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Temps de lecture estimé : 24 mn
24/05/10
Résumé:  Escapade pour un anniversaire, émaillée de rencontres pas toutes fortuites.
Critères:  ff fhh ffh hplusag asie extracon hotel anniversai exhib noculotte ffontaine sandwich humour
Auteur : Southi  (couple illégitime, délire ensemble)      Envoi mini-message
Un anniversaire qui dure

Bien sûr au début, je pensais que ce serait temporaire, une simple passade. Mais voilà, ça dure. Depuis le temps j’ai pu me rendre compte de mes propres sentiments : c’est clair, je l’aime.


J’ai passé la quarantaine depuis quelques années puisque ce soir je fête mes cinquante ans. Je mesure 1,80 m, j’ai les yeux bleus et si j’ai des poignées d’amour, je peux sans complexe me mettre en maillot de bain. Mes cheveux blonds grisonnent un peu et ma barbe, taillée, est vraiment grise. Avec ma femme nous avons eu un enfant tardivement et depuis cette naissance difficile, elle a refusé tout rapport sexuel avec moi. Ma sexualité en berne, je me sentais vraiment diminué, incomplet, alors quand j’ai rencontré Sou, je n’ai pas hésité et je me suis senti à nouveau vivant.


Sou est une amie de longue date, une ancienne collègue que je rencontrais de temps en temps. Jeune secrétaire, petite indonésienne souriante, la peau mate, toujours habillée très court, nous plaisantions souvent ensemble. Je la faisais rire et très vite j’ai compris qu’elle avait un petit faible pour moi. De fil en aiguille, de rencontres en soirées, nous sommes devenus amants. Notre aventure a commencé alors qu’elle vivait avec un autre homme et nos rencontres se faisaient en catimini.


Je lui ai toujours dit que je ne voulais pas quitter le foyer conjugal pour assumer l’éducation de mon fils et elle a accepté. Le fait que nous vivions chacun en couple rendait nos rencontres rares et intenses.

Cela fait maintenant des années que nous vivons ainsi et nos rendez-vous sont toujours aussi difficile à organiser et aussi exceptionnels à vivre.


J’ai pu remarquer que Sou a des penchants exhibitionnistes, une propension à se dévoiler que j’apprécie beaucoup. Elle aime me montrer ses seins et croiser les jambes très haut sous ses jupes plutôt courtes. Elle porte de façon habituelle des chemisiers largement échancrés sur ses seins nus, qu’elle a petits, et elle aime visiblement sentir sur elle le regard des hommes. Ses tenues légères laissent deviner des formes rondes, fermes et épanouies, pas une silhouette de mannequin anorexique, mais une silhouette de femme.

Sou sait que j’adore quand elle est habillée de façon troublante, juste au-delà de ce que permet la bienséance, que j’aime par dessus tout que d’autres hommes la regardent. Elle sait aussi que j’aimerais pousser plus loin cette limite habituelle, que l’un de mes fantasmes est qu’elle soit habillée de façon très provocante.


À l’occasion de mon anniversaire nous avons réussi à nous organiser une petite escapade de quelques jours dans un hôtel isolé à cinquante kilomètres de la ville où nous vivons. L’endroit est superbe. Caché au fond d’une vallée étroite et verdoyante, adossé à un plateau élevé d’où tombent en cascades des torrents turbulents, le « Resort » propose des bungalows disséminés dans la verdure. Un grand parking accueille les clients qui bénéficient de voitures électriques, comme dans les golfs, pour se rendre plus haut à la réception ; de là, les bungalows sont desservis par des petits chemins balisés par des lampes solaires.


Pour le voyage, Sou s’est habillée très légèrement, une petite robe en tissu imprimé, des fleurs, tenue par deux fines bretelles et s’arrêtant juste sous les fesses. Pendant tout le trajet j’ai pu, grâce au décolleté baillant, admirer les courbes de sa poitrine menue. Assise en tailleur sur le siège passager, sa robe remontait jusqu’à son ventre, me dévoilant les lèvres glabres de son petit minou. Il m’a fallu beaucoup de concentration pour garder un œil sur la route, ma petite chérie aimantant mon regard en se dévoilant ainsi.


L’accueil à la réception de l’hôtel est très amical et les formalités simplifiées au maximum, la discrétion a l’air de faire partie des charmes de la place. La mignonne hôtesse d’accueil nous remet les clés du bungalow, un plan du site et nous précise les horaires de service des repas.


En descendant le chemin vers notre gîte, Sou me prend le bras, heureuse de partager ces petits moments volés puis, comme une enfant joyeuse, elle court et virevolte, faisant s’envoler sa robe légère qui la dévoile jusqu’au nombril. Elle rit en poursuivant ses pirouettes sans voir le jardinier qui devant le spectacle, oublie son ouvrage et ne la quitte plus des yeux. Comme un automate, il continue le travail commencé et massacre un magnifique massif de roses porcelaines au sécateur. Pendant que tourbillonnent les fesses dodues et la chatte épilée, les fleurs tombent les unes après les autres, comme des quilles.

