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Temps de lecture estimé : 40 mn
03/07/10
Résumé:  Découverte des plaisirs de la chair, le début du texte est réel, puis le reste est fantasmes... Alors, à vous d'imaginer où démarre la fiction.
Critères:  fhhh extracon médical sauna travail fellation double confession -extraconj
Auteur : Le commissaire            Envoi mini-message
Premières expériences extraconjugales

Je vais d’abord me présenter. Je me prénomme Morgane, je vis dans le Finistère, j’ai trente-cinq ans, j’ai de sublimes yeux bleus, je suis brune et mesure 1 m 65. Je suis plutôt jolie et attirante, j’ai de jolis seins, 90C et de belles fesses (je pratique la gym et un peu de course à pied). Je suis mariée depuis neuf ans et j’ai deux enfants. Je suis secrétaire médicale et travaille depuis maintenant quatorze ans chez un docteur spécialisé en gastro-entérologie.


Ce jour-là, il venait de recevoir un nouvel échographe et me demanda si cela ne me dérangeait pas qu’il le teste sur moi. De nature plutôt pudique, cela me dérangeait un peu (j’ai du mal à me montrer nue, même devant mon mari). Cela me gênait car je ne le considérais pas comme un médecin mais comme mon patron, cependant je n’osais lui dire non.


Je m’allongeai donc sur la table d’examen. Il me demanda alors de remonter mon pull et de baisser légèrement le haut de mon pantalon. Il avait uniquement accès à mon ventre mais cela me troublait quand même. Il avait vue sur le haut de mon string et le bas de mon soutien-gorge. L’examen se passa très bien, il enduisit mon ventre de gel lubrifiant et débuta son exploration.


Cela fut très intéressant. L’appareil était très précis avec de très belles images en 3D. L’examen fini, je me rajustai et alors il me glissa discrètement à l’oreille qu’il avait apprécié mes jolis dessous et que cela m’allait très bien. Je rougis comme une pivoine et sortis de son bureau pour rejoindre le mien, à l’accueil.


Quelques jours après, il vint me trouver et me proposa, si cela m’intéressait, de refaire un nouvel examen, il avait l’impression que j’avais trouvé intéressant le premier et pour lui, il pourrait ainsi continuer les réglages et l’apprentissage de son nouvel appareil. Ayant apprécié le premier, cette fois je n’hésitai pas et acceptai la proposition. N’ayant pas de patient l’après-midi même, il me proposa de faire cela à ce moment-là.


Comme lors du premier examen, je m’allongeai sur la table et baissai le haut de mon pantalon ; mais cette fois, je n’avais pas de pull. J’avais mis un petit chemisier un peu serré aux hanches et ne pus le remonter. Je déboutonnai donc les boutons du bas pour tenter de le remonter mais cela ne suffit pas à laisser assez d’espace pour l’examen.


Il arriva dans la pièce et me le fit remarquer, en me disant que je pouvais l’ouvrir entièrement, il en avait vu d’autres depuis vingt ans qu’il exerçait. Me sentant idiote comme une petite fille, je l’ouvris entièrement et le retirai avant de me rallonger sur la table d’examen. Il en profita pour me complimenter sur mes dessous, il est vrai très jolis et assortis. Le string, un peu transparent, était presque indécent car la fine dentelle ne masquait pas grand-chose, mais il ne pouvait le savoir car il n’en voyait qu’une infime partie.


Il débuta alors l’examen, testa de nouveaux réglages et sortit quelques clichés de mon appareil digestif en impression couleur. À nouveau de très belles images et comme il m’indiquait au fur et à mesure ce que nous explorions, l’examen était à la fois intéressant et instructif. Je commençais à me détendre et n’éprouvai plus de gêne à me trouver en sous-vêtements devant mon patron.


Il me demanda alors si j’avais déjà effectuée un examen mammaire pour détecter une possible tumeur. Troublée et surprise par cette question, je bafouillai un non. Il me proposa d’effectuer cet examen, vu que l’appareil était prêt et moi aussi. Mes pensées se bousculaient dans ma tête. Certes, il était médecin, certes il en avait vu d’autres, mais c’était mon patron et je ne m’imaginais pas le laisser examiner ma poitrine. Mais je ne réussis pas à lui dire non et acceptai d’un petit oui de la tête. Il m’aida à me redresser et me demanda d’ôter mon soutien-gorge.


Je le dégrafai et le retirai, mais plaçai mes bras en ultime rempart de pudeur devant mes seins. Il me chuchota à l’oreille de me détendre et qu’il ne pourrait pratiquer l’examen si je n’écartai pas les bras. Je plaçai donc les bras le long de mon corps. Il pouvait ainsi admirer ma poitrine. Il ne quitta pas des yeux le bout de mes seins et, pour la première, je fus fière de ma poitrine qui semblait le troubler. Il se racla la gorge et démarra l’examen. Ce fut le contact froid de l’appareil qui me fit de l’effet en premier et je sentis mes tétons se dresser. Il ne pouvait pas ne pas remarquer que cela me troublait et que je commençais à éprouver du plaisir dans cette situation. Cependant il continua son examen très professionnellement et continua à m’expliquer ce qu’il faisait.


Soudain je sentis sa deuxième main se poser discrètement au niveau de mon nombril. J’étais surprise de ce contact mais ne dis rien et le laissai continuer. Je la sentis bouger très doucement sur mon ventre en gagnant de petits millimètres vers le haut de mon string. Je tournais la tête vers lui, il me regardait droit dans les yeux, je ne pus soutenir son regard et fermai les yeux comme si je m’avouai vaincue et m’abandonnai à ses désirs. Il comprit immédiatement que mes dernières barrières venaient de céder et continua sa progression vers le bas de mon ventre. Je sentis le haut le mon string s’écarter tandis que sa main se faufila vers mon jardin secret.


Le contact de ses doigts sur mes lèvres intimes me fit comme une décharge et je ne pus réprimer un léger soupir. Il posa alors l’appareil et commença à me caresser les seins avec sa main, je ne savais plus ce que je faisais, mais je voulais qu’il continue. Je soulevai alors légèrement les fesses et baissai mon pantalon pour lui faciliter le passage. Il fit délicatement tourner ses doigts sur mon clitoris, et je sentis que je n’étais pas loin de jouir une première fois sous ses doigts. Il cessa ses caresses sur mes seins pour faire descendre mon string et ôter mes derniers vêtements. J’étais totalement nue, à sa merci.


Je n’avais pas rouvert les yeux depuis plusieurs minutes, je le sentis prendre ma main et la diriger sur lui. Je ne l’avais pas entendu enlever son pantalon, il était nu et je sentis alors un membre en érection d’une taille tout à fait honorable, moins gros que celui de mon mari mais sans doute plus long. Je fermai la main sur son sexe et débutai une lente masturbation, il continua son exploration et introduisit un doigt dans mon vagin, pénétration largement facilitée par mon excitation. Ses caresses étaient précises et puissantes à la fois. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier, mais j’en voulus plus. Je plaçai ma deuxième main sur mon clitoris et débutai une douce caresse. Je descendis mon majeur vers mon vagin et m’y glissai en compagnie des siens.


C’était fou, je n’avais jamais osé faire cela avec mon mari, je ne lui avais jamais montré comment je voulais être caressée ou comment il devait faire pour me faire jouir et ce, malgré ses demandes répétées. J’avais les yeux fermés et la tête sur le côté quand je le sentis s’approcher. Je sentis ses lèvres sur mes seins et le sentis doucement pincer le bout de mes tétons. Très sensible des seins, cela me fit un effet fou qui décupla mon plaisir.


Au bout de quelques minutes, je le sentis se relever et dégager ma main de son sexe, je sentis qu’il se déplaçait, il avait toujours ses doigts mêlés aux miens dans mon entrejambe qui faisaient de lents allers-retours. Je sentis quelque chose de doux se poser sur mes lèvres, je sortis doucement la langue pour y goûter. Je l’entendis respirer plus fort, cela devait l’exciter énormément. Doucement, il poussa en avant. J’avalai le sexe de mon patron.


