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n° 13812Fiche technique47462 caractères47462
Temps de lecture estimé : 26 mn
13/04/10
Résumé:  Sa femme et trois de ses amies lui confient la mission de réaliser leurs fantasmes au cours d'une soirée qu'il devra organiser pour elles.
Critères:  fffh grp hotel hdomine voir exhib strip hmast intermast cunnilingu anulingus préservati pénétratio double fsodo partouze gangbang jeu champagne attache yeuxbandés fouetfesse -groupes
Auteur : Fantasio
Master of Ceremony

Confortablement assis dans le fauteuil de cuir d’une luxueuse chambre d’hôtel, j’ai du mal à réaliser le cadeau qui va bientôt m’être offert. Dans quelques minutes, quatre femmes, plus adorables l’une que l’autre, vont venir me rejoindre afin que je réalise leurs fantasmes ! Qu’il s’agisse de ma femme et de ses trois meilleures amies, rend la chose encore plus excitante.


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Une semaine plus tôt, rentrant chez moi peu avant minuit, je les ai retrouvées dans notre salon. Elles avaient visiblement arrosé leur soirée de quelques bouteilles de vin blanc et l’ambiance était plutôt joyeuse.



Elles ont éclaté de rire. Ma femme Julie et son amie Valérie étaient affalées dans le divan, Marie et Nanon assises à leurs pieds, devant la table basse du salon. L’objet de leur hilarité m’échappait, mais je n’étais pas pressé de leur demander des explications. Je préférais me plonger quelques instants encore dans l’admiration de ces corps de femmes éclatantes de beauté, prises d’une irrépressible crise de rire, leurs jambes dénudées battant l’air et leur poitrine secouée de spasmes. Entre deux hoquets, Julie est enfin parvenue à m’expliquer qu’elles venaient de passer une heure à se raconter leurs fantasmes et que mon arrivée avait, comment dire… subitement donné chair à leur délires avinés.



Les quatre amies se sont regardées durant un bref instant, avant de repartir dans de grands éclats de rire.



En voyant leurs faux airs de vierge effarouchée et leurs récriminations exagérément offusquées, j’ai deviné que l’évocation de leur chatte transpirante, combinée à mon éventuelle érection priapique, ne les avait pas laissées indifférentes. J’ai donc décidé de pousser mon avantage.



Le silence pesant qui a suivi m’a fait craindre le pire mais Manon, visiblement la plus échauffée du groupe, est venue à mon secours en acquiesçant avec enthousiasme.


Tout en débouchant la bouteille, je les observais, riant bruyamment, se chuchotant des secrets à l’oreille, lançant vers la cuisine des regards brillants d’excitation.


J’ai proposé de lever nos verres à la santé de leurs fantasmes. Debout au centre de la pièce, tenant dans mes mains les petits papiers pliés, je les ai longuement regardées, lascivement étalées à mes pieds, faisant durer le plaisir, devinant dans leurs yeux un mélange d’inquiétude et d’excitation.


Je suis une vilaine fille qui a fait des bêtises et qui va recevoir une punition aussi méritée qu’espérée.


À peine ma lecture terminées, elles ont éclaté de rire en se jetant les unes sur les autres puis en pointant un doigt accusateur en direction de Marie dont le visage rougissant ne laissait aucun doute sur la main qui avait écrit ce premier petit mot ! Marie la discrète, la timide, aux miches généreuses, créées pour la fessée.


Je suis nue, attachée les yeux bandés, le corps livré aux caresses et aux assauts de partenaires inconnus.


Mmmh…. Tandis qu’une nouvelle vague de rires déferlait dans le salon, j’ai essayé de deviner laquelle de ces appétissantes bourgeoises brûlait de s’offrir, entravée et aveugle, aux caresses intimes prodiguées par des inconnus. Mais cette fois, elles n’étaient pas décidées à m’aider et me regardaient avec un petit sourire coquin, devinant l’effet que cette évocation commençait à avoir sur ma virilité.



J’ai pris mon temps pour défaire ma cravate et mon col de chemise. Tout en les regardant, j’ai ouvertement plongé la main dans mon pantalon pour remettre de l’ordre dans ma boîte à outils et décoincer ma grande clef à molette, douloureusement bloquée dans l’étroite prison de mon slip.



Je dévore une chatte baveuse tandis qu’une grosse queue défonce la mienne !


Whaouw ! J’ai failli en laisser tomber mes papiers. Même sans le rire sonore de Manon et la mine des trois autres la regardant incrédule, j’aurais facilement deviné l’auteur de ce fantasme volontairement provoquant. Cela devenait particulièrement « hot » et je me demandais comment tout cela allait finir. Je les ai laissées reprendre leurs esprits avant de lire le dernier petit mot.


Mon mari me partage avec un inconnu.


