christine.


La soirée passe et nous rentrons chez Christine pour que je récupère ma voiture. Christophe nous accompagne. En arrivant chez elle, nous buvons un dernier verre et je me prépare à rentrer chez moi afin de les laisser seuls. En partant, Christine m’offre mon 15 juillet et je reviens tranquillement chez moi…


Le lendemain matin, en me levant, je culpabilise un peu de savoir Christine seule au cabinet et je décide d’aller travailler l’après-midi. À quatorze heures, je me rends donc au cabinet et j’entre comme chaque fois mais je trouve la porte fermée avec un mot signalant une réouverture à quinze heures trente. Je décide donc de faire le tour de la maison pour frapper chez elle mais, en faisant le tour, j’entraperçois du mouvement dans sa chambre, ce qui attire mon regard.


Elle est avec Christophe, tous les deux sont nus en train de faire l’amour. Christine est assise sur Christophe montant et descendant à un rythme énergique mais plein de grâce et je ne peux m’empêcher de regarder. Je n’arrive pas à détacher mon regard des courbes de Christine que j’ai déjà imaginées mais qui m’apparaissent encore plus belles à ce moment-là. Les mains de Christophe se saisissent de sa poitrine, la malaxant avec tendresse et agaçant ses tétons qui sont petits mais joliment dressés par la caresse qu’ils subissent. Je peux apercevoir également la sueur qui coule sur son corps.


Soudain, Christophe la soulève et la place à quatre pattes m’offrant une vue imprenable sur son sexe et son fessier avant qu’il ne se positionne derrière et reprenne le va-et-vient avec force et amplitude. Les mains de Christine viennent alors écarter ses fesses pour exprimer son souhait à Christophe qui ne se fait pas prier. Il se retire alors, se soulève légèrement, pose son sexe sur l’anus de Christine et pousse lentement son gland durci par l’invitation à l’intérieur de cette partie de son intimité que, pour ma part je n’ai jamais offerte à aucun homme, trouvant cela répugnant.


Il commence doucement son œuvre mais accélère progressivement son mouvement. À cet instant, l’excitation est trop brûlante en moi et je ne puis m’empêcher de glisser ma main sous ma jupe pour me libérer de ma pulsion, me caressant au travers du tissu de mon sous-vêtement au rythme des assauts de Christophe ; Christophe qui commence à se libérer intégralement allant et venant en elle comme un animal en rut. La main de Christine se positionne sur son propre sexe, se caressant avec la même ardeur. Je me sens exploser de l’intérieur au moment où je suppose Christophe venir en elle et où je l’entends, elle, crier son plaisir. Enfin, me relâchant doucement, je vois le sexe de Christophe se retirer suivi par le fruit de sa jouissance qui coule de l’anus de Christine. Je me surprends même à l’envier, caressant très légèrement mon propre anus. Elle se redresse et embrasse Christophe lui offrant un sourire comblé. Je m’éclipse avant d’être repérée puis je rentre directement chez moi.


Le lendemain, n’ayant pas osé repasser la veille après ce que j’avais vu, je me rends au cabinet. Assise à mon bureau, tapant les notes que me dicte Christine, je repense à la veille et mon émoi vient empourprer mes joues ; une douce chaleur prend possession de mon entrecuisse. Désormais, chaque fois que Christine se penche, elle me laisse aisément imaginer son sexe sous sa robe ; cela me rappelle ces moments et je commence à fantasmer sur Christine et pas sur Christophe. Son corps m’apparaît désirable. J’ai envie de toucher sa peau et de découvrir son sexe, frustrée de n’avoir pu que le voir. Je ne suis pourtant pas lesbienne mais cette femme me plaît. Je la désire et cela devient même une véritable obsession qui me pousse à prendre des distances avec elle. Puis le temps passe et mon désir s’estompe ; je reprends alors le dessus.



Un soir, après le boulot, Christine me propose de rester chez elle pour fêter son anniversaire entre nous, ce que j’accepte volontiers. En rentrant chez elle, elle me demande de m’installer pendant qu’elle prend sa douche. En sortant de sa douche, elle m’apparaît dans un mini short avec un débardeur très décolleté, relançant chez moi tout mon désir pour elle.



Elle me prête une jupe arrivant à mi-cuisse et un petit top blanc un peu transparent ainsi qu’un petit string mais pas de soutien-gorge car ma poitrine était plus petite que la sienne.