C’était à la fois irréel et très excitant de me trouver là, totalement nue dans la salle d’examen, le sexe de mon patron en bouche et nos doigts mêlés dans mon vagin. Je pratiquai ma fellation de plus en plus vite en sortant son sexe de ma bouche pour le lécher jusqu’aux bourses, il avait l’air d’apprécier ce traitement.


Mais je voulus le sentir en moi, je retirai nos doigts de mon corps et son membre de ma bouche, déplaçai mon bassin vers le bord de la table afin de diriger sa bite vers l’entrée de mon sexe. Il poussa doucement et s’y introduit sans aucune peine. Il débuta de lents va-et-vient, il prit ma main et la plaça sur mon clitoris, comme s’il avait deviné que j’adorais me caresser lorsqu’on me faisait l’amour.


Rapidement il changea de rythme pour me pilonner comme une bête, je sentis qu’il n’allait pas tarder à jouir et accentuai mes caresses sur mon clitoris pour venir en même temps que lui. Quelques secondes plus tard, il s’abandonna en moi dans une ultime pénétration plus violente. Je le gardai en moi afin de finir de me donner du plaisir et atteignis un orgasme foudroyant quelques secondes après.


Il se retira de mon entrejambe et je l’entendis se rajuster. J’attendis qu’il soit sorti de la salle d’examen pour rouvrir les yeux et me rajuster. Qu’avais-je fait ? Je venais de tromper mon mari et, de plus, avec mon patron. Mais que cela avait été bon…


Le temps avait passé et nous n’avions jamais évoqué cet après midi avec mon patron. Notre relation était redevenue uniquement professionnelle, nous étions mariés tous les deux et ne voulions pas d’une relation extraconjugale régulière. Cependant j’y pensais régulièrement et cela me faisait de légers picotements dans le bas-ventre. Presque un an après ces événements, il m’annonça qu’il allait recevoir un étudiant en médecine qui voulait faire un stage chez un gastro-entérologue avant de choisir sa spécialité.


Il arriva un matin et il n’était pas du tout comme je l’imaginais. Il était petit et un peu enrobé et noir comme l’ébène. Il s’appelait Jean-Baptiste. Son stage se passait très bien. Il était très agréable et venait tous les matins prendre un thé en ma compagnie. Un après-midi, mon patron m’appela et me demanda si je voulais bien leur servir de patiente pour qu’il lui explique le fonctionnement de l’échographe et lui montrer l’appareil digestif en réel. Les souvenirs du dernier examen me revinrent en mémoire et j’avais peur que cela ne se ressente lors de l’examen. Je lui répondis donc que j’avais plusieurs courriers à taper et préférait m’y atteler de suite. Il n’insista pas mais je le sentis un peu contrarié.


Le lendemain, lors de la pause thé dans mon bureau, J.-B. me demanda si aujourd’hui je pourrais leur consacrer une petite demi-heure afin que mon patron puisse lui faire une démonstration de l’échographe, c’était très important pour lui. Il avait toujours été très agréable avec moi et je ne me sentis pas la force de refuser. Quelque chose en moi voulait que j’y retourne peut-être ?


Le lendemain j’avais un peu de temps devant moi et proposai donc à mon patron de faire sa démonstration. Un sourire illumina immédiatement son visage et nous nous rendîmes tous les trois en salle d’examen. Une fois allongée sur la table, mon chemisier retiré, en soutien-gorge et ma jupe légèrement baissée, je me rendis compte que la situation était très particulière, j’étais à demi-nue sur la table qui symbolisait mon infidélité, devant mon patron et une personne qui m’était inconnue une semaine plus tôt et qui, de plus, avait douze ans de moins que moi.


L’examen débuta normalement, les réglages furent rapides et mon patron commença son cours. Il était à nouveau très professionnel et J.-B. était très attentif. Au bout de vingt minutes, il tendit l’appareil à J.-B. et lui demanda de faire un examen en cherchant les différents organes qu’il devait trouver. Ses gestes étaient un peu rapides et il eut du mal à se repérer. Mon patron commença donc à lui indiquer vers où se diriger en pointant les différentes parties de mon corps avec son doigt.


L’examen durant depuis une demi-heure maintenant, le gel lubrifiant ne faisait plus son effet et mon patron sortit le tube pour en rajouter. Il commença à l’étaler mais je sentais qu’il insistait plus que de normale et surtout au ras de mon string. Cela m’émoustillait un peu, mon corps se souvenait de ses caresses.


Il dirigea J.-B. vers le bas de mon ventre et pour l’examen me dit qu’il allait devoir baisser un peu plus ma jupe et mon string. Je ne dis rien et le laissai faire, mais comme la première fois, je fermai les yeux. Je sentis ses mains se glisser entre ma jupe et mes hanches et il tira doucement vers le bas. Il n’arrêta pas son mouvement et je me retrouvai sur la table sans ma jupe. J’étais uniquement vêtue d’un string microscopique et de mon soutien-gorge sous les regards que je sentais posés sur moi.


Il demanda alors à J.-B. de baisser légèrement mon string pour poursuivre l’examen. Je sentis J.-B. un peu fébrile et ses mains tremblèrent lorsqu’il se saisit de mon string pour le baisser légèrement. Mon patron lui dit qu’il serait mieux de l’enlever entièrement afin qu’il ne soit pas taché par le gel. J.-B. ne bougea pas, il était comme tétanisé. Je fis donc glisser mes doigts sous l’élastique de mon string, soulevai doucement les fesses et le baissai sur mes cuisses. Arrivée là, je pliai mes jambes sur mes fesses et le fis rouler à mes pieds. J’avais rouvert les yeux et je voyais que les deux mâles n’avaient pas perdu une miette de ce spectacle.


L’examen repris mais l’atmosphère dans la pièce avait changé. Mon patron le guida vers mon intimité et je sentis l’appareil au bord de mon sexe. J’écartai légèrement les jambes pour lui faciliter sa progression, il faisait maintenant glisser l’appareil sur mes lèvres, mais plus personne ne regardait vers le moniteur. Doucement mon patron approcha ses mains de ma poitrine et fit glisser mon soutien-gorge vers le bas. Il commença à me titiller les tétons et doucement approcha ses lèvres des miennes. Notre premier baiser fut fulgurant, sa langue et la mienne ne faisaient qu’une, J.-B. sentit que j’étais totalement offerte à leurs désirs, il posa l’appareil, il se pencha entre mes jambes et commença à me lécher le minou. Il fit aller ses mains sur mon corps et je sentis maintenant quatre mains me caresser. Je ne savais pas à qui elles appartenaient et c’était terriblement excitant.


Je fis alors glisser mes mains sur mon corps et débutai une caresse mêlée à la langue de J.-B. sur mon minou. J.-B. retira ses mains de mon corps et je l’entendis retirer sa ceinture et baisser le zip de son pantalon. Mon patron lui se releva et s’écarta pour également se déshabiller. Je sentis J.-B. poser ses mains sur mes chevilles et me tirer vers lui. J’étais maintenant les fesses au bord de la table, je sentis son sexe frotter sur mes lèvres intimes. Je m’en saisis et démarrais une caresse sur mon clitoris avec le bout de son gland. Sa bite était fine mais très longue et légèrement courbée sur le côté.


Mon patron lui, revint vers moi et approcha son sexe de ma bouche pour que je m’en occupe. Immédiatement, les souvenirs de ce sexe me revinrent en mémoire. Je pratiquai une douce fellation en alternant de lents va-et-vient et, de temps en temps, je le sortais de ma bouche pour le lécher sur toute la longueur. Au bout de quelques minutes mon patron me fit descendre de la table. Il me demanda de me pencher en avant afin et de reprendre ma fellation. J’approchai mes lèvres de son sexe et fit sortir ma langue afin de le lécher doucement sous le gland. Doucement je fis descendre ma langue le long de sa hampe vers ses couilles que je gobai.


