n° 13847 | Fiche technique | 28770 caractères | 28770Temps de lecture estimé : 17 mn | 05/05/10 |
Résumé: À la recherche d'un emploi, une jeune femme postule comme femme de ménage dans un hôtel qui va réveiller sa libido. | ||||
Critères: f fh ffh fbi nympho hotel soubrette exhib fmast fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo -couple+f -travail | ||||
Auteur : Jade.E Envoi mini-message |
Je suis là devant mon ordinateur à lire les offres d’emploi depuis dix bonnes minutes. Trente ans et une fois encore sur le marché de l’emploi ! Une annonce attire mon attention :
Urgent. Cherche femme de ménage, temps plein, hôtel familial.
« Pourquoi pas , me dis-je. Après tout il n’y a pas de sot métier et j’ai besoin de travailler pour payer mes factures. Le marché de l’emploi ne m’offre pas beaucoup de possibilités donc autant prendre ce qu’il y a et chercher autre chose en parallèle ».
Je compose donc le numéro de téléphone pour postuler.
Enfin un entretien ! Trois mois que je rame. Je file dans ma chambre me préparer. Comment vais-je m’habiller ? J’ouvre mon armoire et prend une jupe droite et un chemisier. Les femmes de ménage dans les hôtels ont toujours des uniformes, il faut que je m’en approche pour avoir ce poste pour régler mes fichues factures en retard.
Je me présente à l’heure dite. Le patron, un homme d’une bonne cinquantaine d’années, me reçoit. Il a une façon de me regarder limite gênante mais je n’ai pas les moyens de faire la fine bouche, il me faut ce poste. Il m’explique ce qu’il attend :
« Jusque là rien d’insurmontable et en plus un bon salaire », me dis-je.
La fin de mes galères !
La visite commence. Je trouve qu’il se colle un peu trop mais ambiance familiale, a-t-il dit ! La visite se termine par la lingerie où il me donne un uniforme, non sans m’avoir reluqué avant.
Dans quoi suis je tombée ? Dois-je prendre mes jambes à mon cou ou rester ? « Factures, ma belle », me rappelle ma conscience !
Et en plus, il a de l’humour ! Je me retourne, enlève mon corsage et enfile celui qu’il m’a fourni. La taille est un peu juste. Mes seins généreux coincés dans ce morceau de tissu sont un véritable appel au vice. Je retire ma jupe. Je suis sûre qu’il n’en perd pas une miette. Pourquoi ai-je mis des bas autocollants aujourd’hui, et ce string ! J’enfile la jupe qui complète l’uniforme. Elle est courte et plissée. Si je me baisse, je suis certaine qu’on voit mes bas et mes fesses. Je me dis qu’il est encore temps de refuser le poste mais cette fichue conscience me rappelle à l’ordre. Et puis, après tout, femme de ménage sexy pour quelques mois en attendant de trouver un autre job, ce n’est pas la mort et ça m’excite un peu. Je me retourne pour lui faire face.
Tu m’étonnes que ça me sied à merveille, si mon mec me voit comme ça, il se jette sur moi !
Je me change, repose l’uniforme et rentre chez moi. Le soir, j’annonce à mon chéri que j’ai trouvé un emploi de femme de ménage sans lui donner de détail sur la tenue à porter.
À 7 h tapantes le lendemain, j’enfile mon uniforme qui me colle à la peau. Le patron me présente à son fils qui a exactement le même regard vicieux que son père. Père très observateur qui me dit :
« Euh non monsieur, je protège mon petit postérieur, j’ai donc mis un collant », avais-je envie de lui répondre. Mais je fais juste non de la tête. Il part vers son bureau. Je me pense tranquille, eh bien non ! Il revient avec des bas.
Ne souhaitant pas me faire virer sur le champ, j’obéis. Je sers quatre petits déjeuners dans les chambres : tout se passe pour le mieux. J’en suis à la septième chambre lorsque le fils me retrouve.
Ce type me trouble, ni beau, ni moche, il a tout de même un certain charme. Un regard où on a envie de se perdre. « C’est quand il veut », me suis-je dit, ce matin, lors de notre première rencontre.
