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n° 13821Fiche technique51209 caractères51209
Temps de lecture estimé : 28 mn
22/04/10
Résumé:  Les suites inespérées d'un banal dérapage.
Critères:  fh grp couple uniforme fépilée noculotte fellation préservati double fsodo partouze fouetfesse -extraconj -bourge
Auteur : Propilot            Envoi mini-message
À toute chose malheur est bon !

Ce matin-là, il faisait particulièrement froid. Il faut dire qu’en plein mois de janvier sous nos latitudes, à 4 h 30 sous un superbe ciel étoilé, il ne faut pas s’attendre à des températures tropicales.


J’avais dû dégivrer la voiture qui était recouverte d’un cocon de glace solide et translucide. Glace ou pas, je devais me rendre au travail. Je pestais contre le fait qu’il allait certainement falloir que je fasse dégivrer l’avion avant d’envisager le vol, avec tout ce que cela suppose de contraintes et de perte de temps.


Je me dois de préciser que je suis pilote de ligne, ce qui explique mon départ très matinal à un horaire où dorment encore bon nombre de mes contemporains et, pour certains, de mes passagers.


Les premiers tours de roues de la voiture ne me laissèrent aucun doute sur le caractère pour le moins glissant de la chaussée. En rase campagne, les courants d’air favorisent la création de plaques de verglas dont l’habitude du trajet permet d’anticiper la présence aux endroits caractéristiques.


Je roulais donc tranquillement et avec une prudence que mon âge avancé ne fait qu’accentuer. L’habitacle de la voiture commençait à doucement se réchauffer lorsque, au détour d’un virage particulièrement dangereux, je vis à une centaine de mètres devant moi, une voiture rouge dans le fossé.


Elle ne devait pas être en pareille situation depuis bien longtemps, car le pot d’échappement crachait encore une fumée épaissie par la température glaciale qui régnait. Je me garai sur le bas côté, juste derrière la voiture et après avoir allumé mes feux de détresse et coupé le contact, je descendis pour en savoir un peu plus.


C’est en m’approchant de la voiture que je compris ce qui devait s’être passé. Le véhicule avait très certainement dû déraper quelques secondes avant mon arrivée, car il y avait encore la conductrice à bord.


Au volant, une femme qu’il m’était difficile de dévisager dans l’obscurité était consciente, retenue dans une position très inconfortable par sa ceinture de sécurité. Avant même d’engager le dialogue, je coupai le contact, car le moteur continuait de tourner.


Une fois les feux de détresse allumés, je lui demandai :



Avec une voix faible et peu distincte, elle me répondit tout en tournant sa tête vers moi au prix d’un effort qui se lisait sur son visage.



Tout en posant ma main sur son épaule, je la rassurai :



Restant à ses côtés, malgré la position délicate de la voiture, j’appelai les pompiers.



Voyant que la pauvre femme commençait à grelotter, je pris dans ma voiture le gros manteau qui est toujours sur la banquette arrière.


En la couvrant de mon manteau orné de galons dorés, elle me demanda :



À peine avais-je fini ma phrase, que la pauvre femme perdit connaissance.


Merde ! Me voilà beau ! Qu’est ce que je fais ? me dis-je non sans une certaine inquiétude.



Après quelques secondes, elle rouvrit les yeux.



Au même moment, j’entendis un véhicule au loin. Le temps que je referme la portière, les pompiers arrivèrent. Trois hommes en tenue descendirent du véhicule et l’un d’eux s’adressa à moi :



Pendant ce temps-là, ses deux collègues commencèrent les opérations qu’ils estimaient nécessaires au sauvetage de l’infortunée conductrice. Un peu en retrait pour ne pas déranger, je restais là, les bras ballants, à attendre une éventuelle consigne ou une demande d’aide. Il ne fallut que quelques minutes aux sauveteurs pour prendre en charge la pauvre femme et l’installer au chaud sur le brancard de l’ambulance. Celui qui semblait être le chef vint vers moi.



Une fois le sac à main récupéré et les clefs rangées dans la boîte à gants, le chef des pompiers me remercia pour mon aide et il me demanda :



En fouillant au fond d’une de mes poches, je retrouvai une carte de visite professionnelle que je lui tendis.



Le pompier me remercia puis monta à l’arrière du véhicule de secours.