J.-B., lui, n’était pas resté inactif. Il était agenouillé à mes fesses et me léchait alternativement le sexe et l’entrée de mon anus. C’était incroyablement bon, sa langue était très douce et très longue. Il m’aspira doucement le clitoris et j’eus du mal à me contenir et me concentrer sur le sexe de mon patron. Ils changèrent alors de position et J.-B. me présenta son engin, il était vraiment très long et je voulus de suite y goûter. Il avait un goût un peu fort, mais cela ne me gêna pas. Je tentai de l’engloutir entièrement. Je sentis son gland au fond de ma gorge et j’étais encore loin de sa base. Je compris que je ne pourrai pas l’avaler entièrement et débutai donc une fellation sur cette magnifique tige.


Mon patron frottait lui son sexe contre mon clitoris mais je sentis qu’il attendait que j’intervienne pour me pénétrer. Je passai donc une main sous mon corps et débutai une légère caresse sur ses couilles. Je fis venir ma main entre ses couilles et mon sexe, je saisis alors le bout de son sexe et le fis pénétrer en moi. Il voulut aller plus loin mais pour l’instant je voulais uniquement qu’il visite l’entrée de mon sexe avec son gland. Je le faisais entrer et sortir à mon rythme.

J.-B., lui, soufflait de plus en plus fort et je sentais qu’il appréciait mon traitement. Il avait glissé une main dans mes cheveux et m’imprimait le rythme de la fellation.


Mon patron, lui, n’en pouvait plus de ce traitement et je sentis qu’il poussait plus fort pour pouvoir me pénétrer en profondeur. Je le laissai faire et il démarra de lents et longs va-et-vient. Au bout de quelques minutes à ce rythme, je le sentis diminuer sa cadence et se retirer, il dit à J.-B. que la place était chaude et ils voulurent changer de place. De mon côté la position n’étant pas très confortable, je me relevai et vins m’allonger au bord de la table, sur le dos. J.-B. s’approcha de mon sexe, il y frotta son gland quelques secondes avant de l’enfourner d’une seule traite. Il allait et venait en moi jusqu’à la garde, je ne pensai pas qu’il serait entré entièrement. À chaque pénétration, j’avais envie de crier, il accéléra la cadence et je n’allai sans doute pas tarder à jouir.


Mon patron me prit doucement la tête et l’attira vers son membre au bord de la table. Je le gobai immédiatement et démarrai une fellation rythmée sur les coups de boutoir de J.-B. Au bout de deux minutes à peine de ce traitement je sentis mon patron se crisper. Je voulus retirer son sexe de ma bouche. Je n’avais jamais avalé et ne voulais pas commencer aujourd’hui avec mon patron, mais il ne l’entendit pas de la même oreille et me maintint la tête avec la main pour rester au fond de ma bouche. Je sentis de longs jets chauds couler dans ma gorge. Il sortit son sexe de ma bouche et une dernière giclée s’écrasa contre mes lèvres. Au lieu de recracher, j’avalai sa semence et me léchai les lèvres pour y récolter les dernières gouttes.


Au même moment J.-B. se retira de mon vagin et voulu se présenter devant mon petit trou. Là, s’en était trop, je lui refusai l’accès avec ma main et lui saisis le sexe que j’approchais de mon visage. Il était couvert de ma mouille que j’allai goûter pour la première fois. Je le léchai sur toute la surface. C’était bizarre de goûter mon jus, mais fort excitant ; je le pris en bouche et démarrai une profonde fellation. Il avait glissé la main entre mes cuisses et me caressait la rondelle. Je sentis son doigt se présenter à l’entrée de mon anus et, en une légère poussée, s’y introduire. Je ne pouvais crier mais je venais de jouir. Je continuai cependant ma fellation et il vint dans ma bouche quelques minutes après. Comme avec mon patron j’avalai toute sa semence et léchai son engin pour le nettoyer.


L’ambiance était chaude mais détendue et je n’éprouvais pas la moindre gêne. Nous venions de prendre du plaisir et je me demandai jusqu’où cela irait, car je savais que ça ne pouvait pas s’arrêter comme ça…



Nous avions repris notre rythme de travail normal, il y avait un peu plus de complicité entre moi et mon patron, mais nous avions maintenu le vouvoiement et il n’y avait eu aucune relation sexuelle depuis le départ de J.-B. À la fin du mois de mai, comme tous les ans il devait partir quelques jours pour un colloque de docteurs en gastro-entérologie. Il vint donc me trouver pour que je règle les préparatifs de son séjour et fasse les réservations d’avion nécessaires. Il me demanda si je pouvais exceptionnellement l’accompagner cette année, en effet étant lui-même chargé de donner plusieurs conférences, mon aide lui serait précieuse.


Je n’étais pas dupe, je savais très bien qu’il n’avait en aucune manière besoin de moi, ces discours étaient tapés depuis longtemps et les années précédentes, il s’était très bien débrouillé seul. Mais j’en avais autant envie que lui et le temps pourri de la Bretagne me mettait le moral au plus bas. Donc, passer trois jours à Nice n’était pas pour me déplaire, de plus, aux frais de mon patron. Mon mari eut un peu de mal à comprendre et n’approuvait pas trop mon départ, mais je lui fis remarquer que, quand il s’absentait parfois une semaine entière pour son travail, je ne lui faisais pas de crise. Cette remarque fit mouche et nous n’en parlâmes plus.


Le jour du départ arriva, mon patron vint me chercher à mon domicile avec son véhicule pour rejoindre l’aéroport ensemble. Il sonna à l’entrée, je vins lui ouvrir, j’étais seule à la maison et n’étais pas encore prête, je sortais juste de la douche une serviette sur les cheveux et mon peignoir noué à la taille. Je lui fis remarquer qu’il était en avance, il me dit qu’il en était heureux il pourrait ainsi m’aider à choisir mes dessous.


Je le fis entrer, je lui proposais un café, il s’installa au comptoir dans la cuisine, je me dirigeai vers la chambre et, en me retournant, je lui fis remarquer qu’il aurait du mal à choisir mes dessous en restant assis devant son café. Arrivés dans la chambre, ma valise était ouverte avec les vêtements et dessous prévus pour le séjour. Juste à côté les vêtements prévus pour le voyage. Je lui demandai donc de faire son choix. Il choisit un ensemble string et soutien-gorge noir, je lui fis remarquer que mon pantalon et le chemisier prévus pour le voyage étaient blancs et que le noir se verrait un peu trop. Il fouilla alors dans ma valise et en ressortit une petite robe à bretelle de couleur rouge, en m’indiquant qu’ainsi le problème serait résolu.


J’ôtai mon peignoir, j’étais totalement nue devant lui et lui demandai de me passer mes sous vêtements. Il s’approcha et me précisa qu’il voulait les mettre lui-même. Il s’agenouilla devant moi, et glissa la fine étoffe le long de mes jambes, arrivés au ras de mon sexe il arrêta sa progression approcha sa bouche et me fis un baiser sur le sexe avant de replacer l’étoffe. Il se releva et plaça mon soutien-gorge en caressant doucement le bout de mes seins. Puis il se rassit sur le lit, me remercia pour ce doux moment, mais qu’il ne fallait pas trop s’attarder si nous ne voulions pas rater l’avion.


Le trajet jusqu’à l’aéroport fut très agréable, ma robe était légèrement relevée sur le haut de mes cuisses et je sentis son regard posé sur mes jambes. Ça me fit de l’effet, mais à lui aussi, une légère bosse commençait à déformer son pantalon. Je lui fis remarquer et il rougit en me faisant remarquer que j’étais la cause de ce trouble et qu’il faudrait bien que je m’en rachète.


