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Temps de lecture estimé : 8 mn
27/07/10
Résumé:  Comment faire taire une femme qui en a trop vu ?
Critères:  fh fagée jeunes profélève travail école chantage intermast facial fellation cunnilingu -fplusag
Auteur : Benjamain
Un marché au culte



Je rentre dans son bureau tout en me demandant : « Tiens, qu’est-ce qu’elle me veut ? »



Bien sûr que je vois de quoi elle parle… Il y a dix minutes à peine, j’étais dans le bureau de Séverine, assis les jambes écartées sur un siège inconfortable, avec Séverine face à moi dans une position encore moins confortable, à genoux.



Oui, je le sais ! Mais bon ! Mon maître de stage et professeur est une jolie petite blonde rondelette me faisant beaucoup d’effet, je n’ai vraiment pas pu m’en empêcher. Notre relation a commencé il y a quelques semaines, alors que je lui faisais mon compte-rendu sur l’avancement de mon stage. Cette coquine m’avait littéralement allumé en portant un tee-shirt extrêmement moulant : je pouvais tout voir, des légers bourrelets du dessous du nombril, aux deux melons (quoique melon soit peut-être exagéré, disons deux petits melons). Mon regard était resté bloqué sur ses outres à lait pendant trois à quatre secondes alors qu’elle me parlait, c’était dès lors difficile de masquer mon attirance pour elle. Mais bref, revenons à l’histoire présente.



Tiens, son regard est étrange aujourd’hui. J’ai toujours trouvé qu’elle a une tête de vieille cochonne, mais là, j’ai l’impression qu’elle me déshabille du regard. Dans un sens, si elle nous a vraiment surpris tout à l’heure, elle a dû voir un aperçu.

La question est : me fait-elle des avances ? Si oui, suis-je intéressé par le marché ? Maria, 55 ans bien tassés, célibataire, brune aux cheveux longs et frisés, lunettes, assez sexy, toujours bien habillée et aussi, comme je disais, une tête de vieille cochonne. Oh oui, pourquoi pas, je suis prêt pour le marché.



Son regard descend furtivement et remonte pour se planter droit dans mes yeux.



Et la voilà qui s’approche, pose sa main à plat sur ma poitrine. C’est dans la poche ! En plus, j’en suis bien convaincu maintenant, elle m’excite. Je sors ma langue et lèche très délicatement son lobe d’oreille. Elle me donne l’impression d’aimer ça, vu que sa deuxième main glisse contre mon membre tout gonflé. Elle susurre à mon oreille :



Oh l’allumeuse ! Je ne peux même plus bouger tellement je suis excité. Je veux un petit quelque chose maintenant, moi ! Du coup, je donne un peu d’air à mon appendice, tout luisant.



Elle se baisse et passe sa langue sur mon gland. Je prends ça pour un accord ! Je m’assieds dans son fauteuil, beaucoup plus confortable que celui de Séverine, et c’est reparti. C’est bien la première fois que je me fais sucer par deux femmes différentes dans la même journée. Ce n’est pas pour me déplaire.


Je dirais même que ma nouvelle partenaire est très douée, mon pénis est vraiment à son maximum et elle arrive tout de même à l’engloutir jusqu’au bout. Le rythme est bon, pas trop lent, pas trop rapide. Même pas besoin de guider le mouvement. Je sens que du jus sort régulièrement de mon gland, je suis très excité. C’est incroyable de voir cette femme, qu’on imaginerait plutôt faire des mots croisés avec son caniche à côté, s’affairer sur mon sexe, le masturber, lécher le gland, faire glisser ses lèvres tout autour.


J’essaie de faire durer le plaisir un maximum, mais la nature est plus forte, je sens que je vais bientôt venir. Elle le sent immédiatement et dégrafe son tailleur pour montrer une poitrine bien mise en valeur par son soutien-gorge. À côté de Séverine, c’est faible, mais assez sympa quand même. Elle lâche mon pénis et enlève totalement son tailleur.



OK, pas de souci ! Je prends mon membre, le frotte contre le dessus de sa poitrine, ce qui crée un long fil de sperme entre mon gland et son corps. Je me masturbe en la regardant dans les yeux. Le fil lâche au niveau de sa poitrine et revient vers moi en salissant mon pantalon. Ce n’est que partie remise, dans deux secondes elle sera plus sale que moi.

Oh oui, je jouis, je jouis sur cette vieille femme en chaleur, je ferme les yeux en étouffant un râle. Mon pénis est en feu, je continue à me branler, je sens ma queue qui tressaute encore. C’est terminé, le réservoir est vide, la pompe a besoin de repos. J’ouvre les yeux pour voir la coquine tout sourire, son ventre, ses seins sont maculés.



Je ne sais pas trop quoi lui dire… Que dire à une femme qu’on connaît à peine et qu’on vient d’asperger ?



Elle s’essuie, m’indique son adresse et s’installe à son bureau. Qui pourrait deviner ce qu’elle faisait il y a deux minutes ?

À mon tour, après avoir repris mon souffle, je me rhabille et sors de son bureau.