Je me mets à courir pour rejoindre notre chambre et libérer le fou rire qui m’a pris en voyant l’air ahuri du jardinier lorsqu’il a constaté les dégâts causés au massif de fleurs par le cyclone, très localisé, qui vient de passer.


Pour le dîner nous avons décidé de nous rendre dans le village proche où nous avons réservé dans un restaurant connu pour ses fruits de mer.


Pour cette sortie Sou m’avait proposé de l’habiller. Plutôt que de choisir dans ses armoires, je lui ai offert une nouvelle robe qu’elle découvre ce soir. La robe blanche est coupée dans tissu fluide et fin, un peu transparent, avec un long décolleté s’attachant sur le devant par un lacet doré. La robe une fois enfilée, Sou peut faire elle-même l’ajustement du lacet, soit le serrer complètement ou soit le laisser lâche pour dévoiler sa peau, du cou au nombril en passant par la courbure de ses seins. Après qu’elle a revêtu cette robe, je suis subjugué par le contraste du tissu blanc de sa robe sur sa peau brune. Les zébrures dorées du lacet qui sillonnent son ventre et sa poitrine sont du plus bel effet. La robe courte permet d’admirer ses belles jambes hâlées par le soleil, cambrées par les chaussures à talons hauts et dès qu’elle se baisse, sa croupe se révèle dans toute la splendeur de sa rotondité. Les contre-jours dans sa robe laissent deviner ses fesses superbes, le tissu se tend sur les mamelons des seins en pommes dont on devine le maintien grâce à la transparence du tissu.


Pour me faire plaisir et se sentir « libre et nue » Sou sort sans culotte. Avec le décolleté lacé de cette robe, il lui est impossible de mettre un soutien-gorge… C’est aussi peu vêtue, qu’elle m’accompagne au restaurant. J’utilise les services d’un taxi, ça évite de chercher un stationnement et ça nous permet de prendre quelques verres en toute sécurité. Nous embarquons dans la voiture. Sou s’installe et inévitablement dévoile beaucoup d’elle-même en se glissant sur le siège arrière. Le chauffeur ne manque pas de regarder bien où il le faut… Il a pu apercevoir ses seins et sa chatte épilée, car Sou a tout fait pour s’exhiber… Nous sommes tous les deux excités par ce petit jeu et apparemment le chauffeur aussi. Sou se fait chatte et se love contre moi, veillant à bien écarter les jambes. J’en profite pour glisser ma main entre ses cuisses, celle-ci ouvre davantage les jambes pour me faciliter l’accès à sa belle fente… Je la masturbe pendant le trajet… Elle devient toute humide et chaude et ronronne contre moi. Le chauffeur a du mal à concilier sa conduite avec le spectacle que nous lui offrons. Il se fait plusieurs fois klaxonner aux feux, car il tarde à démarrer. Bientôt Sou se met à jouir… Comme j’aime la regarder jouir… Je prolonge son plaisir et le mien autant que je peux.


Une fois arrivés au restaurant, je paye le chauffeur, je sors, elle sort. Sa robe est remontée et le chauffeur a une superbe vue, elle sait que cela m’excite alors elle prend tout son temps pour bien montrer qu’elle est nue sous ce petit bout de tissu presque translucide…


Nous entrons dans le restaurant et on nous place près de la baie vitrée donnant sur la rue. Le restaurant est situé un mètre au-dessus de la rue et les jeunes qui passent ne manquent pas de jeter un œil pour apercevoir une culotte ou admirer une belle paire de jambes. Un premier serveur nous apporte l’eau et le cendrier, ensuite un autre prend notre commande de boisson. Sans montrer que ma Sou lui fait de l’effet, il la regarde discrètement… Il part quelques instants et revient avec nos consommations, il trique, nous trinquons.


Quand Sou a pris quelques verres, elle devient un peu plus exhibitionniste et fait volontairement de la provocation. Elle tourne sa chaise vers la vitre et écarte les jambes à chaque fois qu’un beau garçon passe. Le spectacle des passants devient hilarant, certains les yeux fixés sur sa chatte épilée se carambolent avec d’autres passants, d’autres manquent chuter du trottoir, un skateur se jette dans une poubelle et un jeune à vélo manque de peu un poteau puis une voiture avant de récupérer l’équilibre perdu par la vision du sourire vertical de ma compagne. Riant comme deux garnements, nous décidons alors que le jeu devient trop dangereux et Sou se tourne vers la salle.


Plus tard pendant le repas, elle se lève pour aller se repoudrer le nez aux toilettes, la plupart des hommes présents, moi inclus, la suivons du regard et les jeux de lumières sur et à travers sa robe offrent un spectacle qui en émoustille plus d’un, moi inclus.