En regardant la camionnette s’éloigner, je me dis qu’il ne me restait plus qu’une chose à faire : aller travailler !



- ooOoo -




Le printemps pointait le bout de son nez. Je rentrais tranquillement de vol, roulant paisiblement dans la campagne en plein renouveau après un hiver particulièrement rigoureux. Les vols de la rotation de ce matin-là avaient été assez difficiles à gérer, car nous avions eu de nombreux orages à éviter et les conditions météo n’avaient pas été des plus reposantes.


Peu importe, je rentrais chez moi avec le sentiment du devoir accompli. Posé comme à l’accoutumée sur le tableau de bord, le téléphone portable se mit à sonner. Prudent, avant de chausser l’oreillette, je trouvai un endroit pour garer la voiture et ainsi être plus serein pour répondre.



La communication n’était pas de bonne qualité. Malgré tout j’arrivais à percevoir mon interlocuteur.



N’ayant aucune connaissance portant le prénom de Corinne, je l’interrompis :



À l’autre bout l’homme se sentit rassuré d’être au bon numéro.



Je ne voyais pas bien ce que je pouvais ajouter, car finalement, je ne la connaissais pas du tout. Toutefois, j’étais bien aise d’apprendre qu’elle s’en était sortie.


Mon interlocuteur insista :



Un peu décontenancé par la proposition, je bredouillai :



Après tout, je ne risquais rien d’autre que de faire certainement un bon repas et au pire me faire de nouveaux amis.


Je restais malgré tout un peu perplexe face à cette invitation inopinée.



Je réfléchis une seconde et effectivement, je n’avais rien de spécial à faire, sinon que de prévenir mon épouse de cette invitation. Je ne savais même plus si je lui avais parlé de cet incident à l’époque.



Étonné d’une telle promptitude, je m’interrogeai à haute voix :



Bien que la situation m’apparaisse quelque peu surréaliste, j’acceptai de bon cœur l’invitation.



Le temps de prendre un bout de papier et un stylo et je notai l’adresse en prenant soin d’ajouter les indications de mon hôte afin de trouver plus facilement. C’est en prenant l’adresse que je me rendis compte que j’étais en fait à quelques minutes de son domicile.




- ooOoo -




Arrivé à l’adresse que j’avais notée, je dus m’assurer qu’il s’agissait bien du bon numéro, car la maison dont il était question ressemblait plus à un manoir qu’à une bicoque de lotissement. Elle trônait, fièrement installée en plein bourg, à deux pas de tous les petits commerces.


Je me trouvais en fait à quelque cinq kilomètres de chez moi. Comme quoi le hasard fait parfois bien les choses !


Un peu honteux d’avoir garé ma vieille voiture devant pareille demeure, je tirai sur la cloche qui faisait office de sonnerie. Quelques secondes plus tard, la grande porte d’entrée s’ouvrit et un homme d’une quarantaine d’années, de taille moyenne en tenue typique de « gentleman farmer » apparut dans l’encadrement.


Avant qu’il ne descende le perron, il s’adressa à moi avec un grand sourire :



J’étais derrière la grille, l’air un peu idiot, me demandant ce que je faisais là, avec ce désagréable sentiment de faire tâche d’huile dans le décor. Pourquoi avais-je accepté et qu’est-ce que j’allais bien pouvoir leur raconter durant le repas ? À voir ce manoir, l’allure de mon hôte, j’avais le désagréable sentiment que nous n’étions pas du même monde et qu’il ne serait pas facile de trouver des centres d’intérêt communs pour engager la discussion.



Il me fit signe d’entrer d’un large geste et, en me tendant la main, il se présenta.



Dans l’entrée, fastueuse et décorée avec un goût délicat et recherché, habillée d’une petite robe noire au col blanc avec un tablier en dentelle, une jeune servante d’une trentaine d’années m’attendait avec pour mission de me débarrasser de mes affaires. Elle m’aida à me défaire de ma gabardine qu’elle posa délicatement sur son bras tout en me faisant un large sourire de bienvenue. Le maître des lieux referma la lourde porte vitrée de l’entrée et, en posant sa main sur mon épaule, un peu comme pour me mettre plus à l’aise, m’invita à le suivre dans une pièce contiguë.



Étonné par cette dernière affirmation, tout en suivant mon guide je lui répondis avec une certaine modestie.



