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Temps de lecture estimé : 20 mn
13/04/10
Résumé:  La rencontre d'une jeune femme avec un homme plus âgé.
Critères:  fh hplusag hagé grossexe fépilée bateau fellation pénétratio -initfh -hplusag
Auteur : Emmanuelle B  (jeune femme célibataire)      

Série : Mon Homme

Chapitre 01 / 02
La Rencontre

Je m’appelle Emmanuelle B. J’ai 29 ans. Je suis responsable d’une agence de voyage dans une grande ville de l’ouest de la France. J’ai envie de vous raconter mon aventure, si l’on peut appeler cela une aventure.


À 18 ans, un copain de lycée m’a séduite. Arrivés en fac, nous avons décidé de vivre ensemble et nous avons emménagé dans un petit appartement. Je n’avais pas une grande expérience des garçons. Au début, ma relation avec lui se passait bien. Mais mon petit ami se laissait porter par les événements. Il traînait dans ses études. Ayant trouvé un job rémunérateur, je l’entretenais. La vie avec lui était cool, très cool !


Mais, au fur et à mesure de notre relation, je le trouvais un peu mou. Il se laissait vivre. Dans le domaine sexuel, il n’était pas particulièrement performant. Au lit surtout, les préliminaires étaient réduits à peau de chagrin… Quand l’acte total dépassait les quinze minutes, c’était une performance ! Ensuite, après le « C’est bon, hein ! » j’avais droit au ronflement discret…


J’avais envie d’autre chose. Les lectures de divers articles sur la jouissance féminine me faisaient penser que je passais à côté de choses merveilleuses. Et puis la tuile nous est arrivée ! Malgré toutes nos tentatives, je ne tombais pas enceinte ! Toutes analyses confondues arrivaient au même résultat : je suis stérile !


Un beau matin, j’en ai eu assez et je l’ai fichu à la porte. Pendant huit ans, nous avions vécu ensemble. Je me suis organisée ma vie tranquillement en profitant des bons moments. Certes je n’étais que rarement seule… Je sais, vous allez dire que mes chevilles vont gonfler… Mais je vais me décrire pour que vous jugiez vous-même : je mesure 1,75 m pour 56 kg, j’ai des yeux bleus pâles… Tout ceci vient de mon père… Ma mère m’a transmis quelques rondeurs… 90D, 65, 89… Et je suis châtain clair… J’avoue que ma poitrine m’a assez longtemps complexée mais avec le temps et le regard des hommes, j’ai compris que c’était un gros avantage.


Dans la vie professionnelle comme pendant mes loisirs, je rencontrais beaucoup d’hommes. Mais, s’ils étaient seuls, ce n’était pas par hasard ! Ils étaient mariés, mais curieusement tous malheureux en amour et au bord du divorce, sans jamais se décider… Bref, pas libres ! Quant aux autres, je ne préfère pas en parler !


Il y a deux ans, je ne peux partir en congés qu’au mois de septembre. Je profite donc de la pause de midi pour aller à la piscine. Gros avantage, les joyeux bambins sont partis déjeuner et un calme relatif règne. Je vais m’installer au fond, vers les palmiers, à l’ombre. Un seul nageur crawle. C’est un homme et, vu la chevelure (grisonnante et clairsemée !), c’est un quadra, voire quinqua ! Allongée sur la saharienne, je me repose. L’homme sort de l’eau. Il vient vers le coin où j’ai pris place.


C’est un bel homme, grand, large d’épaules et des abdominaux en tablette de chocolat (rare pour un homme mûr !). Il s’installe sur la saharienne, près de moi. Je le reconnais, c’est le père de Maxime, un copain d’école. Son prénom me revient tout de suite : Jérôme. Lui aussi me reconnaît et s’approche pour me dire bonjour. Comme à chaque rencontre, je lui fais la bise. Nous papotons gentiment. Je me souviens qu’il a perdu son épouse dans un accident. Il est maintenant à la retraite. Dans la discussion, j’apprends qu’il vient tous les lundis, mercredis et vendredis.