Arrivés à l’aéroport, nous nous présentâmes à l’embarquement et l’on nous annonça qu’il y avait eu un problème de réservation et qu’il n’y avait plus de places libres côte à côte et que devrions voyager séparés. Il fut très contrarié et le fit remarquer, alors j’intervins et fis remarquer que ce n’était pas un problème, nous n’étions pas en couple et pouvions voyager séparément. Il me regarda fixement et je sentis qu’il m’en voulait de cette petite réplique. Intérieurement, je jubilai de le faire ainsi mariner.


Arrivés à destination, le temps était magnifique et la chaleur presque étouffante. Nous primes un taxi jusqu’à l’hôtel, nous n’échangeâmes pas un seul mot durant le trajet, il était toujours fâché contre moi. Nous primes nos cartes de chambre à la réception, et on nous y porta nos bagages. Mon patron m’adressa la parole uniquement pour me dire qu’il avait deux rendez-vous dans l’après midi, qu’il reviendrait pour le dîner et que, si cela ne me dérangeait pas, nous pourrions nous retrouver à ce moment là. J’acquiesçai d’un hochement de tête, un peu déçue de me retrouver seule pour le déjeuner et l’après midi.


La chambre était très jolie et assez spacieuse. Je feuilletai le dépliant de l’hôtel. Il y avait une piscine et un spa en sous-sol. Je descendis déjeuner et me dis que j’irai essayer les installations dans l’après-midi. Je descendis au spa. Il y avait une petite piscine, un hammam et plusieurs pièces pour massages et soins corporels. L’hôtesse me précisa que le hammam était mixte, mais qu’il y avait rarement du monde l’après-midi en cette période, surtout en semaine. Le nu y était toléré mais avec l’accord des personnes présentes, il ne fallait pas choquer.


Je fis quelques brasses dans la piscine, c’était très agréable avec cette chaleur. J’étais seule et il y régnait un calme incroyable, moi qui suis habituée aux piscines municipales ou de camping. Je sortis de l’eau et me décidai à tester le hammam.


Je passai au vestiaire prendre un douche, ôter mon maillot puis, entourée dans une large serviette, je me rendis au hammam. J’y entrai, pensant y être seule, mais il y avait déjà un homme. Il avait la soixantaine mais avec un très beau corps, bien entretenu. Il était allongé sur sa serviette, totalement nu. Il me regarda entrer et me fit un petit bonjour. J’étais gênée de le trouver ainsi et de le déranger et commençai à ressortir.


Il m’interpella et me précisa que si sa tenue me gênait, il n’y avait pas de problème, il allait se couvrir mais qu’il aurait bien accepté un peu de compagnie. Il se couvrit, je m’allongeai donc sur les planches face à lui. Nous échangeâmes quelques banalités puis je commençais à m’assoupir. Il me demanda alors doucement s’il pouvait à nouveau ôter sa serviette. Ayant les yeux fermés, cela ne devait pas trop me déranger. Je lui fis un petit signe de la tête pour lui confirmer que j’acceptais. Après tout, je n’étais plus une petite fille. Au bout de quelques minutes, moi aussi je commençai à me trouver un peu mal à l’aise avec ma serviette. Il le remarqua et me dit que je pouvais me mettre à l’aise également, il n’en serait aucunement gêné. J’hésitai une fraction de seconde et ouvrit ma serviette en grand. Il me fixait et me complimenta en me précisant que j’avais un corps magnifique et qu’il aurait été dommage de ne pas l’exposer. Il était un peu gonflé, mais cela me plaisait.


Au bout de quelques minutes de silence je tournai la tête vers lui, il avait la main autour de son membre et se masturbait délicatement. Je n’en croyais pas mes yeux, dans un hôtel de luxe me retrouver avec cet homme se masturbant sans aucune gêne. Il me fixait avec un regard de fou, j’aurais dû sortir ou me couvrir mais ne fis rien, je le regardai et j’étais flattée de lui faire un tel effet. Cependant je ne bougeai pas, je restai passive et le laissai à sa petite affaire. Au bout de quelques minutes, il se cabra et je vis de longs jets de liquide blanc venir s’étaler sur son torse. Il me regarda dans les yeux et me remercia avant de quitter la pièce. À mon tour, très troublée, je rejoignis les vestiaires, une bonne douche froide me fit le plus grand bien et calma un peu mon excitation.


Le soir, mon patron frappa à ma porte et me demanda de le rejoindre au bar de l’hôtel dès que je serais prête, pour que nous allions dîner. Il me précisa que des confrères à lui se joindraient à nous pour le dîner. Zut ! Moi qui croyais que nous allions dîner tranquillement tous les deux, j’allais me coltiner ses confrères et lesquels, j’imaginais, n’allaient parler que boulot tout le repas. Je finis de m’habiller, une jupe légère assez sage et un petit haut à bretelle. Je descendis au bar, mon patron était là avec ses collègues, je m’approchai et là je reconnus mon masturbateur de l’après midi. J’étais un peu gênée mais fis comme si de rien n’était. Il se présenta et me fit un petit clin d’œil discret, nous avions un petit secret.


J’allais me retrouver la seule femme avec six hommes, qu’allais-je faire dans ce dîner ? J’avais bien envie de faire demi-tour et les laisser entre hommes. Un petit apéritif avalé, nous nous rendîmes au restaurant, un restaurant très simple, mais apparemment ayant une excellente réputation. Le dîner fut finalement très plaisant, on parla de tout, sauf médecine. Mon voisin de table, le masturbateur, qui se prénommait Paul, était un vrai boute-en-train. Il n’arrêtait pas de balancer des blagues. L’ambiance était très détendue et le vin coulait à flot. Je n’ai pas trop l’habitude de boire et j’avais déjà vidé une bouteille de rosé à moi seule tandis que les hommes étaient au vin rouge.


Le repas fini, deux des confrères de mon patron nous saluèrent et nous annoncèrent qu’ils allaient rentrer à leur hôtel. Peu habitués à l’alcool, ils préféraient renter se coucher. Jacques, le local, nous invita à prendre un dernier verre chez lui, il habitait sur les hauteurs du vieux Nice. Nous appelâmes un taxi et quelques minutes plus tard, il nous arrêta devant une somptueuse villa avec un énorme portail en fer forgé. Jacques nous fit la visite, sa villa était somptueuse et magnifiquement décorée, très moderne avec une piscine extérieure.


Nous prîmes place au salon dans deux longs divans qui se faisaient face, moi et Jacques d’un côté, Paul et mon patron de l’autre. Jacques déboucha une bouteille de champagne et nous trinquâmes. La soirée était très douce et l’ambiance de plus en plus grivoise, les blagues et allusions sur le sexe étaient maintenant au cœur de la discussion, Jacques me faisait du rentre-dedans et me complimentait sur ma tenue, puis il m’annonça qu’il était un peu déçu malgré tout. Je lui demandais pourquoi et il me répondit qu’il était frustré d’être le seul ici à n’avoir pu m’admirer nue. J’étais scotchée. Qu’est-ce qu’il savait exactement sur mes relations avec mon patron et la séance de hammam ? Je ne dis rien, et saisis mon verre pour le vider cul sec. Je me sentais piégée par ces trois hommes, ils avaient sans doute tout manigancé et cela me rendit furieuse. Je lui fis face et lui rétorquai que ce ne serait sans doute pas pour ce soir. Et sur ces paroles je sortis sur la terrasse fumer une cigarette.


Paul m’y rejoignit, j’étais furieuse et le lui fis savoir, ce n’était pas très élégant de sa part. Il le comprit et s’excusa, mais il voulut que je les rejoigne et ne gâche pas cette belle soirée. Un peu calmée, je les rejoignis au salon. Ils étaient passés au whisky, et Jacques avait sorti une nouvelle bouteille de champagne à mon intention. L’ambiance avait du mal à revenir au niveau qui était le sien avant l’incident. Jacques proposa alors de faire une petite partie de poker, il n’avait pas envie de se coucher et que la soirée se termine ainsi. Je proposai de faire une belote, ne sachant pas jouer au poker, ils acceptèrent en cœur, sans doute ravis que j’accepte.


