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n° 13900Fiche technique12741 caractères12741
Temps de lecture estimé : 8 mn
15/06/10
Résumé:  Mal au ventre ? Elle consulte un médecin dans le cabinet où elle travaille...
Critères:  fhhh grp collègues médical travail massage fellation nopéné -fhhh -travail
Auteur : Alaink            Envoi mini-message
Secrétaire dans un cabinet médical

Chantal est à son comptoir, à l’accueil du cabinet médical où elle travaille depuis quelques mois. Elle n’a pas la forme aujourd’hui. Elle a un peu mal au ventre. Elle s’en ouvre à un médecin qui lui dit qu’il la verra entre deux rendez-vous. Un patient est en retard et il invite Chantal à entrer dans le cabinet. Elle lui dit ce qu’elle ressent, il l’interroge un peu.



Et il lui désigne la table d’examen. Elle s’allonge et le médecin lui fait signe d’enlever la blouse. Elle est un peu gênée car, comme il fait très chaud dans le cabinet, elle a l’habitude de ne jamais mettre de soutien-gorge sous sa blouse blanche de secrétaire. Elle obéit quand même et s’allonge seins nus. Le médecin l’ausculte, tapote les côtes, le ventre, lui palpe les seins. Il revient au ventre, insiste en appuyant du bout des doigts. Il n’y a pas le moindre début de douleur. Il descend son examen, baisse un peu le slip, se ravise et commence à l’ôter. Chantal allonge les bras et l’aide à le faire descendre le long de ses cuisses. Elle dégage ses pieds.



Il continue sa palpation, ne trouve rien. Il poursuit quelques instants et finit par dire :



Et, laissant la porte ouverte, il va frapper à la porte de l’autre cabinet. Il a laissé la porte ouverte et Chantal est gênée car si un patient sonne et entre, elle est bien visible, nue sur la table. Et c’est ce qui arrive. Le patient en retard sonne et pousse la porte d’entrée, comme d’habitude ; il ne voit personne à l’accueil, se retourne pour aller dans la salle d’attente et aperçoit Chantal nue sur la table. Elle rougit, surtout quand il lui dit :



Le patient, après un dernier sourire et un dernier regard, va dans la salle d’attente. Et le médecin revient avec son confrère. Chantal se dit qu’il ne va pas tarder à faire venir l’infirmière et le kiné qui partagent le même cabinet. Elle est gênée. Le confrère la questionne à son tour et se tournant vers le docteur lui demande :



Ils demandent à Chantal d’écarter les jambes — et constatent que Chantal est presque rasée partout, pas seulement le pubis mais aussi l’entrejambe et l’anus. Ils répriment un petit sourire. L’un des deux allonge sa main et la passe sur le sexe. Plus une caresse qu’un examen. L’autre s’est mis en bout de table, a enfilé un gant, mis du lubrifiant, et commence à écarter les lèvres de Chantal. Il lui lubrifie bien sa vulve et l’entrée du vagin et pénètre deux doigts d’un seul coup. Chantal a un petit sursaut de surprise. Le médecin s’en aperçoit.



Et en elle-même, elle pense que ce serait plutôt le contraire…

Les doigts continuent de la fouiller jusqu’au fond du vagin, touchant l’utérus. À un moment, ils touchent un point particulièrement sensible et Chantal a un frémissement avec un petit gémissement qui ne passe pas inaperçu aux médecins. Elle a fermé les yeux et quand le médecin lui demande si ça va, elle répond faiblement oui. Le médecin continue et ses doigts sont de plus en plus précis sur des points d’excitation. Le bassin de Chantal, comme son ventre, est agité par des spasmes et elle commence à gémir de plus en plus fort.


L’autre médecin se penche sur son visage, lui murmure « chut » et, pour qu’elle ne crie pas, l’embrasse sur la bouche. Chantal lui rend son baiser, sa langue pénètre dans la bouche du médecin. Les doigts la fouillent toujours et quand ils trouvent le point maximum d’excitation, Chantal soulève le bassin, se cambre, hurle presque et enfin se laisse tomber, embrassant le médecin comme une folle. Elle a mis les bras autour de son cou. Le calme revient enfin. Elle ouvre les yeux, sourit. Le médecin lui rend le sourire. Il a ôté le gant d’examen et leurs quatre mains caressent tout le corps de Chantal jusqu’à ce que l’un des deux dise :



Chantal se lève, enfile sa blouse. Elle néglige de remettre son slip et le met dans sa poche. Les deux médecins sourient…



Chantal va à la porte de la salle d’attente et invite le patient à entrer dans le premier cabinet. Celui-ci constate que la blouse n’est pas totalement fermée et il sourit…


Le lendemain, Chantal arrive la première. Elle voit tout de suite que sur les carnets de rendez-vous, le créneau de 12 à 13 h est neutralisé. Quand le premier médecin arrive, elle le lui signale.



Chantal est assez surprise par ce « nous »… Qu’est-ce que ça signifie ?


La matinée se passe comme d’habitude, rendez-vous, patients, téléphone… Mais ce « nous » tourne dans sa tête. « Bah ! se dit-elle, on verra bien. » Et pour se montrer qu’elle est de bonne humeur, elle ouvre d’un bouton sa blouse et par moments, les patients qui se penchent sur le comptoir peuvent voir jusqu’aux tétins de Chantal.


Tous les rendez-vous terminés, peu après midi, un des médecins vient vers elle et l’invite à entrer dans le même cabinet qu’hier. Il y a déjà un autre homme que le médecin lui présente comme dermatologue. Peu après arrivent l’autre médecin et le kiné.



