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n° 13858Fiche technique20119 caractères20119
Temps de lecture estimé : 13 mn
14/05/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  Une exhibition qui tourne au trio.
Critères:  f fh fhh hplusag asie cocus inconnu fépilée jardin parking exhib ffontaine facial fellation pénétratio -exhib -lieuxpubl
Auteur : Southi  (Couple adultérin - écrit à deux ou quatre mains)      Envoi mini-message
À ta rencontre

Je suis Indonésienne, 30 ans, petite (1,55 m), mince mais avec un cul rond et plein « à faire se damner un saint » selon T. et une poitrine menue mais ferme, dotée de mamelons très érectiles.

T. mon amant, 1,80 m, les yeux bleus, cheveux et barbe poivre et sel, est plus âgé que moi. C’est un « chaud lapin », qui sait merveilleusement alterner tendresse et fougue. Nous vivons chacun notre vie, lui a sa famille et moi mes aventures (rares), mais je sais que je suis sa seule et unique aventure.


Il me comble sexuellement et amoureusement. Je ne peux et ne veux pas toujours suivre la cadence qu’il aimerait m’imposer. Mais je fais volontiers des efforts, car je l’aime.

Il me fait dire des choses qui l’excitent, je deviens coquine et je lui ai avoué mes fantasmes d’exhibition. Il me guide dans ce que je fais et maintenant je prends beaucoup de plaisir à m’exhiber pour lui et avec lui. Dans ces moments où se mêlent la peur de se faire surprendre par quelqu’un de notre connaissance et la jouissance de s’exhiber, de faire l’amour dehors, lorsque je jouis je deviens une femme-fontaine.



Ce soir, j’ai décidé d’assumer mes envies, de me – de nous – faire plaisir ; alors je me suis habillée et maquillée pour t’exciter.


J’ai enfilé ma petite jupe noire qui me couvre à peine les fesses, des bas noirs attachés à un porte-jarretelles en dentelle vaporeuse, des chaussures aux talons vertigineux, un chemisier en dentelle noire. Bien sûr, je n’ai pas mis de sous-vêtements et l’idée que tu vas aimer, que je vais allumer des lueurs concupiscentes dans les yeux des hommes qui me croiseront, fait jaillir mes tétons à travers les trous de la dentelle.


Je vais à ta rencontre.


J’aime être habillée comme ça ; je sais trouver dans mon regard cette petite lueur que tu qualifies de perverse, de défi aux limites de la bienséance. J’aime cette sensation de nudité, d’être exposée, mise en danger, ça m’excite.

Tu m’as fait découvrir combien j’aime ce sentiment de provocation et de trouille mélangées lorsque je m’exhibe. Quand je dépasse certaines limites, je peux lire dans ton regard que tu es fier de moi, que tu as envie de moi et ça, c’est excitant. Je sens des fourmillements gonfler mes lèvres et je mouille en pensant au plaisir que nous allons partager.


Nous avons rendez-vous sur le parking peu éclairé d’un parc de bord de mer, où de nombreuses voitures viennent se garer et faire demi-tour. Je m’arrête derrière toi et prends soin de descendre au moment où une voiture arrive face à moi. Lentement je sors une jambe dévoilant mes bas et leurs attaches. Les phares éclairent mon entrejambe et dévoilent mon sexe lisse. Mes tétons durcis pointent insolemment à travers mon corsage. Le faisceau lumineux a comme des hoquets : je pense que le conducteur a été un peu surpris par le spectacle offert.


Je m’approche de ta portière et me penche pour effleurer tes lèvres. Ainsi cambrée, mon cul dévoilé est illuminé d’un coup par les phares d’un véhicule qui manque de peu grimper sur le rond-point du bout du parking.

Je te regarde, chatte lascive, velours et griffes, promesses et offrandes ; je veux que tu assumes ce que tu allumes en moi. Je parade, j’exhibe, je provoque, je te provoque puis je t’entraîne dans un de nos recoins, secrets et publics à la fois, pour assouvir mon envie de me branler devant toi et d’en faire profiter qui veut regarder.


