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Temps de lecture estimé : 10 mn
29/07/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  L'absence de mon mari va se prolonger. Roland, mon beau-frère artiste, veut me représenter nue.
Critères:  fh extracon alliance grossexe fépilée intermast 69 -extraconj
Auteur : Moilephilou            Envoi mini-message

Série : Le jardinier

Chapitre 02
Je demande de la tendresse

Résumé de l’épisode précédent :

Après le départ de mon mari et de ma sœur pour un congrès de comptabilité à l’étranger, Roland, mon beau-frère me propose de faire un dessin de moi, mais suite à un repas (très) arrosé, les choses ne tardent pas à déraper…




Je me sens excitée comme une puce et, il faut le dire, terriblement fautive vis-à-vis de mon homme. Comment ai-je bien pu le tromper comme cela ? Car il y a tromperie de ma part, c’est certain, même si je suis plus ou moins ivre.


Et puis je ne sais pas ce qui m’a poussée à lui dire que mes seins étaient plus lourds et avaient une aréole plus large et plus sombre. C’est comme si je l’invitais moi-même à vérifier de visu. Je m’en veux oui, mais en même temps, c’est si bon de me retrouver dans des bras câlins, dans les bras câlins d’un homme qui me fait fantasmer et, à la réflexion, qui m’a fait rêver depuis bien longtemps (en fait, ça coïncide avec le début des aveux de ma propre sœur sur son mari !).


Je me dis que ma conscience est tout aussi malléable et extensible que l’élastique du slip de bain de Roland qui peine à contenir son phallus tumescent. Toujours aussi grisée par l’alcool que j’ai ingurgité, je ris à gorge déployée à cette pensée :


Eh bien voilà, tu dois être mieux maintenant. Tu devais avoir beaucoup trop chaud, ainsi vêtue !


Je reste un peu dubitative, comment une jupette de tennis, un chemisier plus que léger et un bikini minimaliste (selon moi) peuvent-ils donner trop chaud ? Non, en fait ce qui en est réellement, c’est que ces vêtements constituaient une barrière que je me suis plu à franchir (je le reconnais au fond de moi). Deviendrais-je une traînée, une putain, une salope ? J’ai mauvaise conscience vis-à-vis de mon époux. Roland en profite pour servir à chacun d’entre nous une eau-de-vie bien parfumée selon lui (je suis tout à fait d’accord avec), mais convenez-en : ce n’est pas ce qui ne va pas arranger mon état.


Je bois mon verre cul sec et m’aperçois avec un certain trouble qu’il m’en sert un autre dans la foulée. Il veut donc me faire boire ? Eh bien soit, je vais boire et m’enfoncer dans l’ivresse et le stupre. De cette manière, j’aurai au moins l’excuse d’avoir agi sous l’emprise de la boisson, moi qui ne bois quasiment pas, je suis effrayée de comptabiliser ce que j’ai bu : deux apéros, du vin, un digestif, de l’eau-de-vie. Comme je titube, Roland me rattrape et m’allonge sur une chaise longue.



Et de nouveau, il cherche à me rouler une pelle. Seulement, cette fois, je renonce à lutter contre le plaisir, j’entrouvre ma bouche et il en profite : nos dents s’entrechoquent, nos langues s’enroulent en jouant un ballet délicieusement érotique. Mes tétons sont durcis à un point innommable et je sens même que mon abricot s’humidifie sérieusement.



Pendant ces échanges verbaux, sa queue a pris des proportions énormes et il conduit ma petite main vers son sexe, il commence à lui imprimer un mouvement de haut en bas et, satisfait de voir que ce va-et-vient se pérennise, il introduit un doigt puis deux dans mon sexe, d’abord en lissant mes grandes lèvres puis en débusquant mon petit clito.


Quand je disais que sa queue était un peu moins longue que celle de Charles, je me trompais. Je ne l’avais pas vue en érection totale. Non seulement son sexe est très long mais de plus il a une de ces circonférences ! Comment vous dire, mesdames ? C’est un peu comme si vous essayiez d’encercler un de ces aérosols pour travaux ménagers, avec vos doigts fins et délicats.


De mon côté, je le branle tant et si bien que je le sens tout proche de l’explosion finale, j’accélère le mouvement pendant qu’il me masturbe et voilà qu’il finit par jouir sur ma toison et mes doigts.



Il possède vraiment un phallus hors norme. Son sexe vient de cracher sa semence et il reste encore plus gros que celui de Charles. Je suis en train de me sucer délicatement les doigts pour me nettoyer et tenter de le remettre en forme quand le téléphone sonne. Encore à moitié dans les vaps, je décroche :



Ainsi, je lui ai paru essoufflée ? C’est vrai que j’étais en train de faire du sport et tout ce que je vous demande mes ami(e)s lectrices et lecteurs c’est de ne surtout pas lui dire qu’il s’agissait de sport en chambre.


Je suis donc condamnée à rester seule avec mon beau-frère préféré pendant une semaine de plus !



Je ne sais pas si c’est la chaleur ambiante, l’excès de boisson ou la fatigue qui commence à se faire sentir mais j’ai du mal à tenir la pose que me fait prendre mon beau-frère.



Il va chercher son appareil et commence par tourner autour de moi, il me donne différentes consignes pour bien mettre mon corps en valeur, me demandant d’étendre une jambe, de faire sortir ma poitrine, d’adopter un certain port de tête… Tout en prenant ces clichés, il essaye de capter des sources lumineuses différentes et originales. Il prend ainsi une vingtaine de clichés ou peut-être davantage, puis me rend ma liberté.


