n° 13827 | Fiche technique | 21398 caractères | 21398Temps de lecture estimé : 13 mn | 25/04/10 |
Résumé: Comment j'ai enfin assouvi mon phantasme et croisé la femme dans toute sa splendeur. | ||||
Critères: fh fplusag grosseins groscul poilu(e)s campagne intermast fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Iluvcurvs Envoi mini-message |
Nous sommes le 6 avril, lendemain de Pâques et l’histoire s’est passée il y a quatre jours, tous les détails en sont clairs et m’émoustillent encore.
Dressons d’abord le tableau, je m’appelle Jean-Pierre, 38 ans. Je suis ce qu’on appelle un faux mince, aimant la bonne table et le très bon vin, j’en ai d’ailleurs fait mon métier, j’ai quelques kilos en trop mais les porte bien, qui plus est ma grande taille, mes larges épaules, mon grand sourire et mes yeux malicieux font que je ne passe jamais inaperçu et que l’on aime ou pas, je ne laisse pas indifférent.
J’ai quitté la mère de mes enfants voilà deux ans et ayant mes filles une semaine sur deux, j’ai du temps libre pour mes amis et quelques rencontres.
Inscrit depuis la rupture d’avec mon ex sur un site de rencontre soft, je commençais à désespérer de ne rencontrer personne d’intéressant.
Oh bien sûr, mon annonce suscitait bien des réponses mais je suis un vieux Gaulois et n’éprouve pas d’attirance pour le nouveau langage ni les phrases sans sujets, verbes et compléments.
Donc, au moment où je désespère de ne pas rencontrer l’une ou l’autre femme intéressante, je reçois un message de la part d’une femme de cinquante ans.
Waouh, je sais quelques heures de vols par rapport à moi mais surtout depuis mon plus jeune âge, je phantasme sur les femmes plus âgées car elles connaissent leur corps et surtout dégagent un charme et une assurance digne de vous déclencher les plus belles érections.
Donc ce message était des plus chastes et raisonnables, elle était simplement troublée et charmée de par mon profil et son annonce et voulait en savoir plus sur moi.
Fébrile, j’ai renvoyé de ma plus belle plume un message aussi sage que le sien mais derrière lequel j’entrevoyais de pouvoir approfondir la relation et qui sait au plus profond d’elle peut-être.
Après avoir échangé nos noms et prénoms, nous avons décidé de quitter ce site de rencontre et de nous brancher sur un célèbre réseau social. Là, la première chose que nous ayons faite chacun est d’aller voir les photos et je pus constater que la dame, Anique pour la nommer, était tout à fait à mon goût : petite et blonde aux cheveux mi-longs, un sourire franc et charmeur, des yeux pétillants mais surtout ; une paire de seins à couper le souffle.
La plupart de ses photos étaient sages mais les tenues qu’elle portait ne pouvaient masquer un décolleté majestueux et deux seins dont je m’imaginais déjà faire mon dîner. L’ensemble était complété par un petit ventre rond et surtout une chute de reins et un fessier digne de la poitrine : une femme dans toute sa splendeur, un fruit bien mûr, je me demandais déjà comment le cueillir.
Nous échangeâmes quelques e-mails, avec le ton badin et les banalités légères mille fois entendues.
Ces quelques courriers passés nous mirent en confiance jusqu’à nous échanger nos numéros de téléphone respectifs. Je me souviens très bien en ayant conclu un des nombreux messages lui avoir demandé si je pouvais l’appeler le soir même, il faut dire que nous rédigions nos messages de nos bureaux respectifs et cela freinait quelque peu la communication, il me fallait un réel échange et entendre la voix de la belle.
Le soir venu, je rentre du bureau et après une bonne douche pour apaiser mes esprits attisés par les photos que je me surprenais à aller mater plusieurs fois par jour, je me décidai à l’appeler.
Le ton était donné ! Frais, pétillant, convivial et léger.
Elle avait une voix suave et chaude mais sans en faire trop, comme je l’avais expliqué, son sourire rayonnant s’entendait tout au long de notre dialogue.
Les présentations passées, nous avons commencé à discuter plus profondément de ce que, l’un comme l’autre, nous attendions de la vie et d’une relation.
Et alors que je tentais d’en savoir plus sur sa vie, son couple, ses enfants, elle me dit tout à coup :
Cette réponse me coupa le souffle ! La belle voulait rattraper le temps perdu et avait plaqué son mari de dix ans son aîné, qui plus est, elle vivait seule à la campagne entourée de chevaux. Sa fille vivait sa vie depuis deux ans maintenant.