En entrant dans ce que j’appellerais un boudoir, je fus particulièrement surpris. En effet, à proximité d’une commode sur laquelle était préparé l’apéritif, un homme se tenait debout, les bras dans le dos. Cet homme avait la particularité d’être vêtu d’une tenue typiquement écossaise. Le kilt lui allait très bien.


Ma surprise n’échappa pas à mon hôte.



Le maître de maison s’approcha de Georges et en lui tapotant l’épaule il précisa :



M’adressant directement à Georges :



Pierre coupe court.



Avant qu’il ne termine sa phrase, je repris :



Georges sembla apprécier mon affirmation.



Je poursuivis le fil de mon propos.



Pierre profita alors de cette dernière remarque pour enchaîner.



Sur l’invitation de Pierre, je m’installai sur un confortable fauteuil de cuir de belle facture. Pierre prit place sur le canapé pendant que Georges, devant la commode, s’affairait à préparer les verres et les bouteilles. Avant même que Georges ne me propose une quelconque boisson, la jeune servante ouvrit la porte du boudoir et s’effaça pour laisser entrer sa maîtresse.


Je vis alors entrer une femme magnifique. Pour que tout le monde puisse pleinement profiter de sa beauté, elle resta plantée là quelques secondes. Elle me fixait du regard avec un grand sourire qui en disant long sur la joie qu’elle avait de me voir.


Il m’est difficile de la décrire tant elle était belle. Une beauté qui n’a rien à voir avec les standards que nous imposent les magazines. Une beauté naturelle de femme épanouie. Elle respirait le bonheur et la joie de vivre.


D’une taille moyenne, les cheveux noirs reposant sur ses épaules, juchée sur des talons d’une hauteur respectable, elle portait une robe de couleur sombre qui lui arrivait un peu au-dessus du genou. Si son vêtement ne cachait rien de ses rondeurs, il mettait en valeur une poitrine avantageuse sans excès grâce à un décolleté qui laissait entrevoir la blancheur de sa peau laiteuse.


La relative transparence de la robe et les rayons du soleil en provenance de l’entrée m’offraient insidieusement par transparence le spectacle de ses cuisses et surtout de son entrejambe. À cet instant précis, je ressentis une sorte de picotement dans le bas-ventre ; picotement caractéristique d’une envie qu’il aurait été bien incongru d’espérer assouvir en pareille compagnie.


Je ne pouvais détacher mon regard de cette femme qui, un peu par provocation, se sachant très belle, me regardait droit dans les yeux en souriant.


Pierre se leva et, se dirigeant vers son épouse, il dit :



Ils se vouvoyaient. C’était la première fois que je rencontrais un couple qui se disait « vous ». Manifestement, le milieu social dans lequel ils évoluaient n’avait rien de commun avec le mien.


Il lui prit la main et en la guidant vers moi il ajouta :



Je me levai, un peu décontenancé par cette femme et tout en lui baisant la main je balbutiai.



Nous nous installâmes donc, elle à côté de son mari sur le canapé et moi sur l’un des fauteuils qui leur faisaient face. Nous discutâmes de banalités convenues. Je racontai l’aventure qui m’avait permis de faire connaissance avec Corinne.


Mon hôtesse n’avait de cesse de me fixer droit dans les yeux, hypnotisée qu’elle semblait être par l’uniforme que je portais. Ceci ne l’empêchait pas de croiser et décroiser régulièrement ses jambes, ce qui, compte tenu de la faible longueur de sa robe, me permit d’entrevoir qu’elle portait des bas. De vrais bas de soie avec un porte-jarretelles noir du plus bel effet.


Au bout d’une bonne demi-heure, les effets de l’alcool aidant, les discussions dérivèrent doucement sur des sujets que l’honnêteté et la décence interdisent d’évoquer dans ce milieu, du moins le croyais-je.

C’est Corinne qui initia un sujet délicat, avec une certaine finesse.



Je la voyais venir avec ses sabots. Je fis mine de ne pas bien saisir le fond du propos.



