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Bis repetita placent et déluge orgasmique

Dans l’épisode précédent : deux amis de longue date, Fabien et Romain, sont entrés en classe préparatoire et ont découvert les joies de la difficulté de la première journée de cours de cette nouvelle vie. Ayant invité Fabien chez lui, Romain était dérangé par un nouveau sentiment à l’égard de son ami. Il ne pensait pas que c’était de l’amour mais plutôt de l’attirance sexuelle. Le soir, Romain fut surpris en train de se masturber et quelques heures plus tard Fabien grimpa sur le lit de son meilleur ami. À califourchon sur lui, il commença une fellation endiablée qui conduisit Romain à un orgasme inoubliable. Rendant la pareille à son ami, Romain fut enchanté de cette expérience. Mais les deux amis avaient franchi un cap, qu’allaient-ils tenter à l’avenir ?

Les jours suivant ce premier rapport, Romain et Fabien firent comme si de rien n’était. En effet, les cours se suivaient, ne se ressemblaient pas et le stress de la prépa reprit le dessus. Tous les jours, les enseignants n’avaient qu’une obsession : préparer leurs protégés pour les concours des grandes écoles. Ce n’est que cinq jours après la soirée chez Romain que l’enseignant de mathématiques avait annoncé le premier devoir surveillé. Ce DS (abréviation crainte par tout élève en classe préparatoire qui se respecte) était certainement le premier d’une longue série et toute la classe tremblait rien qu’à la longue liste d’éléments à revoir en quelques jours à peine de cours.

Dans la cour, tous les élèves y allaient de leurs petites réflexions quant au DS et il n’y avait que peu de personnes très enchantées de le faire. La classe de Math Sup était plutôt soudée, aucun clan pour le moment car tous les étudiants s’entendaient plutôt bien. Fabien et Romain étaient tout aussi intégrés et Fabien avait l’air d’avoir craqué pour une jeune fille blonde, aux longs cheveux lisses et au physique avantageux. Le voyant en transcendance devant la jeune fille, Romain était plutôt mal à l’aise. Son expérience sexuelle avec son meilleur ami n’avait pourtant rien d’amoureuse : c’était une expérience purement sexuelle. Pourquoi éprouvait-il une sorte de jalousie à voir Fabien amoureux de cette élève ? Il l’ignorait et la cloche le ramena à la réalité, peu importe après tout.

Vers 18 heures, alors que Romain travaillait au centre de documentation, il fut dérangé par son portable qui vibrait vaillamment. Discrètement, il regarda le message et vit que Fabien l’invitait à réviser le DS chez lui. Souriant bêtement, Romain remit le portable dans sa poche et continua son travail. Cependant, il n’arrivait plus à se concentrer : est-ce que la situation qu’ils avaient vécue chez lui allait se reproduire ? Comment allait-il réagir ? Les élèves rentraient et sortaient ; ils avaient tous quelque chose en commun : le regard hagard après de longues heures de travail. Romain continuait se torturer la tête.

Toutes ces questions se chamboulaient, se mêlaient inlassablement pendant de longues minutes jusqu’à ce que son téléphone vibrât à nouveau. Il sursauta et vit que sa mère lui demandait par SMS où il était ; lui répondant rapidement, il rangea ses affaires et sortit du centre de documentation.

Marchant dans les froides rues lyonnaises, Romain pensa à sa journée. Il pensa surtout à ce SMS d’invitation qui avait donné du fil à retordre à son esprit. Les lourds nuages planant au-dessus de la ville commencèrent à décharger des gouttes de pluie épaisses, qui collaient sur le visage du jeune homme marchant en direction de chez lui. Il n’allait pas directement chez son ami, il préférait prendre une douche et se changer pour être plus présentable. En plus, cela lui changerait les idées.

Ayant rendez-vous à 20 h chez Fabien, il arriva à 19 h chez lui. Il salua ses parents, et se déshabilla rapidement. Balançant son caleçon dans sa chambre, il rentra dans la douche. Il ouvrit les valves et commença à savonner son corps athlétique. Il faisait toujours du tennis une fois par semaine pour conserver une allure correcte. Passant ses mains sur ses pectoraux, il descendit en direction de son bassin et remarqua qu’il commençait à avoir une violente érection en pensant à la soirée qu’il s’apprêtait à vivre chez Fabien. Ses pensées furent envahies, embrumées, monopolisées par la fellation du jour de la rentrée.

