n° 13882 | Fiche technique | 13387 caractères | 13387Temps de lecture estimé : 8 mn | 02/06/10 |
Résumé: Lors d'une chaude soirée d'été, au moment de se séparer pour la nuit, Marine se laisse surprendre puis caresser par un couple d'amis. | ||||
Critères: ff ffh fépilée vacances jardin voir exhib cunnilingu nopéné jeu init confession -couple+f | ||||
Auteur : Marine S (Écrire pour raconter ce qui n'aurait pas dû arriver) Envoi mini-message |
Ce qui s’est passé ce soir de l’été dernier est arrivé très vite et de façon totalement inattendue. Jamais je n’avais vécu une telle situation et jamais je n’y avais même pensé.
Nous venions de passer quelques jours dans la petite maison d’un couple d’amis dans le Vaucluse où, comme un rituel, nous nous retrouvons depuis quelques étés avec un autre couple d’amis. Nous sommes des mêmes âges avec des enfants devenus adultes et partis de la maison, et nous nous entendons très bien. Nous nous connaissons depuis une dizaine d’années, mais cela ne fait que trois étés que nous passons ainsi tous les six une petite semaine.
Mon mari, qui devait reprendre le travail, était reparti dans l’après-midi, profitant de la voiture de nos autres amis, et moi je prolongeais de deux jours pour revenir avec les amis propriétaires de la maison.
Après le dîner, nous avions passé un très agréable moment à bavarder tous les trois sous la tonnelle, la nuit tombée, dans la douce chaleur de fin d’été, au milieu des cigales qui s’étaient tues depuis un moment déjà. Leur petit vin de pays pris à table était très agréable, nous nous sentions bien. Tout était calme autour de nous.
La soirée était déjà bien avancée quand nous nous sommes levés pour aller nous coucher. Catherine s’est approchée pour me souhaiter bonne nuit et Philippe, qui était auparavant assis sur un canapé de jardin à côté de moi, se tenait debout derrière en attendant son tour.
Il était tout près et j’ai senti ses mains se poser sur mes épaules et descendre dans une douce caresse le long de mes bras, ce qui m’a fait agréablement frissonner. Je l’ai perçu comme un geste naturel et affectueux alors qu’il attendait pour me souhaiter bonne nuit, et je n’en ai été ni surprise ni offusquée.
Alors que Catherine m’embrassait sur les joues, me prenant affectueusement la tête entre ses mains, j’ai senti tout à coup les deux mains de Philippe s’insinuer dans l’échancrure de ma robe légère, ample et sans manches et m’effleurer les seins (je ne porte jamais de soutien-gorge, inutile vu la taille de mes seins).
Électrisée, j’ai senti mes bouts durcir immédiatement d’excitation sans que j’y puisse rien.
Voyant que je ne le prenais pas plus mal que ça, il s’est enhardi en prenant carrément chaque sein dans une main.
J’étais complètement prise de cours, ne sachant plus ce qui se passait. Au même moment, Catherine en me souriant passait doucement ses mains dans mon dos nu et les laissait descendre lentement dépassant le niveau de ma taille pour me caresser les fesses par-dessus le mince tissu.
Je ne maîtrisais plus rien de la situation.
Dans sa position, Catherine me serrait contre son mari et je me trouvais prise entre eux deux et ne pouvais me dégager sans un mouvement un peu brutal que la situation ne justifiait pas. J’étais pétrifiée, ne sachant plus ce qui m’arrivait, et toujours convaincue que c’était un simple et bref petit jeu entre eux-deux.
Profitant de mon hésitation et sentant que je n’émettais pas de véritable protestation, Catherine, alors que Philippe me maintenait contre lui en me caressant les seins, a entrepris par surprise de dénouer ma robe tenue par un simple cordon autour de mon cou, qui s’est affaissée d’un coup à mes pieds.
Au même moment, Philippe m’a attirée lentement en arrière de manière à me faire plus ou moins asseoir entre ses jambes sur le canapé où il s’est assis en même temps me gardant dans ses bras. Il les a passés sous les miens me maintenant ainsi, tout en continuant à exciter mes seins d’une main experte qui ne me laissait pas indifférente. Catherine, elle, qui s’était agenouillée devant moi, s’est saisie sans hésiter de ma culotte qu’elle a fait glisser pour m’en libérer aussitôt complètement.
