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De nouvelles aventures en classe préparatoire

Romain était un beau jeune homme de dix-huit ans. Cheveux bruns coupés courts, joueur de tennis très doué et le tout accompagné d’un sourire brillant. Venant d’avoir le baccalauréat en juin, il avait décidé de rejoindre une classe préparatoire et avait été accepté dans une d’entre elles. Ce n’était pas la plus prestigieuse mais c’était déjà un bon point de départ.

Autre point positif de cette classe préparatoire, c’était celle qu’avait rejoint son meilleur ami Fabien. Excellent élève en physique, il avait toutes les qualités pour être accepté dans toutes les grandes écoles qu’il voulait viser et était toujours d’un caractère modeste et sobre. Une nouvelle vie commençait et il était presque temps de l’inaugurer puisque l’été touchait déjà à sa fin. Les rayons adamantins du Soleil étaient encore puissants mais les vents rafraîchissants du mois de septembre calmaient la température lyonnaise.

La rentrée était programmée le 8 septembre et ce jour-là Romain s’était préparé dans une tenue normale, dans son style : t-shirt plutôt court, jean faisant apparaître par moment un boxer peu discrètement bigarré de couleurs, chaussures à la mode. Il arriva devant le grand bâtiment où se situait le lycée où il avait été accepté. C’était un complexe immense où se distribuaient plusieurs petites zones : la zone lycée, la zone prépa, la zone documentation. Perdu dans ce grand espace, il commença à regarder toutes les personnes dans la cour, la plupart se connaissant et discutant entre elles.

Vous avez déjà dû connaître ce sentiment d’être dans un lieu inconnu, seul, sans avoir personne à qui parler et voyant toutes les autres personnes déjà en groupe discutant gaiement. Stressé par ce nouvel environnement, Romain passa un coup de fil à Fabien, il n’était toujours pas arrivé et ne répondait pas.

Prenant son courage à deux mains, il commença à déambuler autour de l’espace mis à leur disposition puis vint s’asseoir sur un banc, regardant léthargiquement les personnes parler.

Romain fut vite réveillé de sa torpeur par une tape énergique de Fabien. Il était là en chair et en os, un beau jeune homme blond, très bien proportionné et athlétique. Tout aussi doué en maths qu’en sport, il avait toujours été un modèle pour Romain et les deux amis étaient inséparables depuis des années. Fabien souriait et Romain aussi, cependant ce dernier était plus que gêné. Il avait eu une érection monumentale au moment où son ami l’avait salué. Reprenant ses esprits, il lui demanda comment il allait puis la situation se calma dans son jean. Il ne comprenait pas vraiment la situation mais c’était plutôt incontrôlable et chassa ces idées de son esprit.

La cloche fit un bruit tonitruant et la boule au ventre des élèves de classes préparatoires reprit de plus belles : les cours allaient commencer.

La journée fut rythmée par les enseignants qui se présentèrent rapidement et chaque élève avait reçu un lot de livres tous plus épais les uns que les autres. Cette journée de rentrée s’acheva à seize heures et les deux garçons sortirent en même temps de la salle de cours.

Romain prit la parole une fois sortis des couloirs du lycée :

• — Fabien, ça tient toujours l’invitation que je t’ai proposée pour que tu viennes dormir à la maison ?

Fabien esquissa un sourire avec sympathie et dit :

• — Ouais, je viens à dix-huit heures !

Très souvent, les deux amis s’invitaient pendant les périodes scolaires pour pouvoir jouer à la console, profiter de moments privilégiés pour discuter de tout et de rien. Se séparant à la sortie du lycée Romain rentra chez lui. Ce n’était pas très loin, quelques minutes de marche et il fut arrivé.

Il ferma la porte puis fut plongea dans ses pensées. Aujourd’hui, en revoyant Fabien, il avait eu une érection monumentale, au même moment où il lui avait tapé le dos assis sur le banc. Hétérosexuel, Romain pensait qu’il avait un penchant bisexuel depuis quelques temps mais jamais avec son meilleur ami. Il n’avait pas pu y penser pendant les cours mais maintenant cela prédominait toutes ses réflexions même les plus basiques.

