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Temps de lecture estimé : 22 mn
05/06/10
Résumé:  Comme souvent le samedi, je suis seul avec ma belle-mère. Mais aujourd'hui, pour l'avoir aperçue nue sous la douche ce matin, le déroulement de la journée sera l'occasion pour tous les deux d'assouvir quelques fantasmes...
Critères:  fh fplusag alliance fépilée ffontaine fmast fellation cunnilingu fgode fsodo -bellemere
Auteur : Mcguil83  (Yvette y avait pensé, Michel l'a réalisé avec sa belle-mère.)            Envoi mini-message
Un samedi pas comme les autres

Un samedi pas comme les autres.



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Je raconte ici un épisode de ma vie pour les lectrices et les lecteurs de Revebebe. J’espère que vous apprécierez cette journée avec ma belle-mère Yvette, un samedi pas comme les autres, qui n’avait jamais eu de précédent et qui n’aura pas non plus de suivant. Je souhaite à tous les gendres qui apprécient leur belle-mère de la voir autrement que la mère de leur femme, peut-être comme la maîtresse qu’elle pourrait devenir.



° ° ° ° °




C’est samedi, le week-end commence et, avec ma femme Aline, nous accomplissons notre devoir conjugal. Il en est ainsi depuis trois ans, c’est la coutume puisque j’ai le samedi et le dimanche de congés, alors qu’Aline, qui travaille dans une banque, a dimanche et lundi de repos. Nos ébats s’achèvent presqu’à chaque fois par les hurlements de plaisir d’Aline quand l’orgasme arrive, ce qui est souvent le cas le matin, plus que le soir où nous sommes fatigués.


Elle se lève ensuite pour se préparer, je l’entends dans la salle de bains, pièce voisine de notre chambre. Je m’attarde quelques minutes supplémentaires au lit pour récupérer de mes efforts avant de me lever et de me rendre à la salle de bains. J’entends l’eau de la douche qui coule et naturellement je pense que c’est Aline qui se trouve derrière le rideau. C’est nu comme un ver, la queue encore raide que je décide de la rejoindre. J’ouvre le rideau et, oh surprise ! Ce n’est pas Aline sous la douche mais Yvette, ma belle-mère !


Le spectacle qui s’offre à mes yeux est imprévu, fugace comme une série de photos-flash qui défilent devant mon regard. Yvette tient la douchette d’une main et de l’autre elle tente de cacher ce qui peut encore l’être, à savoir sa poitrine qu’elle couvre de son bras disponible. Pour ma part, je vois successivement de haut en bas : sa tête ébahie, son corps nu de femme presque septuagénaire et sa chatte dépourvue de poils.

J’avais totalement oublié qu’Yvette était là, comme chaque fin de semaine depuis son veuvage. Je ne sais rien de son intimité, ne m’étant jamais posé cette question, c’est la mère de ma femme et pas plus.


C’est donc aussi gênés l’un que l’autre que nous tentons de nous donner une contenance différente des apparences qui ne plaident pas en notre faveur.



Le petit déjeuner est plutôt austère. Bien sûr, je ne dis rien de cet incident à Aline, et Yvette, en arrivant sur la terrasse vêtue d’une robe d’intérieur longue, ne fait aucune allusion à cet épisode non provoqué. Elle dit bonjour en nous embrassant l’un après l’autre comme si elle venait de se lever. Le déjeuner se passe sans conversation, Aline ne s’en offusque pas, elle est déjà dans la peau de la femme qui part au travail.



Je ne me suis jamais disputé avec belle-maman. C’est une femme discrète, peu exigeante qui ne veut que le bonheur de sa fille. Je ne peux pas dire que nous soyons proches l’un de l’autre mais, avant ce matin, il n’y avait jamais eu d’incident entre nous. Mais est-ce seulement grave ?


Yvette décide enfin de rompre le silence.



Sur ces paroles, je la laisse à ses réflexions et pensées et je pars travailler au jardin.


C’est vrai qu’Yvette pourrait être la femme d’un fantasme. J’en ai eu le déclic ce matin en la voyant nue sous la douche. C’est une femme de 69 ans. Elle avait 44 ans lorsque, sur le retour d’âge, elle est tombée enceinte d’Aline. C’est une femme de plus de 1 m 65, sans embonpoint avec ses 62 kg, une poitrine généreuse sans excès qu’elle porte encore très bien. Elle pourrait trouver facilement un amant si elle le désirait mais elle a du mal à faire le deuil de son mari.