Là sur la pelouse, parmi les arbres devant la mer, au milieu des fragrances de plantes et des senteurs d’algues et d’embruns, je me glisse, ombre parmi les ombres, parfois saisie, révélée par le pinceau lumineux de phares errants. Je sais que tu es là, juste derrière moi, profitant de toute lueur qui me révèle à toi, tendu par l’envie de me rattraper, retenu par le respect de mon désir, par l’envie de partager ce moment de folie érotique avec moi.




J’aime l’idée que l’on me regarde, mais surtout que tu me regardes, d’être l’objet de ton désir. Cette envie exhibitionniste, je veux la satisfaire ce soir et ça se sent. Tu me dis souvent que dans ces moments-là, je deviens une autre, que la sage S. devient une salope, qu’elle se transforme en SX la cochonne, la pute au regard pervers. Je l’assume totalement et j’adore être comme ça. Suivre dans tes yeux la progression de ma métamorphose est un moment de pur érotisme et quand tu me lances des mots crus, durs, grossiers et excitants, je jouis.


Tu sais, j’ai toujours rêvé que tu me regardes quand je me branle. C’est très excitant, c’est un de mes fantasmes préférés et souvent, seule, lorsque je me masturbe, j’augmente mon plaisir en imaginant que tu es là qui me regarde.


Ce soir j’ai décidé de te faire plaisir en réalisant mon fantasme ; je vais me branler devant toi, dehors, exposée aux regards des autres ; même si c’est le tien qui compte, le regard des autres m’apporte un surplus d’excitation.


Adossée à un arbre, je relève ma jupe, écarte les jambes en remuant ma croupe et je plante mes yeux dans les tiens. Doucement, d’une main, je caresse mon ventre, puis le mont glabre et descends vers mon intimité. J’ondoie lascive devant tes yeux qui suivent et appuient mes caresses.

Mon autre main glisse sur la dentelle de mon corsage et malaxe mon sein droit.

Un doigt glisse par mégarde sur ma fente. Je me caresse les petites lèvres ; je te fixe toujours, tu me murmures :



Je te l’interdis :



J’ai ouvert mon chemisier et ma main glisse d’un globe à l’autre, titillant, pinçant, tirant mes mamelons durcis.

Je me libère de ma jupe qui s’étale en corolle noire à mes pieds et reprends mes caresses, sentant le désir monter en toi et le plaisir lancer ses premières décharges dans mon ventre.


Mes jambes sont largement écartées pour mieux m’offrir à ta vue ; je malaxe, pince, tire de plus en plus fort sur mes mamelons et j’enfonce d’un coup un doigt dans ma chatte trempée.

Mes yeux dans les tiens je savoure ce moment de bonheur, je réalise mon fantasme et un des tiens en même temps, mon sexe dégouline de plaisir.

Tu ne tiens plus, tu as sorti ta queue de ton jean et tu te caresses sans me quitter des yeux. J’ai maintenant deux doigts dans mon vagin et j’entame un va-et-vient rapide.

En bas deux autres doigts glissent frénétiquement au milieu d’un filet de mouille, c’est bon ! J’y suis presque, mes hanches ondulent au rythme de mes doigts. Inconsciemment je pince mon téton de plus en plus fort.

J’accélère le mouvement, mon clitoris est gonflé, je frotte mon doigt dessus, le plaisir est là, je sens que je vais jouir, je suis trempée ! Je vais jouir devant toi ! L’orgasme irradie mon ventre, je fixe tes yeux pour mieux savourer cet instant dans ton regard. Un flot de mouille s’écoule dans ma main. Je geins, je me tords, je jouis fort, fort !


Je retire mes doigts et te les fais sentir. Tu les lèches avidement. Tu aimes mon goût et mon odeur.