Ses parents étaient absents, sa mère enseignante de Lettres était en conférences et ne dormait pas à la maison et son père physicien était dans son laboratoire de recherches jusqu’à tard le soir. Il était donc seul à la maison.

Romain regarda sa montre : 17h59.

Il avait commandé des pizzas et s’étaient assis sur le canapé et avait même sorti ses affaires de Maths pour voir si ses exercices donnés le matin étaient justes. Il regarda par la fenêtre pour guetter son ami.

Fabien sonna à la porte quelques minutes plus tard.

Ouvrant la porte avec un grand sourire, il vit Fabien habillé de la même manière que le matin.

• — Hey, Rom ! Bon, j’ai pris mes Maths car j’ai pas réussi à finir quelque chose, fut sa première phrase.

Romain sourit, essaie de se contenir mais voilà que l’érection, qui le hantait dans la cour du lycée à la venue de Fabien, reprit de plus belle. Le genre d’érection qui vous cloue, immobile au milieu d’un hall en regardant un peu bêtement votre interlocuteur.

• — Ok, installe toi au salon, le temps que je ferme la porte.

Fabien rentra dans la maison, il n’était pas très chargé mais avait ses affaires pour dormir. Romain reprit le contrôle de soi-même pour se calmer.

La soirée passa rapidement, ils s’aidèrent pour leurs devoirs de Maths qui avaient causés bien des soucis à l’excellent Fabien et beaucoup moins à Romain qui semblait avoir maîtrisé les premières données de la classe préparatoire. Ils dévorèrent les pizzas commandées en début de soirée. Ils allèrent se coucher après avoir regardé un feuilleton dont l’intérêt culturel était plus que limité.

Les deux jeunes hommes se déshabillèrent car ils avaient l’habitude de dormir en caleçon. Dévoilant deux corps athlétiques, ils n’avaient aucune honte à se regarder en temps normal car il n‘y avait aucune gêne entre eux. Cependant, Romain et son érection voulaient se rendre discrets pour ne pas éveiller de soupçons de la part de Fabien et ainsi perturber leur soirée sympathique. Après s’être lavé les dents, il se plongea dans son lit en faisant mine d‘être très fatigué avant de dire d’un air enjoué :

• — Bonne nuit, Fab !

Fabien était installé au pied du lit dans un sac de couchage. Le caleçon multicolore de Romain était gonflé par sa verge qui semblait vouloir exposer en contemplant le corps magnifique de son ami en boxer installé dans le sac de couchage encore ouvert. Il était magnifiquement bien bâti et le jeune homme était subjugué par une telle beauté qu’il n’avait jamais appréciée de la même manière avant ce jour. Des pectoraux à croquer, des tablettes de chocolat aussi délicieuses et un torse magnifique.

Fabien, habillé de son simple caleçon bleu marine, souhaita bonne nuit à son ami puis se glissa dans son sac de couchage. La lumière éteinte, les minutes passèrent puis Romain entendit les premières somnolences de son ami.

Son érection le malmenait toujours et il décida de prendre les choses en main. Baissant son caleçon, il commença à se masturber tranquillement sans faire de bruit. Très excité, il sentait la jouissance toute proche mais il sursauta en entendant la voix de Fabien. Il n’était pas endormi ? Romain devint rouge écarlate. Fabien dit alors :

• — Alors, tu t’astiques bien ?

Sa voix était taquine, les deux amis n’avaient aucun mal à parler de sexualité en temps normal et ils avaient même faire l’expérience de parler de leurs conquêtes au lit des plus belles jeunes filles du lycée. Romain fut pris d’un violent mal de tête, et esquissa une réponse rapide :

• — Ouais, je me suis pas branlé depuis une semaine, désolé… Bonne nuit Fab.

Fabien rétorqua :

• — Tu peux continuer, te gêne pas.

Cependant, Romain était réellement mal à l’aise. Il remit son caleçon, se retourna puis tomba dans les bras de Morphée pour éviter tout problème face à son meilleur ami.