Au bout de cinq minutes, elle revient rayonnante, les yeux pleins d’excitation. En reprenant sa place, elle se penche vers moi, sa robe s’ouvre complètement sur ses seins et elle me confie à l’oreille qu’elle est très excitée par les regards qui se portent sur elle à chaque fois qu’elle traverse la salle. Elle s’assied bien enfoncée dans son fauteuil. Dans cette position sa robe est remontée très haut sur ses cuisses. Elle est vraiment très provocante.


Mon regard ne peut se détacher de ses seins qui se balancent librement sous sa robe. Je ne suis pas le seul à profiter du spectacle car le serveur ne se gêne pas pour regarder avec insistance par l’échancrure de son décolleté. Quelques clients observent discrètement les moindres gestes de Sou… et ils en sont ravis aussi… Très garce, Sou qui a remarqué le manège de notre serveur, relâche complètement le lacet de sa robe, ce qui laisse apparaître ses seins… Je suis ravi par son comportement sexy et provocant et je lui dis que je suis fier d’avoir une femme qui attire les regards d’autres hommes, qui ose s’exhiber pour moi, qu’elle ne pouvait pas me faire un plus beau cadeau d’anniversaire, que je bande pour elle.


Mon érection grandit encore lorsque le serveur vient nous demander ce que nous voulons en dessert tout en louchant sur son décolleté. Elle fait mine de réfléchir en jouant avec le tissu de sa robe dévoilant discrètement ses jambes qu’elle écarte largement.


Le serveur captivé par le spectacle, est dans tous ses états. Je lui demande son opinion, il répond :



Il répond tout rouge :



Sou minaude :



Le serveur très embarrassé et piquant un fard, lui répond :



Il s’éloigne.


Une fois le serveur parti elle me demande si j’ai aimé et je lui réponds que oui. Sou me dit qu’elle est inondée et qu’elle a très envie de moi, je lui demande alors d’insérer ses doigts dans sa fente humide et ensuite de me les donner à lécher… j’adore goûter à son miel d’amour et m’en délecter…


Le serveur revient avec les menus, nous choisissons nos plats et Sou lui demande de lui expliquer la composition d’un plat. Le gars se penche un peu pour lire les ingrédients et lui expliquer. En même temps, Sou recule sa chaise pour qu’il puisse aussi avoir une bonne vue sur sa chatte épilée… Le gars ne regarde plus que ses seins et sa chatte humide, mais il semble plus à l’aise que tout à l’heure… Il ne se gêne pas pour détailler sa chatte. Sou, aguicheuse, prend plaisir à s’exhiber et ose se passer un doigt dans la fente sous ses yeux. Le gars regarde et ne bouge plus. Une bosse déforme son pantalon. Bref, il aime ce qu’il voit.


C’est dans une tension incroyable, le serveur et nous, que nous finissons le repas. En quittant le restaurant Sou croise le serveur portant quatre assiettes, elle ne le lui laisse pas le passage et il est obligé de la serrer de près. Discrètement elle caresse la bosse de son pantalon au moment où il passe contre elle. L’homme s’arrête et immobile ses assiettes levées à bout de bras, il laisse Sou prolonger sa caresse. Elle sort en ondulant outrageusement.


Pour la suite de la soirée, je propose à Sou d’aller danser et je suis très étonné lorsqu’elle me dit qu’elle veut rentrer directement à l’hôtel.

Nous prenons à nouveau un taxi. Sou est un peu grise et ses inhibitions ont disparu. Elle se colle à moi et m’attrape les mains pour les poser sur ses seins. Je la caresse et l’embrasse pendant tout le trajet de retour à l’hôtel et le chauffeur règle plusieurs fois son rétroviseur, sa robe étant remontée sur son ventre ne cache plus sa chatte trempée où s’égarent ses doigts et les miens. Je la tiens au bord de la jouissance pendant tout le trajet sans jamais la satisfaire. Sa mouille s’écoule sur la banquette ce qui n’a pas l’air de gêner notre chauffeur qui louche fortement entre son rétroviseur et la route. Quand je le paye, ses yeux sont toujours aussi indépendant, l’un vérifie le paiement l’autre est fixé sur Sou.


Nous remontons par les sentiers vers notre bungalow. Au premier coude, Sou se jette sur ma braguette libère ma queue qui ne demande qu’à respirer et l’engloutit voracement. Elle me fait une gorge profonde et j’ai un mal fou à me retenir de lui lâcher tous mes rejetons d’un coup. Je lui tire la tête en arrière et elle lèche ma hampe avec plus de calme avant de se relever brusquement et de partir en courant vers notre chambre.



