n° 13958 | Fiche technique | 17411 caractères | 17411Temps de lecture estimé : 11 mn | 30/07/10 |
Résumé: Rencontre d'une femme qui deviendra dans un premier temps ma chef de service et mon épouse par la suite. | ||||
Critères: fh fplusag travail voyage fellation préservati pénétratio fsodo -couple | ||||
Auteur : Alain S |
Ah ! Quand je me rappelle le début de notre histoire, je ne pouvais pas penser un jour être ici présent à la mairie, en train de me marier…
Deux ans auparavant (comme on dit dans les films).
Je viens de recevoir une lettre recommandée pour une embauche dans une entreprise d’informatique. Je serai employé dans le service relation publique d’une grande marque. Rendez-vous m’est donné le lundi suivant à 9 h au siège de Nantes, dans le bureau de madame Nadine B., chef de service.
Mis à part une cascade de petits remplacements à droite et à gauche, à 25 ans, je n’ai jamais pu décrocher un CDI. Pour mon premier, je tombe sur une femme comme chef. Cela ne me dérange pas mais mon esprit ne peut s’empêcher de fantasmer sur le prénom. Comment est-t-elle, quel âge a-t-elle, etc. ?
Le lundi suivant, un peu en avance, je rencontre cette dame. Devant mon émotion, elle me met à l’aise ; je la trouve sympathique au premier abord. Elle est habillée assez classique et je la trouve charmante – taille normale, brune cheveux mi-longs, petites lunettes, maquillage léger – même si ce n’est pas le fantasme que les hommes aimeraient trouver sur leur lieu de travail, fantasme de la secrétaire cochonne s’entend.
Dans la journée, par mes nouveaux collègues, j’apprendrai qu’elle a 45 ans, divorcée, sans enfants et sans aventures connues.
Les jours passent et, si le courant passe bien entre nous professionnellement parlant, je ne me suis jamais permis aucune allusion concernant une éventuelle sortie en dehors du cadre du travail. Tout cela change le jour où une collègue m’invite à son mariage, en me précisant que « la chef » sera aussi de la fête.
Le jour de l’union de notre collègue, je vois arriver une « chef » maquillée et vêtue d’une manière qui la change complètement. Alors que d’habitude elle nous côtoie en pantalon et pull, je vois arriver une dame en tailleur, hauts talons, maquillage. Je remarque même les bas blancs, ouah… Je me retrouve à côté d’elle pendant le repas et la conversation va bon train.
Puis arrive l’heure de la danse. Pour tout arranger, je me sens assez léger, certainement à cause du vin blanc, moi qui ne bois jamais. Je remarque que les yeux de Nadine sont assez brillants aussi. Et la série de slows arrive. J’invite donc ma voisine, nous voilà au milieu des gens en train de danser et nous continuons à parler de choses et d’autres. Je ne sais pas si c’est la chaleur ou le vin mais je parierais plutôt pour la danse et mes mains sur le corps de Nadine, mais me voilà pourvu d’une érection pas possible. Vu nos corps légèrement collés, elle ne peut que s’en apercevoir et surtout le sentir, mais en fait, elle ne dira rien.
La légèreté qui est mienne grâce au vin, me fait faire des choses qu’en temps normal je n’aurais osées. Mes mains prennent possession du corps de ma cavalière et je trouve celui-ci très bien conservé. J’essaie de sentir s’il y a un porte-jarretelles ou pas et, là, déçu, c’est non. Enfin après plusieurs séries de danses de plus en plus collées et une érection de plus en plus flagrante, la fête se finit.
Le soir même, c’est masturbation avec une éjaculation abondante. Je me surprends à rêver que je baise Nadine à même la table du mariage devant tout le monde.
La semaine suivante, si ma collègue m’a fait discrètement remarquer que nous allions bien ensemble, aucun mot de Nadine sur la situation. Et une semaine après, elle me dit que nous allons à Paris pour le compte de l’entreprise, pour un séminaire d’information, avec un petit groupe du siège.
