n° 13950 | Fiche technique | 11741 caractères | 11741Temps de lecture estimé : 7 mn | 27/07/10 |
Résumé: Cette soirée en boîte m'ennuyait, et j'étais sur le point de rentrer chez moi ; mais c'était sans compter sur ma collègue Stéphanie. | ||||
Critères: fh collègues boitenuit fellation -exhib | ||||
Auteur : Extasia |
Stéphanie me tira par le bras, m’arrachant à mon fauteuil et à ma vodka, et m’entraîna jusqu’au beau milieu de la piste de danse, jonchée de dizaines de personnes remuant aux sons graves des boum-boum électroniques endiablés. Je soupirai et dansai à mon tour vaguement.
Notre merveilleuse Amicale des Personnels avait eu la fantastique idée d’organiser une soirée « restau-disco », qui semblait avoir emballé la majorité desdits personnels. Autant le repas avait été sympa, autant l’after en boîte me gonflait sévère. Et tous les efforts de mes collègues pour me dérider avaient été vains jusqu’à ce qu’ils m’envoient Stéphanie. Ah les salauds ! Ils savaient bien que je ne pouvais pas résister à une belle nana qui battait des cils… Et voilà que je me retrouvais à tectoniker sous les stroboscopes en face de Steph qui m’allumait autant qu’elle pouvait…
Mais c’était peine perdue ; j’avais déjà eu une sorte de « relation » avec elle : on était sortis ensemble, peu de temps après qu’elle eut été embauchée dans ma boîte ; on avait baisé cinq six fois, mais c’était tout. On n’avait rien à se dire ; peu de choses en commun ; pas forcément les mêmes idées sur la vie… On s’était dit qu’on restait copains ; on s’était surtout forcés à continuer à se comporter comme des adultes, d’autant qu’on était collègues. Et puis, de temps en temps, quand elle avait personne, elle revenait me voir, et minaudait jusqu’à ce que je craque pour son beau petit cul. Mais ce soir, niet !
C’était Seb, qui avait l’air ravi de me savoir à ses côtés. J’acquiesçai vaguement. Il se repencha à mon oreille :
Et voilà. Même mes collègues avaient compris qu’elle me prenait pour son gode…
Il me regarda curieusement. C’était ça, le pire, j’avais plein de collègues qui se montraient jaloux du fait que je la tire une ou deux fois tous les deux mois. Alors qu’on se larguait comme des vieilles chaussettes dès le lendemain. Mais, c’est vrai qu’elle était méchamment belle, Steph ; et au pieu, on s’ennuyait pas. Sans la moindre retenue, j’observai son visage, sa poitrine, et tout son corps tandis qu’elle se déhanchait devant moi. Elle finit par s’approcher de moi en souriant et beugla à mon oreille pour couvrir la « musique » :
Mais avant que j’aie pu lui répondre, elle était repartie danser à deux mètres de moi et, toute cambrée, agitait ses fesses magnifiques sous mon nez. Ah putain ! J’avais envie d’elle, c’était clair !
Je me rapprochai d’elle, collai mon bassin contre ses fesses et refermai mes mains sur sa taille. Je l’embrassai doucement dans le cou ; elle écarta ses longs cheveux blonds d’un geste et pencha sa tête en arrière contre mon épaule.
Je m’exécutai. Elle passa une main entre nos deux corps et, à travers mon pantalon, se mit à masser vigoureusement ma queue qu’elle avait dû sentir commencer à se gonfler contre ses fesses. Je relevai mes mains de sa taille à sa poitrine. J’aperçus Seb, qui me réprimandait du regard. Je haussai discrètement des épaules à son attention ; il finit par se marrer. Je me penchai de nouveau à l’oreille de ma « partenaire de danse » :
Oh la veste ! Cette salope me chauffait comme pas permis et maintenant, au moment de conclure, elle m’envoyait promener ? Elle se retourna vers moi :
Devant la tronche pas drôle que je dus lui afficher, elle plaqua sa main contre mon sexe et reprit d’un ton malicieux :
Et sans visiblement attendre de réponse, toujours en se trémoussant vaguement, elle déboutonna quelque peu mon pantalon et glissa une main dans mon caleçon. Quelques personnes qui dansaient autour de nous nous lancèrent d’étranges regards. Toujours collée contre moi, Stéphanie parvint à redresser ma queue pourtant à l’étroit et se mit à me branler vivement. Je l’embrassai dans le cou en savourant ses caresses.