J’ai aussitôt regardé Julie et ses trois amies ont fait de même. Elle me souriait. Ses yeux pétillaient de cet éclat particulier qui lui vient lorsque son sexe brûle de désir. On avait déjà évoqué ce fantasme tous les deux, mais j’avais du mal à accepter l’idée de la partager avec un autre homme. Ce soir-là, échauffé par l’évocation de ces fantasmes féminins, j’avoue que je commençais à trouver l’idée séduisante.



J’en ai profité pour rendre une nouvelle fois visite à mon entrejambe, sous les exclamations mi-enthousiastes, mi-offusquées de mes quatre compagnes, et soulager ma queue tendue comme un archet.



En reprenant la main, Manon m’offrait l’occasion de jouer à mon tour, le rôle de l’ingénu offusqué. Et, comme je l’espérais, les trois autres ont répondu à mes dénégations maladroites en s’associant bruyamment à la proposition de leur amie. Je les observais plus excitées l’une que l’autre, devinant les frissons électriques qui rayonnaient entre leurs cuisses. Assise sur le divan, les jambes repliées sous les fesses, Julie me regardait en souriant, une main glissée entre ses cuisses largement découvertes.



Un ange est passé dans le salon, s’attardant durant de longues minutes. Affalées sur le tapis, Marie et Manon, les plus jeunes de la bande, se retenaient de pouffer de rire en se demandant ce que leurs amies, et surtout mon épouse, allaient bien pouvoir penser de cette invitation pour le moins explicite à une partie de jambes en l’air.



Je comptais bien sur elle pour trouver l’idée excitante, mais les trois autres étaient loin de partager son enthousiasme. Comme je le supposais, Valérie était la plus rétive. C’était un peu « la boussole » du groupe, plus âgée, plus mûre, la tête toujours sur les épaules. Mère divorcée de deux adolescents, visage de madone encadré de boucles rousses, courbes aux rondeurs provençales, sous lesquelles on sent frémir une passion inassouvie. Les images de son corps nu et écartelé, offert à mes mains, ma bouche, mon sexe dévorant, me traversaient l’esprit tandis que je la regardais luttant contre la coalition de ses jeunes amies.



C’était la plus jeune des quatre, la rebelle aux allures de punkette assagie, cheveux blonds coupés courts à la cisaille et qui en cet instant se moquait gentiment des leçons de morale de Valérie



Marie la discrète, la timide, visage adolescent encadré de boucles brunes, un peu complexée par un surpoids donnant pourtant à son corps des rondeurs bien appétissantes et qui rougissait divinement en pouffant de rire.



Celle-ci évitait de me regarder, sentant mon regard plonger entre ses seins dorés et glisser sur des cuisses divines qu’elle essayait de recouvrir en tirant sur sa courte robe d’été. Quand elle s’est enfin tournée vers moi, mon visage était aussi innocent que celui d’un saint-bernard envoyé pour sauver une pauvre âme pure égarée au milieu d’une bande de pécheresses en chaleur.



J’avais gagné ! Elle a résisté quelques minutes encore, juste pour la forme, le temps que j’aille chercher une bouteille de champagne que nous avons débouchée pour célébrer notre pacte. Une demi-heure plus tard, après avoir accordé de nous retrouver dans une semaine à l’hôtel Plazza, nous avons raccompagné nos invitées sur le pas de la porte. De toute évidence, Valérie était encore troublée par la conclusion inattendue de sa soirée. J’ai posé un chaste baiser sur ses joues brûlantes en lui adressant un sourire qui se voulait réconfortant, mais, à la façon dont elle a baissé les yeux, j’ai compris que mon regard trahissait la vision de son corps offert à mes caprices. Manon, qui n’avait pas de tels états d’âme, m’attrapa la grappe d’une main ferme en me recommandant de garder mes outils bien au chaud pour la semaine prochaine. Marie, quant à elle, souriait béatement et je n’ai pu m’empêcher de donner une claque sonore sur son généreux fessier, avant-goût du traitement que j’allais bientôt lui faire subir.


Dix minutes plus tard, Julie me violait littéralement sur le tapis du salon, chevauchant mon gourdin comme une cowgirl lancée au grand galop et lançant des « Yéé Haa ! » enthousiastes !



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Et me voilà aujourd’hui, les attendant dans cette chambre d’hôtel, nerveux et inquiet à l’idée de la nuit à venir. Je n’ai pensé qu’à cela toute la semaine et, même si nous avons tous soigneusement évité d’y faire référence, je suis sûr que Julie et ses amies en ont fait autant. Julie est partie de la maison vers six heures trente pour aller dîner avec ses amies. Malgré ses efforts pour dissimuler son excitation, son baiser d’au revoir était électrique.


Il est dix heure trente, elles ne devraient plus tarder. J’ai envoyé à chacune une petite carte en préliminaire à notre soirée.


