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n° 13872Fiche technique10085 caractères10085
Temps de lecture estimé : 6 mn
23/05/10
Résumé:  Une belle mère et un gendre doivent passer un week-end ensemble.
Critères:  fh fplusag campagne -bellemere
Auteur : Pradel
Une belle-mère très tendre

Dans leur maison d’Auvergne mes beaux parents ont des travaux à surveiller. Une contrainte inattendue empêche mon beau père de s’y rendre. Mon épouse me dit :



L’idée de passer un week-end loin des miens ne m’enchante pas mais ma belle-famille mérite qu’on l’aide.


Nous voici partis. J’ai 28 ans, Madeleine 18 de plus et beaucoup de charme. Deux heures après nous arrivons sur les lieux. Le plombier y travaille, le maçon et le menuisier ont rendez vous à midi. Nous avons apporté la tondeuse et divers outils. Je me mets à l’ouvrage sans tarder.


Nous devons, dans l’après-midi, acheter divers accessoires de sanitaire, des plantes et des fleurs à planter le dimanche.


J’aime le côté organisé de Madeleine, elle sait ce qu’elle veut, se décide vite. Nous revenons, déchargeons et fourbus décidons de nous offrir le restaurant.


Vers 20 heures nous commençons un excellent repas. J’ai commandé une bouteille de Côtes du Rhône et la conversation devient gaie. Devant son mari ma belle-mère est plutôt réservée mais, seule avec moi, ce n’est pas la même femme.


Après le repas nous décidons de marcher un peu dans le vieux centre ville. Il fait frais, Madeleine pour se réchauffer se rapproche de moi. Je passe ma main sur son épaule.



Le grand miroir d’un magasin renvoie notre image.



J’approche mon visage du sien et je lui fais une bise.



Un sourire mélancolique traverse son visage. Je lui fais face l’enlace furtivement et glisse à son oreille :



Elle s’écarte de moi sans me repousser et propose :



Nous marchons un moment en silence pour retrouver la voiture.


Sur le chemin du retour je pose ma main sur sa cuisse, elle ne me repousse pas, pose sa main sur la mienne. Elle a fermé les yeux, ma main imprime des petites pressions sur sa cuisse ferme. Je sens sa jambe qui bouge imperceptiblement et sa respiration plus ample.


Quand nous arrivons elle dit :



Nous éclatons de rire.


Arrivés dans la maison je vais dans sa chambre et allume le chauffage électrique. Elle, quelques minutes après, se glisse dans son lit, je passe à la salle de bain, enfile un pyjama et rejoins sa chambre, elle me regarde sans étonnement, j’entre dans le lit, elle éteint sa veilleuse.


Nous sommes dans le noir, allongés sur le dos, côte à côte. Silence épais.


Je cherche sa main, elle brise le silence :



Pour toute réponse elle se tourne vers moi, je me tourne vers elle. Ma main se pose sur sa hanche. Je caresse son dos, ses reins. Je n’ose faire plus.


Quand sa bouche se pose sur la mienne une érection violente presque douloureuse survient.


Cette fois ma main est sur ses fesses rondes et fermes. Puis je découvre son pubis fourni et sa vulve trempée. Je caresse, longuement son clitoris tendu, elle gémit, râle bientôt et jouit en criant…



En un instant j’ôte sa chemise de nuit et mon pyjama. Je découvre ses petits seins que j’honore des mains et de la langue. Puis plonge mon nez dans ses aisselles velues.



Ma bouche descend vers son ventre, l’odeur salée de sa vulve m’attire. Je glisse une langue curieuse, Madeleine referme les jambes.


Je reste la bouche sur le pubis et place la langue sur le plus haut de la vulve, elle se détend et ouvre, peu à peu, le compas de ses cuisses. Elle offrira un second orgasme à ma bouche gourmande.


Il est temps que je pense à moi. Je me place sur elle et glisse ma verge dans son con trempé. Je vais et viens lentement. Je change plusieurs fois de position, c’est allongée sur moi qu’elle semble le plus excitée. J’accompagne son plaisir en lui pétrissant les fesses et lui titillant l’anus.


Elle a un orgasme bruyant. Elle pleure.



Elle reste sur moi en silence puis ajoute :



Je ne souhaite pas ternir notre rencontre par une conversation sur ce sujet. Pour toute réponse je l’embrasse et lui glissant une phalange dans l’anus.


Je me retire, la prends en levrette et explose en elle.


Nous sombrons, peu après, dans le sommeil. Pas pour très longtemps. Je me réveille, rassemble mes idées, un corps chaud et odorant me rappelle où je suis. Je caresse les fesses fermes et offertes, un grognement me répond. Les fesses et les cuisses de Madeleine sont parfaites. Un doigt entre les cuisses confirme que la voie reste humide, une érection tranquille revient. Je glisse la main de Madeleine sur ma verge et demande :



Quand je suis bien raide je l’invite à me tourner le dos, cambrer les reins et me tendre ses fesses. Je me glisse en elle, un conduit chaud et glissant me reçoit. Mais la belle se "réveille" et exige son plaisir. Elle a pris ma main et l’a posée sur son pubis. Je branle son clitoris et pilonne son con. Elle se trémousse en grognant et bientôt jouit en criant.


Quand Madeleine a retrouvé ses esprits, je me retire de son vagin et présente mon gland sur son anus.


Avant même qu’elle ait compris je m’ouvre, lentement, une voie nouvelle. Elle crie.



Après un moment je commence à la pistonner, elle ne gémit pas de douleur, peu après son rectum reçoit ma semence.


Nous nous rendormons.


Je me réveille, une bonne odeur de café, de tartines de pain grillé…


J’appelle, Madeleine arrive en robe de chambre :



J’enfile mon pyjama et un pull et retrouve Madeleine à la cuisine.



Elle passe ses bras à mon cou et m’offre un superbe baiser.



Nous avons bon appétit et parlons de notre dimanche : plantation, déjeuner, sieste, retour.


À peine terminé j’entraîne Madeleine dans le lit et là c’est en pleine lumière que nous faisons l’amour.


Madeleine est une très belle femme et une amante ardente, elle a vite appris ce qui me plait, j’ai compris ce qui l’excite. Nous passons au moins une heure au lit, c’est sa bouche qui recueillera mon plaisir.


Nous nous douchons ensemble et nous travaillons au jardin jusqu’à ce que nous n’en puissions plus. L’essentiel est fait, le reste attendra.


Déjeuner sommaire puis nous retrouvons le lit. Nous faisons l’amour lentement, tendrement. Elle jouit plusieurs fois avant de recevoir mon plaisir. Il faut déjà partir.


Sur le chemin du retour elle somnole, j’ai posé ma main entre ses cuisses.


Nous retrouvons les nôtres, nous restons chez mes beaux-parents pour le dîner. Nous racontons en détail les travaux, le jardinage. Ma belle-mère déclare :