La nuit avait enveloppé la chambre d’un doux halo lunaire passant par les interstices des volets. Romain fut réveillé par une sorte de mouvement autour de son torse et il crut être dans un rêve. Il ne fit pas attention. Puis, sentant qu’on touchait sa verge à travers son caleçon, il se réveilla et sursauta violemment.

Il trouva Fabien, à califourchon sur lui qui commençait à toucher son boxer.

• — Fab’, tu fous quoi là ? dit-il d’un air gêné.

Son ami était un peu mal à l’aise mais lui rétorqua :

• — Écoute, je t’ai empêché de te branler tout à l’heure en te surprenant. Alors, j’essaie de me rattraper.

Un grand silence entre les deux amis vint interrompre la discussion puis un éclat de rire partagé. Mais ce rire n’était pas jovial mais plutôt glacé de peur de se lancer dans quelque chose qu’ils ne contrôlaient pas du tout. Fabien ajouta d’un air sérieux :

• — Bon, mec, j’ai vu que tu bandais quand tu m’as vu ce matin, encore quand je suis arrivé et tu te branles quand je suis au pied de ton lit. Faut se rendre à l’évidence, t’es bi.

Romain rougit puis lui dit :

• — En tout cas, c’est pas moi qui suis à califourchon sur mon meilleur pote ! Si je suis bi, tu l’es tout autant !

Fabien fit mine de ne pas avoir compris puis dit :

• — Bah, écoute, je crois que j’en ai envie depuis assez longtemps, en fait. Ça restera notre secret, on s’en fout.

Fabien commença à enlever le boxer de son ami puis fit sortir la verge décalottée de ce dernier. Romain possédait un équipement d’une taille normale mais assez large. Elle n’avait aucune proportion digne des plus grands films pornographiques mais Fabien fut légèrement surpris. Il commença à la branler doucement ce qui fit immédiatement gémir Romain. Accélérant ses mouvements, l’athlétique Fabien modula sa main autour de la verge pour donner plus de plaisir à son ami. Une nuée de plaisir arriva dans les poumons de Romain, c’était une sensation extraordinaire et il voulait que le moment s’éternise.

Après avoir continué quelques minutes cette masturbation, Fabien dit d’un air gêné :

• — Désolé Romain, mais j’en ai trop envie depuis quelques mois.

Fabien s’approcha de la verge de Romain puis la plongea dans sa bouche. Son ami hurla de plaisir, un gémissement rauque viril, d’un hétérosexuel muant en un bisexuel heureux. Fabien était hanté par le désir de bien faire et tailla une pipe d’exception à Romain dont la gêne avait disparu se laissant aller aux mouvements de son meilleur ami. Le blondinet continua sa fellation en incluant des mouvements plus rapides de sa langue autour du gland violacé, s’attardant même dessus pour faire crier toujours plus fort Romain. Même si c’était la première fois que Fabien suçait quelqu’un, il semblait naturellement doué, jouant même avec les bourses de son partenaire qui n’en était que plus satisfait.

Ce dernier était au septième ciel, en une journée, tout avait changé et cela pour son plus grand plaisir.

Cependant, peu habitué aux relations aussi excitantes, Romain arriva au bout de quelques minutes au bord de la jouissance. Il le fit savoir par un grognement qui suivait des paroles assez directes :

• — Je vais exploser, Fab, fais gaffe. Je vais pas pouvoir me retenir !
• — Au point où on en est, jouis sur moi ! lui répondit Fabien avec un air excité mais canalisé par une respiration lente et calme.

Sortant la verge de son ami de sa bouche, il se releva un peu et laissa à Romain le plaisir de se branler énergiquement pour donner le final de ce concerto de plaisir. Romain ne tarda pas, il déversa de longs jets de sperme, épais, en hurlant à en réveiller tout voisin endormi. Sa semence percuta le torse musclé et imberbe de Fabien qui semblait apprécier de voir ce sperme réparti sur sa musculature. Au bout de quelques secondes, il avait terminé de se répandre et reprit son souffle.

Il ajouta une poignée de secondes après :

• — C’était extraordinaire Fabien. Mes burnes étaient remplies, et j’avoue que je regrette absolument pas.