Chère amie, ce soir quand vous passerez la porte de notre chambre, abandonnez votre peau quotidienne, ce carcan d’apparences et de conventions qui conduit votre vie. Soyez habitée par votre fantasme, laissez-vous conduire par lui. Vous ne reconnaîtrez ni votre hôte ni les autres participants. Livrez-vous comme dans un rêve aux plus délicieux des plaisirs…


Les instructions se poursuivaient par un message adressé individuellement à chacun d’elle. Je suis impatient de voir si elles ont suivi mes prescriptions. Lumière tamisée, musique de jazz « west coast » flottant dans la pièce, je les attends !


Enfin ! Le bruit de la carte magnétique glissant dans la serrure électronique, la porte qui s’ouvre lentement et le groupe compact de quatre femmes pénètre dans la pièce. Let’s play !


Une flûte de champagne à la main, je les regarde en souriant depuis le fauteuil du petit salon faisant office d’entre chambre. Elles sont alignées en rang d’oignon. Elles me sourient, pas trop à l’aise. Leur visage révèle un mélange d’inquiétude et de nervosité.



Je les conduis vers la chambre où elles se débarrassent de leur manteau. Elles sont toutes plus belles les unes que les autres.


Valérie porte une robe moulante noire s’arrêtant à mi-cuisse. Elle a un petit air sévère de « mater dolorosa », si ce n’était ses superbes cuisses élégamment gainées de bas noirs et l’ample décolleté qui dévoile les premières rondeurs d’une magnifique paire de seins.


Manon est transfigurée dans un tailleur bourgeois qui moule son joli cul et enserre une poitrine dont les rondeurs juvéniles jaillissent dans l’échancrure d’un chemisier de soie. Elle est passée chez le coiffeur et, sur ses escarpins à talon, ses longues jambes gainées de bas couleur chair, elle a tout d’une « executive woman » à l’appétit dévorant.


Marie quant à elle, est émouvante dans son uniforme d’écolière, socquettes blanches et petite jupe plissée dévoilant des cuisses rondes et roses, un chemisier entrouvert sur un paire de seins XXL. Tandis qu’elle se penche pour poser son manteau sur le lit, je crois discerner la blancheur éclatante d’une culotte « Petit Bateau » et je dois me retenir pour ne pas fesser sur le champ son admirable popotin.


Enfin, je découvre Julie qui s’est visiblement changée après son départ de la maison. Elle arbore une mini jupe de latex rouge et un perfecto de cuir de la même couleur sous lequel elle ne porte qu’un soutien-gorge de dentelle noire. Des bas résille et une paire de talon de douze centimètres complètent sa tenue.


Je ne sais où porter mon regard. Elles ont toutes suivi mes recommandations vestimentaires à la lettre. Je suis le Roi ! Un Roi avec un carré de reines ! Voilà une main de rêve pour une partie à cinq qui promet de l’être tout autant.



Leur coupe de champagne à la main elles me rejoignent dans le salon. J’invite Marion et Valérie à s’asseoir dans le divan. Leur cul s’enfonce dans les coussins moelleux, faisant remonter leur jupe jusqu’en haut des cuisses. Je rejoins mon fauteuil de cuir et, tapotant sur le large accoudoir, j’invite Julie à y prendre place. Marie reste seule, debout au milieu de la pièce, m’interrogeant du regard. Je la laisse ainsi durant une longue minute, caressant machinalement la cuisse soyeuse de Julie, tout en dégustant mon verre de champagne. L’ambiance est électrique, mélange explosif d’excitation et d’impatience difficilement contenues.



Julie se lève lascivement pour obéir à ma demande.



Elle rougit délicieusement, se dandinant d’un pied sur l’autre. Elle a compris que son fantasme allait être le premier à se réaliser.



« Oooh ! » Nous avons tous les quatre poussé presqu’en même temps la même exclamation de surprise. À voir la façon dont Marie baisse les yeux sur ses chaussures, je sais qu’elle ne ment pas et qu’elle a dû repenser bien souvent à cette soirée au cours de la semaine écoulée.



Elle est visiblement de plus en plus mal-à-l’aise et ses amies qui la regardent en souriant, ne font rien pour l’aider.



Elle se balance nerveusement d’un pied sur l’autre comme si elle avait des fourmis dans la culotte. Elle regarde ses amies, mais celles-ci sont littéralement suspendues à ses lèvres. Valérie et Manon se tiennent la main, tandis que l’autre est discrètement glissée sous leur jupe. Julie a passé son bras autour de mes épaules et avancé ses hanches pour faciliter l’accès à ce con familier qui tremble d’impatience. Marie glisse lentement sa main sous sa courte jupe. On aperçoit à peine le ballet de ses doigts sous le tissu plissé, mais tandis que ses yeux se referment et qu’elle se mordille la lèvre en vacillant sur ses jambes, on devine le plaisir intense qui l’envahit.



