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n° 13871Fiche technique7551 caractères7551
Temps de lecture estimé : 5 mn
22/05/10
Résumé:  Marie-Cécile découvre le plaisir charnel lors de sa nuit de noce.
Critères:  fh couple amour fellation pénétratio -prememois
Auteur : Jade.E            Envoi mini-message
Marie-Cécile de La tournelle, 25 ans, déflorée

Après des préliminaires dignes de ce nom, Pierre-Emmanuel et moi savons que notre virginité ne va bientôt plus n’être qu’un souvenir. Nous allons définitivement passer à l’âge adulte. Notre vie va s’en trouver à jamais changée. Nous nous regardons, nous sommes prêts à nous unir.


Pierre-Emmanuel, s’allonge sur moi. Nos regards ne se quittent pas. C’est le moment. J’ai hâte. Hâte que sa tige gonflée et dure entre enfin en moi. J’appréhende également, mais je suis prête à la recevoir.


La queue de mon époux est en contact pour la première fois avec mon pubis. J’en suis émue. La dureté de son engin contre mon abricot m’électrise le corps. Je suis troublée. Nous profitons un peu de ce moment. Nos regards ne se quittent pas. Un dernier baiser passionné, yeux dans les yeux, nous confirme que le moment est définitivement arrivé.


C’est un peu gauchement que mon mari essaie d’entrer son sexe dans le mien. Il y va avec douceur. Mon sexe est grand ouvert, suintant et impatient. L’envie, le désir sont là. Il se glisse en moi. Je sens celle qui m’emmènera sur des sentiers inconnus, j’aime ce contact. Il me pénètre de plus en plus. Quel bonheur ! Nous découvrons ensemble l’amour physique.


J’ai un peu mal. Mon excitation est si forte que j’oublie cette douleur, douleur de la perte de ma virginité. Il me possède enfin ! Mon dieu, que c’est bon ! Sa lenteur m’inquiète. Je suis tellement pressée. J’aimerais qu’il aille plus vite mais il est tout à notre découverte et ne bouge pratiquement pas.


Il m’embrasse. Je lui souffle à l’oreille mon souhait d’aller aux portes du paradis. Je n’en peux plus d’attendre. Pierre-Emmanuel s’agite. Il trouve un bon rythme. Mon souffle saccadé joue contre moi. Mon mari m’oublie et ne pense qu’à son plaisir. Il éjacule dans un cri que je ne lui connaissais pas. Je sens un bien-être me parcourir, malheureusement stoppé par son premier orgasme.


Je reste sur mon envie pendant que, tout à sa surprenante découverte, il me couvre de baisers pour me remercier. Il ne pense pas un instant qu’il devait aussi me donner du plaisir. Je lui en veux. Mon corps est frustré, mon sexe fébrile. Il se retire, s’allonge à côté de moi. Moi, qui ai les yeux fixés au plafond à me dire : dois-je lui avouer ou pas qu’il a fait l’amour tout seul ? Dois-je lui faire comprendre que nous sommes deux et que nous devons connaître le plaisir tout les deux ?


Maintenant que j’ai vu le loup, qu’il est entré dans ma tanière, je veux que celui-ci m’honore correctement. Je me refuse à une vie de frustration où seul son plaisir comptera. Je décide que cette nuit doit être la nuit qui m’ouvre la grande porte des joies du sexe. Je ne veux pas être une sorte de poupée gonflable qui se contente d’écarter les jambes. Je veux goûter, savourer, me délecter des plaisirs de la chair. Je veux partager cette passion dont les prémices me laissent entrevoir de si belles choses.


Je prends donc la main de mon époux, la glisse sur mes petites lèvres tout en chuchotant : donne-moi autant de plaisir que tu viens d’en recevoir. Il s’exécute, j’en suis ravie. Il a les mêmes attentes que moi. Ses doigts s’immiscent dans ma caverne humide. Il joue avec son pouce sur mon petit bouton pendant que deux de ses doigts me fouillent.