Comment vais-je m’y prendre pour sauter ma chef de service ? enfin, fantasme de rigueur.
Le lundi en quinze, rendez-vous est donné à la gare pour prendre le TGV. Nadine arrive en tailleur et talons, bas noirs, sexy en diable. Je lui tends la main, et là, elle me fait la bise. Je suis un peu surpris. Les autres arrivent et nous nous installons, moi à côté d’elle, les autres un peu plus loin. Pendant le voyage, elle n’arrête pas de croiser et décroiser les jambes, ce qui fait crisser ses bas et me fait bander. D’ailleurs je vais aux toilettes me branler, je ne tiens plus.
Un peu après Le Mans, elle s’endort sur mon épaule. Là, j’ai tout le temps de mater ses jambes et le léger décolleté de sa chemise, vu qu’elle a ôté sa veste. J’entrevois de la dentelle noire et puis je m’assoupis à mon tour. Ce qui me réveille, ce sont ses jambes qui, en changeant de position, m’ont écrasé la main. Je m’étais endormi en posant ma main sur ses cuisses. Je suis un peu gêné mais devant son sourire, je n’ose pas trop rien dire.
La journée se passe normalement et le soir, dîner de rigueur. Nous allons nous changer et rendez-vous est donné dans le hall de l’hôtel. Je vois arriver Nadine en pantalon noir fin, petit pull anis assez cintré mais pas trop et apparemment à même la peau, talons aiguilles et bas noirs, coiffée et maquillée. Je ne peux avoir qu’un réflexe de tout mater et elle s’en aperçoit quand elle me dit :
Et là, elle me prend le bras, un peu à la stupeur des autres. Pendant le repas, où elle se trouve être ma voisine, je sens des frôlements de jambes, est-ce que je rêve, oui ou non ? Le vin aidant un peu, je me lance à frotter la mienne et puis je pose ma main sur sa cuisse. Je sens la lisière du bas auto-fixant, érection instantanée, et ses cuisses se croisent pour bloquer un peu ma main.
Et le repas se termine, nous prenons congé de nos hôtes.
Nous prenons l’ascenseur, je la regarde et, au moment où la porte se ferme, je me penche sur elle et lui roule la pelle de sa vie. Sa langue roule autour de la mienne, elle met ses bras autour de mon cou et m’embrasse, elle aussi, goulûment. Puis ses mains descendent pour me toucher le torse et elle me prend la bite à pleine main, à travers mon pantalon.
Nous voilà arrivés à notre étage.
À peine la porte de sa chambre refermée, elle se jette sur moi et retire son pull, ses seins sont nus en dessous. Elle se met à genoux devant moi.
Je suis un peu interloqué par le langage de ma chef, mais bon, je savoure le moment.
Elle me suce en un long va-et-vient. À ce rythme-là, ça va pas durer, j’ai du mal à garder mes esprits en voyant cette bouche aller et venir le long de ma queue.
Et deux secondes après, cela arrive dans le fond de sa gorge. Je vois ma bite tressaillir et Nadine fermer les yeux quand elle reçoit mon nectar.
Et là, elle m’embrasse goulûment, sentant le sperme ; au début cela me gêne puis je me fais à l’idée de goûter à ma propre semence. Elle retire son pantalon, et je découvre un petit string noir assorti à ses bas.
Elle me regarde un peu incrédule et me demande :
Je retire mon pantalon et le reste de mes affaires le plus rapidement possible et de voir Nadine en bas et talons aiguilles, de remarquer que sa chatte est épilée, je repars sur une érection. Elle se met sur le lit et me demande :
Et je me positionne sous elle et, pendant qu’elle me reprend en bouche, je la lèche ; elle mouille abondamment. Je me laisse aller à un petit doigt dans l’anus craignant un refus ou une petite réflexion. Tout au contraire :
Tout en faisant attention à ne pas partir moi-même, je la sens jouir.
