n° 13815 | Fiche technique | 16213 caractères | 16213Temps de lecture estimé : 10 mn | 16/04/10 |
Résumé: Sarah m'a dit : "Donne-moi un coup de main, j'ai fait des courses au supermarché et je suis débordée, mon mari est parti en Hollande..." Alors, je l'ai aidée. | ||||
Critères: fh fplusag extracon gros(ses) grosseins groscul voir pénétratio -occasion | ||||
Auteur : Mouss |
Cette histoire s’est déroulée il y a cinq ans, dans la banlieue où je vis, à trente minutes de Paris. Quartier très populaire. Je m’appelle Mouss, j’ai 29 ans aujourd’hui et cette aventure a eu lieu alors que mon pote Kader et moi attendions les résultats de notre concours pour La Poste avant de retrouver la Tunisie, destination touristique, soleil, nanas, thé, plage, enfin la vie quoi…
On se trouve au mois de juin 2005, il fait beau, toutes les couleurs de l’été me donnent envie de jouer le player « bogoss ». Mon pote Kader m’envoie un SMS pour me dire qu’il m’attend au centre commercial chez « Boîtes à frites », un kebab assez tranquille. Je m’habille léger, je me parfume. En descendant, je croise la gardienne d’immeuble qui me fait des compliments sur ma tenue vestimentaire. C’est rassurant pour un jeune homme quand vous n’avez même pas encore mis les pieds dehors. Je passe la porte d’entrée de l’immeuble et là je suis face au soleil, les oiseaux chantent et déconnent dans les airs. Les filles veulent être la-fille-la-plus-belle. Huuummm, the summer time.
Le kebab est à cinq minutes de chez moi. Arrivé à mi trajet, j’entends une voix m’appeler d’un ton doux. Dans ma tête je me dis : « Ça y est, la gent féminine a craqué pour le gentleman du quartier ». Je me retourne et là, j’aperçois Sarah (une des dirigeantes du club de foot de la ville) dans sa voiture qui me fait signe de venir.
Au même moment, mon téléphone qui sonne :
Je vois Sarah qui commence à me faire une tête désemparée.
Kad avait l’air content de s’occuper seul de ces gonzesses. Faut dire qu’elles étaient magnifiques et que j’avais fait tout le travail pour les aborder.
J’avais un peu les boules mais c’était pour une bonne cause.
Je monte dans la voiture et je fais la bise à Sarah.
Pendant de nombreuses années, Sarah a été l’une des dirigeantes du club de foot de la ville. Elle nous a vus arriver en poussin. On était des minots. Petits, on la trouvait un peu chiante mais elle connaissait mes parents et, eux, étaient rassurés le mercredi et le week-end en sachant que nous étions au foot, mes copains et moi. Même à ma dernière année, en équipe première, elle voulait toujours rentrer dans la douche en prétextant des excuses bidons. En minime, la mère d’un copain était même venue la mettre en garde sur ses visites surprises dans les douches. Son fils, bien sûr, jouait avec nous mais il avait la grosse tête. Le père, son mari, était l’entraîneur des juniors et voyait déjà son fils à Lyon alors que ce dernier ne s’intéressait qu’aux filles.
Pour une femme de 47 ans, qui a eu trois enfants, ça doit être dur de passer ses journées sans un coup de fil, sans visite, même le week-end.
Elle m’a rassuré en disant ça car, chez nous, on n’entre pas chez quelqu’un quand les hommes de la maison ne sont pas là, pour éviter tout quiproquo.
Sarah a sa main entre ses cuisses en train de jongler dans la voiture. Il commence à faire chaud et la pauvre est en sueur.
En me disant cela, elle me tient le menton avec la main qui était entre ses cuisses, chaude et humide. Elle est habillée d’une robe noire à bretelles, jusqu’au genou, un t-shirt blanc en dessous et un gilet violet. On peut voir sa grosse poitrine même à travers sa robe ample. C’est une femme ronde, brune, avec des cuisses à stopper un rugbyman. Elle mesure 1 m 78. Elle a de grosses fesses, une cambrure africaine magnifique. Il faut dire qu’elle a toujours été coquine, la Sarah !
On arrive devant l’immeuble et je lui dis :
Sarah n’est pas embarrassée par ce qu’elle a fait dans la voiture. Elle ne rougit pas, au contraire elle assume sans gêne. Ce qui me donne des frissons dans mon caleçon et je ne sais plus quoi penser.
En sortant de la voiture, elle tire sur son gilet au niveau des fesses.
Tout ça commence à me titiller. Puis, en pensant à son fils, à ses filles ainsi qu’à son mari que je connais bien, je me suis dit qu’il fallait rester concentré pour ne pas avoir une grosse bosse dans mon jean.
En la voyant entrer dans l’immeuble, je vois ses fesses se dandiner. Je fixe ses mollets, ses cuisses, sa taille, sa chevelure.
Je commence à décharger la voiture. Il y a cinq gros sacs que j’ai pris d’un trait et deux packs d’eau. Quand j’arrive dans l’appartement, Sarah est aux WC, en train de se lâcher. J’entends le ruissellement de l’urine et quelques pets. Je me souviens qu’il y a des toilettes dans la grande salle de bains et c’est là qu’elle se trouve.
Lorsque j’arrive devant la salle de bains, la porte est entrouverte. D’où je me trouve, je peux voir Sarah assise sur le trône, le sein gauche débraillé et ses grosses cuisses qui bloquent la porte. Je reste figé devant le bout de toison qu’elle offre à ma vue quand je lui donne le sac. Ses grosses cuisses me fascinent et la porte se trouve entre elles. Elle prend le sac en me faisant un clin d’œil.