Je profite de son occupation pour prendre son sexe en main et le masturber. Je suis au bord de la jouissance, je veux jouir, je veux un plaisir clitoridien mais aussi un plaisir vaginal. Ses doigts se déchaînent en moi. Mon orgasme ne se fait pas attendre, je me laisse aller. Pierre-Emmanuel en regonfle d’envie. Je fais fi de ma timidité et je saisis cette opportunité pour m’asseoir sur lui. Moi qui n’osait pas me toucher sous mes draps, je me découvre gourmande de sexe. Mon mari a su aiguiser mon appétit depuis deux mois en me faisant voyager sur la route du plaisir avec ses doigts.


Tout aussi gauche que lui lors de son premier voyage dans mon antre vierge, j’ai du mal à m’empaler sur son sexe. Je m’aide de la main pour fourrer sa grosse sucrerie dans ma boutique. Je glisse ma chatte sur son bâton de chair, je vais et je viens sur lui. Mes allers-retours finissent de durcir son sucre d’orge. Sa queue s’adapte si bien à mon intimité… C’est si bon ! Comment ai-je pu passer à côté aussi longtemps ?


Adieu la Marie-Cécile coincée et pleine de principes ! Une nouvelle Marie-Cécile se réveille d’un long sommeil. L’amour me donne des ailes. Je me déchaîne sur mon mari. Il se relève un peu, attrape avec sa bouche mon téton, ses mains malaxent mes seins. Je découvre que ma poitrine est une zone ultra-sensible.


Je lui appartiens complètement. À cet instant, je sais qu’il peut me demander ce qu’il veut, je lui offrirai.


Il lâche mes seins, prend possession de ma bouche. Son baiser est profond et plein de promesses. Il se rallonge. Ses mains empoignent mes hanches. Il reprend le contrôle pour que je m’abandonne totalement. Il accélère la cadence, va de plus en plus vite !


Alléluia ! J’hurle ! Je suis une autre ! J’oublie toute réserve. La puissance de mon orgasme envahit la chambre. Je suis au bord de l’évanouissement. C’est si fort !


Pierre-Emmanuel ralentit le mouvement sans pour autant l’arrêter. Il veut se faire pardonner d’avoir connu le plaisir avant moi. Il veut m’entendre encore et encore. Il me bascule sur le dos. Reprend possession de mon corps. Il met mes jambes sur ses épaules. En même temps qu’une nouvelle position, je découvre son sexe au plus profond de mon être. C’est différent mais tout aussi agréable.


Il s’agite de nouveau. J’ai à peine repris mon souffle que déjà il relance la machine infernale, du pur plaisir. Il se penche légèrement sur moi. Sa main droite palpe ma poitrine gonflée par l’envie. Sa queue cogne contre le fond de ma paroi. Mon plaisir dégouline entre mes jambes. Il se fait moins doux. J’aime cette puissance avec laquelle il cherche notre plaisir. Il m’en donne. Je ne me contrôle plus, je m’abandonne, je suis à lui, totalement dépendante.


Ma respiration s’accélère une fois encore. Mes gémissements n’ont rien de discret. Ils font monter sa liqueur qui finit par exploser en moi alors qu’un nouvel orgasme pénètre tout mon corps. C’est si délicieux ! Pour une défloraison, nous y allons fort ! Notre soif de plaisir charnel est plus forte que tout.


Nous n’avions pu jusqu’à ce soir qu’imaginer et surtout ronger notre frein pour connaître l’union de nos corps. Nous avons tellement de temps à rattraper. Nous consacrons notre nuit de noce à la découverte de nos corps, du plaisir intense que notre union nous procure. À l’aube, nos sexes sont en feu d’avoir abusé des plaisirs offerts. Nous finissons par nous endormir.


Cette nuit fut une révélation. Un beau présage pour l’avenir. Un avenir où le sexe et tout ce qu’il apporte nous emportera loin. Cette nuit de noce fut comme une seconde naissance. Une nouvelle Marie-Cécile gourmande est née. J’ai effacé de ma mémoire tous les principes inculqués pendant les vingt-cinq dernières années. Ma vie de petite fille bien sage se trouve désormais derrière moi.