***




J’adore le vin blanc et il le sait. Le vin au restaurant était excellent et j’en ai bu plus que de raison. Je suis un peu pompette et j’ai vraiment envie de sentir ses mains sur moi. Le salaud a bien senti mon état et il a joué avec mes nerfs, m’amenant plusieurs fois au bord de l’orgasme avant d’arrêter ses caresses. Je suis impatiente que nous arrivions à l’hôtel pour le lui faire payer et parce qu’il ne sait pas qu’une surprise l’attend. Pour son anniversaire, mais aussi pour nous deux, car c’est un fantasme que nous partageons.


Il ouvre la porte de notre bungalow et s’efface pour me laisser passer. L’entrée comporte un petit couloir avec penderie, la porte de la salle de bains et donne sur un petit coin salon faisant face à deux lits double. Une grande baie vitrée donne sur une terrasse qui surplombe un torrent ombragé.

La baie vitrée est ouverte, à côté de la table basse et des fauteuils une femme est là, debout. Elle nous tourne le dos, de longs cheveux noirs cascadent jusqu’au bas de ses reins. Vêtue d’un long manteau sombre elle est chaussée de talons très hauts.


Il regarde la femme, à peine étonné et me lance une œillade que je traduis par un « Bien joué, bravo pour la surprise ! »


Barbara se retourne sans dire un mot, entre dans le bungalow et enlève son manteau. Elle ne porte qu’un porte-jarretelles noir et des bas fumés. Elle s’approche de moi. Surprise par son geste, je recule intimidée.

C’est moi qui ai organisé tout cela mais là d’un coup, je panique. Barbara, une collègue de travail, m’avait confié son envie de moi, puis lorsque je lui avais présenté Thierry, elle m’avait dit qu’elle le trouvait craquant. Un jour par défi, je lui avais demandé si elle accepterait de coucher avec les deux à la fois puisque nous lui plaisions. Je fus à moitié étonnée lorsqu’elle m’a dit oui et si l’idée m’a plu d’organiser cela il y a une semaine maintenant, j’ai peur que cela n’aille trop loin, peur que cela ne gâche quelque chose dans ma relation avec Thierry. Elle ne me laisse pas le temps de cogiter et m’attrape par le bras au moment où je recule devant elle et me dit dans un souffle chaud de ne pas m’inquiéter, elle est là pour nous donner et partager du plaisir.


Sa voix basse et douce, la chaleur de son souffle dans mon cou ont le don de me calmer et je me laisse faire lorsqu’elle me dirige vers un lit. Sa main impérieuse lorsqu’elle m’a saisit se fait cajolante. Elle fait glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules et accompagne le glissement du tissu le long de mes seins, de mon ventre par un long et doux effleurement de la pulpe de ses doigts. Debout, nue ma robe étalée à mes pieds, je me laisse aller au plaisir de ses mains papillonnantes. Lorsqu’elle défait mon chignon, mon regard croise celui de Thierry. Il nous regarde toutes les deux, je vois à ces yeux, qu’il est excité par l’idée de nous regarder et de faire l’amour à trois.


Elle m’embrasse, ses lèvres sont douces et ont un goût de miel, sa langue s’insinue autour de la mienne, je gémis doucement, elle me répète de ne pas avoir peur. Je suis à présent allongée sur le lit, ses mains descendent le long de ma nuque et sur mes seins durs de désir, elle se penche et les touche, les caresse et, ô plaisir suprême, me les suce, j’aime cette sensation, la douceur d’une bouche sur mes tétons. Le fait que ce soit une femme qui me donne ce plaisir-là, me trouble et m’émeut.


Ses mains continuent leur progression et descendent vers ma chatte, je sais qu’elle est trempée, elle contourne mon sexe, j’imagine que le sexe de Thierry doit être tendu, au bord de l’explosion, me voir ainsi, nue, offerte, avec une autre femme doit l’exciter terriblement.

Elle fait rentrer un doigt, hum, c’est humide, puis deux, elle retire ses doigts et les lui offre comme un cadeau qu’on partage, il les suce avidement, et elle m’enfonce à nouveau ses doigts dans la chatte. Je suis tellement humide, trempée, je ferme les yeux et j’imagine des hommes qui me regardent en train de faire l’amour à une autre femme, leurs queues sont dures, prêtes à exploser. J’ouvre les yeux, ses lèvres ont pris possession de mon sexe, elle me lèche, ses lèvres sont si douces, sa langue qui me fouille me met au bord de l’explosion. Je jouis et ma liqueur jaillit dans sa bouche, sur sa langue qui me fouille toujours.

Elle se coule le long de mon corps et vient m’embrasser. Je retrouve mon odeur dans sa bouche et fait connaissance avec le goût de ma cyprine sur sa langue.


Thierry s’est occupé des lumières et a disposé autour de nous des bougies. La lumière tamisée et mouvante des flammes, fait ressortir ses longs cheveux et ses seins arrogants. Ma main a glissé sur sa poitrine et s’est saisie d’un de ses tétons, le bout de son sein s’est mis à durcir instantanément. C’est doux à toucher, elle ne dit rien, prend mon autre main, elle la plaque sur son deuxième sein.