Tous ces jours-ci, nous nous rencontrons et nous bavardons. Ces instants me sont très agréables et m’évitent de repousser les avances lourdes et grasses de jeunes freluquets. Pourtant, le 14 juillet, un mercredi, il n’est pas là. Je subis une chasse en règle de trois jeunes mâles. Je préfère partir que de subir leur drague. Je suis un peu en colère et à la fois inquiète. Jérôme a-t-il eu un problème, un accident ? Il vient en moto.


Le vendredi suivant, je le cherche. Personne, pas de trace de Jérôme.

C’est seulement le lundi que, dès mon arrivée, je le vois nager. Il nage un crawl puissant et fait un grand nombre de longueurs comme chaque jour. Puis, il ressort. Arrivé auprès de moi, il se penche pour me faire la bise. Je lui accorde de m’embrasser, mais lui reproche son absence des jours passés. Il m’explique qu’il est parti en mer faire les essais de son nouveau bateau. Il s’excuse et m’invite à dîner pour se faire pardonner. Rendez-vous est pris immédiatement ! Il appelle de son portable et réserve une table dans le meilleur restaurant de la ville ! Il raccroche et me dit :



Ce n’est pas une question, mais un ordre, gentil, mais ordre quand même ! Je lui demande :



Puis il éclate de rire devant ma mine déconfite. Il plaisante avec un grand sourire désarmant :



Je cède à son enthousiasme et en ris :



Mais il me demande mon numéro de portable au cas où. Je lui donne en échange du sien. Nous enregistrons dans nos portables nos coordonnées et nous nous quittons.


L’heure du rendez-vous est passée. J’ai quinze minutes de retard. J’arrive en voiture et cherche une place de parking. Connaissant le type de restaurant, je me suis mise sur mon trente et un : une jolie robe noire très décolletée et assez courte, un maquillage discret et des talons hauts. Je vais être presque aussi grande que lui. J’entre dans le hall. Le maître d’hôtel m’accueille. Aussitôt, il m’entraîne. Nous traversons le restaurant. Un silence pesant ponctue notre arrivée. Tous les regards des hommes se fixent sur mes cuisses dénudées à moitié et je sens dans mon dos la brûlure de leurs yeux sur mes fesses. Mais je sais aussi qu’ils vont recevoir un coup de pied dans les tibias de la part de leurs femmes ou de leurs petites amies !


Quelques marches, une terrasse… Il est là ! Il se lève et me fait claquer une bise sur chaque joue, avant de tirer la chaise pour que je m’assoie. Puis nous discutons de tout et de rien. Le dîner est excellent. Le point de vue sur les rochers et la plage font de cette soirée un moment de bonheur. Vers 22 h 30, le repas terminé, Jérôme me propose une petite promenade sur le remblai jusqu’à l’église fortifiée qui domine l’entrée du port et la grande plage.


J’accepte. Depuis son retour, je constate que je suis bien avec lui. Nous arrivons à l’église. Nous nous appuyons sur la balustrade pour contempler le soleil couchant sur la ville. Une brise de mer s’est levée et je frissonne. Sans que je ne dise quoi que ce soit, Jérôme ôte son pull posé négligemment sur ses épaules et couvre les miennes. Que c’est bon, un homme qui nous couve, qui est attentionné !


Il se fait tard et nous redescendons vers ma voiture. J’ouvre la portière et lui tend son vêtement. Il me répond :



Là je suis soufflée ! Je ne peux me retenir et je passe un bras autour de son cou. Je pose mes lèvres à la commissure des siennes et je saute dans ma voiture. Je suis surprise par mon audace : avoir envie d’embrasser un homme mûr, de l’âge de mon père !


Le lendemain pas de Jérôme à la piscine. Je ne peux me retenir, je l’appelle. Une, deux, puis trois sonneries avant d’avoir sa voix chaude en communication :



Je ne peux retenir un cri du cœur :



La communication se coupe. Je suis triste : quinze jours sans le voir !

Dans l’après-midi, mon téléphone vibre : un message ! C’est lui ! Il me fait un coucou avant de quitter le port.