Je suis maintenant sur tes lèvres, j’aime les baisers que nous nous échangeons, j’ai l’impression que tu veux me dévorer, m’avaler toute crue. Je t’embrasse passionnément, voluptueusement, je respire dans ta bouche, ta langue rencontre la mienne, nos dents s’entrechoquent, mes seins sont durs et je sais que ma chatte continue de plus belle à tremper mes cuisses. Il n’y a que dans ces situations que je deviens une femme-fontaine ; il me faut le mélange du plaisir de l’exhibition et de la crainte d’être découverte pour que ma mouille jaillisse aussi fort.


Je m’agenouille devant toi ; je dépose sur ton ventre des milliers de baisers, tout en prenant soin de saisir ta queue. J’aime ta queue, elle est grosse, elle bande pour moi, pour nous, je la caresse, j’ai déjà envie de la mettre dans ma bouche. Ta queue gonflée par le désir bande de plus en plus au creux de ma main, elle palpite entre mes doigts, chaude et vivante. J’aime ta queue, son odeur, sa texture, son goût, elle est faite pour moi !

Je me relève, écarte mes jambes bien tendues et me penche pour emboucher ta tige. Ma position fait ressortir mon cul et offre le spectacle de ma chatte baveuse et ouverte à qui le veut.



Ton pénis s’enfonce dans ma bouche, je le respire, goûte son odeur, il est de plus en plus gros, de plus en plus profond. Hum, je suce goulûment cette tige vivante, telle une friandise dont je ne me lasserais jamais.

Je la retire de ma bouche, je me suis relevée et croise ton regard, un mélange indéfinissable d’excitation, d’envie, de désir, de plaisir.

Je touche cette queue, qui me fait tellement de bien, je la touche, la caresse, mes mains sont agrippées à cette queue qui n’en finit pas de grossir.

Je suis de nouveau en position devant toi. Je suis à toi, je suis ta putain, ta garce, ta chienne, mon cul est cambré, j’ai les jambes écartées, tu aimes me voir dans cette position, je suis offerte, à qui veut bien me regarder, femme, homme.


J’aimerais avoir dix mains, pour pouvoir en même temps, te caresser sur tout le corps, t’embrasser, sentir ta langue dans ma bouche, j’aimerais être mille femmes, pour pouvoir m’occuper de toi et de ton corps.

J’aimerais que tu sois multiple et que tu t’enfonces en moi en même temps que je te suce. J’aime sentir ta bite dans ma chatte, dans mon sexe, mouillé, trempé, par l’excitation et le désir. J’aimerais la sentir dans ma chatte et dans ma bouche en même temps. Excitée par mes propres fantasmes, je gobe ta pine d’un coup jusqu’au fond de ma gorge. À la limite de l’étouffement, je coulisse tout au long de ta hampe.

J’aspire cette queue et entame un va-et-vient. J’entends ta voix qui me dit :



Cela m’excite encore plus, le fait d’être ouverte, offerte, de penser à ta queue ou une autre qui pourrait m’envahir doit ajouter à cette excitation car je jouis presque.


Je continue de te sucer, je suis comme envoûtée, plus rien ne compte que toi et moi, plus rien ne compte que de nous faire plaisir et d’avoir du plaisir ensemble.


J’entends tes râles, je sais que tu n’en peux plus, que tu vas jouir. Tu me redresses, tires mes cheveux en arrière, et accélères le mouvement, ça y est, tu jouis dans ma bouche. Cette giclée de crème, je l’avale avec gourmandise. Hum, c’est si bon !

Qu’est-ce que je l’aime quand elle est dans ma bouche, tout au fond de ma gorge. Hum !


Je me relève, me love dans tes bras et nous nous embrassons profondément, mélangeant nos salives, nos goûts et celui de ton sperme.


Blottie contre toi, je relève la tête et je croise le regard noir et languissant d’un homme.


