n° 13794 | Fiche technique | 10781 caractères | 10781Temps de lecture estimé : 7 mn | 03/04/10 |
Résumé: Une rencontre inattendue, elle me bande les yeux et m'emmène chez elle. | ||||
Critères: ffh jeunes inconnu fellation | ||||
Auteur : Knor15 (Jeune homme, 20 ans aimant lire, écrire et pratiquer le sexe) Envoi mini-message |
Ça fait deux jours que mes parents sont partis en vacances à l’autre bout de la France. Je me retrouve seul avec la maison à garder. Ce matin, c’est mercredi, pas besoin d’aller au bureau et rien de prévu à part faire le geek tout l’aprèm !
Je pars à la boulangerie chercher du pain. Je zieute toutes les voitures avec un « A » au cul pour regarder s’il n’y a pas une conductrice de mon âge, mais RAS ce matin (comme tous les samedi matin d’ailleurs). J’arrive à la boulangerie, mais je la trouve « fermée pour cause de congés », pas de chance. Je reprends la voiture et vais à l’autre bout de la ville, à une autre boulangerie (tous ceux qui connaissent Sens savent que ce n’est pas bien long de traverser la ville). Je passe devant le lycée. Ah ! Enfin quelque chose à regarder : des brochettes entières de filles, toutes habillées comme leur grande sœur, si elles savaient ce que je suis en train d’imaginer en les voyant… Enfin bon, là c’est du détournement de mineurs ! Je reviens sur terre et continue ma route.
J’entre dans la boulangerie déserte, le ding-ding de la porte fait venir quelqu’un. Et là, le choc ! Blonde, 19 ou 20 ans, 1 m 60, 50 kg, les yeux verts et à vue d’œil, un 90C, je reste un instant à rêver, jusqu’à ce que sa voix me fasse retomber sur terre :
Vu son ton, elle a déjà dû me le demander !
Je l’ai tutoyée sans m’en rendre compte.
Je lui tends un billet de 5 € en lui disant que je n’ai pas de monnaie. Elle part dans l’arrière-boutique chercher des pièces (c’est du moins ce que j’en ai conclu quand elle est revenue), puis me donne ma baguette et une poignée de pièces. Je mets tout ça machinalement dans ma poche et repars en lui jetant un sourire.
Sur le retour j’ai bien croisé quelques filles avec le fameux « A », mais aucune n’arrive à la cheville de la blonde, et il faut bien dire que j’avais encore la tête ailleurs.
Après-midi de geek, masturbation en règle le soir (inutile de préciser où allaient mes pensées), et puis je pars au McDO chercher à manger. En sortant la monnaie de ma poche pour payer mon sandwich, je découvre au milieu des pièces, un petit bout de papier avec un numéro de téléphone.
« NAN ! IMPOSSIBLE ! Mouhahahaha, c’est trop bon. » Voilà à peu près ce qui s’est passé dans ma tête à ce moment là. Un sourire aux lèvres, je paye, rentre chez moi et j’appelle sans attendre :
Oui, il m’arrive de parler tout seul.
Aucun doute, c’est la même voix que ce matin. Bon, alors, comment je la joue ? « Salut bébé, t’as laissé tomber un bout de papier ! » ou bien « On baise ? », finalement je décide de rester plus naturel et d’être un peu plus fin :
Ah, la salope, elle m’a raccroché au nez ! C’était bien la peine de m’exciter si c’est pour se dégonfler au dernier moment… Ou alors, il n’avait rien à foutre là, ce bout de papier.
Je décide d’aller prendre une douche, ça me calmera !
Je sors de la douche la serviette autour de la taille et les cheveux trempés, quand j’entends vibrer mon téléphone, j’avais reçu un message :
Rdv devant la cathédrale samedi à 21 h
*******
Samedi soir, 20 h 55, je me gare à quelques mètres du parvis de la cathédrale et je finis le trajet à pieds. Je m’assois sur le rebord de la fontaine de la place, dos à la cathédrale, face aux voitures qui passent. Je m’attarde sur chacune d’entre elles pour essayer d’apercevoir la fille que j’attends.
10 minutes plus tard, elle n’est toujours pas là et je commence à me demander si elle viendra un jour, quand je reçois un message :
Monte dans la 106 bleue
Je me lève, m’approche de la route et regarde le plus loin que je peux dans la rue qui donne sur le parvis. Je vois la voiture arriver, la blonde est au volant. Elle s’arrête devant moi, je monte dans la voiture et on s’éloigne.
J’engage la conversation :
Elle sourit :
Elle sort de la ville, s’arrête sur le bord de la route, farfouille dans son sac et en sort un bandeau qu’elle me demande de mettre ; je m’exécute, trop excité pour reculer.