Les quinze jours qui suivent sont une vraie galère. Cet homme m’a envoûtée ! Il me manque. Je pense à lui sans cesse. Et je ne risque pas de l’oublier, car tous les jours j’ai un message téléphonique… « Ma cocotte, je crois que tu es tombée amoureuse ! » J’ai beau sortir en boîte, rencontrer des amis et des amis d’amis, rien n’y fait, il m’obsède !


Le 31 juillet arrive. Il m’annonce son retour. Il a conduit sa petite fille à l’avion. Il m’invite à passer le week-end en mer avec lui. Je n’hésite même pas ! Il me donne rendez-vous le lendemain samedi au port et me demande ma pointure de chaussures. 39 ! Pourquoi me demande-t-il cela ?


17 h. Mes collègues de travail me laissent partir plus tôt. Un passage à l’appartement. Mon sac est prêt. Je me change vite, mais j’ai envie de le vamper : minijupe en jean, un top à fines bretelles et des sandales à lanières, le tout assorti en bleu ! J’arrive au port. Une barrière en ferme l’accès. D’une guérite, un homme sort et s’approche de moi :



La barrière me laisse le passage. L’homme me guide jusqu’à une série de portails. Il en ouvre un :



Et il s’éloigne. Je remarque, au fond, en travers, la moto de Jérôme garée. Je me regarde dans le miroir de courtoisie. Je me plais beaucoup… quoique les bretelles de mon soutien-gorge ne soient pas du meilleur goût, même si elles sont très belles ! Il ne me faut pas longtemps pour me décider. Mes mains passent dans mon dos. L’agrafe saute et je me débarrasse de mon sous-vêtement. Après tout, je sais pourquoi j’ai accepté de passer un week-end seule avec un homme qui me plaît sur un bateau en plein océan !


Je sors mon sac et l’homme ferme le portail et me dit de prendre le ponton principal et le quatrième sur la gauche. Il prévient Jérôme de mon arrivée.


Je déambule sur le ponton. Pas facile de marcher avec des talons hauts, mais je suis heureuse ! Je vais passer le week-end avec l’homme qui occupe mes pensées à plein temps ! La brise de mer passe. Et là brusquement, je me rends compte que je vais être indécente. À la fraîcheur mes seins se tendent et mes tétons crèvent mon top. Tant pis ! Jérôme saura ce qui m’anime !


Au bout du ponton, Jérôme est là. Il avance vers moi. Il me libère de mon sac et m’enveloppe de son bras. Il m’embrasse et nos bouches se ratent de quelques millimètres. Il me guide et s’arrête face à une passerelle. Le bateau est gigantesque.



Il pose mon sac sur le bateau. Il revient vers moi. Avant que je n’aie pu faire le moindre mouvement, il me passe un bras sous les genoux, l’autre sous les bras et me voilà transportée (au propre comme au figuré) sur le pont. Il m’assoit sur son genou, me débarrasse de mes chaussures à talons hauts :



Il me tend des « Crocs » blanches.



Je suis heureuse. Jérôme me guide dans le bateau. Je visite ; c’est merveilleux ! Jérôme m’offre la chambre la plus grande et la plus luxueuse, celle du propriétaire.



Il me laisse. Je l’entends marcher sur le pont. Un bruit de moteur. J’installe mes affaires dans les placards. Lorsque je ressors, nous sommes déjà dans le chenal. Quelques minutes plus tard, les voiles sont de sortie : un génois tout d’abord et la grand voile ensuite ! (Heureusement qu’il m’a appris les termes à utiliser…)


Jérôme est installé sur la banquette au vent et barre d’une main. Il y a de la place à ses cotés. Je m’installe mi-allongée, le dos appuyé contre lui. Mais le bateau prend de la gîte. Je glisse. Je n’hésite pas une seconde. Je prends la main de Jérôme et la place sous mon sein gauche. Son bras m’empêche de tomber sur le pont. Je suis bien. Je sens son souffle chaud dans mon cou. Sa main est sagement posée contre mon flanc. La chaleur de son corps irradie dans le mien. Je pose mes pieds près de mes fesses. Ma jupe glisse et découvre encore plus mes cuisses bronzées. J’offre à Jérôme une vision que je suppose très agréable. Le vent, le soleil, la chaleur et ma position tout contre Jérôme ont raison de moi. Je m’endors.