Je comprends mieux pourquoi le salaire est au-dessus du smic. Il ne recrute que des femmes prêtes à jouer le jeu en acceptant de travailler ainsi. N’étant pas forcément prude, une fois la petite interrogation d’hier passée, je trouve que ce n’est pas si gênant que ça finalement, de bosser ainsi. Le petit côté excitant n’est pas pour me déplaire. J’ai tout de même fermé le corsage au maximum. Pierre, le fils, le remarque. Il s’approche de moi et déboutonne deux boutons. La nature m’ayant gâtée côté poitrine, j’ai cru qu’ils allaient s’échapper au second bouton.
Si je me penche, ils s’échappent. Le décolleté est tel que l’on voit parfaitement le galbe de ma poitrine. Mes tétons sont à peine cachés. J’ai un frisson de plaisir. Il s’assoit sur le lit et me dit :
Il me reste les poussières et l’aspirateur à passer. Mon torchon à la main, j’époussette les chevets, le cadre du lit devant un Pierre au regard renversant. Chacun de mes gestes dévoile mon petit cul. Je sens une douce chaleur envahir mon entrejambe et me surprends à prendre plaisir à être ainsi regardée. Lorsque je prends l’aspirateur, mon sein droit s’échappe. Pierre se lève, le prend en main, le caresse doucement et le remet en place.
Mon entrejambe s’agite, il en sort une chaleur moite. J’allume l’aspirateur et penchée en avant, dos tourné, je sens son regard sur mon postérieur. Mon string colle à mon sexe tant l’excitation grandit. Je lui fais face pour poursuivre mon ménage. Mes seins s’agitent au rythme de l’aspirateur. Il s’avance et les sort de leur étreinte. Je passe l’aspirateur, les seins à l’air devant un parfait inconnu. Je sens ma liqueur s’écouler le long de mes jambes. Jamais je n’ai été dans cet état. Une fois terminé, il me fait asseoir près de lui. Il passe au tutoiement.
Il m’allonge sur le lit, je me laisse faire. J’ai envie. Son regard troublant a raison de moi. Il prend ma poitrine à pleines mains, soupèse mes grosses mamelles avant de prendre en bouche mes tétons pointés d’excitation. Il s’en régale, sait s’en occuper ; sa bouche joueuse sur mes seins si sensibles aux caresses, réussit à me faire jouir. Je devrais avoir honte, j’ai un petit ami ; mais non, j’apprécie et ne culpabilise pas.
Je veux qu’il aille plus loin, qu’il me bouffe la chatte, qu’il me fourre son engin mais il n’en fait rien. Il m’a fait jouir rien qu’en jouant avec mes miches, ça lui suffit. Il sort de la chambre, me laissant toute humide. « Quel salaud, pensé-je, il m’allume et ne me finit pas ».
Je poursuis mon ménage de chambre en chambre avec cette humidité qui colle mon string à mon sexe. J’arrive à la dernière chambre. J’entre, pensant qu’elle est vide et, oh surprise ! mon allumeur est en train de se faire sucer ! J’aurais dû sortir mais je reste là à regarder. Décidément cet endroit me rend bien coquine, me voici voyeuse maintenant. La femme qui le suce est sa femme, je l’apprendrai plus tard. Cachée du mieux que je peux, j’assiste à la scène tout droit sortie d’un film porno. La femme s’arrête et lui dit :
De mieux en mieux, madame est bi !
Elle s’exécute et il lui fourre sa bite sans ménagement dans la chatte. Je suis là, à les mater, lorsqu’une voix me fait sursauter.
Le boss en personne me surprend à mater son fils en train de pilonner sa belle-fille. Il me prend par le bras et une fois dans le couloir me dit d’un ton autoritaire :
Il m’entraîne dans la chambre d’à côté. Il me fait asseoir et je me caresse devant lui ! Que m’arrive-t-il ? Pierre, plus la scène que j’ai matée sans ressentir aucune honte, me donnent une envie de sexe comme jamais. J’ôte ma jupe, ouvre mon corsage le plus sensuellement possible. Mon boss a les yeux rivés sur moi. Mes mains massent mes seins, descendent lentement vers mon sexe. Je suce mon doigt et effleure ma petite minette. Je me fais du bien devant mon patron qui gonfle à vue d’œil. J’entre un doigt dans mon intimité, le retire, le suce, le remet. Mon jus coule. Ma respiration s’accélère avec mon envie. Je ne veux pas jouir devant lui, je veux que sa queue me donne ce bonheur. Je lui donne mes doigts trempés de mon parfum intime à sucer. Il s’en régale. J’ouvre son pantalon et son engin au garde-à-vous apparaît. Je me jette dessus, ma bouche le recouvre, ma langue lape sa hampe.