Julie se lève lentement et s’avance vers Marie avec une sensualité féline, un petit sourire cruel dessiné sur les lèvres. Leurs visages sont à quelques centimètres à peine et leurs yeux se fixent avec intensité. Marie laisse échapper un gémissement profond et ses jambes semblent se dérober un instant tandis que les doigts de Julie disparaissent sous la jupe et s’enfoncent dans sa chatte inondée. Elle se met à onduler au rythme des caresses de plus en plus pressantes, l’obligeant à se retenir aux épaules de sa partenaire. Je regarde les deux autres, littéralement collées l’une à l’autre, imitant de leur main baladeuse, le rythme sensuel imprimé par Julie.



Comme à regret, Julie retire sa main trempée. Elle s’avance vers moi et me tend ses doigts que je lèche lentement, savourant les traînées brillantes laissées par les liqueurs juvéniles de Marie.



Enfin ! Tandis que me lève pour aller placer une chaise juste devant le divan, je crois deviner un sourire ravi sur le visage rougissant et transpirant de Marie. Je m’assieds et d’un geste discret, je l’invite à venir s’allonger en travers de mes cuisses. Je remonte sa jupe sur ses reins. Elle porte effectivement une large culotte de coton blanc, comme une imposante et appétissante meringue dans laquelle je voudrais planter mes dents. Tout en baissant le tissu élastique, je regarde Manon et Valérie assises justes devant nous et dont les yeux semblent hypnotisés par ce cul majestueux dont je révèle la splendide nudité. Deux miches imposantes qui n’attendent qu’à être pétries par le plus heureux des boulangers !


Je ne veux pas les faire attendre davantage et je commence mon office, frappant avec enthousiasmes les masses graisseuses du plat de la main. Une longue série de claques sèches qui font vibrer les chairs. Je m’arrête toutes les minutes pour les laisser refroidir, les caresser doucement et admirer les teintes d’un coucher de soleil qui se dessinent sur les deux éminences charnues. Julie est derrière le divan, penchée entre ses deux amies toujours aussi subjuguées par le cul flamboyant brillant devant leurs yeux écarquillés. Ses bras les enserrent et ses mains disparaissent dans leur corsage. Elle me regarde en souriant, elle apprécie au moins autant que moi la tournure que prend notre soirée.



Manon approche sa main. Je la guide, la promène sur les fesses brûlantes de Marie. Celle de Valérie nous rejoint pour accompagner notre promenade sur ces magnifiques collines et au creux de cette vallée profonde au creux de laquelle coule déjà une rivière de jouissance.



Marie se redresse comme à regret, mais je la rassure, je n’en ai pas encore fini avec son derrière joufflu. Je déplace la chaise au centre de la pièce et lui demande d’y poser les mains à plat, jambes tendues et écartées. Appuyée sur ses bras tendus, elle est obligée de cambrer les reins, dressant effrontément son derrière rougissant. Du tiroir du bureau, je sors une cravache, un martinet et une palette de cuir.



Elles hésitent, se regardent un bref moment. Julie s’approche la première pour choisir la cravache, un choix parfaitement assorti à sa tenue. Manon vient à son tour chercher la palette, laissant le martinet à Valérie.



Julie est la première à faire claquer sa badine de cuir. Après des débuts hésitants, elles semblent toutes prendre goût à la chose. Elles alternent les coups, ne manquant pas de visiter les endroits les plus sensibles comme l’intérieur des cuisses ou les lèvres trempées s’ouvrant impudiquement entre les jambes écartées de Marie. Je n’en crois pas mes yeux : ma femme et ses deux amies fessant avec un bel enthousiasme l’admirable fessier de leur jeune amie qui jouit comme une fontaine en poussant des cris passionnés. Je me caresse ouvertement l’entrejambe tout en les regardant. Il n’y a pas de raison pour que je n’en profite pas moi aussi !


Alors, la bite à l’air je m’approche du visage de Marie. Je lui caresse la joue de mon membre dressé qu’elle avale bientôt avec gourmandise tandis que ses trois amies s’occupent d’entretenir le feu qui enflamme son entrejambes. À chaque impact sur ses fesses – sifflement de badine, claquement sec de la palette ou souffle brûlant du martinet – sa bouche se referme dans un spasme nerveux, enserrant brutalement mon sexe prêt à exploser. Si on ne passe pas à autre chose, je sens que je ne tiendrai pas très longtemps ! Heureusement, elles arrivent au bout de la punition. Elles se tournent vers moi et leurs yeux brillants trahissent le plaisir qu’elles viennent de ressentir en faisant jouir leur amie. Je récupère un à un leurs instruments de torture, non sans glisser ma main sous les jupes de Manon et la robe de Valérie, constatant avec satisfaction que Marie n’a pas été la seule à jouir.



