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n° 13843Fiche technique19505 caractères19505
Temps de lecture estimé : 12 mn
03/05/10
Résumé:  Rencontre avec deux shemales qui ont emménagé dans mon immeuble.
Critères:  hhh poilu(e)s trans fellation 69 hdanus hsodo -hhomo
Auteur : Ludo Bisex  (Aimerait tout essayer)            Envoi mini-message
Daniella et Leila

Quand les deux shemales sont venues emménager dans notre immeuble, cela a pas mal jasé dans les couloirs, pas trop les premiers temps parce que pas mal de résidents pensaient sans doute qu’il s’agissait de filles ; mais, une fois la réalité établie, les rumeurs y sont allées bon train. Pour ma part, très curieux de nature, éclectique et bisexuel, je suis attiré par les différences, pourtant je n’avais encore jamais fréquenté de t-girl. Aussi, dès que j’ai pu croiser les filles dans les couloirs, je me suis présenté à elles et ai de suite cherché à sympathiser.


Leila, encore très jeune, était d’origine maghrébine, très typée et teinte en rousse, elle avait un visage d’ange mais un regard un peu tristounet. Daniella, plus âgée, était brune, grassouillette, très potelée, avec une longue tignasse frisottante dégoulinant en cascade sur ses épaules.


Toujours très maquillées et vêtues avec beaucoup de goût, lorsqu’on les croisait dans la rue, on n’avait pas l’impression qu’il s’agissait de mecs. Il faut dire qu’elles donnaient bien le change avec les jolies poitrines rebondies qu’elles savaient bien mettre en valeur. Par contre, une fois que l’on savait qu’il s’agissait de trans, on remarquait alors les quelques petits détails qui dévoilaient leur vraie nature ; leur façon de vous regarder par exemple, la courbure de leurs visages ou même quelques gestes un peu trop maniérés, quelques petits riens qui faisaient que ce n’étaient pas tout à fait des femmes, et que l’on imaginait alors ce qui pouvait se trouver dans leurs culottes. Ensuite, ça intriguait, ça excitait, ça faisait fuir ou ça choquait : tout dépendait de votre ouverture d’esprit. En ce qui me concerne, cela me faisait réellement bander.


Deux mois environ après leur arrivée, elles m’ont invité à dîner. Elles voulaient me remercier parce que je les avais aidées à monter les quelques affaires qu’elles avaient ramenées avec leur propre voiture, divers bibelots assez fragiles qu’elles n’avaient pas voulu laisser entre les pattes des déménageurs. À cette occasion, elles m’avaient fait visiter leur appartement, clair et spacieux et j’avais pu entrevoir leur garde-robe, car elles étaient en train d’aménager un dressing dans une des chambres d’amis.


C’était un vrai petit nid d’amour, un appart de nanas ; elles étaient raffinées et avaient beaucoup de goût. Daniella m’expliqua qu’elle travaillait dans une galerie d’art, d’où son penchant pour la peinture moderne. Il y avait d’ailleurs trois très belles toiles dans le grand living. Leila, de son côté, était beaucoup plus réservée, presque timide, mais son regard un peu perdu m’a tout de suite donné envie de la cajoler, elle m’inspirait beaucoup de tendresse et je comprenais pourquoi Daniella était sans cesse aux petits soins pour elle.


Le jour du dîner arriva vite. En plus de l’inévitable bouteille de champagne, j’avais amené un énorme bouquet pour Leila et un ouvrage d’art pour sa copine :



Les deux filles étaient très en beauté et s’étaient habillées en tenue de soirée. Leur belles poitrines étaient mises à l’honneur grâce à des petits hauts très suggestifs.