C’est une caresse agréable sur mon sein qui me sort de mes rêveries. Le pouce de Jérôme va-et-vient sur mon sein et agace mon téton, qui se distingue et prend des proportions anormales. Il est gonflé et tendu. Il tente de percer mon top ! Une multitude de petits baisers dans le cou me font ouvrir les yeux. Non, je ne rêve pas. Jérôme m’embrasse dans le cou. Comment peut-il bien savoir que cette caresse me rend folle d’excitation ? Je me pelotonne contre lui. Il me chuchote à l’oreille :



Il ne me répond pas mais mord doucement la chair tendre de mon cou. Je me relève en criant :



Nous rions. Quelques minutes plus tard, le bateau est arrimé. Le soleil décline vite et commence à se coucher. Jérôme descend dans le bateau et me questionne :



Surprise de la question, je me moque gentiment de lui :



Il me répond tout aussi sérieusement :



Il passe la tête par le roof :



Je lui offre un grand sourire… :



Et il disparaît de nouveau. Je me lève et entre dans le bateau. Jérôme a dressé une table dans le carré. Elle est magnifique. Tout est prêt !



En passant auprès de lui, je ne peux me retenir. Je passe mes bras autour de sa taille et me serre contre lui. Il m’enlace les épaules et me dépose un baiser sur le front ! J’enrage ! Il me pousse doucement à m’asseoir. Nous dînons les yeux dans les yeux, bercés par la houle. Il est tard lorsque nous terminons le dîner. Je passe dans le minuscule cabinet de toilette. Une petite douche, et je ressors vêtue de mon peignoir court en soie noire. Jérôme me souhaite une bonne nuit. J’entre dans ma chambre. J’entends Jérôme prendre sa douche.


Je n’ai aucunement l’intention de dormir seule cette nuit. Je sors et me dirige vers la chambre de Jérôme. Je pousse la porte. La lune éclaire la petite chambre par le sky-dôme. Tout est parfaitement rangé. Je laisse choir mon peignoir au sol et me glisse dans son lit. Jérôme sort du cabinet de toilette. Voyant mes Crocs devant ma porte, il me souhaite une bonne nuit. Il éteint les lumières, sort sur le pont pour vérifier les amarres et revient. Il entre et remarque mon vêtement au sol. Il parle tout seul :



Puis il se couche tranquillement. Allongé sur le dos, il ne bouge pas. Alors je me lance. Je recule mon corps. Mes fesses entrent en contact avec sa cuisse. C’est alors que tout a commencé. Jérôme se tourne sur le coté. Son bras m’enlace et sa main se pose sur mon sein. J’en ronronne. Je tourne la tête et sa bouche ne se trompe pas. Ses lèvres prennent les miennes. Sa langue entre en contact avec la mienne. Elles se découvrent, se reconnaissent. Mais surtout, elles s’apprécient.


Je me tourne vers lui. Ses mains passent dans mon dos, puis glissent sur le haut de mes fesses. Ce n’est pas vrai, comment fait-il pour savoir que j’aime cette caresse ? De la pulpe, ses doigts parcourent ma peau, générant un frisson. Puis, il prend l’initiative. Il me bascule sur le dos et, sans cesser de m’embrasser, il découvre mon corps. Ses mains explorent mes cuisses, remontent vers mes hanches, apprécient mon tour de taille, remontent vers mes seins qu’elles prennent à pleine main. Sa bouche quitte la mienne. Elle descend sur mon torse et escalade un de mes seins, découvre en haut du mamelon un téton érigé, dressé en attente de lèvres pour le sucer, le téter… Là, la technique de Jérôme est incroyable. Il prend entre ses dents mon téton, le serre un peu et du bout de la langue, il l’agace. La sensation irradie mon corps tout entier.