Tout cela devenait très intéressant et tout en continuant à entretenir la conversation, je retournai sur le réseau social pour y mater ses photos : j’avais de plus en plus envie de poser mes mains sur son corps, de…
La conversation continua et comme toujours, de plaisanteries en plaisanteries, nous en vînmes à aborder les relations intimes.
Elle répondit calmement qu’elle avait connu un homme mais était restée sur sa faim.
Après avoir passé trois heures au téléphone, nous avons pris congé en nous souhaitant bonne nuit et, alors qu’elle était toujours très sage, je reçus un : Je t’embrasse, dors bien !
Sur cette bonne note, je contemplai encore quelques unes de ces photos et dormi d’un sommeil agité par mes rêves des seins d’Anique.
Le lendemain, à peine arrivé au bureau je recevais un mail de « bonne journée » et toujours sur le même ton mi-charmeur mi-drôle.
Je lui répondis sur le même ton drôle et tout aussi charmeur, je n’en fis pas trop de peur d’effrayer la belle.
Notre partie de ping-pong e-mail se poursuivit toute la journée et alors je lui proposai de partager un pique-nique quelques jours plus tard. J’y allai pattes de velours car elle m’avait dit la veille ne rien vouloir prévoir à l’avance.
Je lançai mon invitation en la ponctuant d’un « je ne voudrais pas bousculer tes habitudes ! ».
La réponse vint en deux minutes :
Ok, le feu était vert, déjeuner sur l’herbe fixé quelques jours plus tard.
Le soir de retour de chez des amis, où j’ai bu quelques verres, je me décide à appeler ma tendre Anique.
Après quelques échanges sur notre soirée et journée, elle m’avoua :
Je conclus en lui disant : Je t’apporterai volontiers le petit déjeuner et après je file au bureau.
La réponse ne se fit pas attendre : Je t’accueillerai chez moi avec le plus grand plaisir.
Nous avons encore plaisanté pendant une heure au téléphone et finalement, le rendez-vous fut pris le lendemain matin à huit heures chez elle.
Ce qu’elle ne savait pas encore c’était que je comptais bien prendre un jour de congé moi aussi et le passer avec elle, et surtout son grand sourire et ses seins qui m’obsédaient et que je rêvais de caresser, et d’en sucer les bouts.
Je me branlai avant de m’endormir en pensant au bout de ses seins gonflés de désir et que je voulais téter sans fin.
Après quelques heures d’un sommeil relativement agité, je me suis levé pour mon rendez-vous avec ma dame.
Elle habitait dans un coin paumé de la campagne et au bout de quelques détours, je m’avouai vaincu et l’appelai :
Elle partit dans un éclat de rire et me dit :
Le ton de la journée était donné.
Après quelques nouveaux détours, je suis enfin arrivé à la fermette de ma belle.
Elle m’attendait sur le pas de la porte et est venue de suite à ma rencontre.
Elle était comme je l’avais rêvée : petite, un visage rayonnant illuminé par son sourire éclatant, et surtout ses seins moulés dans un petit pull qui semblait trop étroit pour contenir ses trésors.
Je sortis de la voiture et lui rendit son sourire, nous nous sommes échangé un chaste baiser sur la joue mais sans oublier de nous serrer dans les bras, je sentis ses appâts mammaires pressés sur mon torse et elle frissonna.
Elle me précéda et je pus à loisir détailler sa croupe, large et nerveuse dont le moelleux n’avait rien à envier à celui de ses seins.
Ses hanches ondulaient devant moi mais sans exagérer, je m’imaginais déjà la besogner par derrière, accroché à ses hanches pulpeuses alors que ses seins pendaient sous son torse.
Nous sommes entrés dans sa fermette, modeste mais cossue, et peuplée de nombreux objets dédiés aux chevaux.
Il est vrai qu’obnubilé par ses seins, j’ai oublié de dire qu’Anique était une écuyère émérite, et comme elle vivait à la campagne elle possédait deux chevaux.
Nous nous sommes installés à table et je lui tendis le sachet contenant le petit déjeuner ainsi qu’un autre sachet contenant des fraises.
Attablés tous les deux nous partageons notre petit déjeuner mais même si nous plaisantons, je ressens un trouble, un émoi qui est loin d’être désagréable.
Alors que je lui demande une deuxième tasse de café, elle regarde sa montre et me dis que je vais être en retard.