Chantal rougit. « Ben quoi, pense-t-elle, on n’est pas à la faculté, manquerait plus que les étudiants ». Mais difficile de dire non sans vexer ses patrons. Bref, elle tombe la blouse. Le médecin lui fait signe de continuer et elle ôte aussi son slip. Elle est totalement nue devant quatre hommes.


Le dermatologue s’approche d’elle, regarde ses taches de rousseur et l’examine sur tout le corps, de face et de dos. Il lui écarte même les fesses pour voir autour de l’anus. Chantal est cramoisie que cet examen ait lieu en public… Toutefois, il n’y a rien de suspect mais le dermatologue lui demande néanmoins de s’allonger sur la table d’examen. Là, il regarde sous les bras, sous les seins et, lui demandant d’écarter les cuisses au maximum, il examine le périnée et le sexe. Les autres se contentent de regarder.



Et s’adressant à Chantal, précise que compte tenu de sa peau et des taches de rousseur, il ne faut pas qu’elle s’expose trop au soleil.



Le kiné sourit, se lave les mains soigneusement et passe au pied de la table d’examen. Il demande à Chantal de bien écarter les jambes, en pliant les genoux, tout en basculant le bassin vers le haut. Il met du lubrifiant sur ses doigts nus et pénètre dans le vagin de Chantal. Doucement, il commence des mouvements qui peuvent s’apparenter à du massage, effectivement. Elle sent qu’il assouplit ses muscles internes et il lui semble que son vagin devient plus souple, plus réceptif. Petit à petit, son vagin se relâche et le kiné, entré d’abord avec deux doigts, a maintenant quatre doigts dans le vagin de Chantal. C’est une sensation nouvelle pour elle, pas désagréable ma foi, et si ce n’était la présence des trois autres hommes, elle le dirait bien au kiné. Celui-ci continue de travailler le vagin qui devient de plus en plus souple et il peut, au bout de quelques minutes, entrer totalement sa main. Seul le poignet dépasse. Même les trois médecins sont étonnés alors que Chantal est de plus en plus ravie, sans savoir ce qui lui arrive.


Elle a fermé les yeux et malgré la main dans le vagin, ne ressent que du plaisir. Pas la moindre sensation d’être forcée. Le kiné continue ses mouvements et il malaxe le col de l’utérus entre ses doigts. C’est pour Chantal une sensation qu’elle n’a jamais connue. Les doigts bougent et ils appuient légèrement sur un point précis du vagin. Chantal a un petit cri tant la sensation est soudaine et profonde. Son ventre se gonfle sous la respiration. La main bouge en elle et quand elle touche un second point, Chantal crie vraiment, un cri de bonheur. Son bassin s’est levé. La main tourne dans le vagin et vient chercher la paroi qui le sépare du rectum. Elle glisse lentement et à mi-chemin, elle se concentre sur une zone bien précise. Chantal est incapable de dire ce qui lui arrive. Elle sent seulement que sous cette caresse intime, le désir monte en elle. Ses mains s’accrochent au drap d’examen, le froissent.


Les médecins viennent auprès d’elle car elle se tord de plus en plus et elle risque de tomber de la table. Le kiné continue de travailler cette paroi et Chantal sent en elle un feu. Elle s’agite de plus en plus, sous l’emprise du désir montant. Les médecins sont maintenant tout près de la table et, avec ses mouvements de bras, Chantal sent que ses mains touchent des vêtements. Les médecins lui caressent les bras et les épaules, un autre, à la tête, lui caresse les seins, excitant même les tétins. Les mains de Chantal bougent encore et elle touche à nouveau les vêtements. Elle s’aperçoit qu’il s’agit des pantalons des médecins. Fébrilement elle cherche les fermetures à glissière, les descend, fouille dans les caleçons et sort de chaque côté un sexe raide.


Le kiné continue son massage interne et Chantal sent qu’elle va exploser. Elle fait aller et venir la peau des prépuces et quand sa jouissance est proche, en même temps qu’elle explose dans un immense râle, elle tire violemment les prépuces en arrière, amenant l’éjaculation des médecins. Le sperme s’étale sur son ventre. Elle tourne la tête, voit le dermato à côté d’elle, lui ouvre la braguette et en sort le sexe et le met dans sa bouche. Elle ferme les yeux. Elle connaît bien l’art de la fellation, gardant juste le gland dans la bouche et l’entourant de mouvements rapides de la langue. Elle titille le frein du prépuce doucement, et, subitement, fait aller violemment le gland au fond de sa gorge. Elle sent immédiatement la semence couler.


Elle ouvre les yeux, voit le kiné, au pied de la table d’examen, qui s’essuie les mains en lui souriant, et elle lui fait signe de s’approcher. Quand il est à la tête du lit, elle l’attire par les bras et les épaules, et lui murmure merci à l’oreille. Puis elle l’embrasse, fouillant sa bouche de sa langue et de la main, à travers le pantalon, lui comprime le sexe à plusieurs reprises. Le kiné éjacule dans son slip, sans avoir eu le temps de sortir son sexe.


Les quatre hommes et Chantal restent un moment en silence. Puis ils aident Chantal à se lever. Nue et majestueuse, sous le regard admiratif des quatre hommes, elle se lève et va prendre une douche dans la salle de bains du cabinet désert à cette heure.


Cet après-midi-là, les patients trouvèrent que non seulement la secrétaire médicale avait de beaux seins mais aussi qu’elle était particulièrement aimable et enjouée…