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n° 13887Fiche technique21410 caractères21410
Temps de lecture estimé : 13 mn
09/06/10
Résumé:  Un hôtel paradisiaque, une stagiaire paradisiaque... Une rencontre paradisiaque.
Critères:  fh inconnu plage fsoumise voir fmast fellation pénétratio -occasion -plage
Auteur : Nicosens  (Passionné d'écriture et d'érotisme, j'ai voulu mêler les 2.)            Envoi mini-message
Stagiaire à l'autre bout du monde

C’était pour un voyage d’affaires que j’avais atterri dans ce bel hôtel. Pour être exact, ce n’était pas un bel hôtel mais plutôt un palace tout droit sorti d’une brochure de voyage de luxe. Le rêve. Surtout que je n’étais pas censé être là. Ces hôtels, c’était pour mon boss, pas pour moi. Pas encore ce privilège. Trois ans dans la boîte, ce n’était pas assez. Donc les contrats playa comme il les appelait officieusement, mon boss, c’était pour sa pomme. Sauf que là, après une chute de cheval et genou droit pas joli à voir, me voilà catapulté dans l’avion en quelques heures.


À la descente, sur le tarmac de l’aéroport, une vague de chaleur, un soleil éclatant et une plage en arrière-plan. J’avais déjà chaud. À travers les vitres teintées de la limousine de l’hôtel : des palmiers, des plages, du tourisme quatre étoiles. L’hôtel était à l’encan. Bungalows de toutes les tailles avec intérieur en marbre, ventilateurs élégants et lustres en cristal. Même depuis les salles où se tenaient nos réunions de travail, la vue était paradisiaque. Une longue plage de sable blanc avec quelques parasols, une mer turquoise, un ciel azur.


Assis face à cette vue, je comprenais mieux mon chef. Il aurait pu prendre de l’avancement dans la boîte, viser un poste bien plus haut que celui qu’il occupait depuis sept ou huit ans mais il aurait dû tirer un trait sur ces voyages. Il en faisait six par an en moyenne. Six semaines de vacances en plus, même si les négociations étaient aussi âpres que dans une tour à la Défense.


Le premier soir, avec le décalage horaire et la journée de boulot qui avait immédiatement suivi notre arrivée, l’extinction des feux fut très rapide. Au réveil, j’étais frais et plein d’énergie. En gagnant la salle de réunion, je vis à la réception une jeune femme que je n’avais pas encore aperçue. Une grande et fine brune, aussi féminine que sexy. Le genre à lunettes avec un tailleur. Le genre moins de vingt-cinq ans et déjà femme, avec un soupçon d’innocence et d’ingénuité qui me mettait le feu aux poudres très rapidement. Échange de sourires. J’en bandais presque.


À la pause de midi, je pris une décision que se révéla des plus heureuses pour la suite de mon voyage : je demandai un petit panier-repas aux cuisines et je mis les voiles, direction le bout de la longue plage de sable blanc, direction les palmiers. Après dix minutes de marche, je vis un ruisseau qui se jetait dans la mer. En suivant son lit du regard, je me pris à imaginer une cascade, de l’eau fraîche, une vasque creusée dans la pierre.


Aucune hésitation, je m’engageai le long du petit cours d’eau. La lumière tombait moins dru, tamisée par les grandes feuilles des arbres et l’air était plus frais, presque humide avec la proximité du ruisseau. Marcher était un enchantement.


Après un coude, la baignade de mes rêves s’offrit à moi. Une petite trouée dans les arbres, une vasque où venaient bouillonner, après une chute de quelques mètres, les eaux du ruisseau. De part et d’autre, de grandes dalles rocheuses. Pour compléter cette vision, des jambes de femme disparaissaient derrière un rocher. M’approchant silencieusement, je crus reconnaître une tache sur la cheville, une tache que j’avais aperçue sur la délicieuse stagiaire de l’hôtel.


Je fis discrètement quelques pas dans sa direction. Le rocher me dévoila la simple étoffe blanche de son petit slip de bain avec, l’animant d’une douce frénésie, deux doigts glissés dessous. Je ne voyais pas plus haut. Simplement ce bikini et ces jambes appartenant à une jeune femme se donnant du plaisir. Là, typiquement, j’étais en plein fantasme : une naïade sur une plage abandonnée.


Mon cœur s’emballa avant que je n’en tire les rênes pour garder le contrôle. Je ne pouvais me permettre de laisser filer cette occasion. J’agis à l’instinct, rapidement, en poussant un sifflement ébahi par la beauté du site, en lâchant un discret c’est beau comme si je me parlais à moi-même. Ses jambes bougèrent. Elle se redressa, une main sur les seins, essoufflée, désirable et me sourit. Un sourire lascif, tentant. Le sourire d’une femme interrompue dans un moment d’intimité mais qui n’en éprouve aucune honte.



Elle dut sentir que mon propos était à double sens car elle eut un second sourire mystérieux alors que la rougeur sur ses joues s’estompait.



Je hochai la tête.



Toujours le même sourire, avec une nuance flattée par le compliment.