Je décide d’abattre mon as d’atout et lui dis :
Je termine à mon aise et alors qu’elle décide de couper quelques fraises, je lui touche les doigts plus que de raison quand elle me les tend une à une.
Ce contact avec sa peau m’électrise et petit à petit ses doigts se lient dans les miens à chaque fois qu’elle me tend une fraise.
Elle soupire silencieusement, faisant soulever sa poitrine imposante vers moi, je commence à bander en reluquant ses seins.
Après avoir vu les chevaux nous sommes rentrés à nouveau dans la maison et elle me propose de nous installer au salon.
Je m’assieds et elle vient près de moi, pas sur moi mais non loin. Nos mains jouent un peu, et je me penche et lui pose un bisou sur la joue, me recule, plonge mon regard dans le sien et lui lance :
Elle rougit, tourne légèrement la tête et j’en profite pour lui poser un baiser tendre mais appuyé dans le cou.
Là, elle enroule son bras autour de moi et alors que je pose ma main sous son pull dans son dos et caresse sa peau, ma bouche remonte de son cou à sa joue et se rapproche de ses lèvres.
Elle soupire de plus en plus fort et je caresse ses lèvres de ma langue maintenant.
C’en est trop, elle ouvre la bouche et sa langue danse avec la mienne, tandis que nous nous caressons librement et tombons l’un sur l’autre dans le canapé.
Sa bouche m’électrise, je bande maintenant fort et elle sent ma queue tendue contre sa jambe. Elle gémit et écarte les cuisses, je me couche entre elles et commence à frotter ma bosse entre ses cuisses, je sens sa chaleur à travers son pantalon.
Je n’y résiste plus, mes mains quittent son dos et se posent enfin sur ses seins, je sens à travers le soutien-gorge, ses mamelons qui durcissent sous ma caresse.
Elle gémit et pose une main sur ma nuque m’invitant à lui sucer les seins, de l’autre main elle masse ma queue et je me sens terriblement à l’étroit dans mon jean.
Je soulève son pull et découvre un décolleté qui me rend fou, je trouve ses tétons à travers le soutien et commence à les pincer doucement, elle gémit et pousse ma bouche sur ses seins.
Je suce ses bouts à travers le tissu du soutien et elle gémit plus fort sous mes baisers. Pas passive pour un sou, sa main défait mon jean avec une habilité étonnante et ma queue sort fièrement de mon caleçon et bondit dans sa main. Je me pousse légèrement sur le côté pour lui laisser le champ libre, et sa main monte et descend maintenant pendant que son pouce caresse mon gland tout gonflé et déjà humide.
Je la fais se redresser un peu, et l’aide à enlever son pull, je suis fébrile en essayant de lui ôter le dernier rempart qui se dresse entre ses seins et moi. Sa main monte et descend, elle me branle avec douceur et fermeté ce que j’adore. Enfin, les trois agrafes cèdent et ses seins me sautent au visage. Je n’en peux plus et me jette sur ses appâts, je les caresse, mes doigts font des cercles sur ses aréoles qui se contractent, ses tétons se gonflent sous la caresse de mes doigts et tout dans ses seins appelle au plaisir et à l’envie.
Je ne résiste plus et ma bouche se pose sur ses mamelons tendus que je tête comme un nourrisson affamé.
Elle gémit et laisse échapper un petit cri quand mes dents lui mordillent les seins. Je les ai tellement rêvés que je ne peux m’en détacher et passe une bouche gourmande de l’un à l’autre.
Je viens surtout de découvrir un point sensible de la belle : ses seins ! Elle se tord sous mes succions et écarte les cuisses plus encore tandis que sa main va-et-vient plus vite sur ma queue tendue à l’extrême.
Sans que ma bouche ne quitte ses seins, ma main descend jusqu’à son pantalon et je l’ouvre, je veux poser mes doigts entre ses cuisses, je veux sentir si son mont de Vénus est velu, je veux savoir si elle mouille.
Bingo pour la toison, à peine passée dans sa culotte, je sens une forêt de poils et toujours en descendant, je sens le haut de sa fente déjà tout trempé et brûlant.
Sa main ralentit la caresse et elle profite pleinement de ma bouche et mes doigts.
Je quitte ses seins à regrets, je veux la déshabiller, je la veux nue et offerte contre moi. Je me redresse pour enlever mon polo et elle en profite pour me sucer à son tour les tétons en me branlant de plus belle.
Ma queue fait des petits bonds dans sa main, et toujours son pouce qui va de mon gland à mon frein, me faisant grogner de désir et d’envie.