Tenant Julie par la taille, j’emmène les trois femmes dans la chambre à coucher. Je leur verse un autre verre de champagne.



Elles rient d’un petit rire gêné. Elles ont du mal à confesser que cela leur a plu et plus encore à reconnaître qu’elles ont trempé leur petite culotte



Je me suis placé derrière Valérie et j’ai posé un bandeau noir sur ses yeux. Je m’assure qu’il est fermement noué, afin qu’elle puisse s’enfoncer dans les délices de l’obscurité absolue. Je m’éloigne, nous nous éloignons tous en silence pour prendre du recul et admirer cette superbe cariatide rousse et aveugle, frémissante dans l’attente inquiète du sort que je lui réserve. Je reviens vers elle, la tourne face à ses amies. Debout derrière elle, je frôle son cou et ses épaules, laisse mes mains glisser sur le tissu noir qui emballe ses fesses, puis les pose sur ses cuisses pour les caresser par dessus la robe.



Elle frissonne. Un courant électrique lui traverse le corps. Tandis que Manon et Julie nous regardent fascinées, je descends lentement la fermeture éclair. La robe s’ouvre comme une corolle et glisse sur les épaules pour révéler une magnifique paire de seins emballée dans un soutien de dentelle noire. Les deux sphères charnues s’agitent sensuellement sous les mouvements de sa respiration nerveuse. Le vêtement file le long du collant de nylon et vient s’écraser à ses pieds. Comme je le lui ai demandé, elle ne porte pas de culotte sous le voile translucide. Une large tache sombre descendant entre ses cuisses témoigne de l’intensité de son plaisir.


Elle frémit sous mes doigts tandis que je caresse son dos dénudé, ses fesses emballées dans leur enveloppe synthétique, ses hanches, son ventre chaud et ferme. Je défais son soutien-gorge et elle se raidit brusquement. Lorsque les bretelles retombent sur ses bras, elle ne peut s’empêcher de poser ses mains sur sa poitrine. Mon gourdin pressé contre ses fesses, je lui saisis doucement les mains pour les ramener dans le dos. Elle ne résiste pas. Le soutien-gorge tombe sur le sol et je glisse ses poignets délicats dans une paire de menottes garnies de fourrure noire. Je sors une petite paire de ciseau de ma poche et m’agenouille devant elle pour découper le petit carré de nylon trempé qui enserre sa chatte. Un buisson rougeoyant surgit au-dessus de deux larges lèvres roses et brillantes qui tremblent de plaisir tandis que j’y glisse délicatement le doigt.



Je les entraîne autour de Valérie et bientôt un ballet de mains se déploie sur le corps de la jeune femme. Elle ondule sensuellement sous cette armée de doigts qui dansent sur sa chair tremblante. Manon lui caresse le visage, passe un doigt sur ses lèvres qu’elle mord brusquement lorsque je lui pince brutalement un téton. Julie lui caresse tendrement la chatte tout en se mettant à descendre lentement le collant de soie. Nous nous écartons un instant. La vision de Valérie, aveuglée, les mains attachées dans le dos, les jambes entravées par le collant descendu au niveau des genoux, le sexe brillant de plaisir, nous plonge tous les quatre dans un état d’excitation contemplative.


Je nous sers une nouvelle coupe de champagne laissant Valérie mariner de longues minutes, soumise et indécente. Je sers un verre à Marie que Julie est allée libérer. Lorsqu’elle nous rejoint, elle n’en croit pas ses yeux. Son amie Valérie, « Sainte Val » comme ils la surnomment pour la taquiner, le con et les seins à l’air, rayonnante de désir, offerte pour son plus grand plaisir et aussi pour le nôtre ! Je m’approche d’elle, pose une coupe de champagne sur ses lèvres qui s’entrouvrent tandis que le liquide glacé s’écoule dans sa bouche. J’incline exagérément le verre afin que le vin déborde de ses lèvres et s’écoule le long de son cou, de ses seins, de son ventre frémissant sous le torrent pétillant.


Marie nous a rejoints. On finit par lui retirer son collant, je lui enlève ses menottes et la conduis vers le lit. J’ai donné un long foulard de soie à chacune des trois amies, avec lequel nous nouons ses chevilles et ses poignets aux quatre coins du lit. Nous nous écartons pour la contempler, nue et écartelée, les seins agités par sa respiration inquiète, le con entrouvert comme les pétales d’une rose brillante de rosée. Manon fait couler quelques gouttes de champagne au creux du nombril et se met à lécher le nectar parfumé à même la peau salée. Nous rions tandis que Valérie s’agite en criant sous l’effet des chatouilles provoquées par la langue de son amie.