Nous sommes toutes les deux nues devant Thierry qui nous regarde, fasciné par le spectacle qui se déroule sous ses yeux. Je continue de caresser ses seins devenus durs, hum, comme j’ai envie d’elle. Mes mains ont pris possession de son corps, elle s’est allongée de tout son long sur le lit, ouverte, offerte à tous mes attouchements. Je me suis accroupie pour mieux la regarder, mieux la caresser. C’est divin, elle a la peau si douce. Je me laisse aller au plaisir de la toucher, de suivre de la paume des mains les courbes généreuse de son corps alangui, de lisser du bout des doigts les endroits où la peau est douce comme une peau de bébé avant de les embrasser du bout des lèvres. Je suis agenouillée auprès d’elle, les mains et la bouche dessinant des sillons de plaisir sur sa peau de soie, le cul cambré, ouverte, offerte. Je m’exhibe, m’offre en spectacle car sentir la présence et le regard de Thierry pendant que je lui fais l’amour, agit sur moi comme un puissant aphrodisiaque, j’en gémis de bonheur et ma cyprine s’écoule en abondance de mes lèvres gonflées sur mes cuisses ouvertes !


Mes mains parcourent son corps, elle ferme les yeux pour mieux savourer ce moment, mes doigts contournent sa chatte, effleurent ses petites lèvres couleur vermillon, gonflées par l’excitation. Doucement je glisse un doigt dans sa chatte, elle se met à gémir, j’ajoute un deuxième doigt et là, sur mes doigts, je sens sa mouille qui commence à couler. Je me retourne, il est là, sa queue a doublé de volume, il s’approche de moi, et pendant que mes mains s’activent dans le vagin de Barbara, il m’embrasse. Ce baiser, hum, nos langues entremêlées, l’impression qu’il veut m’avaler, qu’il aspire tout mon souffle, les sensations sont délicieuses !


Thierry s’est penché sur elle et à tour de rôle, nous embrassons une à une, toutes les parties de ce superbe corps. Je le regarde, il est si beau, il me fait rêver depuis si longtemps, c’est incroyable d’être là tous les trois !

Nous lui mordillons les seins avec douceur et violence, hum, j’aime tellement qu’on me le fasse que j’ai plaisir à faire gémir Barbara sous une alternance de caresses et de mordillements.

Thierry se lève, s’installe entre les jambes de la belle et s’enfonce d’un coup dans sa chatte trempée. Elle ouvre la bouche comme un poisson qui suffoque, un long gémissement s’élève dans la chambre et son visage change de couleur.


Je l’embrasse passionnément j’ai l’impression de la pénétrer avec ma langue dardée. Son souffle contre le mien, nos bouches qui se mêlent, mes mains qui pincent ses tétons, Thierry qui va-et-vient entre ses reins, Barbara s’envole !

Nous continuons à lui donner du plaisir, mes doigts se sont glissés autour de la queue plantée dans sa chatte, ma bouche mordant ses seins gonflés à force d’excitation. Ses gémissements vont crescendo et je sens sous mes doigts les contractions de son sexe, annonciateurs de sa jouissance ! Thierry se plante au fond de son sexe et elle se tend comme un arc en poussant de petits cris de plaisir.


Thierry se retire doucement, faisant coulisser sa verge dans l’étui lubrifié de son sexe puis se tourne vers moi sa queue tendue vers ma bouche.

Il bande comme un âne, son vît enduit de mouille s’enfonce dans ma bouche, wouah, il m’étouffe presque !


À ce moment là, je sens une langue dans mon sexe, c’est trop bon ! Barbara s’est agenouillée entre mes jambes et me lèche savamment. Ses dents grignotent mon clitoris, sa langue s’enfonce entre mes lèvres, son index s’enfonce dans ma chatte dégoulinante puis va titiller mon anus. Mes deux trous délicieusement travaillés, une queue dans la bouche, je dérive rapidement vers le plaisir.

Sa queue est si tendue que je sens qu’il est prêt à jouir. La langue et les doigts de Barbara s’occupent si bien de ma vulve et de mon cul qu’une vague de plaisir m’envahit d’un coup. Je vibre de partout, ma liqueur jaillit dans la bouche qui me suce, j’aimerais que cela ne s’arrête jamais.

Je sens que je vais encore jouir, cette langue, cette grosse queue, elle grossit de plus en plus. Je l’entends pousser des râles de plaisir, j’aime ce qu’ils me font. Encore ! Encore ! Une puissante vague de plaisir m’envahit à nouveau, je sens son vît soubresauter et son sperme jaillit au fond de ma gorge.


J’en avale une partie puis la bouche pleine de son sperme, j’embrasse ma compagne de jeux. Nous partageons cette semence ensemble, toutes les deux.