Je jette un regard curieux aux différentes réalisations de Roland. Quand je vous le disais, que mon beauf est un artiste ! Il s’est surpassé, les instantanés sont merveilleux, les lumières en sont variées passant de la clarté la plus extrême aux différents effets d’ombre allant jusqu’à l’obscurcissement presque parfait. La clarté va de celle du jour à une source lumineuse qu’on dirait obtenue par un éclairage artificiel. Je reste bouche bée devant ces clichés pendant que Roland vient m’agacer la nuque en me faisant des petits bisous tout doux. Et voilà, c’est reparti ! Nous nous enlaçons et je sens bien que Roland me masse les seins. Très sensible de la poitrine je ne tarde pas à perdre pied.



Mon beauf est tout étonné d’apprendre que je peux jouir d’un simple massage mammaire. Je lui rapporte alors ce que j’ai déjà lu dans un magazine féminin, à savoir que les zones érogènes chez la femme peuvent être beaucoup plus sensibles que chez l’homme, cela remontant à la prime enfance où les bébés filles sont plus chouchoutés que les bébés de sexe masculin.



Zut, flûte et crotte de bique. Mes paroles ont encore dépassé ma pensée et je ne me vois pas lui dire que ma langue a fourché. Non, tant pis, il me faut assumer. Pourvu qu’il ne me demande pas des trucs trop osés que j’aurais du mal à réaliser ! Il doit bien se douter que je ne me mets pas à poil devant tout le monde, de même que je n’embrasse pas sur la bouche Pierre, Paul ou Jacques et qu’il n’est pas dans mes habitudes de me laisser doigter par un inconnu.



Tiens, tiens ! Aurait-il l’intention de me faire un petit cuni ?



Je me lève et il m’entraîne vers la pièce où tous les matins Charles se rase. Il me soutient tendrement, ma tête appuyée sur son épaule. Arrivés dans la pièce, il débarrasse le dessus du buffet où je range les différentes serviettes (de toilette, de bain…). Il y place une grande serviette de plage et m’installe sur le dos, jambes pendantes. Nom de Dieu ! Quel homme : il m’a soulevée sans aucun effort apparent. Le temps de trouver du gel à raser, un rasoir de Charles et d’y insérer une lame neuve, le voici qui s’approche de moi. Il est marrant tout plein déguisé en Figaro avec le sexe à l’air.



Il commence par jouer des ciseaux et là, quand j’aperçois la quantité de poils qu’il évacue sur la serviette éponge, je me dis qu’il y est peut-être allé un peu fort. Comme un coiffeur pro, il se saisit d’un miroir et me fait admirer ma nouvelle coupe.



C’est vrai que je n’avais pas pensé à ça ! Mon choix est vite fait : puisqu’il se propose de me faire un cœur, allons-y. Quant à savoir où, je vais lui demander de le dessiner assez haut, juste au-dessus de mes « lèvres adorables ». Je lui indique donc mes désirs. Il commence par humidifier ma touffe avec un gant de toilette, puis il dépose plusieurs noisettes de gel qui se transforment bien vite en une mousse douce et onctueuse. Il me palpe, me masse, me frictionne de manière à bien marier ce qui me reste de poils avec le produit moussant. Je me redresse sur les coudes, pour apercevoir que j’ai à la jonction des cuisses, un triangle d’écume blanche du plus bel effet en lieu et place de ma foufoune. Pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, Roland se met à passer délicatement son instrument… Je veux bien sûr parler du rasoir, bande d’obsédés !


Il reste un peu plus longtemps sur le haut du pubis, l’artiste réalisant son petit chef-d’œuvre. Enfin, il a terminé ! Il me fait contempler son œuvre, me prend la main et la passe sur mon sexe lisse. Je suis surprise : on dirait une peau de bébé. Comme je poursuis mon exploration, j’en arrive à mes petites lèvres, je ne tarde pas à débusquer mon clitoris et à le décalotter. C’est alors que je croise le regard amusé de Roland.


Eh ma fille, tu ne vas tout de même pas te branler en face de lui, de cet homme qui vient de te rendre service !


C’est vrai qu’il vient de me descendre du buffet et que je me trouve belle dans le miroir en pied de la salle de bains. Ça me rajeunit et quand je pense à Charles et à Brigitte quand ils vont voir mon cœur, je leur dirai que je suis allée dans un quelconque salon d’esthétique. J’en connais un qui va être fou, depuis le temps qu’il me tannait avec son fantasme de me voir avec le sexe taillé. Il ne va pas en revenir. Et puis j’en connais un autre qui mérite toutes mes attentions. Comme je suis très satisfaite de lui, je l’embrasse, mais cette fois, c’est ma langue qui va s’enrouler autour de la sienne.


Je ronronne, je suis bien. Je l’attrape par son mandrin et comme tout à l’heure je fais coulisser mes doigts autour de sa hampe qui n’en finit plus de croître et d’augmenter de volume. Puis j’abandonne ses lèvres, me mets à genoux devant lui et je me mets à lui lécher le gland. En grognant, il nous installe tête-bêche et ainsi peut-il coller ses lèvres aux miennes, à ma fente glabre désormais. Je passe ma langue sur son gland comme je le fais d’habitude sur une boule de glace, je remonte toute la longueur de sa queue en lâchant des coulées de salive quand soudain je décolle, il a réussi à me faire venir avec sa langue. C’est réellement un amant fabuleux ! Et quand je pense à Brigitte qui me racontait les exploits de son mari. Soit elle raconte mal, soit elle est blasée ! Jamais un homme ne m’a fait cet effet. Quand je pense à la chance que j’ai : il est encore à moi pour une semaine !



Je me love contre lui, tout contre son torse velu, là je suis bien prête à m’endormir sur le poitrail mâle, bercée par sa respiration calme et sereine.


Suite à venir…