n° 13803 | Fiche technique | 13060 caractères | 13060Temps de lecture estimé : 8 mn | 07/04/10 |
Résumé: Quand une séance tupperware coquine débouche plus vite que prévu, et bien au delà, sur le but recherché par les achats réalisés. | ||||
Critères: fffh couplus cadeau hsoumis vengeance fgode init | ||||
Auteur : Humoureux Envoi mini-message |
Le premier samedi du mois est sacré. Hélène, ma compagne, consacre son après-midi aux copines. Samedi dernier n’a donc pas échappé à la tradition. Et Hélène m’a prévenu qu’elle passerait l’après-midi chez sa grande copine Christine, à charge pour moi de venir la récupérer vers dix-neuf heures.
Un temps pourri dehors, rien de bien intéressant à la télé, pas l’ombre d’un copain avec lequel aller boire un coup. Je décidai donc d’aller chercher Hélène plus tôt et d’en profiter pour programmer une petite soirée ensemble.
Arrivé chez Christine peu avant 18 heures, cette dernière vint m’ouvrir et je sentis une certaine gêne malgré la bise toujours aussi chaleureuse.
Surpris et poussé par mon flair, je me précipitai dans le salon où, outre Hélène, se trouvait une autre copine, Françoise, en train de remballer précipitamment un ensemble de sous-vêtements qui ne manquèrent pas d’attirer ma curiosité légendaire…
Nullement gêné, je plongeai dans le paquet de sous-vêtements que Françoise tentait de dissimuler et y découvris de quoi faire fantasmer tout homme digne de ce nom : soutiens-gorges sexy, strings, porte-jarretelles, une petite culotte ouverte, une paire de collants ouverts, deux jarretières… la panoplie des petites dragueuses !
Il ne fallait pas que je me trompe, car à trois contre moi le combat semblait bien inégal. Mais comme je puis être bon joueur…
J’étalai donc consciencieusement les achats sur la table pendant que la maîtresse de maison débouchait une bonne bouteille de champagne, histoire d’agrémenter ce jeu improvisé.
Je repérai d’abord un soutien-gorge en latex noir, à l’évidence pour une forte poitrine, qui ne pouvait donc convenir qu’à Christine et son superbe 95D que j’avais déjà pu apprécier lors d’un week-end à la campagne.
Je proposais à Christine de trinquer et lui proposais la petite culotte noire en latex ouverte.
À qui pouvait bien être le soutien-gorge ouvert rouge et noir ? Je connais bien les seins d’Hélène. En revanche, je n’ai jamais eu l’occasion de voir les seins de Françoise. Serait-ce la bonne occasion ? Je tentais donc ma chance.
Et Françoise se débarrassa délicatement de son fin pull en mohair sous lequel elle portait un superbe soutien-gorge à balconnets de Barbara.
Jusqu’à présent la chance était avec moi.
Une guêpière très chic attira mon attention. Je regardais Hélène, me doutant qu’elle s’était rappelé mes envies.
Me voici torse nu.
Un soutien-gorge noir à franges avec ouvertures dégageant les tétons attira mon attention.
Hélène avait vu juste. Une fois le pantalon enlevé, je ne pus cacher une excitation certaine sous mon caleçon bien moulant.
Pas évident, maintenant. À qui pouvaient appartenir les deux jarretières ?
Le jeu s’était retourné contre moi. Afin de donner le change, j’engageais une ébauche de strip-tease, afin de ménager le suspens et d’exciter un peu plus ces dames qui n’en attendaient pas moins.
Une fois nu, je m’approchai d’Hélène et Christine.
Il restait un soutien-gorge redresse-seins minimal en cuir noir.
Hélène tenta timidement de se débattre. Mais Françoise lui prêta main forte et elle ne put résister longtemps. Voulait-elle d’ailleurs vraiment résister ?
Nous étions donc nus tous les quatre. Mais, le champagne aidant, nous n’étions pas mal à l’aise, bien au contraire et nous éclatâmes de rire en nous regardant à poil.
Certes, le film porno sur grand écran me permettait de meubler ma solitude provisoire, mais je me demandais bien à quelle sauce j’allais être mangé.
Je n’eus que quelques minutes à patienter…
La maîtresse de maison revint avec la bouteille de champ réclamée. Elle remplit largement les coupes.
Nous trinquâmes et Françoise se chargea d’annoncer le sort qui m’était réservé.
Deux mains m’emmenèrent en effet, les yeux bandés, les mains attachées dans le dos. On me fit m’agenouiller. Une nouvelle coupe de champagne me fut offerte avant que je ne sois plié sur le coussin, ma foi bien confortable, mais le cul bien en évidence…
Deux paires de mains commencèrent à me caresser doucement les fesses, se faisant de plus en plus pressantes, tout en me poussant à écarter les jambes au maximum.
Un liquide froid commença à couler le long de la raie de mes fesses, glissant sur mon anus, puis sur mes bourses. Une main adroite récupéra une partie du liquide qui était descendu sur mes bourses, le remonta autour de mon anus qui fut à nouveau arrosé de ce liquide froid. Un doigt puis deux, bien lubrifiés, pénétrèrent doucement mon anus, de plus en plus profondément, et, ma foi, je ne trouvais pas cela désagréable du tout… Trois doigts violèrent mon intimité, pénétrant de plus en plus profondément, cependant que, dans une parfaite symétrie, deux mains vinrent chercher mes tétons écrasés sur le coussin, histoire de les étirer fortement, au risque de me faire lâcher un petit cri de douleur.
La pénétration de mon anus se relâcha quelques instants jusqu’à ce que je sente un corps mou, bien lubrifié, qui tentait à son tour de me pénétrer.
Et, tout en me parlant, Hélène me pénétra de plus en plus profondément, venant heurter ma prostate qui n’en demandait pas tant.
Au fond, j’étais, je le sentais bien, très excité, surtout pénétré par ma compagne accompagnée, encadrée de ses deux copines.
L’une d’elles trempa mon sexe en pleine érection dans une coupe de champagne, ce qui eut le don de m’exciter encore plus, même si je risquais à tout moment de lâcher une pluie dorée.
Je bus en effet avidement, ce qui incita ma compagne à me labourer le cul encore plus violemment.
À ces mots, je me mis jouir violemment, en lâchant un cri qui dut affoler l’immeuble. Une des copines recueillit ma semence dans la coupe de champagne que j’avais vidée.
Épuisé, je m’affalai sur le coussin, toujours pénétré par le gode ceinture, applaudi par ces trois femmes qui s’étaient bien vengées.
Après m’avoir enlevé le bandeau, ma compagne se défit du gode ceinture et but à la coupe dans laquelle j’avais joui puis elle vint m’embrasser, comme nous aimons le faire quand elle me pratique une fellation.