On reprend la route. Je pose ma main gauche sur sa cuisse, le contact avec son jean m’électrise. Je caresse le haut de sa cuisse puis fait glisser ma main vers l’intérieur. Je reste quelques secondes sans bouger. Je rapproche mon corps du sien et viens poser ma main droite sur son ventre puis je remonte jusqu’à son sein. Je sens les dentelles de son soutifs sous mes doigts, c’est fou comme d’avoir les yeux bandés décuple les sens. Je devine qu’elle sourit. Elle me dit de rester sage jusqu’à ce qu’on arrive. Apparemment, elle n’a pas l’air coincé, loin de là !
On continue à rouler pendant cinq minutes puis elle arrête la voiture dans ce qui me semble être la cour d’une maison.
Pendant qu’elle sort de la voiture, je cherche la poignée de la portière sans succès, finalement c’est elle qui vient m’ouvrir la porte. Elle me prend par la main et me dit de la suivre. On pénètre dans la maison, on tourne à droite, puis à gauche, on monte un escalier et on arrive dans ce qui doit être sa chambre. Elle me fait m’asseoir sur le lit et s’éloigne un peu. J’entends des bruits de pas, des portes qui s’ouvrent et se ferment, puis elle revient dans la chambre.
Encore des bruits de pas, puis je la sens qui pose ses mains sur mon torse et m’oblige à m’allonger sur le lit. Elle me grimpe dessus et commence à m’embrasser, ses lèvres sont douces et sa langue curieuse de rencontrer la mienne. Je pose une main sur ses fesses et l’autre sur ses hanches que je découvre sans vêtement. Je fais remonter ma main vers son sein pensant qu’il est lui aussi à l’air libre, mais je tombe sur son soutif, je caresse par-dessus le tissu.
Elle m’enlève mon T-shirt et caresse mon torse qu’elle embrasse avec de petits bisous. D’une main adroite, elle défait ma ceinture, ouvre mon jean et glisse sa main dans mon caleçon. Inutile de préciser qu’elle n’y trouve que du très dur. Elle caresse mes testicules qu’elle fait rouler dans sa main. Je frissonne et lui dégrafe son soutien-gorge d’une main. Je découvre enfin cette poitrine qui me fait tant fantasmer depuis mercredi. Je caresse ses seins, les malaxe avec douceur et fais rouler les pointes sous mes doigts. Ce que je découvre est largement à la hauteur de mes espérances !
Elle se met à glisser comme une anguille et m‘enlève dans le même mouvement mon jean et mon caleçon. Je me retrouve complètement à poil, le sexe bandé comme jamais. Elle le saisit enfin ! Elle a une main toujours sur mes boules, l’autre qui me branle avec douceur, et elle m’embrasse l’intérieur des cuisses. Nouveau frisson ! Elle rapproche sa bouche de mes boules et commence à en sucer une. Que c’est bon ! Je ferme les yeux et me laisse complètement aller. Elle remonte tout doucement sa bouche vers mon gland en léchant le côté de mon sexe et m’embouche enfin complètement, m’arrachant un cri. Elle fait quelques va-et-vient puis lâche mon sexe, se relève et s’éloigne de moi.
Encore des bruits de pas, mais qu’est-ce qu’elle peut bien foutre ?
Je reste allongé sur le lit, sans bouger, en attendant la suite. Tout d’un coup, je sens sa bouche reprendre possession de mon sexe, sans prévenir !
Tour à tour elle m’embouche complètement, puis elle ne suce que le gland, ses mains me branlent à toute vitesse ; je me laisse encore aller à cette caresse buccale qui me fait beaucoup d’effet, peut-être trop ! Après quelques minutes de ce traitement des plus intenses, je la préviens que ma résistance a des limites, mais elle ne s’arrête pas pour autant, elle accélère même la cadence. Quelques secondes plus tard, j’explose dans le fond de sa gorge, dans un cri libérateur. Elle en avale une partie.
Cette fois-ci, c’est bien la blonde qui parle. J’enlève le bandeau de mes yeux me demandant ce qu’il se passe, et je découvre deux filles ! La blonde qui a encore les seins nus, au moins c’était bien elle au début. Et une brune qui n’a rien à envier à la blonde. Je les regarde avec les yeux qui sortent de leur orbite et essaye de baragouiner quelque chose. Elles rigolent et la blonde me dit :
J’essaye encore une fois de dire quelque chose, mais rien de compréhensible ne sort de ma bouche.
Je les assure que oui. La nuit promet d’être longue…
J’attends vos réactions, la suite suivra si ça vous a plu.