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Temps de lecture estimé : 6 mn
14/04/10
Résumé:  Une lettre de désir...
Critères:  fh amour voir fellation cunnilingu pénétratio tutu -lettres -amouroman
Auteur : Tolo      
Lettre de désir

Je suis comme dans un rêve grandissant de jour en jour avec toi…


Tes mots à chaque fois m’attisent les sens et le feu me dévore à l’intérieur, se nourrissant de lui-même quand je ne peux te saisir, te toucher, t’embrasser. J’ai une folle envie de t’avoir dans mes bras, de baiser tes paupières, de sentir ton parfum et de plonger dans les délices que ton corps m’apprête.


Tous ces livres lus, ces histoires racontées, toute mon imagination nourrie de mille curiosités et pourtant il a suffit d’un mot de toi pour me faire comprendre la vanité du monde et l’impossibilité d’atteindre la plénitude sans ton concours. Tu as su taire en moi cette douloureuse insatisfaction des sens et fait resurgir ces désirs refoulés des profondeurs de la mémoire à la surface de ma peau auréolée de ton charme.


Je ferme les yeux et te rejoins dans cette chambre où tu me donnes tes rendez-vous amoureux. C’est un doux après-midi de juin et un air portant les parfums floraux alentour se mêle à la douceur du lieu et aux arômes que ton propre corps dégage. Tu m’accueilles dans une belle robe à la couleur unie, un joli gris tirant sur le bleu ou le contraire, je n’en sais trop en vérité, porté à te regarder, admirant ta beauté et ton charmant sourire. Cette robe, j’y reviens quand même, laisse admirer tes épaules sur lesquelles des bretelles fines invitent à toutes les audaces. J’ai envie de toi et tu le sens très vite, à la manière dont je te fais la bise, plutôt un baiser au coin des lèvres, à la manière dont je pose mes mains sur tes épaules et les fait glisser pour dessiner de timides caresses.


Je te regarde et tu baisses les yeux, souriant, jouant à la timide mais laissant glisser ta main dans la mienne. Mon regard se porte sur le canapé en face de nous situé sous une fenêtre aux volets à demi-fermés. Un peu affolé de mon audace mais encouragé par un manque de résistance manifeste de ta part je te montre le chemin et te guide vers ce lieu de passion où je te fais asseoir. Penché sur toi, je prends ta tête entre mes mains et te donne un savant baiser. Ta bouche s’ouvre humide, ma langue y entre et se mêle à la tienne. Tu fermes les yeux et je vais dans ta bouche avec ma langue, je mordille tes lèvres aussi. Il est si bon ce baiser, ces baisers. Maintenant mes mains te caressent les épaules, les bras.


Toujours assise face à moi penché sur toi, tu offres à mon regard les formes de ta poitrine. Je ne peux m’empêcher de glisser la paume de la main droite sous le lobe de ton sein gauche et m’attarder dans une caresse que tu sembles apprécier, m’enlaçant dans tes bras et poussant quelques plaintes de plaisir.


Un plaisir intense commence à m’envahir. Maintenant ce sont mes deux mains qui te prennent les seins et les caressent, frottent par dessus la robe. Mon sexe se durcit sous la toile du pantalon. Tu sembles apprécier mes touchers et m’attirant vers toi, tu me donnes un baiser profond avec ta langue qui remue frénétiquement autour de la mienne. Mes mains quittent tes seins pour, avec l’audace du désir, aller défaire les bretelles de ta robe. Aussitôt comme surgis de profondeurs mystérieuses m’apparaissent tes merveilleux seins que je ne peux m’empêcher d’aller embrasser. Ils sont si bandants, excitants que j’ai envie de m’y baigner, de m’y perdre. Ma bouche en happe les tétons à tour de rôle. Durs à souhait leurs bouts encouragent ma langue à tous les exploits. Je suce, j’embrasse, je caresse. Tes spasmes me font comprendre que bien du plaisir en toi mon activité a provoqué. Je te regarde te trémousser sur le canapé. Tu ouvres les cuisses après avoir laissé glisser la robe par terre. Tu es nue, ni culotte, ni soutien-gorge. Rien que ta nudité délicieuse dans la pénombre rassurante d’un après-midi de juin. Tes cuisses ouvertes, une de mes mains qui glisse et vient caresser et fouiller ton sexe déjà bien humide. Tu n’arrêtes pas de mouiller, mes doigts gluants de ta sève vont et viennent entre tes cuisses.