Je faisais donc équipe avec Paul, Jacques et mon patron jouaient ensemble. Mon patron proposa de jouer le point à dix euros. Là, je rétorquai que je ne pouvais pas me le permettre et lui rappelai que nous n’avions pas le même salaire et que d’ailleurs, c’était lui qui versait le mien et qu’il ne tenait qu’à lui de le rendre plus en adéquation avec toutes les nouvelles prestations qu’il me demandait. Et paf dans les dents. Il me promit immédiatement qu’il allait y remédier dès le mois prochain.


Paul me fit un clin d’œil et me proposa de jouer avec mes vêtements. Je ne dis rien. Ils se concertèrent quelques secondes et me proposèrent cent euros par vêtement, et bien sûr, si je gagnais je partais avec la mise. C’est une proposition que je ne pouvais refuser, à la fois financièrement intéressante et tout de même un peu excitante. La partie débuta et je me rendis vite compte que Jacques et mon patron étaient de vrais pros de la belotte et que Paul par contre n’était pas un habitué à ce jeu, ou le faisait-il exprès pour me voir nue à nouveau ?


En quelques tours de table, je me retrouvai juste avec mes dessous. Je fis remarquer à Paul que s’il ne se concentrait pas d’avantage, il allait falloir qu’il soit solidaire avec moi et enlève lui aussi ses vêtements. Jacques releva que c’était une excellente idée, proposa d’arrêter le jeu avec l’argent et que chacun joue avec ses habits.


Ce fut vite décidé et nous continuâmes la partie. Rapidement je sentis Paul beaucoup plus concerné, et nous enchaînâmes les victoires. Je gardai ainsi mes dessous, mon patron et Jacques se retrouvèrent vite en boxer pour l’un et en caleçon pour l’autre. À part Paul qui était encore entièrement habillé, nous étions tous en sous-vêtements.


La partie suivante était importante. Soit mon patron et Jacques se retrouveraient totalement nus et perdraient la partie, soit je me retrouverais seins nus. Mais cela ne me dérangeait pas, mon soutien-gorge était quasi transparent et ne masquait pas grand-chose. La partie fut vite expédiée, ce fut une « fanny » pour nous.


J’ôtai mon soutien-gorge en me retournant et plaçai les bras devant ma poitrine. Ce fut un tollé, ils contestèrent immédiatement, me précisant que j’étais une mauvaise perdante. Je leur fis un petit sourire et retirai mes mains pour m’exposer à leur regard. Mes tétons étaient dressés, ce qui leur montrait mon excitation. Je remarquai de mon côté une légère prise de volume à l’intérieur du boxer de Jacques. Paul, à ma surprise, avait enlevé son pantalon et se retrouva donc en slip et chemise.


Nouvelle donne importante : qui allait se retrouver à poil ? Cette fois, j’avais une main excellente et nous l’emportâmes sans contestation. Jacques et mon patron se levèrent et abaissèrent leur pantalon. Jacques était plutôt bien monté, son sexe sans être encore à son maximum, était déjà fort impressionnant. Ils nous proposèrent donc un dernier deal, le pot qu’ils avaient accumulé depuis le départ contre un dernier tour. Sans hésitation, nous acceptâmes. Nous l’emportâmes à nouveau et empochâmes toute la mise. J’avais réussi à garder mon dernier vêtement et, en plus, j’allais me partager un petit pactole avec Paul.


Celui-ci ne perdit pas une seconde et me proposa sa part du pactole contre mon string. Il y avait au bas mot six cent euros, je n’hésitai pas une seconde et lui proposai de venir chercher lui-même son trophée. Il se leva, vint s’agenouiller devant moi, il posa les mains sur mes cuisses, remonta doucement jusqu’à mon string. Je soulevai légèrement les fesses, il glissa ses doigts sous l’élastique et le tira à lui. Il le porta alors à son visage, il humait mon parfum intime et lorsqu’il se releva je vis, à l’énorme bosse dans son slip, que ça lui avait fait de l’effet.


De leur côté Jacques et mon patron avaient maintenant une énorme érection, j’étais troublée par ces trois mâles en érection à mes côtés. Je ne voulus pas arrêter là et leur proposai de jouer avec des gages. Les gagnants faisaient ce qu’ils voulaient des perdants.


Paul contesta, il lui restait encore des vêtements et il voulait jouer avec. Ce fut ok pour tout le monde et nous reprîmes la partie. Nous perdîmes et tandis que Jacques et mon patron se concertaient pour mon gage, Paul, lui, ôta sa chemise.

Jacques m’annonça mon gage : je devais les laisser me sucer les tétons pendant une minute. Ils s’approchèrent tous les deux, se baissèrent et me sucèrent les tétons de concert. C’était incroyablement bon, Jacques en profita pour essayer de glisser une main entre mes cuisses, je la repoussai en lui précisant que ça ne faisait pas partie du gage.


Après cette sublime minute, le jeu reprit et nous perdîmes à nouveau. Jacques m’annonça immédiatement mon gage, je devais ôter le slip de Paul sans m’aider de mes mains. Paul se leva donc et je m’agenouillai à ses pieds. Son érection rendait la chose très difficile, j’étais obligée de tirer l’élastique de son slip vers l’avant pour en sortir le gland. Après quelques secondes d’efforts, le nez dans sa toison, j’y arrivais enfin, son gland vint me frapper le visage. Je continuai doucement de tirer son slip vers le bas et libérai ainsi son sexe, avant de le descendre sur les cuisses. Je redressai alors la tête pour le regarder dans les yeux, il était rouge pivoine, au bord de la crise cardiaque. Je redescendis le visage mais avant de continuer à descendre son slip, je passais ma langue autour de son gland et le long de sa tige. Je repris ensuite son slip entre les dents et le descendis sur ses genoux avant de me relever, fière de moi.


La partie reprit et nous perdîmes à nouveau, cette fois ce fut Paul qui fut mis à contribution, il devait venir me lécher. J’écartais largement les cuisses, Paul s’approcha et s’agenouilla entre celle-ci et débuta un profond cunnilingus. Mon dieu que c’était bon ! Je m’adossai à fond dans le divan et le laissai à son travail. D’un coup, je sentis deux mains sur mes seins. Mon patron et Jacques s’étaient levés, ils étaient derrière moi et me pelotaient les nichons. La minute passée, la distribution reprit.


Nouvelle déroute, je crois que Paul n’était plus au jeu, cette fois c’était à moi de venir sucer Paul, il n’attendit pas que je me lève et vint se positionner devant ma bouche, je saisis son membre et commençai par de petits baisers et léchouilles sur le gland, puis d’un coup, je l’engloutis et entamai une fellation par de très lents allers-retours. J’entendis les deux vainqueurs se lever et s’approcher.

Ils se positionnèrent aux cotés de Paul me saisirent les mains et les portèrent sur leurs tiges. Je les masturbai tous les deux tandis que Paul avait droit à sa gâterie. C’était inouï, moi si sage il y a peu, j’étais là avec trois hommes et ça me plaisait, ça m’excitait comme jamais je ne l’aurais cru possible.


Je lâchai la bite de Paul et tirai la bite de Jacques vers moi pour y goûter aussi. Je la léchai d’abord sur le gland puis descendis le long de la tige pour finir par lui lécher les couilles, je repartis au sommet et finis par l’engloutir jusqu’à la base. Paul se recula et je le sentis se placer derrière moi, il s’agenouilla et vint me caresser les fesses. Il introduit son majeur en moi sans aucune difficulté avant de le porter à la bouche. Maintenant j’alternais une fellation entre mon patron et Jacques tandis que Paul s’occupait de mon intimité. Paul se releva, me prit la main et me dirigea vers le divan, il s’y assit me tira à lui. Je vins sur ses cuisses avant de prendre son sexe en main et de le diriger à l’entrée de mon vagin. D’un coup je m’abaissai et il s’introduisit sans aucune difficulté.