Cinq minutes plus tard, je dois me serrer fermement la grappe pour m’assurer que je ne rêve pas. Les trois amies se livrent à une orgie saphique sur le corps entravé de Valérie. Munies des jouets que je leur ai opportunément fournis, elles visitent tous les orifices de leur amie qui s’agite et râle de plaisir. À un moment, elles ont défait les liens retenant les chevilles et ramené les jambes de la jeune femme jusque sur son torse afin d’offrir un accès idéal à sa petite rondelle. Sous l’effet des vibrations électriques du gode et du plug enfoncés dans le cul et le con, le corps de Valérie est pris de soubresauts frénétiques. Elle jouit sans réserve laissant éclater l’intensité de son plaisir, sentant le jus jaillir à gros bouillon de son sexe inondé.



Je me suis adressé brusquement à Marion qui jouait à varier l’intensité des vibrations de son plug électrique.



Elle hésite, les deux autres la regardent, me regardent, comprennent que le jeu se poursuit et que le tour de Manon est arrivé. Elle s’avance jusqu’au centre de la pièce, me regarde fixement avec un petit air de défi et entame un lent strip-tease, ses yeux ancrés dans les miens. Elle est vraiment envoûtante. Pétillante de jeunesse, jouant merveilleusement la professionnelle de l’effeuillage comme si elle voulait dissimuler sa fragilité de petite fille. Elle se retrouve bientôt en sous-vêtement et porte-jarretelles. Petits seins, petit cul sensuellement enveloppés dans leurs écrins de dentelle. Le soutien tombe le premier, dévoilant une poitrine plus ronde qu’attendue, de la taille des pamplemousses nourris au soleil de Floride. Puis, alors que la culotte descend lentement, elle se retourne pour dévoiler ses fesses, fermes et à la rondeur parfaite. Enfin, lorsque le petit triangle de dentelle retombe à ses pieds, elle se retourne à nouveau les mains posées sur le con. On se regarde durant de longues secondes, je lui souris et elle écarte enfin les mains pour m’offrir la vision de son coquillage brillant, caché derrière un joli buisson doré comme les blés.


Montée sur ses escarpins à talon et vêtue seulement de son porte-jarretelles et des ses bas, je la conduis devant le lit et devant le con béant et trempé de Valérie.



Elle a compris, elle se penche, appuie ses mains sur les cuisses écartées de son amie et pose sa bouche sur les chairs brillantes. Valérie cambre les reins tandis que la langue de Manon s’enfonce en elle, que ses lèvres et ses dents se mettent à la dévorer toute entière. Tandis qu’elle s’applique à recueillir le nectar bouillonnant qui s’écoule dans sa bouche, je me place derrière Manon pour lui caresser les fesses, glisser mes doigts jusqu’à sa chatte et constater avec satisfaction qu’elle est déjà trempée. Alors, j’ouvre mon pantalon et libère enfin la bête affamée. Julie et Marie me regardent, incrédules. Elles pensaient peut-être que j’allais me contenter de regarder ? C’est la première fois que je fais l’amour à une autre femme en présence de Julie. Mais après tout, il en ira de même pour elle plus tard dans la soirée.


Je tourne mon sexe dressé dans sa direction et sans qu’on ait à parler, elle s’approche en souriant, s’agenouille et me lèche amoureusement le sucre d’orge. Je lui passe un préservatif qu’elle enfile avec expertise. C’est elle qui conduit ma bite emballée de latex jusqu’au con de Manon et qui l’y fait disparaître lentement. Je commence mon exercice de va-et-vient. Chaque fois que mes hanches claquent sur ses fesses, son visage s’enfonce contre le con de son amie et les deux femmes gémissent de concert. Marie s’occupe des seins de Valérie qu’elle dévore avec passion pour le plus grand plaisir de celle-ci. Julie est accroupie sous le ventre de Manon, jouant avec ses seins dont elle pince cruellement les tétons, faisant glisser sa main sur les lèvres écartelées du con de son amie, accompagnant les coups de piston de ma queue coulissant entre les chairs détrempées. Les deux jeunes femmes poussent des gémissements sonores sous l’intensité grandissante de leur orgasme et je sens que je vais, moi aussi, exploser avant peu. Je me retire, ôte le préservatif et saisis Julie par les cheveux. Elle s’avance avec gourmandise pour dévorer mon sexe prêt à exploser. Quelques secondes plus tard, je laisse jaillir de longs jets de sperme chaud au fond de sa gorge. Je la relève, l’attire vers moi et l’embrasse avec passion. Nous finissons tous les trois allongés sur le corps écartelé de Valérie, reprenant notre souffle durant de longues secondes.



Julie et Marie semblent n’attendre que cela et se débarrassent rapidement de leurs vêtements. Pendant qu’elles se dénudent, je libère Valérie et pose un baiser chaste sur ses lèvres entrouvertes avant d’ôter son bandeau. Elle me sourit, visiblement heureuse du plaisir que nous venons de lui donner. Je m’occupe aussi de Manon encore épuisée par notre sensuelle chevauchée. Je lui caresse les fesses, l’embrasse à son tour et ôte ses derniers effets. Quelques minutes plus tard, je me retrouve seul « textile » entouré de quatre magnifiques créatures en tenue d’Eve, levant leur verre à la santé de leur Maître de cérémonie et des fantasmes qu’il leur a permis d’assouvir.