Elle se tourne vers lui et l’embrasse, sa bouche pleine de son odeur, c’est la première fois que je le vois embrasser une autre femme devant moi.

Je les regarde et je nous trouve très beau, rien de malsain, que de l’amour et du plaisir à partager tous les trois.


Fatiguée, je m’endors, nue, ma main posée sur ma chatte.


Je ne saurais dire, combien de temps j’ai dormi, j’ai l’impression d’avoir rêvé, l’amour à trois, deux femmes et un homme. Était-ce la réalité ?


Je me suis réveillée tout doucement sentant une odeur d’épices et de cannelle mélangées. Une musique en sourdine, je ne saurais dire ce que c’était, du piano je crois. Je les cherchais des yeux et je les trouvais dans le second lit. Ils étaient en train de faire l’amour, je les trouvais très beaux, leurs deux corps mélangés. Elle me paraissait si irréelle quand j’étais dans ses bras, là, je pouvais la regarder en détail ; elle a de longs cheveux noirs, un tatouage au bas des reins qui représente un soleil, des seins bien ronds qui ressemblent à de grosses pommes et une peau si douce, qu’on a envie de la caresser, des fesses bien hautes comme les femmes africaines, en un mot, elle est bandante !


Ils s’aperçoivent que je les fixe depuis un moment. Je croise le regard de Thierry, il doit être excité d’avoir deux femmes à sa disposition, heureux et fier d’être l’objet de tant d’attentions.


Je les encourage du regard à continuer. Elle est vraiment très belle, elle aime faire l’amour cela se sent et se voit. Ils s’embrassent, je sais comme il embrasse bien ; je l’entends gémir, elle est allongée les bras en croix, les jambes écartées, sa chatte épilée offerte à la bouche gourmande de Thierry.

Elle est belle et obscène à la fois, terriblement excitante. Elle attend notre bon vouloir. Je me suis approchée d’eux, j’ai envie d’elle, c’est tellement fort, tellement fou, j’ai envie d’elle. Je lui suce les seins, tout doucement, faisant tourner ma langue sur ses tétons, rendus durs par le désir et l’excitation, je l’entends soupirer de plaisir et me murmurer qu’elle aime ce que je lui fais. Je descends jusqu’à sa chatte, humide et chaude. Je la lèche avec lui, nos deux langues se mêlent, forcent ses lèvres, boivent sa liqueur.

Quelle sensation ! Nos langues fouillant son sexe, lui arrachent des cris de plaisir. La bouche pleine de son jus et de son odeur, je l’embrasse.


J’ai envie de voir Thierry la prendre, de la voir jouir sous lui. Barbara s’est relevée à quatre pattes sur le lit, elle s’occupe de sa queue. Elle le lèche bien, lui caresse les couilles, fait rentrer et sortir sa langue, mettant un doigt dans son con. Ah ! Les voir ainsi, me donne envie d’avoir du plaisir.


M’allongeant près d’eux, je me caresse la chatte, m’enfonçant un, puis deux doigts, excitée par la vue de sa queue, léchée par une autre femme. Puis je m’allonge sous Barbara et commence à lécher sa vulve ruisselante sans arrêter de me doigter. Il lui dit qu’elle est bonne, que encore, encore ! Il ne sait plus où donner de la tête, se faire sucer par Barbara tout en me regardant me branler et la lécher, ses yeux sont exorbités. C’est trop bon ! Thierry se tend puis se répand dans la gorge de Barbara qui geint sous les assauts de ma langue et de mes doigts conjugués dans son fourreau trempé.


Thierry se lève et vient se positionner derrière Barbara. Sa bite toujours dure et tendue, luisante de mouille et de sperme se présente sous mes yeux devant la porte entrouverte de notre compagne. D’un coup de reins, il s’enfonce dans son antre. Ses couilles ballottent au-dessus de moi. Il commence à aller et venir en elle, lui arrachant des râles de plaisir. Je me mets alors à caresser ses boules et à lui titiller l’anus d’un doigt fureteur. Lorsqu’il se cale bien au fond d’elle, je gobe une de ses boules tout en lui enfonçant deux doigts dans le cul. Il se cambre, décharge une nouvelle fois dans une Barbara qui crie. Mes doigts dans ma chatte s’activent un peu plus vite et je les rejoints aussitôt, dans un même cri de plaisir.


Nous, nous sommes écroulés sur le lit, épuisés mais heureux d’avoir partagé ce bonheur à trois.


Combien de temps avons nous dormi ? Longtemps, très longtemps, sûrement. Un rayon de soleil traverse la baie vitrée inondant la chambre de lumière. J’ai ouvert les yeux, Barbara n’est plus là, elle est partie comme elle est venue, comme par enchantement. Ne subsiste dans le bungalow qu’un léger parfum de rose fanée et l’odeur musquée du sexe.