Je sentis mon patron qui se présentait au niveau de mon anus, cette fois je savais que je n’y échapperai pas et mon patron en voulait la primeur. En même temps Jacques se présenta sur le côté pour que je continue ma caresse buccale, je le repris immédiatement en bouche. Je sentis le gland de mon patron à l’entrée de mon petit trou, il poussa d’un seul coup et s’y introduisit, la douleur était déchirante, mais décuplait mon plaisir et je jouis immédiatement. J’étais leur jouet et ils le savaient, après quelques minutes, mon patron se retira, Jacques vient se présenter à sa place, il présenta son engin à l’entrée et comme mon patron s’y introduisit sans difficulté.


Mon patron me présenta son membre turgescent devant la bouche, le goût était fort mais plus rien ne me dégouttait. Le premier à venir fut mon patron, je le sentis se contracter, cette fois il n’avait pas à me tenir la tête et il le savait, je continuai mes allers-retours et je sentis le liquide chaud couler dans ma gorge. J’avalai le tout, ressortis son membre et le nettoyai avec la langue comme une chatte nettoie ses petits. C’en était trop pour Paul qui n’avait rien perdu de la scène. Il me souleva avec les bras, retira son sexe et éjacula sur mon ventre. Jacques se retira également, me tira à lui, m’allongea sur le divan libre, il me souleva les jambes et vint se présenter devant moi, je saisis son sexe le guidai à l’entrée de mon vagin où il s’introduisit doucement.


Il me baisa ainsi plusieurs longues minutes, il avait l’air increvable. Je sentis mon plaisir qui montait de plus en plus. Il me caressait le clitoris avec le pouce tandis qu’il allait et venait en moi. Il finit par se retirer, me présenta son sexe devant la bouche, je l’avalai, il m’attrapa la tête et m’imprima le rythme de la fellation. D’un coup il se tordit et jouit profondément dans ma bouche, le sperme était très abondant, je ne pensai pas qu’il pût y en avoir autant. Mais j’avalai le tout sans rechigner et comme pour mon patron je le lui nettoyai entièrement.


J’étais exténuée. Jacques m’aida à me redresser et nous proposa de coucher ici pour la nuit. La maison était grande et ça lui faisait de la compagnie. Nous acceptâmes, il me dirigea vers ma chambre, je pris une douche, enfilais le t-shirt qu’il m’avait prêté et me couchai dans le grand lit.


Le lendemain, je me réveillai assez tard, je descendis et, arrivée à la cuisine, il y avait un petit mot à mon attention. Ils étaient tous les trois repartis à leur congrès. Ils seraient de retour en fin d’après-midi. Jacques me proposait de profiter de la maison et de la piscine. Je décidai donc de me rendre à l’hôtel afin de récupérer quelques affaires et revenir me baigner. Après le déjeuner, je décidai d’aller m’allonger sur une chaise longue au bord de la piscine. Le temps était magnifique et il faisait vraiment très chaud. Un petit maillot deux pièces enfilé et je m’assoupis au bord de la piscine. Étant seule et le jardin n’ayant aucun vis-à-vis je me résolus à ôter le haut de mon maillot.


J’étais maintenant allongée sur le dos et je repensais à la nuit que je venais de vivre. J’avais cette dernière année, franchi et fait tomber pratiquement toutes mes barrières sexuelles. Je repensai à ces trois sexes qui étaient en moi cette nuit, je commençai à être émoustillée, et je fis glisser une main dans mon maillot pour calmer mon envie. Je fis tourner délicatement l’index sur mon petit bouton puis doucement descendis vers l’entrée de mon sexe. J’y glissai délicatement un doigt que je fis doucement entrer et sortir. C’était bon, je me faisais du bien au soleil et je m’abandonnai totalement à mon plaisir solitaire.


Je n’avais entendu personne s’approcher et pourtant je fus surprise de voir le soleil disparaître derrière une silhouette inconnue. Je ressortis la main de mon maillot et attrapais mon haut pour me couvrir.



J’étais rouge écarlate, et extrêmement gênée, je venais de me faire surprendre telle une petite fille la main dans le sac.



C’était David, le fils de Jacques. Il habitait chez sa mère depuis le divorce de ses parents mais il n’avait pas cours cet après midi alors il voulait profiter du soleil et de la piscine. Il me demanda si cela ne me dérangeait pas s’il s’installait à mes côtés. Je lui répondis que non, il était plus chez lui que moi après tout. Il entra dans la villa se changer et revint au bout de quelques minutes en boxer avec sa serviette de bain. Il était très grand et il ressemblait trait pour trait à son père. Il avait dix-neuf ans et était en fac d’histoire.


J’avais remis mon haut de maillot mais je voyais qu’il continuait à me mater discrètement. Le spectacle que je lui avais involontairement offert avait dû l’émoustiller. Ayant un peu chaud après ces dernières émotions, je décidai d’aller me baigner. Je me levai pour aller à l’eau et je sentis son regard posé sur mes fesses. Après quelques brasses, je ressortis de l’eau face à lui. Il ne m’avait pas quitté des yeux depuis son arrivée, ça me flattait de lui faire un tel effet. Je m’allongeai sur le ventre et lui demandai s’il pouvait me mettre un peu de crème sur le dos.


Il s’approcha, il fit couler un petit peu de crème sur mes épaules, je le sentis tirer sur la ficelle de mon haut et défaire le nœud qui le tenait. Ses mains étaient sur mes épaules et me caressaient délicatement. Il était très habile et très doux. Il s’attaquait maintenant au bas de mon dos et je sentis ses mains au bord de mes fesses. Il revint vers les côtés et commença remonter sur les côtés, je sentis ses mains effleurer mes seins par derrière, mais il n’osait pas s’aventurer plus loin.


Il se releva, je tournai la tête vers lui et vis qu’une énorme bosse déformait son boxer. Je lui demandai si j’étais la cause de son trouble. Il me répondit qu’il n’avait pas l’habitude de se retrouver en si belle compagnie, et que me masser le dos en repensant à la première vision de moi qu’il avait eue ne pouvait le laisser indifférent. Je le remerciai pour ce compliment et reposai la tête sur ma serviette.


Il se leva pour aller se baigner, il devait avoir besoin de se rafraîchir les idées. Il allait et venait dans la piscine, c’était un excellent nageur. De mon côté j’étais repassée sur le dos et avais décidé d’ôter mon haut de maillot. Après tout, il avait déjà pu admirer ma poitrine et ça me faisait plaisir de l’émoustiller. Il sortit de l’eau et, en rejoignant son transat, il ne quitta pas ma poitrine des yeux. Je fermai les yeux mais sentis que son regard restait posé sur moi.


Il était maintenant presque dix-sept heures et je décidai de monter me préparer pour la soirée. Je rentrai dans la salle de bain et décidai de profiter de l’énorme baignoire à jets massants et à bulles. Je fis couler l’eau et me glissai nue dans mon bain. Je commençais à me détendre quand la porte s’ouvrit. C’était David. Il me demanda s’il pouvait se joindre à moi, il s’ennuyait un peu seul dans le jardin. Je lui dis qu’il y avait largement de la place pour deux. Il pénétra dans la baignoire, il avait gardé son boxer. Je fermais les yeux et me détendais, juste le haut de mes seins dépassant de la mousse. Soudain je sentis son pied se coller au mien, je ne fis aucun geste, je voulais voir jusqu’où il irait. Je sentis qu’il se rapprochait de moi, sa main se posa sur mes cuisses et me caressa doucement. Elle remonta prudemment vers mon sexe. Ses doigts étaient à quelques centimètres de mon sexe maintenant.


Je sentis sa bouche se poser sur le haut de mes seins, il m’embrassa bruyamment. Ses doigts étaient maintenant sur mon sexe, il essaya de me pénétrer, je lui pris la main pour le guider, et lui montrer comment me caresser. Je lui dis d’y aller doucement au début. Je commençais à être excitée et voulais sentir son membre. Je passais la main dans son boxer, il était dur comme le bois. Je flattai délicatement sa tige. Je le fis se relever et se placer devant moi, j’attrapai les côtés de son boxer et le tirai vers le bas. Son membre sortit d’un seul coup de son boxer et vint me taper au menton. Son sexe était plus long que celui de son père mais de diamètre moins important. Je le masturbai délicatement puis le dirigeai vers ma bouche.