Dix minutes plus tard, alors que je range les surgelés dans le congélo grand ouvert (histoire de me calmer un peu), elle réapparaît dans une robe de chambre, un peu mouillée du fait qu’elle s’est mal essuyée et sans soutien-gorge. Ses gros seins, qui tiennent encore bien pour une femme de 47 ans, montrent leurs tétons. Je vois sa culotte à travers la robe de chambre. Je commence à bander comme un âne et Sarah lorgne sur mon pantalon. Elle se baisse, s’assoit, monte sur les chaises pour ranger ses courses. Je l’aide à ranger en matant ses nibars et en imaginant sa croupe à travers sa robe.
Elle revient cinq minutes plus tard avec plein de plateaux. On mange au salon sur les canapés assez profonds. Sarah est assise en face de moi. Je peux voir ses grosses cuisses qui cachent son minou mais je vois sa culotte. Je ne sais même plus ce que je mange. On parle de tout et de rien puis vient le moment où elle me parle de mariage, de bien choisir ma future femme.
Je ne sais plus quoi dire, coincé. Elle voit que je mate sa culotte sous sa robe. Pour ça, je suis pas coincé…
J’étais rouge « TESTA ROSSA », pour un black, ça fait bizarre…
À ce moment précis, je voudrais partir, me sauver, fuir mais…
Pour se lever du canapé, il faut qu’elle écarte les cuisses et qu’elle prenne appui avec ses mains. Elle se lève en me regardant, en souriant et en pensant que mes yeux étaient rivés sur son minou.
En arrivant dans la cuisine, elle se cache derrière les rideaux pour regarder la police effectuer un contrôle d’identité sur des jeunes. Pour regarder par la fenêtre sans être vu, il faut que je me colle à Sarah qui me tourne le dos.
Pour voir le spectacle, il faut vraiment que je la colle, sur la pointe des pieds. J’ai peur qu’on m’aperçoive chez elle. Je fais attention. Et à force d’être collé à ses fesses volumineuses, je commence de nouveau à avoir la trique. Sarah s’en est vite aperçue et elle commence à bouger son popotin de gauche à droite pour bien sentir mon bâton de berger à travers sa robe et mon jean.
Comme je suis sur la pointe des pieds, je perds l’équilibre et je me rattrape en posant ma main sur sa hanche. C’est là qu’elle me dit :
Son cul fait des va-et-vient de bas en haut en faisant attention de ne pas se faire voir par les voisins.
Elle commence à gémir tout doucement quand elle me dit :
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je lui empoigne le sein droit et j’accentue le frottement, fortement entre ses fesses et mon glaive. Elle a des frissons. Puis je ne sais pas ce qui me prend, je lui dis :
Je reviens après avoir retiré mon jean et mon caleçon souillé. Elle est toujours à la fenêtre en train de regarder les jeunes s’emboucaner avec les flics. Je soulève sa robe, pour que ma queue soit au contact de sa culotte et je commence par lui faire des bisous dans le cou en lui caressant le minou et en jouant avec ses lèvres. Sa culotte est dans un sale état. Je coince ma bite entre ses cuisses. Avec mes doigts, je frotte mon gland sur son sexe. Du bout des doigts, je lui caresse ses énormes piliers, ses lèvres, son clitoris, j’enfonce un doigt, puis deux…
Ensuite, je lui enlève sa culotte et je retrousse sa robe jusqu’à la taille. Je continue pour avoir un lubrifiant naturel en quantité suffisante sur mon sexe. Elle aime ça… et moi aussi, pardi… Jusqu’au moment où elle me prend Oscar avec sa main pour le mettre directement dans son antre.
Sentir ma clef rentrer dans cette serrure toute chaude, c’est bon !
Les cowboys sont toujours là. Les jeunes aussi, de plus en plus, car ce contrôle n’en finit pas. Je continue à remplir Sarah en douceur mais avec vigueur. Je la tiens par ses grosses hanches quand, tout à coup, elle me dit :
Elle a à peine le temps de se baisser pour prendre la serpillière à l’autre bout de la cuisine, que je l’enfourche sur la table. Son pied sur la chaise, je m’arrête de temps en temps pour lécher sa croupe avec ma langue.
Arrivés dans la chambre, elle me pousse sur le lit, saute sur ma queue et s’empile dessus. Je mordille ses tétons pendant qu’elle s’active sur ma queue. Cette sensation de glisse sur mon « tournailleur », la sueur aidant, son jus qui dégouline tel un coulis de vanille-poire sur deux boules de glace au chocolat, c’est plus sensuel qu’avec les pin-up que je sors.
Alors, elle se redresse pour titiller son bouton rose. Sarah me semble heureuse, épanouie, avec ses gros seins qui sautent partout devant mes yeux, ses cheveux qui bougent dans le sens contraire de sa tête. Elle jouit la première en lâchant toute la cyprine qu’elle a en elle, avec un braillement incroyable.
On se repose avant de remettre ça, dans la salle de bains, devant le miroir, en levrette. Je me revois encore, mes mains sur ses gros pamplemousses. Sa chair qui bouge à chaque assaut me redonne de la force. Et l’image que nous renvoie le miroir ! C’est un moment que je n’oublierai pas.
Au moment de partir, elle me dit :
Alors que je lui caresse les fesses, elle réplique en prenant « Le Libérateur » :
Depuis cette aventure extraordinaire, je ne drague que des femmes mûres avec un poids de 90 kg minimum. Fini les bimbos !
Si ça vous a plu, je peux vous raconter la suite, car la fille de Sarah est passée dans la soirée dormir chez sa mère. On a failli se faire attraper…
FIN