M’excitant toujours de la langue, sa main descend sur ma taille puis sur mon ventre. Elle descend encore et atteint mon pubis. J’espère que cela va lui plaire. Je me suis épilée totalement. Ses doigts glissent entre mes cuisses. Curieusement, celles-ci se séparent, laissant le champ libre à l’accès des doigts inquisiteurs. Ils trouvent ma fente. Ils courent tout le long. Brusquement, j’ai une sensation curieuse. J’ai une humidité qui sourd de moi. Je n’en reviens pas. Je suis tellement excitée que ma mouille déborde. C’est la première fois que cela m’arrive !


Les doigts, gras de mes sécrétions, s’insinuent entre mes lèvres. Ils remontent vers le haut de ma fente. Jérôme est un spécialiste de cette caresse. Il débusque mon clitoris plus vite que Lucky Luke ! Il faut dire que ce petit dernier avait depuis un grand moment, l’envie irrésistible de prendre l’air et de se sortir de l’abri de son capuchon.


Ensuite, je ne sais plus trop ce qui arrive, si ce n’est que les caresses cumulées sur mon téton et mon clitoris me font chavirer. L’envie me tord le ventre. Je m’appuie sur mes talons, offrant mon sexe et mon ventre aux mains expertes de Jérôme. Soudain, il m’arrive une sensation inconnue. C’est comme une boule qui se contracte dans mon ventre. Puis j’atteins une autre sensation ! Le plaisir, le bonheur, la jouissance ! Je n’avais jamais connu cela avant. Cela dure longtemps ! Puis Jérôme cesse ses caresses. Il s’installe entre mes cuisses largement ouvertes. Instinctivement, je les relève, offrant mon sexe au sien. Mais je ne l’ai pas senti, pas vu. Je passe une main entre nos deux corps. Tout contre son ventre, je découvre la chose. C’est énorme ! C’est quoi ? Je n’ai pas vu quelque chose d’aussi énorme ! Jérôme me retire la main. Je sens le gland de son sexe caresser ma fente grasse. Il s’humecte puis repousse doucement les lèvres et s’appuie sur mon clitoris, qu’il décoiffe. La sensation est délicieuse, les mouvements sont lents et incessants. Je ne sais plus où j’en suis ! La chaleur m’envahit. Un vrai bonheur…


Quand je pense que durant plusieurs années, j’ai cru que ce que je vivais était l’amour, la jouissance et l’orgasme… Là, je sais ce que veux dire « la petite mort » ! Et puis Jérôme me porte l’estocade. Son sexe me pénètre enfin. J’ai l’impression que le mien est trop petit. La chose énorme m’écartèle. Mais, que c’est bon ! À peine est-il entré, qu’il reste juste à un endroit, bien précis. Alors là, c’est exactement comme s’il avait mis le feu aux poudres ! Je croyais que le fameux point G n’était qu’une plaisanterie pour faire fantasmer les femmes et leurs amants ! Le plaisir arrive soudainement puis par vagues incessantes. Le bonheur est là au bout de la queue de Jérôme !


Je m’agrippe à ses épaules comme si je tombais dans un gouffre. Mes mains vont de ses épaules au creux de ses reins. Lorsqu’il recule pour sortir un peu de moi, je plante mes ongles dans sa peau pour l’inciter à revenir en moi. Après un grand moment (quoique j’aie perdu totalement la notion de l’heure !), Jérôme cesse ses va-et-vient. Il entre en moi. La sensation est incroyable. Il va me couper en deux. La pénétration est longue, puissante. Il me semble que rien ne peut l’arrêter. Je souffle comme un phoque, je cherche ma respiration. Je cherche à bloquer l’entrée en serrant mes cuisses, mais Jérôme est trop fort ! Son sexe s’enfonce en moi sans rencontrer beaucoup de résistance. Bien au contraire, j’ai la forte impression que mon sexe l’aspire, le veut. Puis la sensation énorme que son sexe bute au tréfonds du mien. Il me remplit entièrement, totalement. J’ai très envie de toucher cette chose. Je glisse ma main et là, nouvelle surprise : il reste environ trois à quatre centimètres entre mon pubis et le sien ! Ce n’est pas un sexe, c’est une batte de base-ball !