Elle eut un petit sourire discret, presque étouffé.



Ce qui voulait dire, avec son ingénuité que je sentais de plus en plus feinte, j’adore avoir la marque du bronzage sur les fesses.



Sur son délicieux visage, rien d’autre que le même sourire encore un peu plus épanoui que quelques secondes auparavant. Joignant la parole au geste, elle s’assit au bord de l’eau pour faire glisser, déhanchement discret et ravageur, son petit bikini sous ses fesses. Puis, sans crier gare, elle se mit à l’eau dans un mouvement gracieux et nonchalant, m’offrant une vue sur ce qu’il convient d’appeler un cul de rêve.


En quelques pas, je fus près de son maillot posé au sol, alors qu’elle nageait près de la petite cascade. Dans un réflexe, je pris le petit bout d’étoffe pour le porter à mon visage. Il sentait le plaisir, la fraîcheur… Mon érection fut immédiate et vigoureuse.



Qu’elle réagisse ainsi était bon signe. Elle venait de me surprendre en train de humer l’odeur de son bikini et elle en riait presque. La partie était gagnée si je ne commettais pas de faux pas.



En effet, ma position – à mi-chemin entre accroupi et agenouillé – lui scellait la vigueur de mon émotion.



J’adorais ce dialogue, qui était un délicieux préliminaire, très excitant. Elle jouait à merveille son rôle. Je bandais comme un taureau.



L’instant d’après, j’étais debout, nu et tendu vers elle.



Je mis les pieds dans l’eau tout en restant les fesses sur le rocher. Elle était debout et immergée devant moi, ses seins à hauteur de mes genoux, ses petits seins pointant et excitants. Elle me prit en bouche avec délicatesse et envie, en m’envoyant un regard qui acheva de me faire durcir. Sa langue vint rapidement jouer avec mon gland. Son expérience en la matière était indéniable.



Mes mains glissèrent de ses épaules vers ses pointes que je fis rouler ses pointes entre mes doigts. Elle s’en mordit les lèvres de plaisir. En la voyant ainsi s’épanouir, j’eus très envie de jouer avec elle, de voir jusqu’où une si élégante jeune femme était capable d’aller avant de trouver les gestes et les mots trop crus.



Là, je mis une main sur sa tête pour la guider vers ma queue et poursuivre la pipe arrêtée il y a peu. Je voulais la poursuivre mais différemment, en dirigeant cette belle bouche, en imprimant moi-même le rythme de cette fellation. Ma stagiaire se laissa faire, toujours les yeux fermés. Mes mains enserraient sa tête avec assurance. Je faisais aller et venir sa bouche autour de ma queue. D’elle-même, elle jouait avec sa langue. Je l’embrassais sur les cheveux, les oreilles, les tempes, les joues alors qu’elle s’activait.



Je la fis sortir de l’eau en lui prenant les mains et en la soulevant. Quand elle fut debout devant moi, après un long baiser, je vins mordiller le lobe de son oreille avant de lui dire à voix basse :



Elle approuva dans un souffle avant de pousser un soupir en sentant un doigt s’aventurer dans sa chatte humide et moite. Poursuivant le jeu, je me mis à marcher à ses côtés, avec deux doigts dans sa fente. C’était bon et cru de sentir le frottement de son sexe sur mes doigts alors que nous avancions de concert. J’embrassais son cou, ses lobes d’oreilles, ses lèvres, son épaule gauche.


Je la conduisis jusqu’à sa serviette où je sortis mes doigts de son sexe pour les lui faire lécher, ce qu’elle fit avec application et envie. Alors qu’elle s’occupait ainsi, j’en mis deux autres, de la main gauche, dans sa fente.



Un « non » fut murmuré, soufflé dans un frisson de plaisir puis je pris sa queue de cheval dans une main pour basculer sa tête en arrière.



Elle s’exécuta en silence pour m’offrir une pleine vue sur son cul, sur son entrejambe, sur sa croupe. J’étais fou.


Cette stagiaire était à la croisée de tant de fantasmes que je voulais en profiter le plus possible. Elle était la jeune femme en tailleur, elle était la cadre sup à lunettes, elle était la nana qui bronze seule sur un petit coin de paradis désert. Et elle était, pour l’instant, partante pour mes jeux, soumise à mes désirs. Son abandon était puissamment excitant.



Puis je me mis à laper ses deux orifices d’un grand coup de langue, à titiller son clitoris et sa petite rondelle, avant de la lécher, de l’explorer de ma langue. Elle ne disait plus rien, tout entière à son plaisir alors que je m’aventurais en elle de ma langue et de mes doigts.



N’étant pas sûr que ce nouveau mot cru lui plaise, je fis une pause, déposant même un baiser sur ses fesses. Chaque geste ou mot cru était, comme toujours, un pari à quitte ou double. Un refus et tout pouvait s’arrêter ; une acceptation et le plaisir était sublimé. Elle n’eut aucune réaction, gardant les yeux fermés et la respiration haletante.


Je pris cela pour un consentement.