Je regarde Thierry, il dort profondément comme un enfant, sa respiration est régulière. Je le trouve très beau, les autres femmes doivent le trouver beau aussi (Est-ce qu’il le sait ?)


Il a ouvert les yeux et me sourit, je me colle à lui, telle une liane enroulant sa proie, nous nous embrassons, se souvient-il qu’il a fait l’amour à une autre femme, devant moi ? Il me serre très fort dans ses bras. La tête au creux de sa poitrine, lovée contre lui, j’ai l’impression que ma place est là, dans ses bras, qu’elle l’a toujours été, que c’est dans l’ordre des choses. Le fait que nous nous connaissions depuis tant d’années renforce peut-être ce sentiment d’appartenance.


Nous avons finalement décidé de nous lever, j’avais faim. Je regarde ma montre, il est déjà 13 heures !

Une douche prise ensemble, tous les deux jouant comme deux enfants avec le pommeau, nous éclaboussant, nous aspergeant d’eau, bref, deux gamins heureux ! Sortis de la douche, il m’a enduit le corps de mon lait parfumé, ses mains sont douces, c’est très agréable et mes sens se réveillent doucement sous les caresses.

Je me suis laissée habiller, comme une poupée, micro-jupe turquoise, haut noir légèrement transparent et sandalette bleue sans sous-vêtement, bien évidemment.


Nous avons sauté la case du petit-déjeuner alors, allons déjeuner directement. J’ai faim et il me faut plus qu’un petit déjeuner pour me rassasier. Le restaurant de l’hôtel donne sur la piscine, il n’y a pas grand monde à cette heure-ci, il reste trois tables occupées par des couples et un homme seul qui finissent leur repas.


Assis tous les deux, nous commandons un plateau de fruits de mer, arrosé de vin blanc. Je me sens bien, légère, amoureuse. Après avoir fait un sort au plateau, nous faisons une pause avant de commander un dessert. Thierry me dévore des yeux. J’aime le regard qu’il pose sur moi, je me sens belle et désirable. Alors je l’agace un peu en laissant ma jupe remonter haut sur mes cuisses, lui dévoilant mon intimité.


L’homme seul se lève de table. Lorsqu’il passe à côté de nous, Thiery et lui s’exclament en commun. Thierry me présente Roland un ami qui travaille en ce moment dans la région.

Thierry l’invite à se joindre à nous pour le dessert et le café. Roland accepte de prendre un autre café avec nous et s’assied. Je les regarde, ils sont très différents physiquement, l’un grand la cinquantaine sportive, charpenté a les cheveux blonds, la barbe poivre et sel et des yeux bleus, l’autre brun de peau et de cheveu, svelte, les yeux noirs a la quarantaine. Ils possèdent du charme tous les deux.

Ils commencent à discuter de choses et d’autres, je les laisse dans leur monde, j’observe les reflets du soleil dans la piscine et me demande si j’ai le courage d’aller jusqu’à la chambre chercher un maillot pour me baigner. Je remarque que de temps à autre, Roland me regarde discrètement ; avec ma micro-jupe et mon haut légèrement transparent, j’attire ses yeux comme un aimant.


Je me lève pour aller aux toilettes, les laissant tous les deux. J’entends leurs rires qui résonnent dans la salle à présent déserte.

À mon retour, ils rient toujours comme deux potes, il y a de la connivence entre eux, ils sont heureux de se voir. Roland m’en devient encore plus sympathique.

De temps à autre, Thierry se penche, chuchote quelques mots à l’oreille de Roland, tout en me regardant. Roland hoche la tête, que se disent-ils ?


J’ai l’impression qu’il fait ma réclame, me négocie comme un maquignon et je me surprends à aimer ça, à en être toute excitée à l’idée de faire l’amour avec un autre homme devant Thierry. Petit à petit les regards de Roland et Thierry se font plus appuyés, plus pressants. Thierry suggère que nous allions prendre un pousse-café au bungalow.


Nous, nous levons et j’en profite pour montrer à Roland que je ne porte rien sous ma micro jupe. Les deux hommes me laissent passer devant et je me demande si je vais rééditer mes voltes lorsque j’aperçois le jardinier de l’hôtel en train de replanter le massif massacré la veille. Je me sens encouragée par les regards de mes deux suivants à encore plus de vice. Je passe à côté du jardinier et me penche sur le massif voisin pour observer de petites fleurs violettes. J’entends Thierry et Roland qui ont du mal à contenir leurs rires. Je me contorsionne, j’agite mon postérieur puis, rejointe par mes deux hommes, nous filons jusqu’au bungalow, laissant le jardinier figé comme un nain de jardin, saugrenu, au milieu de ses massifs artistiquement disposés.