Mon hôtesse me fit entrer dans le grand salon où je fus surpris de trouver un autre homme, un petit gros tout chauve et pas très sexy que je reconnus de suite car il tenait une boutique de linge de maison au coin de la rue. Je l’avais croisé à maintes et maintes reprises mais j’avoue que je ne le connaissais pas spécialement et que je ne lui avais même jamais parlé. Daniella fit les présentations, il s’appelait Jean-Louis et je vis dans l’échancrure de sa chemise entrouverte qu’il était du genre velu. C’était aussi un sacré bavard doublé d’un bon vivant, exactement le genre d’homme que j’appréciais. Mais Daniella n’était pas en reste et tenait très bien la conversion. Après deux ou trois coupes de champagne, l’atmosphère devint très détendue et la maîtresse de maison nous invita à passer à table. Elle avait mis les petits plats dans les grands et avait dû passer des heures en cuisine. Comme nous la complimentions pour ce délicieux repas, elle répondit en rigolant :



L’algérienne n’était pas très loquace, se contentant de temps en temps d’un gentil sourire. Pourtant, à force de poser mes yeux sur elle, je m’aperçus à quel point elle pouvait être belle et attirante, un charme fou qui la rendait incroyablement sexy.


Daniella nous entraîna alors vers la partie salon : café, pousse-café, petits cigares mais sur ce point, contrairement à Jean-Louis, je déclinai l’invitation. Puis elle nous proposa de visionner sur la grande télé des photos de leurs dernières vacances en Afrique. Les premières images, très sages, beaux paysages, couchés de soleil, nature sauvage, laissèrent peu à peu la place à des clichés un peu plus personnels. On y voyait en particulier la petite beurette dans les bras d’un grand noir :



Un peu plus loin, les deux mêmes, mais dans l’intimité d’une chambre d’hôtel. Tout d’abord le grand black allongé entièrement nu sur le lit, sa virilité bien mise en valeur. Puis Leila en train de sucer Boiko, gros plan sur la queue de Boiko branlée entre les petites mains de Leila, enfin Leila avec du sperme sur le visage, gros plan sur la bouche de Leila remplie de jus de bite.



L’atmosphère devenait de plus en plus chaude, d’autant plus chaude que vint ensuite une autre série de photos. Cette fois-ci Daniella était affalée en petite tenue dans un fauteuil. Elle astiquait sa jolie bite bien raide et bien rouge. À la suite, il y avait avec elle un autre homme, un type plutôt âgé qui la pelotait, qui la suçait…



Gros plan sur un enculage, gros plan sur une paire de fesses luisantes de sperme. À nouveau Daniella agenouillée devant monsieur Paul avec sa bite en bouche.


Lorsque je me tournai vers la brunette, je m’aperçus qu’elle avait remonté sa robe et sorti son engin et qu’elle était en train de se caresser, visiblement ce diaporama lui rappelait de très bons souvenirs. Je croisai alors le regard de Jean-Louis qui pensait exactement la même chose que moi. D’ailleurs l’instant d’après je le vis, lui aussi, dégrafer sa braguette. Il était temps pour nous de passer à l’action.


Profitant du fait que Daniella venait de rejoindre Jean-Louis et qu’elle était en train de l’aider à se déshabiller, je suis allé m’asseoir sur l’autre canapé au côté de Leila et je l’ai longuement embrassée en lui caressant doucement les seins. Puis, lentement, je l’ai effeuillée, m’attardant avec ma bouche sur ses tétons, puis descendant le long de son ventre. Physiquement elle était vraiment parfaite et d’une jeunesse très désirable, un sacré beau brin de fille. Simplement, lorsque j’écartai enfin sa petite culotte, je tombai aussi sur un sacré morceau. Autant Daniella avait une bite normale, d’une taille approximativement identique à la mienne, autant Leila était hors normes, et cette grosse trique épaisse contrastait vraiment avec son petit corps tout frêle.


Émerveillé devant ce monstre, je m’agenouillai de suite entre les cuisses de la belle, qui pour l’heure ne bandait pas encore, et entrepris de lui donner vigueur, avec mes mains, avec ma bouche. J’avalai au fond de ma gorge ce sexe surdimensionné. Peu à peu mes jeux de langues et jeux de lèvres produisirent leur effet et l’animal se mit en branle, se redressant peu à peu et durcissant entre mes lèvres. Je n’étais pas peu fier de contempler cette colonne érigée que je me mis en devoir de lentement pomper. Putain, quel pied, j’en avais presque oublié les deux autres et fus un peu surpris lorsqu’un doigt commença à me fouiller l’anus.