Je me suis adressé à Julie avec un sourire complice. Il est l’heure de satisfaire son fantasme et de lui offrir un second étalon avec lequel je compte bien la monter en tandem.



Les quatre jeunes femmes acquiescent tout en se regardant avec un soupçon d’inquiétude. Elles se préparent et s’assoient côte à côte sur le devant du lit. Elles sont magnifiques, raides et aveugles comme la justice, elles se tiennent la main, collées l’une à l’autre. Leurs tétons dressés et les frissons qui parcourent leurs chairs témoignent de l’excitation qu’elles ressentent en cet instant. Je ne résiste pas à les embrasser à tour de rôle, en profitant pour caresser un sein, une cuisse, un con dissimulé entre de chaudes collines de chair. Puis je les abandonne à regret, livrées à l’angoissante obscurité de leur imagination fantasmatique.


Depuis une heure, quatre jeunes gaillards du club de rugby que j’entraîne bénévolement deux fois par semaine, attendaient ma venue au bar de l’hôtel. Lorsqu’à l’issue du dernier entraînement, au cours d’une troisième mi-temps arrosée, je leur ai parlé d’une éventuelle partie de jambe en l’air avec quatre superbes créatures désireuses d’assouvir leurs fantasmes, ils n’ont pas hésité bien longtemps. Pourtant ce soir, ils semblent un peu plus nerveux à l’idée du match difficile qu’ils vont devoir livrer.



Je les entraîne dans la chambre et observe avec une cruelle satisfaction, le trouble qui envahit les quatre femmes en réalisant que je viens de les livrer nues aux regards et bientôt aux caresses, d’un groupe d’hommes inconnus. Fier de moi, je contemple leur visage rouge écarlate, les frissons continus qui parcourent leurs chairs et les gouttes de sueur qui perlent sur leur front, leur ventre et leurs cuisses.



Je retire en silence le foulard qui leur bande les yeux et elles découvrent en même temps le spectacle de quatre imposants gaillards d’une vingtaine d’années, alignés au centre de la pièce, en costume cravate et les yeux recouverts d’un large bandeau noir !



Les quatre femmes poussent un profond soupir de soulagement, rapidement suivi de leurs exclamations enthousiastes devant le spectacle de ces quatre étalons offerts à leurs caprices. Elles leur tournent autour comme des métayères à une foire équine, faisant des commentaires élogieux sur leur corps musclé qu’elles s’empressent de tester en malaxant leurs parties les plus sensibles. Ce sont mes garçons qui semblent mal à l’aise, même s’ils sourient en silence en sentant et entendant le ballet de ces femmes qui leur tournent autour en comparant leur anatomie. Il ne faut pas très longtemps pour les décoincer et pour qu’ils se mettent à leur tour à découvrir les corps dénudés qui papillonnent autour d’eux. Quelques minutes plus tard des couples se sont formés. Les jeunes femmes déshabillent méthodiquement leur partenaire. Certaines avec une ferveur impatiente, d’autres avec une lenteur sensuelle, avant de les entraîner aux quatre coins de la pièce. Pour ma part, je me suis installé dans un fauteuil, le « joy stick » à la main, contemplant comme dans un rêve, le superbe film porno dont je suis à la fois le metteur en scène et l’acteur principal.


Marie se fait dévorer la chatte allongée sur le lit, les jambes nouées autour de la tête de son partenaire. Valérie est agenouillée sur la table basse du salon et un fier cavalier lui défonce athlétiquement la chatte sur un rythme de trot enlevé. Manon chevauche un étalon allongé sur l’épais tapis de la chambre, tandis que Julie s’applique à faire monter la sève dans un imposant braquemart manquant quelque peu d’enthousiasme. Elles sont visiblement aux anges, n’hésitant pas à encourager leur partenaire et à s’encourager mutuellement. C’est un concours de cochoncetés, de terme crus et explicites lancées par les bouches policées de quatre belles bourgeoises, plus habituées aux cocktails mondains qu’aux orgies échangistes.


Les corps tournent, les jeunes femmes passent de l’un à l’autre, épuisant peu à peu les vigueurs de mes quatre gladiateurs. Deux d’entre eux ont déjà explosé dans leur étui de latex et, reconnaissant des efforts de leur partenaire, s’appliquent à présent à déguster les jus abondants s’écoulant du con de Manon et Valérie. Agenouillée sur le lit, Marie se fait copieusement pistonner l’entrejambe et, sous ses recommandations, son amant d’un soir lui assène des grandes claques sonores rythmant le va-et-vient de son imposant pilon.