Il prit en main sa verge et commença à se masturber en faisant couler doucement l’eau qui rebondissait avec violence sur son corps imberbe. Ses mouvements étaient précis, rapides. Grognant avec force, il s’arrêta et laissa sa verge surexcitée. Il ne voulait pas jouir, peur de décevoir son meilleur ami si une nouvelle expérience sexuelle s’offrait à eux.

Sortant de la douche, il enroula la serviette autour de son corps ; son pénis heurta le tissu puis se calma pour redevenir quiescent. Il revint dans sa chambre puis s’habilla simplement : un T-shirt bleu marine, un boxer de la même couleur et un jean bleu. Chaussettes et chaussures enfilées, il rangea ses affaires dans son sac puis prit son portable.

Il était 19 h 45 et le chemin dans le froid allait être quelque peu difficile avec le vent qui grondait dehors. Alors, il prit une petite veste légère puis annonça à ses parents qu’il allait réviser chez Fabien :

• — Je ne rentrerai que demain, bonne soirée ! dit-il à ses parents.
• — Passe le bonjour aux parents de Fabien, rétorqua sa mère d’un air souriant.
• — Euh, je crois qu’ils sont en Chine jusqu’à la semaine prochaine, répondit Romain.

Il ferma la porte. Dehors, la température frôlait les huit degrés ce qui était peu pour un jour de début d’automne. Seulement, la marche qu’il fit jusqu’à la maison de Romain avait eu le temps de le réchauffer un peu. Ses pensées étaient encore occupées par la motivation de l’invitation de son ami : révisions ? Nouvelle approche sexuelle ? Peut-être… un mélange ?

Les nuages avaient laissé place à une petite brume nocturne qui recouvrait toute la ville et la pluie avait laissé un châle glissant sur le sol. Faisant attention à ne pas tomber, Romain arriva chez son meilleur ami. La maison était d’un style ordinaire mais agréable. Il sonna à la porte et attendit son ami.

Fabien surgit, ouvrant la porte. Il était habillé d’un T-shirt blanc, un pantalon noir et ses cheveux blonds en bataille lui donnaient un air fatalement sexy. L’érection de Romain reprit déplus belle mais elle était totalement invisible du point de vue de son meilleur ami.

Se faisant la bise, Fabien prit la parole :

• — T’as pris tes maths ? Les DS va être chaud alors, va falloir être efficace !
• — J’ai tout ça, ouais. Go, alors ! dit alors Romain.

« Go alors » était la seule phrase avec un minimum de sens qu’il avait trouvé pour répondre. Les deux amis entrèrent dans le salon bien décoré. Un canapé trônait au milieu, devant une télévision et une grande table. Fabien et Romain s’y installèrent, convaincus de pouvoir travailler sur le canapé. Fabien commença à exposer ses soucis en maths et Romain l’aida à résoudre quelques problèmes même si d’habitude c’était son meilleur ami qui l’aidait. Les heures s’enchaînèrent et les deux partenaires mangèrent un plat de pâtes chaud en parlant des dernières nouvelles de la prépa.

Prenant son courage à deux mains, Romain dit alors :

• — La fille sur laquelle tu as flashé… Tu la trouves pas un peu vulgaire ?
• — Virginie ? Tu rigoles, elle est super jolie, intelligente, mystérieuse. Elle me fait carrément craquer.

Romain rougit, il ne savait pas pourquoi il avait dit ça. Une sorte de jalousie en sachant que s’il sortait avec elle, leurs moments privilégiés allaient peut-être disparaître et peut-être même que l’expérience sexuelle qu’ils avaient vécu chez lui n’allait plus jamais se reproduire.

Chamboulé, un peu rougissant encore, Romain regarda Fabien qui éclata de rire.

• — T’inquiète, mec ! Je pense pas qu’elle pourra me sucer aussi bien que tu l’as fait chez toi !

Romain commença à sourire et Fabien débarrassa les assiettes de la table puis revint rapidement devant son meilleur ami qui commençait à ranger les affaires de maths qu’ils avaient sorti. Il était tard et bientôt l’heure de se coucher. Fabien semblait hésiter puis se baissa pour se retrouver à la hauteur de Romain qui était encore assis.

• — Dis, j’aimerais bien qu’on recommence et qu’on aille plus loin en fait… dit Fabien d’un air un peu gêné.