Après une soirée et une nuit tranquilles, je suis reparti pour une journée de stage. Vais-je voir Séverine, lui dire quoi que ce soit à propos d’hier ? Après une courte réflexion, je décide de ne pas la voir en tête à tête aujourd’hui. Je parviens à l’éviter avec succès pendant toute la journée.


18 h, la journée est terminée, je sors de la faculté et rentre chez moi pour me reposer une petite demi-heure avant de me rendre à mon rendez-vous. C’est alors qu’on frappe à ma porte. Bêtement, j’ouvre la porte.



Oh non Séverine, ce n’est pas le moment ! J’ai cependant un défaut, je ne peux rien refuser à une belle paire de loches. J’essaie, tant bien que mal, de la repousser poliment mais pas moyen. En trente secondes, sa main était dans mon pantalon. En quarante secondes, ma main doigtait son clitoris. En deux minutes, j’étais en elle. En quatre minutes, j’avais joui toute ma semence quotidienne. En six minutes, elle était partie. Heureusement que je n’ai pas particulièrement besoin de tendresse… L’avantage est que je pouvais toujours être à l’heure à mon rendez-vous. Mais dans quel état !


Je me rends chez Maria, le pénis mollissant et déjà baveux.



Je n’ai même pas eu le temps de répondre, mais il est vrai que ce n’était pas vraiment une question. Maria a sorti le grand jeu : robe de soirée noire qui met bien en valeur sa jolie silhouette, des fines chaussures à talon. Je pénètre dans son salon, dans lequel je peux voir quelques photos de famille. Une jeune femme et un jeune homme d’une vingtaine d’années tous deux sont souvent présents, j’imagine que ce sont ses enfants. Ils sont même plus jeunes que moi et elle s’apprête à se faire prendre par un jeune étalon.


Elle me sert à boire et engage une conversation sans grand intérêt… Je suis malgré tout captivé par mon hôtesse car elle croise et décroise ses jambes, glisse régulièrement le bout de son doigt dans sa bouche en me regardant. Cette vicieuse me plaît beaucoup, mais j’essaie de gagner un peu de temps pour mieux la satisfaire. J’ai cependant beaucoup de mal à me retenir de lui sauter dessus lorsqu’elle se colle à moi et me caresse les cuisses.



Je me faufile donc entre ses jambes, titille son clitoris avec mon doigt, puis avec ma langue. Je l’entends gémir, pousser des petits cris. Je me retrouve rapidement avec la gaule de ma vie ; je n’ai plus peur de manquer de vigueur. Je me redresse, le braquemart tendu comme un mât au travers de mon pantalon.



Qu’est-ce qu’elle m’excite, cette femme ! En plus, elle commence à être vulgaire… Je retire mon pantalon et mon caleçon, mon pénis a rarement été aussi dur.



Elle obtempère, se met debout en me tournant le dos et se penche en avant, les mains sur son sofa. Je prends mon gourdin, soulève sa robe et fouette légèrement ses fesses. Je cherche son vagin avec mon pénis et le trouve très facilement, et le pénètre encore plus facilement.



Bien calé dans son vagin, la prenant en levrette, je cherche ses seins, difficilement accessibles à cause de sa robe déjà soulevée. Je sors de Maria, la déshabille entièrement et la pénètre de nouveau dans la même position. Cette fois, je peux prendre ses seins, les malaxer, les presser, les caresser. Après quelques minutes de ce traitement, elle se retourne, se baisse et commence à me sucer. C’est trop bon, mais elle va me faire jouir trop vite. Je l’arrête, la jette sur le dos sur le sofa, la tient par les poignets et me vautre sur elle.


J’entre instantanément en elle, elle gémit encore. Je l’embrasse dans le cou et lui donne des coups de butoir, je sens qu’elle adore. J’accentue mes va-et-vient dans son vagin, je sors au maximum puis tape au bout de son conduit, et ceci de plus en plus rapidement… Satisfait de moi, je décide de la pénétrer au plus profond, et d’imprimer des petits mouvements rotatifs. Son regard se perd dans le vide, au-delà du plafond de son salon. Encore deux ou trois va-et-vient et je la sens se tordre sous moi, et crier.


Moins agréable, elle me plante également ses ongles dans le dos. Bon, maintenant qu’elle a joui et que notre accord a été validé, je vais me faire plaisir… Je m’allonge sur le dos et elle vient s’empaler sur moi en jetant sa tête en arrière. J’en profite pour la tripoter, ses fesses, ses seins, ses hanches, sa bouche. Puis je cale mes mains sur ses hanches et je la promène d’arrière en avant sur mon sexe. Ça a l’air de lui plaire également. Elle jouit une deuxième fois. Je vais jouir aussi. Elle porte toujours ses lunettes et j’ai toujours rêvé d’éjaculer sur des lunettes…



Elle s’exécute, je pose mes genoux de part et d’autre de son corps et me masturbe en direction de son visage. Une première giclée part sur le sofa, puis une seconde sur les lunettes et le front.


Terminé. Plus aucun désir. Je suis juste dans une maison avec une femme trop âgée pour moi, éclaboussée par mon sperme. Je me sens d’un seul coup très confus. Je me rhabille rapidement, demande confirmation qu’elle saura tenir sa langue et décampe. Je vais pouvoir retrouver ma relation beaucoup plus simple avec Séverine.