Elle en profita aussi pour me branler un peu la bite. Jean-Louis, qui ne voulait pas être en reste, vint à califourchon devant la bouche de Leila et l’invita à le sucer. Le petit gros, désormais à poil, était poilu comme un singe. Par contre il avait une toute petite queue, c’en était presque risible, vue la grosseur de sa bedaine. Leila eut presque du mal à trouver cette petite bite pour la sucer, alors que de mon côté j’avais la bouche complètement déformée par la grosseur de son sucre d’orge.


Daniella, surexcitée, baissa fermement mon pantalon et je la sentis venir derrière moi, poser son gland sur mon derrière et le frotter sur mon fessier, chercher enfin à m’enculer. Je vérifiai simplement qu’elle avait bien mis un préservatif avant de lui offrir mon sphincter et de la laisser me pénétrer. Putain ce que c’était bon, une bite devant et une bite derrière, avec en prime les grosses fesses poilues du commerçant offertes en spectacle.



Il fallut d’abord que la maghrébine se débarrasse du gros ventru qui gémissait entre ses lèvres. Puis, enfilant à son tour un préservatif, elle me fit mettre à quatre pattes sur la moquette et m’investit lentement le derrière, avec fermeté, jusqu’à la garde. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier tellement mon anus était mis à rude épreuve. Puis après m’avoir laissé un peu récupérer, elle commença à me ramoner. À nos côtés, Jean-Louis s’évertuait à faire de même avec notre hôtesse mais, comme il déculait beaucoup trop souvent, celle-ci finit par se mettre sur le dos et l’attira à lui pour qu’il l’encule en face à face.


Leila et Jean-Louis ahanaient en nous sodomisant, tandis que Daniella et moi-même nous nous branlions en cadence. Les rugissements de plaisir des quatre fauves devinrent peu à peu insupportables. Les odeurs de culs et le flic flac des triques complétaient le tableau. Quand je sentis en moi les spasmes de la bite de mon enculeur, j’éclatai à mon tour, inondant mon torse et mon visage de mon propre foutre, et ma jouissance entraîna celle de nos voisins qui à leur tour poussèrent des cris de bête. Les capotes furent retirées et vidées sur les partenaires respectifs avant d’être étalées grassement.


Leila fut la première à se redresser, sa trompe désormais molle pendouillant le long de ses cuisses. Jean-Louis se proposa pour la nettoyer avec sa bouche et avec sa langue. Quant à Daniella, elle vint alors sur moi pour me rouler une pelle baveuse en frottant sa bite humide contre la mienne gluante. Ensuite, repos des guerriers, mais la nuit ne faisait que commencer…


Leila nous avait laissés car elle avait un coup de fil à passer. Quant à Daniella, elle était partie en cuisine pour préparer une collation après nous avoir indiqué le chemin de la salle de bain. Avec Jean-Louis, nous décidâmes de prendre une douche ensemble. Ce petit homme obèse et poilu comme un ours, c’est dingue ce qu’il m’excitait. Tout en pompant Leila, je l’avais bien observé et maintenant qu’il était contre moi, il me faisait bander :



Elle était déjà à moitié dure et sous ses caresses, ne tarda pas à se redresser. Il se pencha dessus et entreprit de me la sucer.



Au bout d’un certain temps, comme j’étais à nouveau hyper-excité et que je n’avais pas envie de cracher si vite, je lui proposai à mon tour de le sucer. La cabine de douche étant un peu exiguë, nous sortîmes et il s’allongea sur le tapis de bain. Je commençai par l’embrasser un peu partout, grignotant ses petits tétins, glissant lentement le long de sa grosse bedaine. Il était poilu comme un ours, il y en avait partout, c’était un vrai délice de glisser mes doigts entre ces longs poils noirs bouclés. Dans les replis de son bas ventre je finis par trouver sa petite bite replète, d’un diamètre fort honorable mais d’une longueur désespérante. Qu’importe, j’avais envie de l’avoir également dans l’anus, alors je me suis mis à bien la téter, la prenant entièrement dans ma bouche. Les poils me restaient parfois sur la langue et je dus à plusieurs reprises les enlever. C’est lorsque cette petite queue fut enfin dans les meilleures dispositions que Daniella fit irruption dans la salle de bain :