Nous avons tiré le rideau de la pièce, je me suis dirigée vers le lit, ils m’ont suivi tous les deux, mon cœur bat à tout rompre, Roland a dû le sentir, car il a pris ma main et l’a embrassée, un baiser très doux. Ses lèvres se sont approchées des miennes, en les effleurant tout d’abord, puis en glissant sa langue dans la mienne, hum, je gémis, c’est la première fois que j’embrasse un autre homme devant Thierry, c’est une drôle de sensation, je sais qu’il m’observe, qu’il est attentif à mes réactions.


Je me sens en confiance avec eux, je me laisse faire. Roland fait glisser mon petit haut et prend mes seins à pleines mains. Sous l’effet des caresses, mes tétons durcissent, hum, c’est bon ! Il fait glisser ses paumes sur mon ventre, le caresse, me couvre de baisers humides, dessine avec ses doigts des arabesques sur ma peau frissonnante. Je sens que Thierry me regarde, il doit être excité lui aussi.


Roland caresse ma chatte, fait pénétrer ses doigts dans mon intimité, un puis deux, c’est tellement humide, qu’un troisième les rejoint bientôt. Je me retiens pour ne pas jouir immédiatement. Je grogne, je me tords sous les décharges qui électrisent mon ventre.


Roland ôte ma jupe, il continue ses va-et-vient dans ma chatte trempée, je lui demande de me lécher la vulve, sa langue s’insinue entre mes lèvres suintantes, me fouille, je m’ouvre, je m’offre tendant mon pubis à cette douce invasion. La tête rejetée en arrière, cambrée sous le plaisir, je cherche mon homme. J’aime tellement voir son regard chavirer en me voyant jouir. Debout dans l’ombre, il ne me quitte pas des yeux et je vois ses pupilles s’étrécir quand d’une poussée ample et continue, Roland me pénètre jusqu’à la garde. La jouissance chemine dans mon ventre puis dans ma colonne au rythme des va-et-vient de la queue qui me fourre vaillamment.


Baisée par un autre, les yeux dans les yeux de mon homme, je me laisse aller, consciente qu’il n’y a qu’avec lui que je peux faire toutes ces folies. Je dis toujours en plaisantant qu’il est mon âme damnée, mais il sait très bien que c’est faux, au contraire, avec lui je me sens libre, c‘est parce qu’il est là que tout ce que je ressens est si fort, plus fort. Son regard chavire et liés par ce lien visuel, je crie mon plaisir. J’inonde de ma liqueur la verge qui grossit en moi et se retire dans un bruit mouillé. Je m’agenouille aussitôt, attrape et englouti le chibre vibrant qui dégorge sa semence au fond de ma gorge. J’avale sa crème. À quatre pattes sur le lit, je pompe son dard pour en sortir tout son jus. Derrière moi une main caresse mon con, s’insinue dans ma minette trempée et étale mon jus dans ma raie. Un doigt humide de mes secrétions s’insinue dans ma rosette, mes fesses sont écartées et un deuxième doigt s’enfonce dans mon cul et le binôme tourne dans ma rosette pour l’élargir.



Une claque sur mes fesses ponctue cette déclaration brutale. Ses insultes et ses claques m’excitent, je me cambre et tends mes fesses.



Une seconde claque plus forte me fait sursauter, les doigts se retirent de mon anus laissant la porte entrouverte.


Une véritable fessée s’abat sur mes globes, je me tortille sous l’assaut, mon jus coule à flots, ma rosette baille d’impatience et la bite dans ma bouche reprend vigueur. Une main glisse sur ma fente et remonte ma mouille sur mon cul. Je sens une queue me frotter les fesses, la raie, des mains courir sur mon ventre, entre mes cuisses, puis claquer mes fesses rebondies. Un gland chatouille mon anus puis d’un coup, force ma rosette et s’enfonce irrésistiblement au plus profond de mon ventre. Son ventre claque sur mes fesses et poussée vers l’avant la bite de Roland s’enfonce dans ma gorge m’empêchant de hurler.


Derrière moi Thierry alterne des mouvements lents et courts à des mouvements plus longs et rapides, il m’envahit complètement, profondément, claquant son ventre contre mon cul que je lance au-devant de ses charges. Mes gémissements se font plus forts, malgré la bite sur laquelle mes lèvres coulissent de plus en plus vite. Mon corps est embrasé, je ne pense plus tellement c’est bon, deux queues pour moi toute seule !

Vibrante de plaisir, je les sens s’épancher en moi en râlant à l’unisson. Je jouis si fort que mes jets de mouille arrosent les cuisses de mon homme et la couverture du lit.


La suite s’est passée toute en douceur et volupté, caresses et baisers à satiété jusqu’au départ de Roland. Notre séjour s’est terminé de manière beaucoup plus classique mais nous nous sommes donnés encore et toujours beaucoup de plaisir.


J’attends toujours avec impatience nos rendez-vous depuis bientôt 15 ans. Nous sommes les plus fidèles amants adultérins que je connaisse.