Tout s’était passé si vite et sans brusquerie, d’une façon qui paraissait tellement naturelle que j’étais restée sans réagir, sans avoir le temps de réaliser ce qui se passait, en me laissant faire. J’ai pris soudain conscience que j’étais entièrement nue entre leurs mains et qu’il était bien tard pour protester. Ma pensée s’est arrêtée net. J’ai décidé, si l’on peut dire, de les laisser faire, ne me posant plus de questions.
Très vite, la situation a fait monter mon excitation et j’ai senti que je commençais à mouiller malgré moi, mais la pénombre, heureusement, protégeait ma pudeur et cachait ma confusion. Se plaçant entre mes jambes qu’elle a écartées du même coup, j’ai réalisé que Catherine avait allumé une petite torche et examinait mon sexe ouvert et maintenant offert.
Horriblement confuse qu’elle puisse ainsi voir mon intimité profonde, cela m’a pourtant fortement troublée et a attisé mon excitation si bien que j’ai de moi-même écarté mes cuisses autant que je pouvais.
Mon minou est épilé et lisse parce que mon mari préfère ça, même si nous ne faisons plus l’amour très souvent, ce qui me faisait me sentir encore plus nue alors qu’elle m’examinait attentivement.
Elle m’a tirée un peu vers l’avant si bien que mon bassin dépassait légèrement du bord du canapé, ce qui lui permettait d’atteindre mes fesses plus facilement.
Jamais nous n’avions pratiqué l’échangisme, mon mari et moi, mais surtout jamais je n’aurais imaginé une telle situation avec ces amis-là avec qui, à aucun moment toutes ces années passées, il n’y avait eu la moindre allusion ou ambiguïté.
Jamais non plus, je n’aurais imaginé Catherine intéressée par un corps de femme.
Il est vrai que l’après-midi même, elle était entrée sans frapper dans la salle de bain peu avant le dîner, alors que je prenais une douche, prétextant d’y chercher quelque chose, ce qui déjà était étonnant de sa part, et j’avais été un peu intriguée et troublée par le regard qu’elle avait porté avec une certaine insistance sur mon corps, semblant en détailler chaque partie. Je m’étais sentie rougir.
Elle a commencé à faire aller ses mains très doucement le long de mes cuisses, insistant sur l’intérieur, passant sous mes fesses ; puis ses doigts ont commencé à jouer avec mon sexe.
Je mouillais de plus en plus et ses doigts légers et rapides qui parcouraient ma fente de haut en bas tout en s’enfonçant chaque fois plus avant dans mes muqueuses, n’avaient aucun mal à se mouvoir et faisaient rapidement monter mon excitation.
Philippe qui accompagnait la caresse de sa femme d’autant de caresses expertes sur mes seins, pinçant judicieusement les bouts dressés, parcourait la peau de mon cou et de mes épaules de ses lèvres, déclenchant de petits frissons qu’accentuait le léger souffle chaud de la brise. Je sentais son sexe dur dans mon dos.
Voyant mon excitation grandir, Catherine s’est mise en position pour me caresser avec sa langue. Me forçant à m’ouvrir largement et me tendre vers elle en me saisissant sous les genoux, elle a d’abord promené sa langue d’arrière en avant et retour, prenant son départ entre mes fesses où elle savait s’attarder avec délices pour venir ensuite chercher mon clitoris, l’aspirer entre ses lèvres tout en le branlant, puis s’éloigner un peu à nouveau en redescendant en arrière pour mieux revenir.
Ces quatre mains sur mon corps, cette langue et les lèvres de Philippe me mettaient dans un état tel que je n’allais pas pouvoir me retenir longtemps.
Sans pudeur, je tendis de moi-même tout mon bassin pour presser mon sexe contre la bouche de Catherine qui avait maintenant passé ses mains sous mes fesses et les tenait fermement ; je m’ouvrais de moi-même le plus largement possible. De ses deux pouces, elle écarta bien les lèvres de mon sexe pour faire saillir mon clitoris.
Très vite, je me suis mise à jouir dans un long cri qui s’est trouvé juste atténué par la bouche de Philippe à laquelle sans réfléchir à ce que je faisais – j’en étais incapable – j’avais collé la mienne pour un baiser fougueux à la hauteur de mon orgasme.