Elle avait tout prévu ou quoi ?
Elle me met la capote avec sa bouche. Je mets Nadine sur le dos, relevant ses jambes et la pénètre sans précaution tellement elle mouille. Et je l’imite dans le langage.
Je la lime en faisant attention à ne pas partir, situation pas facile du tout. Puis, après plusieurs positions, elle jouit assez bruyamment (bonjour les voisins) et moi je remplis la capote. Nous nous étendons sur le dos et elle se pelotonne sur moi en chien de fusil, les yeux brillants.
Et de là, nous nous assoupissons, avant de reprendre cela une grande partie de la nuit. Le lendemain matin, avant de descendre au petit déjeuner, elle me demande une certaine réserve par rapport aux autres.
Elle s’habille comme à l’aller, je m’aperçois qu’elle met des bas. Je passe par ma chambre prendre mes affaires et nous prenons l’ascenseur ensemble où elle m’embrasse à pleine bouche. Puis nous repartons en train sur Nantes. Pendant le trajet, je suis à côté d’elle et le reste de nos collègues est dans le wagon d’à côté, hasard des réservations, ce qui nous arrange. Pendant le trajet, elle me dit :
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me pointe à la porte. Elle m’ouvre, la culotte est déjà descendue.
Je la penche sur le lavabo et la pénètre par derrière, sans grandes précautions vu qu’elle mouille abondamment. Au moment où je sens que je vais partir, je me retire et la pénètre par le petit trou, que je trouve très ouvert depuis tout à l’heure. Après un petit cri de surprise et peut-être de douleur :
Et à ce moment quelqu’un frappe à la porte pour aller aux toilettes, Nadine lui dit que c’est occupé et la personne s’excuse. Et après quelques allers-retours, au moment où je sens que je vais partir, j’ai juste le temps d’enlever le préservatif et j’éjacule abondamment sur ses fesses.
Elle va pour prendre une serviette pour s’essuyer :
Nous retournons à nos places, et nous nous assoupissons l’un sur l’autre. Arrivés à Nantes, nous nous séparons. Elle va rendre compte du séminaire au directeur (sans culotte et pleine de sperme) et moi, je retourne chez moi.
Après plusieurs jours, je la sens gênée de la situation et, un matin, elle m’annonce que cela ne peut durer, vu d’une part, nos situations professionnelles et de l’autre, notre différence d’âge, le qu’en-dira-t-on, etc. Cela m’attriste quelque peu car, en fait, je ressens des sentiments pour elle, autres que la baise à tout va.
Et quinze jours après, je remarque qu’elle est venue en jupe, chose rare chez elle, au travail. Le soir même, quand tout le monde est parti, je rentre dans son bureau et ferme la porte. Elle est un peu surprise par mon intrusion soudaine à laquelle elle ne s’attendait pas :
Je passe derrière son bureau, devant son siège et devant elle, baisse mon pantalon et sort ma queue en érection.
Elle me suce goulûment, pendant ce temps-là, j’essaie de relever sa jupe et je découvre bas et culotte que je lui enlève. Au moment où je sens que je vais partir, je la retourne sur son bureau, et la baise profondément par derrière.
Et je pars à gros bouillons dans sa chatte.
Ce soir-là, nous sommes rentrés le plus vite possible chez elle et avons baisé toute la nuit. Depuis, nous vivons ensemble, tout le monde le sait. La collègue qui nous avait invités à son mariage et son mari sont devenus nos amis, d’ailleurs elle est enceinte. Nadine m’a confessé qu’ils avaient fait le bébé à la maison, un week-end où nous les avions invités, confessions féminines je présume.
Et aujourd’hui nous nous marions. Ce soir, nuit de noces… Hmmmm, je sais ce qu’il y a en dessous du tailleur.