Il me dit qu’il ne s’était jamais fait sucer. J’étais honorée d’être la première et le lui dis. Je passai doucement la langue sur son gland et lui fis quelques baisers sur toute la longueur avant de le prendre en bouche. Je commençai de lents va-et-vient sur son sexe et passai une main entre mes cuisses pour me caresser.

Rapidement, je le sentis se contracter, je le gardai en bouche et il éjacula au fond de ma gorge. Il se retira de ma bouche et bafouilla quelques excuses, je lui dis que ce n’était pas grave. Il se rajusta et sortit de la salle de bain. De mon côté je poursuivis mes caresses et atteignis rapidement un orgasme foudroyant.


Je finissais de me préparer lorsque Jacques arriva. Il me précisa qu’il y avait une soirée avec l’ensemble des personnes invitées au congrès, soit une centaine de convives. Il me proposa un petit verre le temps qu’il se prépare. Paul et mon patron étaient retournés à l’hôtel se préparer, nous devions les y rejoindre avant de se rendre à la soirée. Nous retrouvâmes Paul et mon patron au bar de l’hôtel, ils finirent leur verre et nous prîmes la direction de la salle prévue pour la soirée. Il y avait une dizaine de tables rondes et au bout de la salle, un espace réservé pour la danse et un podium avec un DJ. Nous prîmes place sur la seule table où il restait quelques places, Paul comme d’habitude s’était placé à ma droite et à ma gauche, il y avait une très belle femme blonde. Environ quarante ans, un peu plus grande que moi et avec une énorme poitrine, sans doute siliconée…


Elle me fit un très large sourire ultra Bright, et se présenta. C’était l’épouse de son voisin de gauche un médecin de Paris qui s’appelait Marco, elle se nommait Natacha, et me glissa immédiatement à l’oreille qu’elle était ravie de ma présence. En effet, jusqu’à présent, elle était la seule femme à table et un peu plus de présence féminine n’était pas pour lui déplaire.


La soirée était très agréable, moi et Natacha avions de nombreux points communs. Elle adorait courir, elle avait également deux enfants, des filles du même âge que mes enfants. Elle me plaisait beaucoup et nous étions déjà très complices malgré le fait que nous ne nous connaissions que depuis une petite heure. C’était l’opposé du cliché que l’on se fait d’une femme de médecin, elle était indépendante et travaillait comme esthéticienne dans un institut. Elle détestait les mondanités et adorait les choses simples. Dans leur cercle d’amis, il y avait plus d’ouvriers que de cadres et aucun médecin ou avocat.


Le repas se terminait, nous n’avions pas cessé de papoter, nous n’avions pas pris part à une seule conversation autour de nous. La musique se fit entendre, elle me prit la main et m’entraîna sur la piste. C’était divin, elle dansait superbement bien, nous nous éclations sans se soucier du regard des autres convives, qui il faut bien l’avouer pour la plupart étaient bien plus proches de la maison de retraite que de la fac.


La musique changea, un zouk démarra, immédiatement elle se colla à moi, posa sa main sur ma hanche et me prit la main. Elle avait sa cuisse entre les miennes et sa peau nue se frottait contre la mienne. Ça commençait à être un petit peu hot. En tous cas j’éprouvai beaucoup de plaisir et je me prêtai à son jeu, ça me plaisait de choquer les vieilles mégères autour de la piste. Son mari arriva, se colla à elle par derrière, passa sa tête par-dessus son épaule et me demanda si je voulais bien lui accorder cette danse, je déclinai l’invitation lui promettant une prochaine danse mais il fallait que j’aille me rafraîchir un peu, cette dernière danse m’avait un peu échauffée.


Je les laissais donc danser en couple. Natacha se retourna et ils entamèrent un zouk endiablé et très sensuel. Personne ne pouvait ignorer le côté érotique de leur danse. Natacha se déhanchait sur la cuisse de Marco, elle avait le bas de sa robe remonté sur le haut de ses cuisses. Lorsque je revins, ils m’annoncèrent qu’ils allaient rentrer à l’hôtel, ils n’appréciaient pas trop ce style de soirée et préféraient s’éclipser. Ils étaient dans le même hôtel que moi, et n’ayant pas trop envie de rester à la soirée sans eux je leur demandais de me ramener.


Arrivée à ma chambre, je passais une légère nuisette et allais me coucher quand quelqu’un frappa à ma porte. C’était Natacha, elle portait un long t-shirt qui devait lui servir pour dormir et me dit que Marco s’était endormi mais me demanda si je voulais bien venir avec elle dans leur chambre boire un dernier verre, elle n’était pas fatiguée et voulait discuter. Leur chambre était bien plus spacieuse que la mienne, il y avait un petit salon face à l’entrée avec une petite terrasse et une chambre sans porte sur la droite. Marco était couché et dormait déjà.


Natacha sortit une bouteille de champagne du frigo et nous servit une petite coupe. Elle s’assit face à moi sur un petit fauteuil et se positionna comme moi les jambes repliées sous les fesses. Elle était vraiment très belle ainsi, je voyais presque le bas de son intimité. Elle bougea légèrement, quelque chose me sauta aux yeux, quelque chose brillait entre ses cuisses, elle perçut immédiatement mon trouble et me demanda si quelque chose n’allait pas. Je rougis immédiatement, je ne savais pas où me mettre ni quoi répondre.

Elle me fit un petit clin d’œil et me dit qu’elle avait fait ça pour l’anniversaire de son mari, mais aussi un peu pour elle. Elle me demanda si je voulais voir, je lui répondis que ça m’intriguait un peu, elle s’approcha, vint se placer devant moi et souleva doucement son t-shirt. C’était un petit anneau doré, son minou était lui entièrement rasé.



J’approchai doucement ma main et passai mes doigts sur son intimité. C’était très doux et particulièrement excitant de caresser une femme pour la première fois.


Elle me dit que, par son métier, elle voyait de plus en plus de femmes passer au salon se faire épiler ou raser entièrement le minou. Elle avait un jour voulu franchir le pas et depuis ne regrettait pas, son mari adorait et elle aussi. Elle me proposa de passer dans la salle de bain, elle avait le nécessaire complet pour s’occuper de mon intimité. Je la suivis dans la salle de bain, nous passâmes par la chambre. Marco dormait toujours, il était sur le dos, le drap était entièrement descendu et son sexe était posé sur le côté contre sa cuisse. Il était très beau, entièrement épilé autour du sexe lui aussi, ses bourses étaient lisses et j’avais envie de les toucher.


Natacha me fit asseoir sur le rebord de la baignoire, souleva doucement ma nuisette. Elle m’étala un peu de crème et débuta le rasage de mon intimité. Le rasage terminé, elle prit une petite serviette et m’essuya avant de sortir quelques petites bandes dépilatoires. Elle était très professionnelle et cela me plaisait qu’elle s’occupe de moi.



Je passais doucement les doigts, c’était extrêmement doux et bizarre, j’avais l’impression que c’était beaucoup plus sensible.



Je me relevai et lui fis un petit bisou sur la joue.



Elle approcha ses lèvres des miennes et je fis le dernier centimètre pour l’embrasser à pleine bouche. C’était très différent d’avec un homme, beaucoup plus sensuel et doux.


Ses mains remontaient dans mon dos, elle attrapa les bretelles de ma nuisette et les abaissa pour laisser tomber la fine étoffe sur le carrelage. Elle arrêta son baiser, sa petite langue descendait le long de mon cou. Ses mains se posèrent sur mes seins, elle me caressait doucement et sa bouche arriva sur mon sein droit, elle prit mon téton dans sa bouche. De sa main, elle titillait mon autre téton, je passais ma main dans ses cheveux, c’était bizarre, je n’avais jamais été attirée par une femme, mais avec Natacha le courant était tout de suite passé, elle me plaisait et je voulais aussi lui plaire.