Romain était rassuré. Finalement, l’expérience de la semaine dernière allait peut-être pouvoir se reproduire. Secrètement, il n’espérait que cela et les questions qu’il se posait trouvaient soudainement des réponses claires et précises. Il répondit en souriant :

• — Bah écoute, pour moi, c’est d‘accord. Sans problème. Tu veux aller jusqu’où ?

Fabien hésita puis dit :

• — On pourrait essayer la pénétration ?

Romain fut étonné, il n’avait pas encore pensé à la possibilité de faire l’amour réellement. L’expérience sexuelle avec un garçon prenait effectivement son sens quand il y avait pénétration, alors sans réfléchir il rétorqua :

• — Pourquoi pas ? Mais qui pénètre qui ?
• — On fera pile ou face ! Pas de jaloux, on inversera les rôles ! Pour le moment, ça te dit déjà d’essayer de se remettre dans le bain ? dit Fabien d’un air décontracté.
• — Ouais, carrément ! dit-il sans hésiter une seule seconde.

Il ne savait pas dans quoi il se lançait mais il vit que Fabien était pressé de passer aux choses sérieuses. Son meilleur ami lui enleva son T-shirt maladroitement puis son jean. Libérant un boxer bleu marine très gêné par une verge grandissante. Fabien commença à jouer avec à travers le fin tissu puis l’enleva. La taille de sa verge n’avait bien-sûr pas changée mais le jeune homme blond était toujours étonné de voir une aussi belle taille. Ne s’encombrant pas avec une masturbation d’introduction, il goba avidement le pénis de son ami. Rentrant et sortant l’appareil de plaisir de sa bouche, il accélérait les mouvements et entendait les premiers râles de plaisir de son partenaire. Romain était encore assis sur le canapé et se faisait tailler une pipe de la même qualité qu’il y a quelques jours. Fabien était réellement un pro de la fellation et n’hésitait pas à jouer avec les bourses de son meilleur ami pour extirper la quintessence du plaisir. Romain affichait un sourire béat, prenant la tête de Fabien dans ses mains et la modulant au grès de son plaisir. Voyant que le pénis de Fabien semblait faire gonfler son pantalon, Romain arrêta la fellation que lui prodiguait son ami et lui dit alors :

• — On fait un 69 ?
• — Bonne idée.

Fabien enleva lui-même son T-shirt et fit jaillir une musculature soignée et travaillée par son sport favori. Son pantalon partit vers la table et son boxer noir fut pris d’assaut par les mains excitées de Romain qui commença par sortir la verge de son ami avec gourmandise. Un peu plus épaisse que la sienne, il commença à la sucer calmement puis invita Fabien à s’allonger sur le canapé.

Une fois placé, Romain vint positionner son pénis en direction de la bouche de son ami et alla reprendre dans la sienne la verge de Fabien. Un 69 endiablé commença pendant de longues minutes où chacun des garçons se surpassait pour continuer une fellation de qualité. Romain grognait virilement en se faisant sucer rapidement par son meilleur ami, celui-ci mettait les bouchées doubles en donnant des mouvements rapides et violents. Romain emboîta le pas et intensifia ses mouvements, sa langue vint tourner rapidement autour de son gland et il commença à entendre des bruits gémissants de Fabien qui hurla d’un coup :

• — Calme, je vais jouir si ça continue !

Romain se calma donc et les mouvements se ralentirent. Avec soin le jeune homme suçait le long bâton excité comme une glace qu’un enfant dévorait avec délicatesse. Le massif semblait sur le point d’exploser mais Romain continua sa dégustation profitant d’un gland suffisamment gonflé pour l’englober dans sa bouche avant de ré-engloutir la verge de son ami. Fabien avait arrêté de sucer son ami et avait collé ses mains sur les fesses de celui-ci. Prenant la parole avec halètement :

• — Je vais tout lâcher, je vais pas pouvoir me retenir ! dit-il en soufflant.

Romain se positionna alors à califourchon sur son ami et le branla énergiquement, le visage de Fabien changeant dans toutes les déclinaisons qu’il pouvait prendre. Donnant un ultime coup de langue, Romain reprit sa masturbation puis assista à un déluge de semence se déverser jusqu’à son visage, inondant le haut de son torse, ses pectoraux et ses abdominaux.

• — Ah, bordel, c’est vraiment énorme Romain. É-nor-me.