La matinée se passe comme prévue, en suivant le programme décrit à Aline. Yvette vient me rejoindre vers les 10 heures pour me proposer un café que j’accepte. Nous le prenons à l’ombre sur la terrasse au bord de la piscine sans reparler de l’incident de la salle de bains. Nous en profitons pour arrêter le menu du midi ; ce sera crudités et grillade au barbecue. Yvette s’occupe de préparer l’entrée et moi le barbecue.


Le repas de midi se déroule comme si rien ne s’était passé. Yvette est habillée d’une robe de plage légère qui laisse transparaître son maillot de bain deux pièces de couleur noire. Je remarque aussi que ses tétons pointent, montrant deux pointes rondes au centre des seins. Je pense tout d’abord que ce sont les bouts des bonnets mais comme le maillot moule parfaitement la poitrine, j’acquiers vite la certitude que ce sont ses tétons. Je ne les avais jamais remarqués ainsi, mais les avais-je seulement regardés ?


Nous décidons de prendre le café au bord de la piscine, allongés sur des chaises longues, comme deux amants que nous ne sommes pas encore.


J’ai retiré mon short et je suis maintenant en slip de bain noir. Yvette a ôté sa robe dévoilant son maillot deux pièces épié au repas. Elle est allongée sur le transat, désireuse de quelque chose mais je sens qu’elle ne sait pas comment le dire. J’ai toujours en tête mon fantasme et elle probablement l’incident de la douche et notre conversation par rapport à sa conscience, je sens qu’il me faut crever l’abcès alors, je prends la parole :



Ce n’est pas ses habitudes, jamais Yvette ne montre ses seins nus, ni à la plage, ni à la piscine et surtout jamais devant moi.



Quel retournement de situation ! Hier je n’échangeais avec ma belle-mère que des banalités familiales dans nos discussions, ce matin je la vois à poil sous la douche, et cet après-midi, elle me fait des avances pour coucher avec moi. J’ai gagné au jackpot des amants.


Dépoitraillée, elle me fait face et demande mon avis sur ses seins.



Yvette possède une poitrine magnifique avec deux seins lourds légèrement tombants mais les bouts restent pointés en avant, les tétons sont gros comme de petites perles et ses seins ont la particularité d’avoir des aréoles et des tétons rose bonbon. Je n’ai jamais vu cette couleur de pigmentation sur d’autres poitrines féminines et je trouve cela divin !



J’emploie volontairement des mots crus pour la tester, mais elle ne s’en indigne nullement pour réagir :



Je reste allongé sur mon transat pendant qu’Yvette barbotte dans la piscine, tantôt sur le dos, je vois ses deux mamelles qui flottent à la surface de l’eau de chaque côté du corps, tantôt en brasse, les seins plongent alors à la verticale sous son corps. Le manège dure une demi-heure avant qu’elle ne se décide à ressortir du bain.


J’ai la queue en pleine excitation et mon slip est trop petit pour cacher mon anatomie qui forme une proéminence au-dessus de mes cuisses. Je ne m’en cache pas et je reste sur le dos pour lui montrer mon attirance pour elle. Yvette ne s’en laisse pas compter et en passant à ma hauteur, elle me tapote la queue et dit :



Alors je lui réponds par allusion au Tartuffe de Molière :



Je découvre Yvette encore plus désirable que tout à l’heure et ne voulant pas perdre plus de temps à attendre, je lui propose de rentrer à la maison, choix qu’elle accepte tout de go.


Nous passons sous la douche, ensemble, sans retenue cette fois avant de gagner l’étage de la maison. Nous n’avons aucune crainte d’être dérangés, ni par Aline qui est au travail ni par la famille qui est loin, ni par les voisins qui n’ont pas pour habitude de nous rendre visite. Nous choisissons la chambre d’Yvette contiguë à celle que nous occupons avec Aline.



° ° ° ° °




À peine entrés dans la pièce, Yvette se montre une autre femme, entreprenante, active, désireuse de me plaire et de se satisfaire. Elle est au diapason avec ma conscience et probablement aussi avec la sienne qu’elle met en sommeil en cet après-midi où je vais pour la première fois faire l’amour avec ma belle-mère.