Il dirige mes va-et-vient en me tenant la tête. Il m’ôte sa friandise, m’allonge et s’occupe de mon fruit juteux. Sa langue fouille au plus profond mon intimité. Ses doigts l’accompagnent. Il se régale, me boit. Il m’embrasse : un baiser à l’odeur de mon plaisir suintant. Ses mains malmènent mes seins. Il pince mes bouts tendus, les mordille alors que son autre main a pris possession de ma chatte. Je jouis bruyamment sous ses caresses. J’en veux plus. Je veux que son pieu me défonce. Il me le redonne à sucer, il goûte ! Il me retourne, je lui offre mon postérieur en pleine vue. Sa queue glisse le long de ma raie, titille mon clito. Il me fait attendre, je n’en peux plus, je le veux en moi.
Il ne répond pas, se contentant d’entrer en moi avec hargne. Enfin, je sens son gourdin !
Il s’acharne en moi et j’aime ça. Je me branle en même temps le clito.
Il se retire, me tourne vers lui et me dit :
À peine ! pensé-je. Il sait y faire le boss, malgré son âge, on sent l’homme d’expérience. Il range son matériel et me laisse à moitié nue sur le lit. Qu’ai-je fait ? Que se passe-t-il dans cet hôtel ? Jamais je n’ai eu ce genre de comportement. Le pire ? J’ai aimé ça !
Je sors de la chambre après m’être rhabillée. Je me rends à la lingerie, range aspirateur, chiffon et je me change. Je viens juste de me vêtir lorsque quelqu’un entre. La femme de Pierre se présente.
Je lui tends la main.
Hum, me dis-je, qu’entend-elle par impressionner ?
Elle continue :
Tu m’étonnes, je lui ai donné ma chatte sans qu’il ait à réclamer.
Le ton est sans appel. Un peu jalouse la jeune femme ou, pensé-je, elle aime que son mari la baise une fois qu’une autre l’a bien excité.
Curieuse discussion. Ce poste est-il vraiment pour moi ? Moi qui ai une vie d’une normalité presque ennuyeuse lorsque je vois ce qui se passe dans cet hôtel. Elle prend congé, ma journée étant terminée, je signale mon départ.
Lorsque mon ami rentre le soir et qu’il me demande comment s’est passée cette première journée, je me cache bien de lui donner les détails.
Cela fait un mois que je travaille et l’aventure du premier jour ne s’est pas renouvelée. Je songe que j’ai dû arriver à un moment où ils étaient tous en manque. Que nenni !
Cela fait deux matins, que je monte le petit déjeuner à un type dans une chambre et que celui-ci me montre son intérêt. Il faut dire qu’habillée comme je le suis, un homme restant un homme, ça doit bien le chauffer de voir la femme de ménage, avec un décolleté plus que provocateur et une jupe si courte qu’elle permet de voir plus qu’il ne faut.
Le premier jour, le client sort de la salle de bain lorsque j’entre avec mon plateau. Il me regarde comme une friandise. Le second jour, je le trouve allongé en caleçon dans le lit et il me demande de poser le plateau sur le lit. Je me penche et il se rince l’œil en commentant.
Je sors sans argumenter. Je me demande ce qui m’attend en ce troisième jour. Je frappe et entre. Il est nu sur son lit. La queue droite.
Debout près du lit, je le regarde.
Que dire ? Je reste bêtement debout. Il se lève, s’approche de moi, prend ma main et la pose sur son sexe. Et je reste plantée là !
Je suis tentée par sa proposition. Ma main entame des va-et-vient sur son manche. La sienne glisse sous ma jupe et s’adapte au rythme de ma main sur sa queue. Il part très vite. Je suis déçue car j’aurais aimé qu’il me fasse jouir. Ma main est couverte de son sperme.