Les gens autour de nous semblaient respecter une sorte de périmètre de sécurité. J’aperçus encore Seb qui se marrait toujours. Et Steph, presque extatique, ne faiblissait pas. Mais moi j’avais vraiment envie de plus que ça. J’avais envie d’elle, de son corps de rêve, de sa bouche de feu…
Et soudain, sous mes yeux sidérés et ceux encore plus médusés de tous les gens qui nous entouraient, elle s’agenouilla à mes pieds, extirpa mon sexe et se mit à me sucer à toute allure sans cesser de me masturber. Je me sentis envahi d’un puissant mélange de honte et d’excitation. Mais passant outre mon premier réflexe de gêne et de pudeur, je me mis bientôt à accompagner sa fellation de rapides mouvements de bassin, mes mains refermées sur la tête de ma partenaire, et mes yeux crispés à demi-fermés que j’évitais soigneusement de lever sur la foule autour de nous.
Mais un puissant flot de lumière rouge et bleue nous éclaira soudain, attirant sans doute sur nous l’attention de ceux qui ne nous avaient pas encore remarqués, en même temps qu’une voix synthétisée s’éleva dans toute la boîte à travers le son écrasant de la techno envahissante :
Je n’osais plus ouvrir les yeux. Je me sentais abject et méprisable. Je me demandais si j’arriverais à retourner au boulot après ça. Mais un autre côté de mon ego était redoutablement excité, et ne voulait absolument pas que Steph arrête cette pipe phénoménale. Et le type au micro continuait :
C’était horrible ! Je devinais la foule en cercle à un mètre de nous, les yeux rivés sur nous, et qui se mit bientôt à hurler et applaudir à chaque va-et-vient des lèvres de ma partenaire autour de mon sexe. Horrible d’entendre leurs cris qui ponctuaient le plaisir qu’elle me procurait ; et aussi, contre toute attente, surexcitant de m’abandonner sans retenue à ses caresses expertes devant tant de personnes.
Stéphanie continuait, accélérait même ; et le rythme des acclamations autour de nous s’accélérait aussi. Je n’allais pas tarder à jouir. J’accompagnai quelques dernières fois les mouvements effrénés et, geignant soudain, je me contractai, mes mains crispées sur la tête de Steph, qui me pompa encore un peu tandis que j’éjaculai par spasmes au fond de sa bouche avide. Le temps me sembla s’arrêter, le bruit disparut, la musique, les cris, tout ; j’étais dans un silence nimbé, seul ; seul avec Stéphanie, avec mon plaisir pur comme seule sensation…
Mais cet instant magique ne dura guère : je redescendis sur terre, ma partenaire me branla une dernière fois en suçotant mon gland du bout des lèvres. Les hurlements et les applaudissements avaient redoublé autour de nous pour devenir presque une véritable ovation. Le plaisir de la jouissance quittait peu à peu mon corps pour laisser place à une indicible honte. Je parcourus rapidement des yeux l’assemblée qui nous environnait ; tous ou presque étaient hilares, ravis, acclamant Stéphanie, leurs yeux rivés sur elle et sur ma bite.
Ma collègue me lâcha enfin et se releva tandis que je rangeai mon sexe et me rhabillai maladroitement au plus vite. De nouveaux vivats saluèrent encore ma compagne lorsque, une fois debout, elle tourna son regard tout autour d’elle pour découvrir l’ampleur de l’exhibitionnisme auquel nous nous étions livrés, et le délire fut même à son comble lorsqu’elle déglutit ostensiblement en fermant les yeux et en souriant.
Honteux, gêné, à la fois pour moi et pour elle, je pris Stéphanie dans mes bras, et la serrai fort contre moi. Elle m’embrassa dans le cou à plusieurs reprises. Puis je l’entendis me bredouiller à l’oreille quelque chose comme :
Mais je n’eus pas le loisir de lui répondre. L’ignoble voix du DJ s’éleva soudain de nouveau à travers la techno assourdissante :
Sa blague et sa largesse furent saluées d’un nouveau concert de hurlements approbateurs.
Encore une fois, les gens rigolèrent bravement. Stéphanie restait blottie dans mes bras tandis que plusieurs personnes nous poussaient quasiment en direction du bar. Mais un strident larsen remplaça soudain la musique et une autre voix s’éleva ensuite, qui se voulait assurée :
Cette fois, la foule manifesta plutôt sa réprobation, huant longuement et d’autant plus énergiquement que la musique mit une bonne dizaine de secondes avant de redémarrer.
Je soupirai en regardant ses fesses tandis qu’elle m’entraînait vers le bar, où l’attendaient, ravis, une bonne quinzaine de mâles, tous plus désireux les uns que les autres de lui payer un coup à boire.