Par pudeur ou par habitude, j’ai remis un slip de bain après la douche, Yvette totalement nue prend l’initiative. Elle se met à genoux devant moi, sur la descente de lit, m’attrape le slip par les côtés pour le descendre d’un seul coup jusqu’aux genoux et enfourne ma queue raidie qu’elle tient d’une main dans sa bouche sensuelle, de l’autre elle presse mes couilles qui me font mal. Ce n’est pas sa main qui fait mal mais toute l’envie et l’excitation d’avoir attendu ce moment divin où je vais pouvoir m’offrir ma belle-mère.


Je sens ses lèvres chaudes coulisser sur mon gland qu’elle prend bien profond en bouche. Elle pompe ainsi en experte pendant plusieurs minutes, retardant mon éjaculation que je ne peux plus contenir. Au moment divin de l’extase, je prends sa tête entre mes mains pour pousser mon sexe loin en bouche et finir par lâcher mon sperme au plus profond de sa gorge. Elle n’a aucun dégoût de recevoir ma semence qu’elle avale avec délice. J’en reste coi, ne pensant pas qu’une belle-mère puisse donner autant de plaisir à un gendre qui n’en demandait pas tant.


Pour remercier mon amante du jour, je la relève et vient déposer sur ses lèvres souillées sentant le sperme, un baiser qui se veut être un baiser de reconnaissance, de complaisance mais aussi d’amour.


J’enserre Yvette dans mes bras pour lui dire :



Sur ces paroles, Yvette n’en dit pas plus. Elle me plante au milieu de la chambre, j’ai la queue tendue à l’extrême, parallèle au sol. Elle s’allonge sur le dos, remonte ses genoux en prenant appui sur les talons qu’elle pose au niveau des fesses et ouvre les jambes au maximum comme une femme qui accouche. Elle est ainsi complètement offerte sur le lit, mais je me garde bien de venir la rejoindre, préférant m’asseoir sur un fauteuil dans l’angle de la pièce pour mieux l’observer. De cet endroit, j’ai une vue de face sur sa chatte largement ouverte et dans la porte-miroir de l’armoire, je peux voir Yvette de côté en train de se masturber.


Elle ferme les yeux et commence avec le majeur de la main droite à se caresser le petit bouton du plaisir, pendant que sa main gauche s’attarde à serrer ses seins pour les peloter avant de faire rouler les tétons entre le pouce et l’index. Quand elle juge qu’un sein a eu suffisamment d’excitation, elle change pour l’autre. Elle n’arrête pas de titiller son clitoris, caressant aussi de haut en bas et de bas en haut les petites lèvres jusqu’au vagin, petites lèvres que je devine bien faites car parfois elle les pince entre deux doigts pour se donner encore plus de sensations. Il me semble apercevoir deux excroissances plates comme des écus et roses comme ses tétons.


La scène dure, dure longtemps. Yvette a toujours les yeux clos, concentrée dans ses pensées, elle remue le corps de gauche à droite, caresse le drap du lit avec ses fesses qu’elle soulève légèrement, ouvre encore plus largement les cuisses en appuyant sur ses talons en se tortillant et en poussant de petits gémissements de plaisir. Je suis à mon maximum d’excitation mais je me refuse de toucher ma queue de crainte de ne pas pouvoir arrêter de me masturber. Je veux que mon désir et mon plaisir soient réservés à ma maîtresse du jour et cette maîtresse est ma belle-mère.


Plusieurs minutes se passent ainsi avant qu’Yvette, reprenant un instant ses esprits, ouvre les yeux et dise :



J’ai compris qu’en plus d’écouter à travers les murs, ma belle-mère se gode la chatte pendant mes ébats avec sa fille. J’en reste pantois d’imaginer cela mais je dois bien me rallier à la réalité des faits.