Il est temps que je m’occupe de ma petite femme qui saute comiquement sur les cuisses de son partenaire affalé dans le fauteuil de la chambre. Je lui prends la main et l’attire vers moi. Un bruit de succion accompagne le glissement de la queue gonflée hors du fourreau étroit de son con. Je la soulève et elle m’entoure la taille de ses jambes avant de laisser son con descendre sur ma bite dressé. Je m’enfonce en elle comme dans une mer d’huile chauffée par le soleil. Je sens ses chairs qui se resserrent tandis que sa caverne s’inonde d’un torrent de plaisir. Elle se balance sur son pal tout en me dévorant la bouche et en poussant de longs gémissements de plaisir.


Tout en poursuivant notre ballet, je sors de ma poche une petite poire que je pose contre son anus, envoyant un long jet d’huile lubrifiante au cœur de sa corolle. Elle pousse un petit cri de surprise qui se transforme rapidement en râle de plaisir lorsque deux doigts viennent visiter ses entrailles pour assouplir l’entrée de son cul. Elle est prête. J’invite le garçon à se relever. Il découvre en aveugle le dos et les fesses tendues de Julie accrochée à mon corps comme une merveilleuse plante grimpante. Il ne met pas longtemps à comprendre que si l’entrée principale est occupée, la porte de service est largement ouverte dans l’attente impatiente d’une prochaine visite. Alors il pose son gland brillant sur la rondelle sombre avant de l’y enfoncer lentement. Je sens contre ma queue le contact de cette seconde bite qui glisse inexorablement dans le cul de ma femme. Nos deux membres sont séparés par moins d’un millimètre de chairs brûlantes d’excitation. Julie m’embrasse brutalement comme si elle voulait étouffer ses cris dans ma bouche. Elle me mord le cou, arrache les boutons de ma chemise pour me griffer le torse et le dos. Elle jouit comme jamais. Je sens contre ma pine tendue à exploser, les soubresauts de la bite qui lui laboure le cul et dont les giclées de sperme chaud inondent ses entrailles. C’est le signal du bouquet final et j’explose à mon tour dans sa chatte brûlante.


C’est fini. Julie reste accrochée à mon cou et à ma taille, tandis que de son con et de son cul coulent nos jus mêlés. Je regarde la chambre où on ne distingue qu’une mer de corps dénudés. Chacun reprend son souffle après une bonne heure de cavalcade échevelée. Il est temps de libérer nos athlètes.



Les couples se quittent visiblement à regret, échangeant un dernier baiser, se chuchotant des mots à l’oreille, convenant peut-être d’une prochaine rencontre un peu plus intime. Puis les jeunes femmes disparaissent dans la salle de bain et les garçons se débarrassent de leur bandeau pour découvrir pour la première fois le cadre de leurs récents ébats. Je leur offre une nouvelle coupe de champagne tandis qu’ils se rhabillent en me remerciant pour cette extraordinaire soirée et en m’assurant de leur disponibilité pour une éventuelle prochaine expérience. Je les raccompagne tandis qu’ils prennent congé de leurs partenaires féminines au travers de la porte de la salle de bain.


Les garçons sont partis depuis plusieurs minutes lorsqu’elles ressortent enfin de la salle de bain, les cheveux trempés et le corps brûlant emballé dans un peignoir ou une serviette de bain. Je les regarde avec admiration, une coupe de champagne à la main. Julie s’avance vers moi et m’embrasse amoureusement sous les lazzis enthousiastes de ses amies qui applaudissent leur Maître de cérémonie et la soirée magnifique qu’il vient de leur offrir. Sa serviette tombe sur le sol et elle reste nue dans mes bras. Elle s’écarte et pose un foulard noir sur mes yeux. C’est mon tour et même si je ne leur en ai rien dit, quel plus excitant fantasme que d’être livré à l’appétit vorace de quatre adorables créature prêtes à tout pour me faire partager leur plaisir.



Nous avons passé la nuit ensemble, tous les cinq dans un lit « king size » bien trop large pour la grappe compacte de nos corps imbriqués. Dans un enivrant ballet de mains, de bouches, de sexes et de jambes emmêlés, j’ai visité tous leurs orifices tandis qu’elles visitaient les miens. J’ai joui plusieurs fois, dessinant des rivières de sperme chaud sur leurs visages extatiques et elles ont fait de même en nous laissant déguster l’élixir de leur jouissance. Puis nous nous sommes enfin endormis, lovés les uns contre les autres, dans la chaleur moite de nos corps transpirants. Au petit matin, je les ai abandonnées discrètement, tandis qu’elles s’étiraient et se caressaient en ronronnant comme des chattes endormies et rêveuses, me demandant si cette soirée avait vraiment existé. J’étais loin de me douter qu’elle n’était que la première d’une longue série.