Fabien constata avec un plaisir non dissimulé :

• — Bah écoute, j’ai l’impression que tu as pris ton pied, en effet !

Romain essoufflé, regarda son ami puis lui dit :

• — J’ai envie de te rendre la pareille. Je peux ?

Fabien alla se caler sur la porte de la chambre de Romain. Il était debout, contre la porte en attendant avec un regard pervers amusé :

• — Ouais, j’attends ma pipe, monsieur !

Rigolant, Romain s’avança puis s’agenouilla, sa verge commençait déjà à reprendre de la vigueur bien que venant d’éjaculer. Il était stressé, beaucoup plus qu’avant de rentrer dans le sanctuaire des classes préparatoires ce matin. Romain s’étaient agenouillé, il toucha le fin tissu de ce boxer qui cachait un pénis déjà en érection et dont la taille l’inquiétait de plus en plus. L’enlevant sans aucune délicatesse, une verge d’une taille normale sortit et percuta son nez. Sa taille était similaire à la sienne, peut-être un peu plus grande mais de la même épaisseur.

Romain commença à la prendre dans sa main et branla avec une énergie mesurée son ami. Voyant que l’effet était agréable pour Fabien, il continua quelques minutes en contemplant son corps qui l’avait fait bander ce matin. Il était réellement beau et ses cheveux blonds renforçaient cette impression de beau gosse qui faisait craquer toutes les filles… et certainement certains garçons !

Passant à la vitesse supérieure, Fabien lui dit alors en rigolant :

• — Allez, j’ai demandé une pipe Romain !

Romain rigola aussi, Fabien était toujours d’une nature taquine et même dans une situation nouvelle, il n’hésitait pas à être très drôle. Le jeune homme approcha doucement sa bouche de la verge de son ami puis fit entrer la bête de son ami. Le goût était plutôt étrange, mais c’était très agréable, son gland était saillant et le toucher avec sa langue semblait procurer un plaisir non dissimulé par des gémissements rauques. Fabien prit la tête de Romain en main et modulait ses mouvements tantôt plus rapides, tantôt plus lents. Il s’appliqua, voulant faire au mieux comme Fabien l’avait fait pour lui il y a quelques minutes mais la tâche était difficile. Le gros matériel en bouche était difficile à manipuler mais Romain prit le rythme rapidement. Fabien semblait apprécier au plus haut point le traitement, collé contre la porte, il était en train d’hurler pendant que son amant continuait ses mouvements en accélérant. Romain prit en bouche les bourses de son ami et le fit hurler de plaisir, lui faisant serrer ses mains autour de ses cheveux.

Continuant sa pipe, le jeune homme remarqua que Fabien semblait sur le point de jouir, en relevant la tête, il vit son ami avec une tête qui prouvait un orgasme imminent.

Il retira sa bouche et laissa son partenaire se masturber. Quelques mouvements puissants autour de sa verge plus tard, Fabien déversa une jouissance qui remettait au rang de « petit joueur » l’éjaculation de son ami il y a quelques minutes. Des puissants jets de sperme vinrent percuter le visage de Romain, son torse et abondamment ses abdominaux car Romain s’était relevé entre temps.

Fabien, essoufflé, s’écroula sur le sol. Romain, content d’avoir fait jouir son ami, lui dit :

• — Mec, tu t’es pas branlé depuis combien de temps ? T’as éjaculé comme quatre.
• — Depuis hier, mais c’était trop bon ! On est des pros de la fellation sans le savoir, rajouta rapidement son partenaire

Romain et Fabien se regardèrent. Un air souriant sur leurs visages.

• — On a fait une connerie, tu crois ? dit Romain.
• — Non, et je t’assure que j’ai besoin qu’on le refasse… Le plus vite possible. rétorqua rapidement Fabien.

Ils rigolèrent en chœur, un rire nerveux. Les deux jeunes hommes étaient devenus bi et étaient prêts à passer des caps bien plus entreprenants.

Remettant leurs caleçons respectifs, les deux garçons s’endormirent, fatigués de leurs fellations à l’orée de cette rentrée en classe préparatoire.

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