Oubliant mon propre désir, mon propre sexe en érection, comprimé dans un pantalon trop étroit, je m’agenouille devant toi et maintenant c’est ma tête qui est entre tes cuisses. Mes mains te prennent sous les fesses pendant que ma langue joue sur ton clitoris ou que ma bouche baise tes lèvres rouges du feu de la passion. Tes mains qui me caressaient les cheveux remontent vers tes propres seins, maintenant c’est toi qui te caresses les seins, les tétons avec des doigts que tu mouilles avec de la salive pour mieux les faire aller. Je te sens jouir et ma bouche recueille un torrent de plaisir. Brigitte, tu es belle à voir et me donnes mille envies de continuer.


Maintenant tu es allongée sur le canapé, je me suis relevé et laissant à mon tour tomber mon pantalon, je me mets debout non loin d’une de tes mains qui me caressent le sexe par dessus le slip. Mon vit est dur et ta main le caresse puis le dégage du slip pour le branler avec douceur et parfois énergie vigoureuse. Tu es toujours allongée sur le canapé et comme j’ai soudain envie de mettre mon sexe dans ta bouche, je viens m’agenouiller sur toi, le sexe dressé vient maintenant contre ta bouche, ta langue en lèche le bout. C’est savoureux, suave, tes mains me caressent les couilles et c’est avec un nouvel élan de désir, de plaisir que tu me happes le sexe, tu le fais aller et venir à tel point que je n’en peux plus de me retenir car l’érection est si forte et l’éjaculation imminente. Tu me fais comprendre que tu as envie que je te fasse dans la bouche. Et pendant que tes mains continuent à me caresser les couilles ta bouche me suce une bite furieuse qui va-et-vient dans un rythme de plus en plus rapide. Un puissant jet de sperme se déverse dans ta bouche, mon orgasme est total, j’en frissonne dans tout le corps. Et toi tu avales tout mon sperme pendant que mon sexe perd de sa raideur dans ta bouche. Bien que ma jouissance ait été forte je m’allonge sur toi et viens t’embrasser la bouche, les seins, le ventre. Je me frotte contre toi et à ma surprise je constate que mon sexe redurcit progressivement. Tu m’embrasses les seins et cela me fait un effet immédiat. Tes cuisses ouvertes sont un appel. Tout doucement je rentre dans toi.


Les lèvres de ton con désirant, humide, mouillé, laissent mon sexe entrer sans difficulté. Je vais et viens dans toi, des coups de rein dosés avec intelligence s’accordent avec tes propres mouvements. Je te sens sous moi, les vagues de ton bassin ondulant accompagnent mon plaisir. Faisant durer le plaisir après des changements de rythme, nous faisons maintenant évoluer notre position. Je sors de toi, tu t’accroupis sur le canapé la tête sur le dossier et m’offres ta croupe. Tes fesses sont bien fermes, j’aperçois ta vulve et ta toison. Tout cela provoque mon regard. Je suis debout et m’avance vers ton derrière, mon sexe toujours en érection. Je te prends en levrette, je viens te pénétrer pendant que mes mains te caressent les fesses ou plutôt les empoignent pour les faire aller et venir contre mon ventre. Je rentre profondément dans toi, je vais et je viens dans ton vagin. Une main pendant ce temps, quitte ta fesse pour venir palper un sein, en caresser le téton. Je sens que tu décharges, tu jouis, je t’entends gémir, le plaisir monte en moi très vite et j’ai juste le temps de retirer mon sexe qui dans les soubresauts de l’orgasme vient éjaculer et déverser son sperme sur tes fesses immaculées.


Je t’embrasse et pense fortement à toi…


Ton amant plus que jamais.