Georges qui s’était éclipsé interrompit cette discussion, bien malgré lui, en entrant dans la pièce pour annoncer que le repas était servi. En maître de maison avisé, Pierre partit en éclaireur dans le séjour pour s’assurer que tout était en ordre. Corinne et moi nous nous dirigeâmes tranquillement vers la pièce dans laquelle le couvert était dressé. En passant son bras sous le mien, elle me souffla à l’oreille :



Lorsque nous entrâmes dans le séjour, Pierre était debout derrière la chaise qu’il envisageait d’occuper. En retrait, derrière Pierre, nous tournant le dos, la jeune servante était penchée pour ramasser un ustensile quelconque qui avait dû tomber de son plateau d’argent. Mon regard s’arrêta alors sur la croupe que cette jeune femme offrait bien involontairement à la vue de tout le monde. Du moins le croyais-je. Je ne pus que constater qu’en plus de ne pas porter de culotte, elle était totalement épilée et sa posture ne semblait pas la gêner outre mesure, ni elle ni personne d’ailleurs.


La maîtresse de maison, toujours accrochée à mon bras, dédramatisa la situation.



Pierre se retourna et compris ce qui s’était passé. Aussi, pour aller dans le sens de son épouse, il ajouta :



Comment devais-je prendre cette dernière remarque ? Je commençais à m’interroger sur la suite de ce repas qui n’avait pas encore commencé. Que voulait-il dire par « volontaire et appliquée » ?



- ooOoo -




Les mets qui me furent proposés durant le repas étaient des plus délectables. Pas une fausse note ! Que du raffinement de grande classe.


Les discussions allaient bon train et, au fil des plats, les propos devenaient de plus en plus tendancieux, pour ne pas dire osés. Était-ce là les effets de l’alcool ? L’avenir me démontrera que cette dérive était initiée à dessein et qu’elle n’avait rien à voir avec les effluves du vin que Pierre n’avait de cesse de verser dans mon verre.


Si le vin de qualité coulait à flot, j’étais encore suffisamment lucide pour observer un rituel très particulier et manifestement bien rôdé. Georges ne servait les plats qu’à Corinne, alors que la jeune servante réservait son service à Pierre et à moi. En observant avec un peu plus d’acuité le manège, je m’aperçus que lorsque Georges se penchait pour servir Corinne, cette dernière avait la main qui explorait le dessous de son kilt, le plus discrètement possible et ce sans que Georges n’en soit affecté d’une quelconque manière. Pierre avait manifestement la même habitude envers la jeune servante, sans que cela la dérange.


La discussion ayant atteint son apogée dans le domaine des relations intimes entre les hommes et les femmes, je me permis de poser la question qui me taraudait.



Corinne et Pierre se regardèrent et éclatèrent de rire en prenant soin de mettre leur serviette sur la bouche. C’est Pierre qui avec un grand sourire finit par m’expliquer ce qu’il en était.



J’avais donc été invité dans une maison dans laquelle le libertinage faisait loi. Dire que j’étais à l’aise serait exagéré, mais l’idée même du libertinage n’était pas faite pour me déplaire. Aussi, je comprenais mieux la tenue de la jeune servante et le port du kilt que Georges semblait défendre comme étant une tradition ancestrale.


Je n’avais encore rien vu et la situation se débrida lorsque nous passâmes au salon pour le café et les liqueurs.



- ooOoo -




Le salon dans lequel Corinne me guida, toujours accrochée à mon bras, était aménagé d’un certain nombre de canapés bas et autres poufs du plus bel effet. La décoration du style fin XIXe et l’aménagement ne laissaient aucun doute sur l’usage premier de cet endroit. L’histoire m’apprendra plus tard que ce fameux salon avait été le lieu de parties de jambes en l’air les plus mémorables, selon les dires mêmes de mes hôtes.


Au milieu de la pièce, sur une magnifique table basse, était posées cinq tasses et plusieurs cafetières fumantes distillaient une bonne odeur de café. Sur les trois commodes qui agrémentaient ce salon de luxure, de belles serviettes ouvragées étaient empilées à côté d’un récipient largement évasé dans lequel on pouvait apercevoir des préservatifs, ce qui laissait présager que les festivités que je n’imaginais même pas me réserveraient quelques surprises de taille !


Pierre prit place sur l’un des canapés et Corinne s’installa tout contre moi sur celui qui faisait face à son époux.



Je voyais bien sur quel terrain il voulait m’amener.