Ensuite, je ne sais plus, je ne me souviens que des torrents de bonheur, des vagues de plaisir qui me submergent ! Et puis d’un seul coup, l’Orgasme, le vrai, celui que je n’imaginais même pas ! Je crie mon plaisir, je hurle ! Puis perte de son, d’image ! Je navigue entre deux mondes ! Où suis-je ? Que m’arrive-t-il ? J’ai chaud, très chaud… Je transpire, nos peaux sont collées l’une à l’autre ! Et mes mains sur le dos de Jérôme sentent la crispation de ses muscles. Une poussée puissante que je ne peux stopper, mais en ai-je envie ! Au fond de moi, le sexe de Jérôme prend des proportions que je n’imagine pas. Son sexe se contracte puis commence à se déverser en moi. Cela dure plus longtemps qu’avec mon ex-petit-ami ! Puis, Jérôme m’embrasse avec infiniment de douceur. Il se relâche et passe sur le coté. Je le suis, je n’ai pas envie qu’il sorte de moi. Je le veux encore en moi, au fond de moi. J’ouvre les yeux. Il me regarde. Je viens de m’apercevoir que depuis que nous avons commencé, j’avais les yeux fermés. Je ne peux que lui dire doucement :



Il a un sursaut :



Je souris :



Nous restons l’un contre l’autre. Le sommeil nous prend dans les bras l’un de l’autre. Ce sont les rayons de soleil qui filtrent à travers le rideau du sky-dôme qui me tirent du sommeil. Le rideau n’était pas tiré hier soir et je suis couverte du drap, mais seule ! M’enveloppant du drap, je sors de la chambre. Sur la table du carré, au milieu du petit déjeuner installé, un papier plié porte mon nom. À l’intérieur :



Bonjour, belle Emmanuelle… Je suis parti chercher notre repas ! Il y a du café ou du thé. Sur le pont sont installés des matelas pour bronzer ! Profite du soleil ! Je reviens vite !



Je monte sur le pont. Pas trace de mon amant ! Je déjeune puis je m’installe sur les matelas. Nous sommes amarrés assez loin. J’en profite pour me mettre entièrement nue pour dorer un peu. Quelques instants plus tard, je somnole. Une ombre me fait sursauter. Je me relève en ayant soin de me cacher le torse avec la serviette et dans le soleil, il est là mon amant :



Il s’agenouille auprès de moi. Je laisse tomber ma serviette pour l’enserrer dans mes bras. Sa peau est fraîche et son contact me fait dresser les tétons. Jérôme sourit :



Et les yeux dans les yeux, je lui réponds :



Mais il ne peut empêcher ses mains de venir constater la chair de poule qui couvre mon corps. Je me colle encore plus contre lui. Il me suggère :



Je m’allonge à plat ventre. Je tends le flacon à Jérôme. À genoux à mes cotés, il m’enduit les jambes. Dès qu’il pose ses mains sur elles, c’est horrible. Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais mes fesses se tendent. J’aime le contact des doigts sur ma peau. Mais Jérôme n’est pas sage. Ses doigts glissent sur la peau, ils arrivent en haut de mes cuisses et, comme par hasard, ils frôlent mon sexe. L’excitation monte instantanément. Je me retourne :



Il sourit et me dit :



Mais avant que je sois debout, il m’attrape dans ses bras et me conduit dans le carré. Du pied, il pousse la porte de sa chambre. Je m’accroche à son cou et lui dépose un baiser fougueux, auquel il répond. Nous tanguons soudés par notre baiser. Puis il m’allonge et se jette sur moi. Mais il revient à plat dos et me retourne sur lui.