Elle se releva, m’embrassa à nouveau et me tira vers le lit. Marco dormait toujours, il n’avait pas bougé. Elle m’allongea à côté de lui, se déshabilla et vint se coucher à mes côtés. Ses seins ne bougeaient pas et avaient une tenue exceptionnelle. Elle me dit qu’elle les avait fait refaire après son deuxième accouchement. Elle prit ma main et la colla à son sein, ils étaient très fermes mais d’une douceur extrême. Elle vint se positionner sur moi et m’embrassa à nouveau, cette fois son baiser était profond et gourmand, elle glissa sa main entre nos corps ses doigts caressèrent mon petit bouton. Que c’était bon.


Elle me demanda si je l’avais déjà fait avec une femme, je lui répondis que non, elle serait la première. Elle en fut flattée et me dit qu’elle ne me décevrait pas. Elle glissa doucement le long de mon corps et plaça sa tête entre mes cuisses. Elle m’aspira doucement le clitoris puis elle me lapa le sexe, en même temps qu’elle me léchait, elle introduisit un doigt dans mon sexe. Elle savait comment me caresser, ses caresses étaient précises et à mon tour je voulus lui rendre le plaisir qu’elle me donnait.


Je lui demandais de se retourner afin que je puisse goûter à son sexe. Elle se retourna et vint se placer au-dessus de mon visage, elle commença à se baisser et je pus enfin passer ma langue sur son intimité. Elle était toute mouillée et vu le râle qui s’échappa de sa bouche lorsque je commençai ma caresse buccale elle devait vraiment être au summum de l’excitation. Elle s’était maintenant totalement redressée et j’étais tout à son plaisir. Elle était à califourchon sur mon visage et se frottait le sexe contre ma langue. Je fis entrer et sortir les doigts dans son intimité, elle bougea comme une folle et commença à émettre de tous petits cris à chacune de mes pénétrations. Elle s’allongea à nouveau sur moi et repris à son tour son cunnilingus. Elle avait glissé trois doigts en moi, et en même temps qu’elle me léchait, elle me masturbait en profondeur. C’était incroyable, elle savait exactement comment me donner du plaisir. Je sentis mon plaisir monter, je savais que je n’allais pas tarder à jouir et essayai de me concentrer sur son plaisir. D’un coup, je sentis Natacha se crisper, elle venait de jouir, c’en était trop, et je sentis mon plaisir éclater, je venais de jouir à mon tour. Elle se releva et vint se coller contre moi. J’étais exténuée et nous nous endormîmes l’une contre l’autre aux côtés de Marco.


Je sortais doucement de mon sommeil, il faisait encore nuit noire, Marco s’était collé à mes fesses. Je sentais son sexe contre celles-ci. Sa main était posée sur ma hanche et doucement glissait vers mon intimité. Je continuai à faire semblant de dormir pour voir jusqu’où il irait. Il caressait maintenant doucement mon sexe, je sentis ses doigts qui cherchaient quelque chose, il me demanda doucement à l’oreille pourquoi j’avais enlevé mon piercing, je ne répondis pas continuant de faire semblant de dormir. Sa main remonta sur mon corps et venait maintenant d’attraper mon sein. Si pour le bas je pouvais faire illusion, maintenant il n’y avait plus aucun doute possible, il s’était forcement rendu compte que ce n’était pas sa femme qu’il caressait.


Je sentis son sexe se dresser d’un coup, il continua ses caresses sur mon sein, de mon côté, je glissai une main entre nos corps et lui flattai doucement les bourses. Elles étaient très douces. Une main vint se placer sur mon sexe, Natacha était réveillée elle aussi, et voulait participer. Elle m’embrassa, je sentis sa main se poser sur la mienne, elle avait placé la main entre mes cuisses et flattait elle aussi le sexe de son mari. Elle s’en saisit et le dirigeait à l’entrée de mon sexe. Elle me caressa avec le gland de son mari. Marco se positionna sur dos et m’attira à lui, J’étais à califourchon au-dessus de son membre, dos à lui. Natacha était allongée entre mes jambes et, tout en me frottant le sexe avec le gland de Marco, me titilla le clitoris avec la langue.


De temps en temps elle prenait le sexe de son mari en bouche et lui mordillait le gland. Elle positionna finalement le gland de Marco à l’entrée de mon vagin, je m’abaissai, il s’introduit en moi sans difficulté. Natacha était toujours entre mes cuisses et alternait ses caresses buccales entre mon clitoris et les couilles de son mari. Je ne tardai pas à jouir, la bouche de Natacha conjuguée au sexe de son mari, s’en était trop pour moi. Je me relevai, Natacha se présenta au-dessus du sexe de Marco et s’y empala. Elle se déchaînait comme une furie sur son sexe. Rapidement Marco sentit son jus monter, il souleva Natacha pour se retirer, il me demanda de m’approcher près de sa femme. Nous étions à genoux sur le lit, côte à côte, tandis que lui, debout, se masturbait au-dessus de nos visages. Il se crispa un peu et de longs jets vinrent atterrir sur nos visages. Nous nous embrassâmes, et je récoltai avec les lèvres le sperme sur son visage puis elle fit de même avec le mien. Marco approcha son sexe pour que l’on finisse de le nettoyer, il allait alternativement de ma bouche à celle de Natacha. Je me levai pour enfiler ma nuisette et décidai de regagner ma chambre, j’avais vraiment besoin de sommeil.


Ne devant prendre l’avion du retour que l’après midi et voulant profiter une dernière fois des bienfaits du hammam, j’y descendis au petit matin. Je voulais y être dès l’ouverture. Je pénétrais au hammam, il n’y avait personne. Je m’allongeai et ôtai ma serviette. Je repensais à ces deux jours et à tous ces derniers événements, je me dis qu’il fallait que j’arrête cette escalade du sexe, je tenais à mon mari et il fallait stopper cette dérive qui ne mènerait à rien de bon.


Malgré tout quand je repensai à ces derniers événements, cela m’émoustilla. Je passai doucement la main sur mon sexe, j’avais envie de me caresser. Étant seule, je commençai à faire tourner l’index sur mon clitoris, c’était vraiment très agréable et excitant de savoir que je pouvais être surprise à n’importe quel moment.


Ce fut Paul en entrant dans le hammam qui me tira de mes songes érotiques, il s’approcha me fit une petite bise, et me dit en me faisant un petit clin d’œil que je pouvais continuer mes caresses, il ne fallait pas que sa présence me gêne.

Je replaçai donc la main sur mon sexe et continuai à me donner du plaisir. J’introduisis un doigt puis deux que je fis entrer et sortir de mon vagin. Je tournai la tête vers Paul il était calmement allongé sur sa serviette, la tête tournée vers moi. Il ne faisait rien mais son sexe était bandé à son maximum.

Je repensai à notre première rencontre, et aujourd’hui les rôles étaient inversés. Le plaisir montait et je finis par jouir sous mes caresses dans un petit feulement. Je me relevais, je vins faire un petit bisou à Paul pour le remercier et je quittai la pièce.


Je retrouvai mon patron dans l’après-midi, son accueil fut glacial. Nous primes le taxi jusqu’à l’aéroport, puis arrivés dans l’avion, je vins m’asseoir à ses côtés. Il me demanda alors si le reste de mon séjour s’était bien passé. Je lui répondis que oui, je sentais de la frustration chez lui, il attendait sans doute plus de ma part.


Je lui expliquai alors qu’il n’y aurait plus rien entre nous. Cette escapade sexuelle avait été une très belle expérience mais je voulais retrouver mon mari, le serrer dans mes bras et redevenir l’épouse fidèle qu’il avait connue. J’étais maintenant totalement épanouie, le sexe ne me faisait plus peur, je connaissais mes limites et mon corps mais je voulais en laisser l’exclusivité à mon époux.