Je me débarrasse de mon pantalon et alors qu’elle est torse nu, j’entreprends de la déshabiller entièrement.
Son pantalon enlevé, je découvre non pas une culotte grand-format mais un string en satin. Mais surtout, sa toison foncée est dense et fournie mais bien entretenue et la ficelle du string passe entre les lèvres de son sexe qui appelle autant les caresses et les succions que ne le faisaient ses seins.
Je lui fais descendre ce dernier rempart et me couche sur elle, lui laissant éprouver la dureté de ma bite tout contre son sexe, ouvert et trempé de désir.
Elle gémit et relève ses jambes, prête à la pénétration, sa main cherche ma queue pour la planter tout au fond de son corps.
Mais non, c’est contre mon envie !
Elle m’embrasse alors que je commençais à descendre, non sans m’attarder à nouveau sur ses seins dont la pointe se tendait sous la caresse de ma langue.
Je continue ma descente, m’arrêtant sur son ventre pour le couvrir de baisers et mes mains accrochées à ses hanches. Ma bouche continue sa descente et je sens contre mon menton le friselis de sa toison et le haut de sa fente qui est maintenant toute humide, brûlante et offerte.
Enfin ma bouche se pose sur le haut de ses cuisses, à l’intérieur, là où la peau est si sensible, elle gémit sous la douceur de mes lèvres et alors que mes doigts lissent son sexe, ma bouche se pose au sommet de ses lèvres.
Je n’en attendais pas moins et me jetai goulûment sur son fruit défendu, je voulais la goûter, la lécher, enfoncer ma langue. Je lui suçais le sexe et le caressai de la langue mais pas encore à l’intérieur, je déguste sa chatte comme une mangue, mes lèvres collées aux siennes, mes mains posées sur ses seins, j’en pinçais les mamelons grumeleux, lui arrachant de petits cris, son bassin venait à la rencontre de ma bouche et elle releva ses cuisses de ses mains pour me laisser libre accès à son sexe.
De mes doigts, j’écarte ses lèvres et commence à y enfoncer ma langue, lentement.
Son odeur de femelle en chaleur me fait bander et je sens mon sexe dur prêt à la prendre.
Elle ouvre les yeux et remonte ses cuisses plus haut encore et mes yeux vrillés dans les siens, ma langue dans sa chatte, je lui caresse le clitoris de mon pouce.
Ses gémissements deviennent plus forts, ses hanches se lancent à la rencontre de ma bouche. Je remonte mes mains sur ses seins et pince les tétons gonflés, c’est trop pour elle, elle gémit, remonte ses jambes et en écartant les cuisses, se laisse submerger par le plaisir que je lui donne. Je sens son sexe s’ouvrir encore et un flot de mouille vient me tremper le menton et les joues.
Je la regarde prendre son pied, elle se mord les lèvres et part dans une longue plainte.
Je me colle à elle et l’embrasse dans le cou, une main posée sur ses seins, je la regarde, elle est belle.
Nous nous embrassons longuement et sa main repart à la recherche de ma queue, sa main y faisant de longs va-et-vient.
Sa bouche descend et vient se poser sur ma bite raide. À mon tour, je ferme les yeux et gémis sous la caresse veloutée de sa langue, elle passe sur mon gland et titille mon frein. Je gémis sous la caresse et grogne quand je sens sa bouche se refermer sur ma queue.
Sa main monte et descend lentement tandis que sa bouche aspire mon gland et qu’elle le caresse de la langue. À ce stade-là, et l’excitation à son comble, je sens le point de non retour arriver, je le lui dis mais elle continue à me branler doucement d’une main et à son tour plonge son regard dans le mien.
Je grogne et gémis en sentant la sève monter et elle continue sa fellation jusqu’à l’explosion.
Ma liqueur fuse dans sa bouche en quatre salves que je ponctue d’ahanements. Elle continue sa branlette alors que sa bouche s’immobilise et que ses lèvres se ferment pour ne rien laisser passer.
Je gémis et tremble de plaisir et alors que ma jouissance s’apaise elle continue sa pipe pour me nettoyer.
Nous sommes allongés dans le divan, je la caresse tendrement et nous nous embrassons.
C’est donc toujours collés l’un à l’autre et nus comme au premier jour qu’elle me précéda dans sa chambre où après lui avoir sucé les seins et le sexe, m’être à mon tour fait traire, j’allais enfin pouvoir lui faire l’amour complètement.
Suite au prochain épisode.