Nous nous sommes confondus en plates excuses, du coup elle a rigolé et est venue sous moi pour me sucer la pine. Allons bon, cela recommençait ! Au bout d’un certain temps, Daniella a proposé que l’on rejoigne la chambre où nous serions plus à l’aise. Elle avait provisoirement abandonné l’idée de nous faire goûter le gâteau qu’elle avait confectionné. Nous avions beaucoup mieux à faire. Nous rejoignîmes Leila qui avait fini de téléphoner mais qui était prostrée dans un coin et qui n’avait pas l’air d’avoir la frite. Elle avait sans doute beaucoup pleuré car son rimmel avait coulé.



Elle la prit dans ses bras et se mit à l’embrasser :



Elle l’entraîna alors sur le lit et se mettant en 69 sur elle, elle entreprit de sucer sa belle bite, me laissant seul avec Jean-Louis. Je pus à nouveau me consacrer à la petite bite de mon gros nounours. J’avais envie de me faire enculer mais il avait visiblement envie d’autre chose, car il me maintint fermement la tête et m’encouragea à aller jusqu’au bout de cette pipe. Petite bite mais grosse réserve de sperme, il me remplit entièrement la bouche de son nectar poisseux. J’en avalai une partie sans sourciller, puis lui demandant de se retourner, j’utilisai le reste pour lui graisser l’anus, ses grosses fesses poilues étaient plus que bandantes et comme j’avais déjà une sacrée trique, j’aurais été en mesure de suite de lui rendre hommage. Au lieu de ça, je le fis languir, promenant lentement mon gland dans le sillon de ses fesses et m’attardant sur sa pastille, caressant aussi ses couilles avec ma queue :



Le temps pour moi d’enfiler un préservatif et j’investis à mon tour son fondement. Il était chaud, il était bon, il était moite, un sacré cul bien rebondi rien que pour moi, un vrai régal.



Ensuite, nous reprîmes de plus belle nos sodomies respectives, allant à nos propres rythmes. Je vins d’abord dans le cul du gros singe. Quant à Daniella, elle mit beaucoup plus de temps à jouir, ce qui nous laissa l’opportunité, Jean-Louis et moi, de branler chacun notre tour Leila. On la fit d’ailleurs venir sur les seins de sa copine quand celle-ci émit enfin ses grognements.


Putain quel pied et quelle soirée ! L’heure qui suivit fut beaucoup plus calme, moments de tendresse, d’embrassades, nous nous sucions doucement la bite ou tétions un peu les seins de ces dames. Nous finîmes par prendre congé sur le coup de trois heures du mat’ car nos hôtesses étaient épuisées. Jean-Louis finit la nuit dans mon lit, mais nous fûmes très sages car nous étions vraiment KO. Nous nous sommes rattrapés le lendemain matin, un petit 69 avant de partir au boulot. Depuis ce jour, je le retrouve de temps en temps, nous avons même baisé une fois dans son arrière boutique avec un de ses vendeurs.


Quant aux filles, j’ai eu l’occasion de les revoir de temps en temps pendant l’année où elles ont habité notre immeuble, et de profiter en particulier de la grosse queue de Leila. Malheureusement, pas si souvent que je l’aurais voulu, elles étaient toujours très occupées. Par la suite, elles ont dû déménager à nouveau. Certaines âmes bien pensantes de notre immeuble avaient porté plainte pour tapage nocturne, d’autres encore plus retords avaient dit aux flics qu’elles recevaient des hommes et qu’elles se prostituaient. Toujours est-il que la police est venue à plusieurs reprises, qu’il y a eu des pétitions et que le syndic a fait tout son possible pour décourager les shemales de rester là. Daniella a fini par jeter l’éponge et s’est cherché un autre appart, elle m’a filé sa nouvelle adresse mais j’avoue que je n’ai jamais fait l’effort de la rappeler. Sans doute suis-je désormais moins motivé de la rencontrer car Leila l’a quittée et vit désormais du côté de Toulon.