C’est tout, c’est déjà fini, me dis-je. Et moi, alors ! J’ai envie aussi. Il n’en a rien à faire, seul compte son plaisir à lui ! Je me lave les mains et sors de la chambre excitée comme une puce. « Va faire les chambres, ma vieille et calme-toi ! » La matinée passe ainsi, ma chatte est en ébullition et je fais le ménage. Je croise Pierre au second étage. Mon envie prend le dessus et je m’entends lui dire :
Il comprend le message :
À peine entré dans la chambre, il ouvre mon chemisier blanc qui, par son décolleté et sa transparence, ne cache pas mon absence de soutien-gorge. Il se jette sur mes melons, les pétrit, les mordille. Que c’est bon ! Le souvenir de son premier massage est intact et, depuis un long mois, je rêve qu’il recommence. Ce mec est capable de me faire jouir juste en jouant avec mes seins. J’en suis à apprécier pleinement ce qu’il me fait lorsque la porte s’ouvre. Sa femme ! Elle nous regarde les yeux pétillants ! Je me rappelle ce qu’elle m’a dit, pas touche à son mari ! Je veux l’arrêter mais il continue en regardant son épouse. À quoi jouent-ils tout les deux ? Je ne vais pas tarder à le savoir
Et là, l’impensable ! Elle rejoint son mari, et chacun prend un de mes seins en bouche. Jamais une femme ne m’a touchée. Pour être plus à l’aise, ils m’entraînent sur le lit. Il se met à droite, elle a gauche et s’occupent de ma poitrine. Que mettent-ils dans leur café pour que moi, si peu encline à de nouvelles expériences, je me laisse faire ainsi et que j’accepte d’être à la merci d’un couple aux mœurs légères ?
La main de Sophie descend jusqu’à mon clito, bientôt rejointe par celle de Pierre. Tout en me laissant téter, je me fais astiquer l’abricot par le couple. Mon corps apprécie et, alors que ma respiration s’accélère annonçant mon orgasme, Sophie me met sa langue dans la bouche. Ma langue se mêle à la sienne. Elle étouffe ma jouissance. Elle sort la queue de son mari et me demande de la lui sucer. Elle, elle prend place entre mes jambes et sa bouche si douce commence à titiller ma chatte.
Quelle douceur ce baiser de femme ! Sa langue fouille mon intimité et ces doigts caressent mon clito. Je suce tant bien que mal son mari, voulant apprécier à sa juste valeur cette bouche féminine qui, pour la première fois, s’occupe de ma minette. Pierre pince en même temps mes tétons. Mon corps avide de cette nouveauté est pris de spasmes. Le plaisir qu’ils me donnent tout les deux me fait hurler ma joie de partager ce doux moment avec eux. Ils me laissent récupérer pendant qu’ils se caressent devant moi. J’aime les regarder. Elle se met en levrette et me dit :
Dans l’état où je suis, je suis prête à tout vivre. Je vois donc Pierre entrer sa bite dans l’antre de sa femme. Il la pilonne comme un sauvage et elle en redemande encore. Ma main ne peut s’empêcher d’agacer mon clito. Je vois ses seins en forme de poire se balancer à chaque coup de butoir de son mari. Je ne peux m’empêcher de m’approcher. Je suis attirée comme un aimant par ses seins. J’en attrape un et le retiens par son bout. Je prends l’autre et me mets à le malaxer. Le spectacle me rend folle. Je lâche mon sexe mais mon jus coule entre mes cuisses. J’aurais aimé que la queue de Pierre s’active ainsi en moi. Il claque sur les fesses de sa compagne et celle-ci s’envole sur la route du plaisir suivie de son mari.
Le fait de s’exhiber en train de baiser les rend pervers. Ils exigent que je nettoie chatte et queue. Je ne me fais pas prier. Sophie s’allonge jambes écartées, le jus de son mari s’échappe de son minou épilé alors que la queue de Pierre est enduite du mélange de leurs liqueurs. Ma bouche commence par le manche de Pierre. Je me régale de cette étrange saveur. Sophie s’impatiente, je me décide donc à poser pour la première fois ma bouche sur ce sexe féminin que l’on m’offre. Je retrouve le goût de la semence de son mari. Ma langue n’ose s’engager en elle. Je lui lèche avec douceur les lèvres, j’y prend goût et me fais moins timide. Je lui écarte, non sans l’avoir caressé son orifice.
Ma langue timide, s’enfonce doucement. Que c’est bon ! Je la pénètre avec douceur. Je me faufile de plus en plus en elle. Sophie s’agite sous ma langue. Pierre me regarde faire. Il pose un doigt sur le clito de sa bien aimée et nous la branlons tout les deux. Son corps se contorsionne de plus en plus. Ses gémissements s’accélèrent, deviennent de plus en plus fort. Ma langue accélère la cadence et est récompensée par la jouissance de cette petite salope qui se fait branler par un mec et une nana. La belle se relève, m’allonge et se positionne sur moi. Nous sommes enlacées toute les deux. Ses seins se frottent au mien, sa chatte miaule sur la mienne. Elle m’embrasse. J’aime ce plaisir saphique.