Fabien essoufflé, reprit son souffle puis vint se mettre à genoux devant le canapé. Romain s’était assis et avait commencé à se masturber pour se faire venir à son tour. Fabien reprit en bouche son amant, ce qui fit hurler celui-ci. Romain se sentait proche de la jouissance et rapidement il fit sortir sa verge de la bouche de Fabien.

• — Fab’, je vais exploser !

La table proche du canapé servit de support où Fabien cala son dos en attendant l’orgasme de Romain. Son ami se masturbait avec des mains surexcitées autour d’un pénis prêt à exploser. D’un coup, une jouissance orgasmique vint répandre une semence aussi puissante que l’éjaculation de Fabien, de longs jets sortirent rapidement de sa verge et des gémissements rauques firent écrouler Romain sur le torse imbibé de sperme de son meilleur ami.

• — On a trouvé un bon plan, j’ai l’impression.

Cette expérience, bien que purement sexuelle, ravissait les deux compères. Bisexuels, ils pouvaient se faire plaisir mutuellement et là, dans la plus grande discrétion. Romain et Fabien s’essuyèrent, non décidés à avaler leur sperme et se rhabillèrent.

• — On va se coucher ? dit Fabien, d’un air souriant.
• — Ouais, je suis crevé ! rétorqua Romain, en marchant vers la chambre de Fabien.

Les deux amis se dirigèrent vers la chambre de Fabien et se déshabillèrent une nouvelle fois. C’était finalement un peu étrange de s’être rhabillé puisqu’ils dormaient en caleçon. L’expérience que venait de vivre Romain l’avait épuisé et il était très heureux d’avoir pu réitérer. Il avait pris son pied et était réellement content.

Romain installa son sac de couchage au pied du lit de son ami. Fabien prit la parole une fois qu’ils furent tous les deux en boxer une nouvelle fois.

• — On avait dit qu’on tentait de se pénétrer aujourd’hui, non ?
• — Tu veux essayer aujourd’hui ? Je suis crevé, là… dit Romain. Il disait cela plus pour provoquer son ami que pour refuser. Il en tremblait d’envie.
• — Si tes burnes sont vides, je comprends ! dit-il en rigolant, esquissant un sourire pervers.

Romain, faisant semblant d’être vexé dit alors :

• — D’accord ! Mais on tire au sort qui pénètre en premier. Face c’est toi, pile c’est moi.

Romain sortit de son sac non loin une pièce de monnaie et la lança. La pièce tomba lentement sur la main de Romain, elle sembla jouer avec l’éminence thénar et retomba sur les lignes centrales. Cachant la pièce avec sa main, il la montra à Fabien. Retirant avec délicatesse ses doigts, il créa la surprise : c’était pile. C’était donc à Romain de pénétrer Fabien.

• — C’est pas trop mon truc, passif, je pense… Mais bon, t’as gagné, après tout, dit Fabien d’un air déçu.

Il ouvrit le tiroir de sa table de chevet et sortit des préservatifs et du lubrifiant. Il reprit la parole ensuite :

• — Essaie de me donner du plaisir autant qu’avec ta pipe !

Romain rigola avec son ami. Puis, il descendit calmement vers le boxer de Fabien, il l’enleva. Le jeune homme blond avait retrouvé toute sa vigueur au niveau de sa verge et Romain recommença une fellation pendant quelques minutes. L’expérience était trop belle pour ne pas profiter encore quelque peu de son pénis. Fabien, gémissant, fut un peu stressé lorsque Romain lui demanda de se retourner.

Fabien s’exécuta et son ami partit à la découverte de son anus. Il avait peur du sentiment de dégoût qu’il aurait pu éprouver mais fut étonné du goût lorsqu’il commença à introduire sa langue. C’était plutôt agréable. Fabien semblait apprécier car les mêmes gémissements sortaient de sa bouche.

Pendant de longues minutes, Romain lubrifia avec sa langue le cul de son ami. Puis, il prit le préservatif, enleva son caleçon et mit le latex protecteur rapidement sur sa verge bandée.

• — Allez, mets-toi en levrette Fab’. Lui dit-il d’un air décidé.

Fabien se mit en position. Romain se plaça derrière et inséra quelques gouttes de lubrifiant pour aider la pénétration. Il plaça sa verge à l’entrée de son anus.

• — Prêt ? dit-il d’un air un peu gêné.
• — Ok, vas-y, rétorqua Fabien en déglutissant.