Se retournant vers la jeune servante, il lui demanda de nous servir le café. La jeune femme s’approcha de la table basse et se pencha pour servir dans les tasses le breuvage brûlant. Tel que j’étais installé, j’avais une vue panoramique sur son séant avec force détails compte tenu de la faible distance qui me séparait d’elle.


Pierre, qui faisait face à la servante, me demanda en souriant :



En m’approchant un peu plus, effectivement, je pus voir une sorte de pastille d’une couleur bleue, un peu translucide, placée exactement sur l’anus de la jeune femme.



Corinne s’approcha de mon oreille et me souffla délicatement :



Je compris que Clotilde, la jeune servante, devait se préparer à subir les assauts du maître de maison. Certainement une habitude des lieux.



Dire que la question me mit mal à l’aise est un doux euphémisme. Aussi, ma température interne commençant à augmenter notoirement, je me levai et retirai ma veste d’uniforme pour me rasseoir aux côtés de Corinne.



En tournant la tête dans ma direction, Clotilde confirma avec enthousiasme.



Georges entra dans la pièce avec une boîte de cigares.



Après avoir posé la boîte sur la table basse, Georges se redressa et répondit fièrement :



Je comprenais mieux pourquoi cette première escale fut pour Georges le terminus de son tour du monde. Je sentais Corinne électrisée par ma chemise d’uniforme et par mes galons. Elle était collée à moi et après m’avoir presque totalement déboutonné, elle caressait mon torse.



Sans prendre la peine de répondre à son mari, Corinne s’allongea sur mes genoux tout en m’encourageant.



Je me retrouvai avec une femme magnifique, offerte et volontaire, prête à recevoir une fessée qu’elle prétendait mériter et qui pour moi était bien une première. Elle était cambrée et je la sentais se trémousser dans l’attente de sa punition. Je posai timidement ma main sur ses chevilles et, lentement, je remontai ses jambes en suivant la couture de ses bas de soie. Lorsque ma main arriva au bas de ses fesses, je constatai qu’elle avait adopté la même tenue que Clotilde.


En relevant sa robe sur sa taille, je découvris une magnifique paire de fesses blanches ; fesses bien formées sur lesquelles reposaient seulement le porte-jarretelles noir qui accentuait le contraste de la blancheur de sa peau. Elle écarta suffisamment ses jambes pour me permettre de constater qu’elle était, elle aussi, totalement épilée. Tout en caressant les lobes de son séant, je la rassurai sur la beauté de ses formes.



Je parcourais lentement de ma main toute la surface de ce magnifique postérieur. Je profitais de la cambrure adoptée par ma future victime pour immiscer un doigt dans la fente béante qu’elle me présentait. Je sentais son clitoris fièrement gonflé et chaque fois que je l’effleurais, Corinne tressautait en écartant un peu plus les jambes. En remontant, je m’arrêtais sur son petit trou noir, dessinant de mon doigt son périmètre et essayant d’y insérer une phalange, juste pour apprécier la tenue de son muscle protecteur.


Après quelques caresses délicates, je lui infligeai une fessée sans violence, mais avec suffisamment de fermeté pour que sa peau devienne rose d’envie. Elle jouissait à chaque claque. Elle en redemandait. Je ponctuai la punition par d’autres caresses tant sur la longueur de sa fente que sur son petit trou rugueux, qui progressivement montrait de moins en moins de réticence à l’insertion de mon doigt.


Pierre ne resta pas inactif. De son côté il avait empoigné Clotilde qui subissait le même traitement que sa maîtresse. Elle se faisait fesser avec un plaisir qu’elle ne cherchait même pas à masquer. Elle aussi appréciait cette punition. Avec son plug dans l’anus, chaque claque décuplait son plaisir par l’onde de choc qui se propageait jusque dans ses entrailles.


N’ayant aucune vocation de voyeur, Georges s’approcha du visage de Clotilde et, relevant son kilt, il lui présenta son sexe d’une taille imposante. Clotilde, qui avait déjà quitté le monde réel, lui prit la verge et l’engloutit sans sourciller. Elle avait dans la bouche toute la longueur de la hampe de son collègue. Elle faisait des va-et-vient qui semblaient réjouir l’Écossais que la nature avait gratifié. Elle le masturbait avec des gestes amples accompagnés de caresses labiales qui démontraient une certaine habitude et une dextérité que l’on souhaiterait voir acquise par toutes les femmes. Elle aimait ça, c’était manifeste.