Il est à moitié caché derrière un arbuste. L’homme, un Océanien bâti comme une armoire normande doit mesurer deux mètres. Le pantalon baissé à mi-cuisses, il caresse un sexe monstrueux en me dévisageant sans vergogne. Je me raidis et tu le sens. Tu baisses les yeux vers moi. L’homme n’hésite plus et se rapproche de nous. Calmement tu te retournes. Puis tu te penches vers moi et me chuchotes :



Je sursaute et me raidis. Je suis désemparée par ta question, tu veux me donner à cet homme ! L’idée me choque d’abord, puis d’un coup je réalise que nous sommes dehors, dans un jardin public, que je ne suis vêtue que de bas et d’un chemisier transparent ouvert, que je viens de me masturber en public et que cet homme a envie de moi, du moins de la petite pute qui vient de s’offrir en spectacle.


La taille de son membre m’impressionne et je sens sous moi celui de T. qui reprend vigueur. Le salaud s’excite de la situation, à l’idée de me voir baisée par un autre homme sous ses yeux. Je sens ma cyprine couler et je me rends compte que je suis vraiment SX la salope, elle aussi excitée par cette idée.

Un petit pincement au creux du ventre à la vue de l’engin que l’homme exhibe m’indique que j’ai autant envie que je crains de me faire envahir par ce chibre.


T. glisse sa main entre mes jambes et s’exclame, avec une pointe de surprise non feinte dans la voix :



Puis avec un regard et un ton très pervers :



Je ne peux nier que l’idée me plaît et fait partie de mes fantasmes les plus courants, mais là la bite est d’une taille si impressionnante que j’appréhende le moment où il va s’enfoncer en moi.


T. se relève et s’adresse à l’Océanien :



Je sens mes jambes flageoler, il ne me laisse plus le choix. Joignant le geste à la parole, il me redresse et m’emmène sur une petite butte. Là, il me prend par les cheveux, approche ma tête de sa queue, me force les lèvres avec sa bite et me cambre les reins pour que j’offre ma chatte béante et dégoulinante au chibre épais de l’homme. Juchée sur la butte de terrain, je suis presque à bonne hauteur pour l’Océanien qui fléchit un peu les jambes pour se positionner derrière moi.


Je sens l’énorme gland encapuchonné écarter doucement mes lèvres. Je suis un peu crispée mais l’homme avance son chibre avec douceur et je me détends en sentant le gland glisser dans ma mouille et écarter mes lèvres sans effort.


Dans ma bouche, la bite de T. palpite et se raidit. Il regarde fasciné l’engin s’enfoncer en moi.


Ça y est le gland a passé la porte et, petit à petit, je le sens me remplir, sa tige doucement m’écartèle. Des fourmillements de plaisir m’irradient et accompagnent la progression de son énorme bite. Sucer mon homme et sentir un autre vit s’enfoncer en moi en même temps me fait jouir immédiatement.

Le plaisir m’envahit et je hoquette sur la queue que T. enfonce au fond de ma gorge. Je recule ma bouche et lèche sa tige.


L’envahissement progressif de mon ventre par l’énorme bite n’est toujours pas fini et, au fur et à mesure de ses progrès dans ma chatte, ma bouche s’ouvre pour exhaler des soupirs de plus en plus forts. Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi fort et lorsqu’il bute au fond de moi, je jouis une deuxième fois. T. m’asperge le visage de sa semence qui me dégouline sur les lèvres.


L’Océanien commence alors à coulisser dans mon étui serré et ressort son gland avant de le réintroduire d’une poussée lente mais puissante jusqu’à buter sur mon utérus. Je hurle de plaisir et je sens l’homme grossir encore en moi. Il commence une série de va-et-vient de plus en plus rapides.

Je n’ai plus peur d’avoir mal et j’envoie mon cul à la rencontre de cet énorme piston qui m’arrache des cris de plaisir incontrôlables. L’homme me saisit par les hanches, me soulève du sol et me fait aller et venir sur sa bite comme une poupée gonflable, tout en me traitant de salope. Je n’ai plus aucun contrôle, véritablement empalée sur sa bite, pistonnée à un rythme démentiel, insultée, je n’arrête plus de jouir.