Il mit sa verge devant l’anus de Fabien puis la rentra progressivement sous des cris de douleur de son ami. Une fois jusqu’à la garde, il dit à Fabien :

• — Je sors ou ça va aller Fab’ ?
• — NON ! Vas-y, fais-moi l’amour Romain, dit Fabien d’un air excité mais aussi taquin.

Romain rigola, un rire tout aussi nerveux que celui des dernières semaines. Il était rassuré de voir que son ami n’avait pas si mal que cela. Il commença des mouvements doux, entrant et sortant de son anus. Rapidement, la douleur semblait s’être estompée du côté de Fabien, et Romain pouvait accélérer les mouvements. La sensation était différente que lorsqu’il avait pénétré une fille, c’était plus étroit et beaucoup plus agréable à son goût. Les deux corps musclés s’emboîtaient à merveille et les mouvements se faisaient de plus en plus rapidement, les bourses de Romains claquaient avec fracas contre le fessier de son amant, renforçant l’érotisme de la scène.

• — Tu tiens le coup Fabien ? demanda Romain, inquiet.
• — Ouais, ne t’arrête surtout pas ! hurla Fabien.

Romain continua en effet ses mouvements de bassins, la levrette donnait un sentiment de puissance orgasmique conduisant le jeune homme à encore intensifier ses mouvements. Fabien gémissait et Romain lâchait des râles virils, rauques prouvant un plaisir immense. Sortant complètement son pénis, il le remit totalement quelques minutes plus tard puis donna des impulsions d’une puissance beaucoup moins modérée. Sa queue rentrait et sortait avec un fracas horriblement bruyant, renforcé par ses bourses tapant l’arrière-train de son ami.

• — Ah, continue Romain, ne t’arrête pas, je t’en supplie ! dit Fabien en haletant, à quatre pattes.

Romain obéit pendant de longues minutes où sa verge semblait sur le point d’exploser. Encore néophyte dans l’air de faire l’amour à un homme, Romain ne savait pas comment contrôler son plaisir. Il hurla alors à Fabien :

• — Je vais jouir Fabien, aaaaaah.

Romain sortit sa verge de l’anus de son jeune ami et après avoir enlevé le préservatif de sa queue, il déversa une deuxième fois un orage de sperme. En hurlant d’une voix volcanique, il se déversa pendant quelques secondes. Les voisins étaient certainement plongés dans leur sommeil mais Romain avait tellement gémi qu’il en avait honte. Moins abondante que la première fois, l’éjaculation était quand même impressionnante témoignant une excitation hors pair. L’ensemble de la semence atterrit sur le dos musclé de son ami. Fabien s’écroula sur le lit. Il était très excité et la sodomie que venait de lui procurer son ami était sensationnelle :

• — Baiseur hors pair ! Tu m’avais caché ce don, Romain ! lui dit-il avec un manque de souffle.
• — C’était sympa mais je crois que je trouve les pipes plus reposantes, dit Romain d’un air épuisé.

Sa verge avait littéralement explosé et retrouver une érection allait être difficile.

• — T’inquiète pas, maintenant, tu vas te reposer puisque c’est moi qui te pénètre.

Romain, fatigué, redoutait ce moment. Tant excité, il comprenait maintenant de quoi il avait peur : la douleur. Fabien était d’un tempérament vif et sa sodomie risquait d’être encore plus endiablée que celle qu’il avait prodiguée il y a quelques minutes.

Fabien se coiffa d’un préservatif et dit alors à Romain :

• — Tu te rappelles quand tu m’as sucé chez toi ? J’étais contre la porte. Va te mettre contre ma porte, on va faire une variante, cette fois-ci plus question de fellation mais de sodomie !

Fabien était excité mais confiant, grand, athlétique, le blondinet voulait essayer une position dès de le départ légèrement compliquée. Là où Romain l’avait pris en levrette, lui voulait tenter la sodomie debout. Romain alla se placer contre la porte, sa verge encore fatiguée fut surprise de la froideur du bois dans lequel la porte était taillée.

Le jeune homme blond se baissa et commença à plonger sa langue dans l’anus de Romain, jouant avec les rebords et prenant un plaisir non dissimulé pour lubrifier l’endroit. Son préservatif déjà coiffé sur son pénis, Fabien se releva et commença à mettre quelques gouttes de lubrifiant pour permettre un meilleur glissement.