Je suis à genoux au-dessus de lui. Il me mange aussitôt les seins. Je lui échappe et le dépouille de son maillot. Pour la première fois, je vois son sexe ! Oh ! Quel engin ! Et dire que je me suis régalée de cette chose une partie de la nuit ! Sa verge est de très belle taille. Sa vue m’obsède. Je la regarde avec envie. Je la prends dans ma main droite et la contemple, une queue énorme, congestionnée, que je peine à tenir dans ma main. Et moi, qui n’avais jamais été une adepte de la fellation, je ne peux m’empêcher de déposer un petit bisou sur le bout du gland violet à la peau lisse. Ce gland écarlate m’attire.


Puis j’approche mon visage et ma langue court sur cette chose ronde. Je la couvre de baisers avec amusement. Je la branle doucement, décalotte doucement le gland, l’humecte de ma langue pointue. Je commence à le lécher. Arrondissant mes lèvres, je le prends dans ma bouche chaude. J’ouvre grand ma bouche. Mes commissures sont étirées car la chose est d’un volume conséquent. Je la gobe malgré tout.


Curieuse sensation d’avoir la bouche pleine et de faire attention à ses dents pour ne pas lui faire de mal. Je le suce goulûment, j’entends Jérôme râler et cela m’excite terriblement. Mes lèvres montent et descendent le long de ce muscle de chair. De ma langue, je caresse le gland. Une perle suinte déjà. Je le serre avec mes lèvres le plus possible. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Jérôme apprécie. Son souffle s’accélère. Ma langue dure virevolte autour de sa queue dressée et raide. Maintenant ma bouche va-et-vient le long de son membre, ma main droite passe entre ses cuisses. Je trouve des choses couvertes de poils que je soupèse. Leur volume est étonnant. J’ai mal au coin des lèvres. Je laisse son membre sortir de ma bouche pour reprendre mon souffle. Jérôme me rattrape par les cheveux, tirant doucement ma tête vers lui comme s’il ne voulait pas que ma caresse cesse. Je l’informe de mon mouvement :



Je m’amuse de la chose. Sa verge est quasiment tuméfiée tant elle est tendue. Je reprends de plus belle ma fellation. Je le suce avec application. Jérôme pousse quelques gémissements indiquant la montée de son plaisir. Sa respiration devient haletante.



Ma langue continue d’agacer encore et toujours. Elle se promène tout du long de cette chose énorme. Je joue de la pointe de la langue sur le frein. Pourquoi, d’instinct, ai-je pratiqué ces caresses ? Je n’en sais rien, mais j’aime le faire. Je sens la semence de Jérôme monter dans son sexe. Jérôme a une main dans mes cheveux et m’oblige à le pomper en intimant un mouvement de va-et-vient. Je sens monter la pression dans son sexe.



Sans lâcher ce que je suce avidement, je lui réponds par un grognement. Non, j’ai envie qu’il se vide dans ma bouche, j’ai envie de le boire, j’ai envie de lui faire ce plaisir immense de boire sa liqueur. Cette grosse queue gonfle dans ma bouche. La pression est forte. Il ne va pas pouvoir se retenir. Un gémissement, presque un grognement résonne dans la petite chambre. Un premier jet chaud emplit ma bouche. C’est salé, épais et un peu visqueux, mais c’est la semence de l’homme que j’aime. Puis un flot de semence se déverse en longs jets dans ma bouche. J’avale autant que je peux. Son orgasme violent est très abondant. Je suis fière de la première fellation que j’offre à Jérôme. Mais je ne peux plus avaler tellement ses décharges sont abondantes.


Je sors la verge de Jérôme de ma bouche. De mes deux mains, je le masturbe avec vigueur. Je décide de la trajectoire des giclées blanchâtres. Les jets de sperme m’inondent le visage. Sa semence coule sur mes joues. Je me retrouve le visage à moitié couvert de sa liqueur qui dégouline jusque sur mes seins nus. Jérôme ouvre les yeux. Il me découvre, agenouillée, nue, le visage couvert de son foutre :



Je pose ma tête sur son ventre. J’ai toujours en main son sexe qui commence à perdre de sa superbe. Je lui dépose quelques baisers… Je suis bien. Je m’endors calmement.