Je n’aurais jamais cru pouvoir sentir le chibre grossir encore, mais là je me sens totalement écartelée de l’intérieur lorsqu’il se répand dans son caoutchouc tout en grognant. Je crie. Je jouis encore et encore, la sueur perle sur mon front et mon dos, ma tête dodeline au rythme des secousses imprimées à mon corps.


L’homme s’immobilise. Grand et puissant, il me maintient embrochée sur sa queue, mes pieds décollés du sol, une main empaumant mes seins, l’autre mon ventre.

Ainsi empalée, soutenue en l’air par ses mains, je me laisse aller, reprenant ma respiration et mes esprits, sentant le chibre se dégonfler doucement dans mon vagin.

Doucement, il plie les jambes et mes pieds reprennent contact avec le sol. Lentement il se retire et un grand vide m’envahit.


T., la bite dressée devant lui, m’accueille dans ses bras. Dolente, je me laisse aller contre son torse et sens sur ma chatte béante la fraîcheur d’un souffle de vent qui s’insinue à l’intérieur de mes lèvres encore largement ouvertes.


T. me retourne, agrippe mes hanches et s’enfonce d’un coup en moi, m’arrachant une exclamation de surprise, puis il reste immobile fiché au fond de moi. Mon fourreau se resserre sur sa queue et la sensation d’être remplie à nouveau m’électrise.


L’Océanien debout devant nous a retiré sa capote et présente à mes lèvres son sexe à moitié flaccide. Je caresse sa tige et darde ma langue sur son gland gluant de foutre. Je le lèche comme un esquimau savoureux et utilise mes deux mains pour manipuler son chibre qui se redresse déjà. Devenu dur, il force mes lèvres de son gland et je peine à l’emboucher. Il pousse et m’étouffe pendant que T. commence à aller et venir dans mon con, tout en me traitant de tous les petits noms qui m’excitent quand il les profère dans ces moments-là. L’homme me prend la tête entre ses mains et me baise la bouche, me laissant prendre ma respiration par saccades pendant lesquelles je crie de plaisir à être baisée de la sorte.


Le ventre de T. claque sur mes fesses ; il me baise violemment, ses mains sont crochées à mes hanches ou me lâchent pour me claquer le cul. J’ai l’impression qu’il veut me punir d’avoir autant joui avec l’autre et sa rage s’exprime dans le rythme frénétique auquel il me pilonne.

Toutes ces sensations mêlées, ces deux verges qui s’occupent de moi, le lieu, le risque, me font jouir encore plus fort.

Très vite je sens T. jouir et se répandre en moi. L’Océanien se retire presque aussitôt de ma bouche et m’asperge le visage et les seins de longues giclées de foutre en ahanant. Je ne suis plus que jouissance, mes jambes se dérobent sous moi et la tête me tourne.


Après je suis dans un nuage d’ouate. Je sens que l’on m’allonge puis que l’on me porte. Un bruit de portière ouverte et refermée. Allongée dans la voiture, des sons étouffés me parviennent et je sombre dans une douce torpeur.


Je me suis réveillée le lendemain en fin de matinée, dans mon lit, seule, le corps endolori, le sexe parcouru de frémissements, couverte de sperme, comblée.




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Remerciements.

Je tiens à remercier le site et les différents auteurs qui nous permettent de passer de bons moments de lecture… et plus.

J’écrivais avant de connaître le site. Depuis, je suis devenu un lecteur assidu et, en écrivant ce texte en pensant à ma chérie au loin, je me suis décidé à vous l’envoyer.

Il y a des textes que j’ai appréciés plus que d’autres et je suis sûr que j’ai du faire quelques emprunts, aussi je m’excuse d’avance auprès de ceux que j’ai involontairement « pillés » et je les remercie pour leurs écrits.


T.