Sans demander si Romain était prêt, Fabien rentra avec force dans l’anus de son ami. Les deux amants hurlèrent en chœur, Romain d’un mélange de plaisir avec une douleur sensible et Fabien d’une sensation de plaisir enivrante. Après un grognement viril, le jeune homme athlétique continua à rentrer son pénis puis commença des mouvements puissants. Là où Romain y était allé progressivement, Fabien était une réelle brute. Cependant, Romain appréciait grandement et la douleur devenait très supportable face à l’avalanche de plaisir que représentait Fabien à lui seul. Il imprima un rythme d’une cadence élevée et rapidement Romain vibra en même temps que les coups de reins que lui donnait son ami. Sa verge frottant contre le bois frais reprit de la vigueur mais de façon beaucoup moins puissante après deux éjaculations. Fabien avait pris en main les fesses de son amant pour redoubler d’efforts dans sa sodomie. Debout, dans cette position, la scène inspirait une sorte de bestialité érotique.

Fabien, dont les cheveux blonds étaient illuminés par les rayons lunaires, continuait à prodiguer des coups de verge puissants faisant gémir son ami. Romain était réellement sous le charme de cette nouvelle pratique où la vivacité de Fabien lui donnait un charme de folie. Ses muscles bandés, travaillés par le Tennis étaient pris d’assaut par l’objet qui hantait son postérieur.

• — T’as un cul étroit, Romain, c’est de la bombe sérieux ! dit Fabien, en continuant ses mouvements quelque peu essoufflé.

Romain ne put répondre, essoufflé également par la tournure des événements. Fabien continua à un rythme encore plus élevé. Le jeune homme debout arrivait à faire claquer ses bourses de façon encore plus tonitruantes contre le cul de son partenaire. La scène était très excitante car les deux garçons gémissaient d’une voix rauque et exaltante. La porte tremblait de tout son corps ; la verge de Romain était redevenue excitée et la heurtait spontanément de façon répétée.

Les événements s’étaient très vite enchaînés et Romain s’était demandé s’il ne faisait pas une idiotie à plusieurs moments de l’acte mais la vague de plaisir qui l’envahissait était terriblement agréable. Continuant à se faire prendre, Romain hurlait et Fabien sentait sa jouissance proche.

• — Je vais jouir Rom’, je sens que je vais pas pouvoir tenir longtemps !

Romain sentit que Fabien avait arrêté sa pénétration, il se retourna et se mit à genoux. Il eut à peine le temps d’enlever le préservatif puis de mettre en bouche le pénis de son ami que Fabien poussa un ultime gémissement. Il hoqueta de plaisir et, saisissant sa verge commença à répandre un flot de sperme blanchâtre en de longs jets sur le visage de Romain et le haut de son torse. Continuant à gémir son orgasme, Fabien s’écroula par terre comme il l’avait fait lorsqu’il s’était fait sucer chez Romain. Le jeune blondinet avait encore déchargé une vague de semence incroyable, c’était un régal à voir et Romain se sentait fier d’être à l’origine de ce déluge orgasmique.

Fabien se releva rapidement et dit :

• — Écoute, mec. Ce qu’on fait c’est de la pure tuerie. C’est purement sexuel, on est d’accord ? dit-il avec un sourire.
• — Bien sûr Fab’ ! C’était cool, j’avais très envie d’essayer, dit Romain avec un air un peu gêné, rougissant, son visage encore souillé de sperme.
• — De la bombe sérieux, mes burnes sont vides. T’es un super coup Rom’, dit Fabien tapant énergiquement le dos de son ami.
• — Idem, je me suis bien vidé, j’avoue ! Rétorqua Fabien d’un air faussement souriant.

Les deux amis remirent leurs boxers et allèrent se coucher. Romain restait debout, en caleçon devant la fenêtre d’où sortaient les fins rayons lunaires. Il nettoya son visage avec sa main. La semence de Fabien était abondante. Il se posa des questions, était-ce purement sexuel ? Ils ne s’étaient jamais embrassés et Romain était quelque peu dérangé, il s’allongea dans son sac de couchage. Il sentait bien que ce n’était pas que « purement sexuel » mais pour le moment, il s’en contentait largement. Peut-être que dans les prochaines semaines la tournure allait changer. L’Amour allait peut-être se mêler à ce tableau orgiaque.

Il avait pris beaucoup de plaisir ce soir et cet émoi de jeunesse n’était que le début d’une longue série d’expériences avec Fabien.

Je vous conterai la suite de leurs aventures dans les prochaines semaines. Merci de votre lecture.