J’ouvre son sac de voyage et sous un chemisier, au milieu des petites culottes et autres lingeries féminine, il y a une pochette souple à travers laquelle je sens au toucher la forme d’un gode que je sors de son étui. C’est un gode noir d’environ 20 cm de long pour 4 cm de diamètre. Il n’est pas totalement cylindrique, le bout est en forme de gland rond et il a aussi un renflement à mi-hauteur. Il est gonflant grâce à une poire que l’on peut presser et il est aussi vibrant grâce à un variateur de vitesse. J’étais loin de m’imaginer tous ses fantasmes mais j’en éprouve un sentiment de bien-être d’avoir une belle-mère aussi libérée sexuellement.



Ne faisant ni une, ni deux, Yvette mouille de gland du gode d’un peu de salive et s’introduit l’engin dans le vagin. Après quelques va-et-vient et quelques gémissements de plaisir, le gode bien enfoncé dans l’orifice, elle attrape la poire et appuie plusieurs fois dessus pour gonfler le gland. J’ai compté sept ou huit pressions successives sur la poire. Je ne sais pas la grosseur que cela peut représenter mais je compte bien m’en assurer plus tard. Elle met aussi doucement la vitesse en service et cet effet lui déclenche quelques frémissements supplémentaires. Elle semble s’abandonner à ce bien-être, détendue et offerte.


Yvette tire sur le gode toujours gonflé à l’intérieur de son vagin puis le repousse plus profond. Elle ne jouit pas mais son plaisir semble immense. Elle ouvre les yeux et son regard vers moi est vide, comme lointain. Je lui propose de l’aider à atteindre son orgasme.



Je m’assois sur le bord du lit et attrape le gode d’une main. Je commence à jouer avec le variateur de vitesse et l’effet ne se fait pas attendre, Yvette apprécie. Elle a les yeux fermés, un bras au-dessus de la tête et avec l’autre elle titille ses bouts de seins.


Maintenant je fais aller et venir le gode sur toute sa longueur. Lorsque la partie gonflée se rapproche des petites lèvres, je vois le vagin s’élargir et le clitoris sortir de son capuchon. Je me refuse d’y mettre les doigts pour ne pas fausser le jeu par contre je m’autorise à sortir complètement l’engin pour voir sa taille gonflée. L’effet produit chez Yvette est très fort, elle hurle de plaisir.



Le gode ainsi gonflé doit bien faire près de 6 à 7 cm de diamètre. Je lui fais reprendre sa taille initiale avant de le réintroduire dans le vagin et je le regonfle par pressions de la poire. J’en rajoute trois supplémentaires ainsi il doit bien faire 8 cm à l’intérieur. J’actionne le variateur et là, c’est le paradis de l’abandon pour Yvette.


Le gode ainsi grossi, appuie sur la vessie et un jet d’urine sort du méat comme un geyser. Yvette ne peut plus se retenir et dans des râles et des cris de jouissance extrêmes, elle s’abandonne sans retenir la moindre jouissance. Je retire d’un coup le gode présentant une tête comme une boule de pétanque et plonge mon visage entre les cuisses de ma belle-mère pour lui faire un cunnilingus.



J’aspire son clitoris gonflé à l’explosion, je passe ma langue le long des petites lèvres rosies par l’excitation, puis je l’enfonce le plus possible dans son vagin. Je récupère toute son intime sécrétion qui abonde dans toute sa chatte. Je sens son plaisir intense arriver au point de non-retour lorsque j’introduis deux doigts – l’index et le majeur – dans la chatte pour lui caresser le périnée derrière le méat urinaire, là où se situe son point G.


Le résultat ne se fait pas attendre, dans un hurlement de jouissance et d’orgasme, Yvette se libère totalement. L’explosion de sa jouissance propulse un jet de liquide visqueux, qui n’est pas de l’urine ni du sperme. Je connaissais de nom les femmes-fontaine, j’en découvre une aujourd’hui pour mon plus grand bonheur. Elle m’avouera plus tard que c’est la première fois qu’elle se découvre être une femme-fontaine.



C’est vrai que je ne souhaite pas arrêter là une expérience si positive, même si c’est au détriment de mon plaisir personnel que je reporte à plus tard. Pour l’immédiat, tout en voulant donner un maximum de plaisir à ma belle-mère, je profite de cette situation inespérée ce matin lorsque me réveillant, je faisais mon devoir conjugal avec sa fille.


Je ne peux pas dire si Yvette a eu plusieurs fois du plaisir. Je pense plutôt qu’elle jouit d’un orgasme continu avec par moment des pulsions positives qui libèrent des petits jets de jouissance.