Mon geste suivant fut de la prendre.


Ma queue était raide et tendue de désir pour ce beau petit lot offert devant moi. Je la pris doucement mais en profondeur, glissant ma queue bien au fond de sa chatte avant de commencer un lent et puissant va-et-vient.


Mes mains sur ses hanches serrant bien cette taille de guêpe, je passai à la cadence supérieure pour, en fin de compte, sauter ma stagiaire. Son intimité était douce et serrée et ma queue bien dure et plantée dans sa moiteur. Elle ouvrit les yeux pour me regarder après avoir tourné la tête.



Une pulsation de plaisir m’avertit que l’orgasme montait en moi. N’en voulant pas pour le moment, trop heureux d’honorer cette belle brune, je sortis de sa fente pour me redresser.



Souriante, elle se mit à genoux et, sans un mot, me prit en bouche. En un rien de temps, mes mains furent sur ses tempes. Je me mis à faire aller et venir sa tête autour de ma queue mais plus vivement que tout à l’heure.



Puis je la repris en levrette. En agrippant ses cheveux, en redressant son buste pour la plaquer contre mon ventre, en glissant mes bras sur son ventre, mes doigts dans sa bouche. Je voulais la posséder, jouer avec elle, la rendre ardente, joueuse et offerte. Je pris son petit slip blanc pour lui passer en travers de la bouche et la retenir contre moi par l’étoffe de son bikini. Ainsi bâillonnée par son maillot imprégné de cyprine, elle était proche de l’orgasme. Ses yeux clos, son cœur battant la chamade, sa peau chaude, ses gémissements étouffés par l’étoffe de son bikini… Elle perdait pied, je le sentais. Chaque coup de queue que je lui donnais nous rapprochait de l’explosion. Son sexe était un puits de plaisir, un volcan en éruption.


Je revins en elle pour la conduire à l’orgasme. Mes mains enserraient ses hanches, mes coups de queue étaient profonds et vigoureux. Alors qu’elle allait exploser, ma main descendit entre ses jambes pour aller caresser son clitoris. Sentir une queue en elle et une main sur son petit bouton la fit décoller pour de bon. Elle se cabra, frissonna et soupira plusieurs mots que je n’entendis pas car j’étais trop proche de l’extase, moi aussi.



Elle se mit à genoux et ouvrit la bouche.



Elle se prit les seins pour se les caresser alors que je me masturbais à quelques centimètres de son visage.



Le dernier mot se perdit dans un râle de plaisir. Mon éjaculation fut puissante et généreuse, visant sa bouche, son cou, ses seins. Ma semence blanche et fluide macula avec délice sa belle peau bronzée puis elle recracha mon foutre sur ses seins avant de prendre ma queue en bouche, pour en savourer jusqu’à la dernière goutte. Elle lécha mon gland, elle m’aspira. Je chancelais sur place.


Je dus m’asseoir mais elle ne quitta pas ma verge. Elle me gardait au chaud dans sa bouche. Une de mes mains étala le foutre sur ses seins, sur son ventre avant de descendre entre ses jambes. Son sexe était encore moite. Elle prit ma queue entre ses doigts pour me masturber doucement et me regarder.



Et elle fila, me laissant rêveur au milieu de ce coin de paradis.


Ainsi, ma belle naïade s’appelait Anaïs. Elle me plaisait tant non pas car elle était belle et élégante mais car, de cette beauté et de cette élégance se dégageait un je-ne-sais-quoi d’extrêmement sexuel. Comme si tout son corps réclamait les ébats les plus sulfureux, comme si sa discrétion bourgeoise, sa précieuse féminité n’aspiraient qu’à une chose : se faire dépraver, se faire soumettre, se faire explorer. Le genre de femme qui, élevée comme une princesse dans les bonnes manières et dans une vision propre, angélique et innocente de la femme, n’aime qu’une chose : salir cette image par les gestes et les mots les plus crus, les plus osés.


J’eus une dernière réflexion avant de retourner à l’hôtel. Pour être tout à fait honnête, ce n’était pas vraiment une réflexion. C’était plus simplement une pensée. Ce qui m’arrivait vérifiait à merveille l’adage populaire qui ne tente rien n’a rien. Car, qu’avais-je fait en allant me promener seul et hors des limites de complexe hôtelier sinon tenter, hasarder, provoquer le destin ? J’aurais pu tomber sur une bête sauvage, sur un serpent venimeux mais non. J’ai poussé ma chance et j’ai eu une réponse magnifique, cette jeune stagiaire. Il faut donc tenter dans la vie, essayer, agir, bouger. L’immobilisme ne donne que des remords et des regrets.


Quand je me penche sur une femme pour l’embrasser, son acceptation ou non du baiser est secondaire. Je le fais surtout pour ne pas avoir à me dire ensuite « j’aurais dû le faire, j’aurais dû agir ». Il en va de même pour la vie de tous les jours et les surprises qu’elle nous réserve. Il faut agir et non subir. Rien de nouveau là-dedans mais cette rencontre ancrait encore un peu plus cette certitude en moi.