Ma chatte a envie d’une bonne queue, je veux que Pierre me baise. Mon excitation est si forte qu’il n’y a qu’une bite qui la calmerait. S’en doute-elle ? Me laisserait-elle ce plaisir ? Dans le doute, je lui réponds :
Elle comprend ce que je veux mais elle n’est pas prête à me donner la tige de son époux, le temps d’un bon ramonage. Sa réponse me le confirme :
Pierre ne contredit pas sa femme, je suis déçue, je fantasme tellement sur lui. Sa queue, me rend folle, je la veux en moi mais madame n’est pas prêteuse lorsqu’il s’agit de son homme. À cette heure-ci de la journée, les couloirs sont vides. Elle me prend par la main et m’emmène à travers les couloirs de l’hôtel, vêtue juste de mes bas. Arrivée devant la porte 203, elle frappe et nous entrons.
Elle sort et me laisse avec l’homme. Il me laisse debout au milieu de la chambre, s’accroupit et titille ma chatte. Mon liquide coule.
Je pense : « arrête de parler et baise-moi salaud ». Il lit dans mes pensées, plaque mes mains contre la porte, met mon bassin en arrière et sa bite prend possession de mon antre.
Mon vocabulaire s’adapte à ce qu’il me fait. Ses coups me font le plus grand bien. Accroché comme si sa vie en dépendait à mes hanches, il me baise comme un beau diable. Je lui arrache les tympans lors de mon orgasme. Je suis secouée par le plaisir lorsqu’à son tour, il se vide les couilles.
Je ne réponds pas mais oui, je suis une vraie petite salope. Je suis du genre fidèle mais cet hôtel me fait devenir limite nympho. Il m’honore une seconde fois et je prends autant de plaisir. Lorsque je regagne la lingerie, je ne suis pas fière, non pas de ces moments de délice sexuel, mais de ma tenue. À poil, juste vêtue de mes bas, j’ai peur de croiser des clients. J’arrive à la lingerie sans encombre ou presque. Mon cher patron est là. Lorsqu’il me voit arriver ainsi, il prend un air sévère.
« Voyez ça avec votre fils et votre belle fille », pensé- je.
Et quel incident ! Ma chatte en frétille encore.
Il s’approche de moi, me renverse contre la table, écarte mes jambes, glisse sa main entre et dit :
Sans plus attendre, il sort son engin et me le fourre sans délicatesse dans ma zone humide. Je suis sûre qu’il était derrière la porte quand le client m’a ramonée. Sa bite est tellement tendue, qu’il a dû s’exciter tout seul lorsque je beuglais sous l’assaut du type de la 203. J’en suis là de mes pensées lorsque je sens mon petit trou se faire attaquer. Il insinue un doigt dedans qu’il tournoie pour ouvrir cette porte étroite. Il retire son pieu de ma chatte, enduit ses doigts de ma mouille et l’étale sur mon petit orifice. Deux doigts en prennent possession. Ma porte privée s’ouvre un peu plus. Il tente un troisième doigt et la porte cède. Elle est ouverte. Il frotte sa bite contre et entre d’un coup sec. Un petit cri de douleur s’échappe de ma gorge vite remplacé par des cris de plaisir. Sa grosse queue n’y va pas de main morte. Il m’encule bestialement. Ce qui a le don de me déchaîner. Je lâche un bout de la table pour me fourrer la main dans la chatte. Je ne suis plus moi-même. Me faire prendre le cul par mon patron m’ôte toute pudeur. Ma main fouille mon intérieur sous ses coups. Il se retire et éjacule sur ma raie. La chaleur de son jus, glissant sur mes fesses me fait un tel effet que je m’accroche à la table tant mon bonheur est puissant.
Je prends ma douche, reprends mes vêtements de petite fille bien sage et rentre chez moi, vannée. Mon ami me retrouve endormie sur le canapé lorsqu’il rentre. Je me refuse à lui ce soir-là, j’ai eu mon compte dans la journée.
J’ai travaillé plus d’un an dans cet hôtel où régulièrement, je faisais don de mon corps aux couples et au père. Il m’est arrivé de céder à certains clients lorsque le couple jouait avec mes « nerfs ».