Ce spectacle me désinhiba complètement. Ayant estimé que la couleur des fesses de ma partenaire avait atteint la densité maximale de son désir, j’explorai plus avant les deux trous de la fente échancrée que m’offrait Corinne. Sa grotte magique ruisselait abondamment d’une substance à la fois laiteuse et fluide. Ceci me permit de faire entrer la presque totalité de ma main, gardant mon pouce pour son anus qui n’offrait plus guère de résistance.


Je tenais la belle par ses deux trous dont je caressais l’intérieur en faisant se rejoindre mon pouce et mes doigts, séparés juste par une fine barrière de peau. L’intensité du plaisir qu’elle vivait m’était confirmée par les gémissements rauques qui sortaient de sa gorge.


Bien campée sur ses genoux, les fesses hautes, elle s’attaqua à mon pantalon. Tout en jouissant, avec un calme et des gestes parfaitement contrôlés, elle ouvrit ma braguette et enfourna mon sexe qui n’en pouvait plus d’être enserré dans mon boxer.


De ma main libre, je retirai mon pantalon et, en écartant les jambes, je lui offris mon orgueil qui se dressait vers le ciel. Corinne n’était pas une novice dans le domaine de la fellation. Elle savait faire et elle aimait ça. Rien à voir avec certaines femmes qui se prétendent des spécialistes de l’exercice et qui vous prennent du bout des lèvres en faisant une grimace dégoûtée.


Elle, c’était différent. Elle engloutissait la longueur de ma verge allant jusqu’à pousser au delà des limites de sa cavité buccale. Je sentais mon gland pénétrer jusque dans sa gorge. Chaque fois qu’elle déglutissait, je prenais une décharge électrique dans le bas-ventre. Jamais on ne m’avait honoré de la sorte.


Pierre et Georges n’étaient pas en reste. Ils s’occupaient de faire hurler la belle Clotilde. Elle était à califourchon sur Pierre et faisait coulisser son sexe par de grands mouvements du bassin, tandis que Georges, qui avait délibérément renoncé à garder son kilt, pilonnait son petit trou noir en la tenant fermement par les hanches. Elle avait la tête rejetée en arrière, mettant ainsi en avant ses seins à l’aréole brune et large de désir, que Pierre malaxait avec conviction.


Ne souhaitant pas me répandre dans la gorge de la belle femelle qui s’occupait de mon plaisir, je relevai juste à temps la maîtresse des lieux pour lui proposer ce que je projetais maintenant depuis de longues minutes.



En même temps que je lui faisais cette proposition, je lui retirai sa robe. Son soutien-gorge noir et son porte-jarretelles la rendaient encore plus désirable. Elle me mettait dans un état de surexcitation que je n’avais jusqu’alors jamais ressenti. Ses seins blancs et lourds laissaient poindre ses tétons au travers de la fine dentelle noire. Ses rondeurs ne faisaient qu’amplifier sa beauté. Elle rayonnait tant elle était désirable.


Sans aucune pudeur et tout en tenant fermement mon sexe dans la main, elle me fixa droit dans les yeux et m’intima l’ordre de la sodomiser en des termes et sur un ton dominateur que je n’aurais jamais imaginé qu’ils puissent sortir de sa bouche.



Un peu décontenancé par la violence de sa demande, je restais là, les bras ballants, sans trop savoir comment j’allais m’y prendre ; ma première expérience en la matière n’ayant pas été des plus fructueuses.


Avant même que j’aie le temps de réfléchir plus avant, elle prit les affaires en main.



Georges, qui n’avait pas l’habitude d’aller à l’encontre des désirs de sa maîtresse, laissa Clotilde dans les bras de Pierre. Ce dernier profita du départ de Georges pour mettre sa servante à quatre pattes et prendre la place encore chaude qu’occupait son majordome quelques secondes auparavant. Il se mit à sodomiser la belle jeune femme avec une ardeur que lui envieraient bon nombre de mes congénères. La belle ne se fit pas prier. Elle hurlait de plaisir.


En attendant que Georges se mette en place et qu’il chausse un autre préservatif, Corinne se chargea de délicatement protéger ma verge turgescente qui n’en pouvait plus d’attendre la libération finale. Ses gestes étaient mesurés, car elle savait que j’étais au bord de l’extase.