Je commence à prendre ma douche mais mon envie ne disparaît pas et je commence à me caresser pour me débarrasser de mes pulsions ; je ne peux m’empêcher d’imaginer sa main à la place de la mienne. L’orgasme vient rapidement, je finis de prendre ma douche et m’habille.


La soirée est très sympa et nous mangeons tranquillement mais, l’abus de boissons me fait perdre toute inhibition et la conversation devient plus érotique ; nous échangeons sur nos expériences et nos fantasmes. Christine me raconte alors une soirée avec une amie au lycée où elle avait pu s’essayer à l’amour entre femmes et cela me renvoie directement à toutes mes pensés au point que je lance un regard de désir à Christine qui semble troublée mais pas bloquée dessus. Ayant trop bu et vu que le lendemain c’est samedi, Christine me propose de rester dormir, ce que je ne peux refuser.


Je me déshabille ne gardant que le petit top et le string qu’elle m’avait prêtés ; elle fait de même dans la salle de bain, sortant uniquement vêtue de ses sous-vêtements. Elle est belle et je la regarde avec insistance, ce qu’elle remarque. Elle s’approche de moi et sans me dire un mot me saisit le visage ; elle le lève vers elle et pose ses lèvres sur les miennes. Son baiser est doux, sensuel. Puis sa langue pénètre ma bouche. Entre l’alcool et le désir, la tête me tourne ; son baiser me transporte. La tendresse du baiser se transforme en excitation et nous ne cessons de nous embrasser, nous mordillant les lèvres. Puis sa langue glisse dans mon cou et sa main droite part entre mes jambes pour se saisir de mon sexe qui a détrempé le string. De mon côté, je dégrafe son soutien-gorge et libère sa poitrine. Ma bouche embrasse et aspire délicatement ses tétons, les mordillant très légèrement.


Elle me pousse en arrière, s’agenouille devant moi après avoir ôté mon haut et fait glisser à mes pieds le dernier tissu qui protège mon intimité. Elle m’écarte légèrement les jambes, pose ses lèvres contre mon sexe et y fait glisser sa langue n’oubliant pas un seul recoin. Deux de ses doigts viennent me pénétrer en douceur alors que sa langue se durcit et se fait plus pressante sur mon organe sensible.


En quelques instants un orgasme déchirant m’emporte, me libérant de toutes les frustrations que j’avais accumulées. Pour autant, j’ai encore envie d’elle. Je la relève, avant de la coucher sur son canapé et de lui enlever, à elle aussi, son dernier dessous. À ce moment-là, j’ai quasiment la même vue que lorsque Christophe avait pris possession de son anus.


Je pose alors mes lèvres sur son sexe dont le goût, à mon grand étonnement, envoûte mes sens au point de me faire perdre instantanément tout contrôle de moi-même et de me transformer en un animal assoiffé de sexe. Elle se met à s’agiter. J’ajoute un de mes doigts pour remplacer ma langue qui parcourt son anus qu’elle m’offre, écartant largement ses fesses. Je pousse alors ma langue à entrer dans cet endroit que personne n’a jamais forcé chez moi. Une fois qu’elle est bien humide, je me redresse et enfonce un doigt dans son anus, puis deux, faisant pareil dans son sexe avant qu’elle ne m’interrompe pour me mener dans sa chambre.


Elle m’allonge avant de s’asseoir juste au-dessus de mon visage et de plonger le sien entre mes jambes. Nous échangeons des caresses parfois buccales parfois avec nos doigts, fouillant nos sexes et nos anus respectifs découvrant ainsi pour moi cette nouvelle caresse qui est plus agréable que je ne le pensais. Nous partageons ainsi de nombreux orgasmes et diverses caresses, repoussant nos limites chaque fois un peu plus loin, sans jamais cesser, et ce jusqu’au petit matin où nous nous endormons dans un dernier orgasme.


Nous nous réveillons plus tard dans les bras l’une de l’autre avec un doux baiser.


Par la suite, nous avons repartagé plusieurs fois cette expérience, parfois au bureau, parfois chez elle ou dans des salles obscures, utilisant des objets, mais la plupart du temps juste nos doigts et nos langues. Elle m’a initié à la vraie sodomie avec des légumes.


Cela dure aujourd’hui encore, où je suis devenue parfaitement lesbienne et elle bisexuelle. Je n’attends plus que de trouver la femme qui partagera avec moi une vie de couple…