Elle sut m’amener jusqu’au bout de mon plaisir en l’accompagnant de sa langue visiblement expérimentée et de ses caresses sur mes cuisses et mes fesses. J’en avais la chair de poule tellement le plaisir était puissant. J’avais été tout simplement incapable de me retenir et je ne me souviens pas avoir jamais joui aussi violemment et intensément, complètement allongée et ouverte, oubliant toute pudeur. Sans doute l’effet de surprise et la rapidité avec laquelle tout s’était enchaîné y étaient pour quelque chose.
Retrouvant un peu de lucidité sur la situation, sur ce que je venais de faire et la position dans laquelle je me trouvais, j’ai réfléchi à la vitesse de la lumière. Si je ne faisais pas quelque chose immédiatement, que je ne bougeais pas, je n’aurais plus l’excuse de la surprise pour justifier mon attitude. Et, au-delà, que deviendrait notre relation et comment pourrais-je encore les regarder en face, eux avec qui je venais de me livrer complètement dans ma plus totale intimité, allant jusqu’à leur offrir mon plaisir sans la moindre retenue.
En un éclair, je me suis levée, j’ai murmuré un :
Et j’ai filé me réfugier dans ma chambre. J’avais un infini besoin de me retrouver seule et de reprendre mes esprits. Je suis restée prostrée un bon moment assise sur mon lit, avant de faire ma toilette et de me coucher.
Par la fenêtre ouverte, j’ai deviné qu’ils faisaient l’amour, ce qui m’a un peu rassurée.
Après un moment, Catherine est venue me trouver dans ma chambre, craignant que je sois mal à l’aise ou très contrariée. Elle s’est assise sur mon lit et nous avons parlé un long moment. Je lui ai dit ce que je ressentais après ce qui s’était passé. Que j’avais non seulement honte de ce que je leur avais montré malgré moi, mais aussi d’être apparue si différente de ce que je suis. Je lui ai dit mes craintes pour l’avenir de notre relation. Et que bien sûr, jamais cela ne se reproduirait.
Elle m’a rassurée en m’expliquant qu’effectivement ils avaient, à une certaine époque de leur vie, expérimenté un peu d’échangisme, en club, puis avec des amis de rencontre, mais que cela faisait plusieurs années qu’ils avaient tout arrêté. Ce qui s’était passé, m’a-t-elle dit, était survenu sans la moindre préméditation entre eux et on ne pouvait l’attribuer, pour eux comme pour moi, qu’au bien-être que nous ressentions pendant cette soirée.
Ils ont parfaitement compris que c’était la première fois pour moi et que je m’étais laissée entraîner, et que je n’avais pas à en avoir honte ni me sentir coupable. Elle a précisé en souriant qu’ils avaient pu voir aussi que j’y avais pris un plaisir non dissimulé !
Elle m’a invitée à n’y voir qu’un moment partagé de bonheur et de tendresse et rien d’autre. Qu’il ne fallait pas regretter un épisode exceptionnel comme celui-là, rare dans une vie. Bref, à prendre comme un bon moment, rien de plus.
Elle m’a assuré avec la plus extrême conviction que cela resterait exclusivement entre nous trois et que nous n’en reparlerions jamais si je ne le souhaitais pas. Ses propos me convenaient et je me suis sentie soulagée et à nouveau en confiance.
Au moment de repartir, en m’embrassant normalement, elle a passé sa main sous mon tee-shirt long caressant furtivement mes seins. Je n’ai pu m’empêcher de retenir cette main devenue si complice dans la mienne. Tout en rabattant le drap, j’ai descendu ma culotte et ouvert mes jambes de manière explicite.
S’il avait fait plus clair, elle m’aurait vu rougir comme une petite fille prise en faute.
J’étais encore bien mouillée. Après avoir introduit deux doigts en moi et les avoir fait glisser un moment en me pénétrant, elle a pris mon clitoris entre deux doigts et m’a fait jouir à nouveau. Merveilleusement.
Depuis lors, nous nous revoyons comme avant, comme si rien ne s’était passé.
Je n’en ai évidemment jamais parlé à mon mari.