Notre majordome écossais s’allongea sur le canapé, sur le dos, attendant Corinne qui ne put s’empêcher de me reprendre dans la bouche quelques instants pour lubrifier de sa salive le préservatif.


Elle finit par s’installer à califourchon et dès lors que le sexe volumineux de son serviteur disparut en totalité dans sa grotte intime, elle se retourna vers moi en m’invectivant.



Je m’approchai de sa croupe et, faisant glisser mon gland sur sa fente dans un mouvement vertical allant de haut en bas, je fis délicatement entrer toute la longueur de mon sexe dans le trou que j’aurais supposé bien plus résistant. À peine avais-je posé le bout de mon gland sur l’entrée de la cavité interdite par la morale bienséante et bien pensante que son muscle se décontracta d’un seul coup, m’offrant ainsi la possibilité de m’insérer sans aucune difficulté.


J’étais comme happé par son ventre. Elle arrivait par ses mouvements à me masturber avec son anus. Je sentais au travers de la fine paroi le sexe respectable de mon coreligionnaire écossais qui ne ménageait pas sa peine pour le plus grand plaisir de notre partenaire.


Ayant trouvé le bon rythme, nous la pilonnions de concert jusqu’à la garde. Je me tenais à ses hanches à chaque coup de boutoir. N’y tenant plus et voyant le mouvement alternatif que suivaient ses fesses, je claquai de façon aléatoire son fessier, sans brutalité, juste pour pimenter le plaisir que j’avais de sodomiser une femme du monde. Non seulement elle se faisait prendre par les deux trous, mais en plus elle se faisait fesser comme une gamine qui avait fait une bêtise. Que du bonheur !


N’en pouvant plus de me retenir, je lui pris les seins bien fermement et je jouis au plus profond de son bas-ventre. Elle criait nos prénoms à chaque aller-retour. Elle n’était plus parmi nous, elle était sur sa planète de la jouissance.


Après être resté quelques secondes immobile, exténué par l’effort que j’avais dû fournir, je me retirai de sa croupe avec une pointe de déception de n’avoir pas tenu aussi longtemps que je l’aurais souhaité.


Georges continuait d’honorer sa maîtresse. Sentant que je n’étais plus en elle, Corinne se dégagea et, après avoir retiré l’enveloppe de caoutchouc, fit jouir son écossais de majordome dans sa bouche. Elle ne laissa pas échapper une goutte de ce liquide aussi précieux qu’un vieux whiskey écossais. Elle se délectait tout en se caressant le bouton magique. Elle était insatiable.


Pierre arrivait lui aussi au terme de sa jouissance. Il était là, crispé sur les hanches de sa jeune servante, la tête en arrière, les yeux fermés, appréciant toute la quintessence du bonheur qu’il venait de vivre.


C’est en me retournant vers Corinne que je sentis une main me caresser le sexe.


En ouvrant les yeux, je reconnus cette voix…



Ma femme venait d’allumer la lampe de chevet et, comme elle en avait l’habitude, pour me donner le courage de me lever elle me caressait l’intimité allant quelquefois jusqu’à me prendre dans sa bouche quand je faisais montre d’une mauvaise volonté évidente.



Bigre ! J’avais juste rêvé ! J’avais fait le rêve le plus érotique de ma vie !


L’image de cette femme dans sa voiture accidentée quelques mois auparavant m’avait manifestement marqué depuis tout ce temps sans que je m’en rende compte.


Ce n’était malheureusement qu’un rêve et cela ne devait pas m’empêcher d’aller travailler.



- ooOoo -




De retour de cette nouvelle journée harassante, je me réjouissais à l’idée de serrer dans mes bras ma petite femme pour terminer ce qu’elle avait commencé au réveil. Je repensais malgré tout à ce rêve que j’avais fait la nuit précédente lorsque mon téléphone portable se mit à sonner. Comme d’habitude en pareille situation, j’essayai rapidement de trouver un endroit pour me garer avant de répondre. Une fois arrêté et en toute sécurité, je répondis avec l’oreillette bien calée au creux de l’oreille.



La communication n’était pas de bonne qualité. Malgré tout j’arrivais à percevoir mon interlocuteur.




- ooOoo -