C’est complètement abattue, les bras en croix qu’elle tente de récupérer un peu de respiration plus rythmée que les saccades courtes et haletantes précédentes. Elle se dit « toute chose » mais entre deux reprises de respiration, elle en demande plus :



Sans plus attendre, Yvette se met à quatre pattes, les fesses en l’air me proposant ses deux globes de chair fraîche. Mais ma surprise est encore plus grande, lorsque, écartant ses fesses pour accéder à sa pastille plissée, je découvre un anus tout rose, comme ses tétons, comme ses petites lèvres vaginales et maintenant comme l’orifice anal. Je ne savais pas qu’une femme pouvait avoir sur toutes ces extrémités une pigmentation de la peau aussi claire, aussi rose. C’est du jamais vu pour moi et très beau à regarder.


Je ne m’attarde pas en préambules, juste une vérification d’usage pour tester le degré de lubrification et une autre vérification pour la souplesse du sphincter. Tout va bien, je peux la pénétrer.



Je m’exécute en introduisant le gode dans sa chatte et par quelques pressions sur la poire, je le gonfle pour qu’elle le sente bien sur ses parois vaginales sans mettre de vibration pour qu’Yvette profite de ma queue au maximum. J’approche ensuite ma verge à l’entrée de sa rosette, pousse légèrement pour bien sentir la résistance avant de l’introduire. Yvette est soumise, nullement contractée par cette première pénétration de ma part. Elle se laisse faire en toute confiance, alors je pousse mon engin 17 fois 5 à l’intérieur, au plus profond de son rectum, jusqu’à la garde. Je sens le gode gonflé de l’autre côté de la paroi. Yvette trouve agréable de sentir le gode appuyer sur sa vessie et sur son point G à la cadence de mes va-et-vient.



Dans la glace de l’armoire, j’ai le film de nos ébats, Yvette en travers du lit à quatre pattes, les bras allongés loin devant, et moi debout sur le sol, face à l’armoire, la queue dans le cul de ma belle-mère. Entre ses jambes pendent la poire du gode et le variateur de vitesse et entre ses bras, je vois les deux seins se balancer en rythme avec les tétons qui caressent le drap de lit. Le spectacle est sublime et mériterait d’en faire une vidéo, mais je ne pense pas trop à cela ni au cul que je pénètre, pour me concentrer plus sur l’acte lui-même car, pour cette première, je voudrais jouir simultanément avec Yvette ma belle-mère.


Il ne faut pas longtemps pour qu’Yvette explose dans un nouvel orgasme. Je m’allonge sur son dos, attrape ses seins pour les serrer dans mes mains, j’enfonce encore plus mon sexe dans son cul, puis je ne bouge plus pour laisser mon éjaculation se propulser loin dans son rectum. C’est dans des cris de jouissances partagées que nous restons ainsi collés l’un à l’autre sans bouger pour savourer l’instant divin.



C’est vrai que je connais ce Paul, c’est un ami d’enfance d’Yvette, un homme élégant qui a beaucoup de classe, bien conservé avec des cheveux courts frisés tout blanc, un joli blanc lumineux. Je ne veux pas aller contre le choix de ma belle-mère car je sais qu’elle sera heureuse avec Paul. Nous avons passé plusieurs réveillons en sa compagnie et je pensais qu’Yvette avait déjà eu une aventure avec lui. Elle m’affirme encore aujourd’hui que ce n’est pas le cas en ajoutant qu’elle me le dirait s’il en était autrement. Pour nous deux, elle n’a qu’un double regret : la différence d’âge entre nous et que je sois le mari de sa fille Aline.


Nous n’avons même pas refait l’amour une fois de plus, Yvette en femme d’expérience, a choisi comme toujours. Elle est partie vivre dans le sud, sur la Côte et Aline n’a jamais rien su de cette aventure d’un jour.


Depuis en faisant l’amour avec Aline, le samedi matin, mes pensées sont pour sa mère, cette dame que j’ai aimée un samedi pas comme les autres et pour qui j’ai toujours des pincements au cœur.


Je suis prêt à te revoir quand tu veux, belle-maman. Si tu le souhaites, moi, je t’attends.



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