n° 13963 | Fiche technique | 21331 caractères | 21331Temps de lecture estimé : 13 mn | 01/08/10 |
Résumé: La vengeance d'une blonde... | ||||
Critères: fh fhh fplusag jeunes couleurs profélève grossexe école fsoumise hdomine vengeance chantage lingerie fellation | ||||
Auteur : Elodie S Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé du chapitre précédent : À la suite d’une rupture, j’ai cédé à l’un de mes élèves, Abou, jeune Béninois de 19 ans. Au retour, avec son oncle, Youssef, ils ont profité de mon sommeil pour me prendre en photo dénudée en imitant le tableau de Courbet, l’Origine du Monde. Abou, pour lequel j’ai à nouveau craqué, en profite pour me demander de venir à mes cours dans des tenues peu adaptées à mon statut d’enseignante. Il me faut à tout prix récupérer la photo compromettante…
Difficile de quitter sa couette en ce dimanche matin pluvieux. Mais je dois aller au marché voir Irma.
Elle n’a rien de doux, c’est une vieille femme rabougrie, toujours vêtue de gris, à la voix nasillarde et haut perchée. Elle opère dans une arrière-boutique sombre, où elle exerce à la fois ses facultés de voyance et vend d’étranges mixtures crémeuses et de multiples poudres de toutes les couleurs. La plupart d’entre elles servent à guérir tous types de maladies, même celles de l’âme ; certaines ont des propriétés aphrodisiaques, et elle affirme avoir découvert la magique poudre bleue qui revigore ces messieurs fatigués bien avant qu’elle soit en pharmacie. J’attends qu’elle finisse de tirer les cartes à une ado probablement à la recherche du prince charmant, et lui expose ma requête. Elle lève un sourcil étonné, marmonne et, à l’aide d’une pelle, prend au fond d’un tiroir à même le sol, une poudre marron qu’elle verse dans un petit sachet.
Je règle. J’ignore le prix au kilo du caviar, mais ça doit se valoir.
Trempée par une grosse averse, je rentre chez moi et m’astreins à ranger le capharnaüm laissé par la tornade Abou dans mon petit appartement en un jour et une nuit. Ce n’est pas Monsieur Propre ! Cela va de tous mes dessous sens dessus dessous (hum !) jusqu’aux serviettes de bain par terre, des draps remplis de souvenirs d’amours, aux taches suspectes et récalcitrantes sur la table de la cuisine. Loin d’être une fée du logis, cela me prend presque tout l’après-midi. J’en sors fourbue.
Ma mission de ménagère (de moins de cinquante ans heureusement !) s’achève tout juste lorsqu’Abou m’appelle. Il est de méchante humeur, car il a fait plus de deux heures de bus pour perdre, d’un seul panier, un match qualificatif. (Je ne peux m’empêcher de penser que j’en suis peut-être un peu responsable, vu l’énergie qu’il a dépensée dans mon propre panier la veille!). Il exige que j’aille faire mon cours du lendemain sans soutien-gorge ! Son ton est péremptoire, rien à voir avec l’amant attentionné de la veille, et il raccroche lorsque j’émets les plus vives réserves. Bien entendu, il ne décroche pas lorsque je le rappelle plusieurs fois de suite.
Devant un petit verre de blanc (mon remède contre la contrariété), je fais le point. J’ai absolument besoin d’Abou dans l’opération de récupération de l’Origine du Monde, version Youssef.
Je n’ai heureusement pas classe avec lui le lundi. Cela me laisse un peu de répit. Il me faut à tout prix l’avoir de mon côté ! Et puis, malgré moi, je l’ai dans la peau !
En m’habillant le lendemain, après une longue hésitation, je cède à la requête de mon jeune amant et passe un ample t-shirt rouge à même mon buste nu. Devant la glace, je dois constater que seul un œil exercé peut deviner mon audace. Je dois surtout veiller à éviter tout mouvement brusque de nature à faire tressauter mes seins.
Évidemment, je ne suis pas très à l’aise pour dicter mes deux cours de suite du lundi matin, mais c’est avec satisfaction que je finis le dernier sans encombre et sors de la classe. Soudain, dans l’agitation habituelle du couloir, une main vient se poser fermement sur mon sein. Je me retourne brutalement, c’est Abou, il a un regard particulièrement trouble et un grand sourire de victoire éclaire soudain son beau visage. Il retire sa paluche à regret et s’éloigne sans un mot, comme si de rien n’était. Je reste un moment interdite, quel culot ! Nous a-t-on observés ? Je me sens toute rouge, regagne ma voiture ; heureusement, un après-midi sans cours me permet de digérer l’audace de son geste.
Le coup de téléphone d’Abou que j’attendais malgré moi n’arrive que tard dans la soirée…
Jamais Abou ne m’avait parlé d’un ton aussi cassant. Je n’ose lui répondre, et lui rappelle seulement que je suis disposée à rencontrer Youssef pour la photo. Il accepte sèchement et raccroche.
Cette nuit-là, j’ai rêvé que je faisais un strip-tease rythmé par les musiciens de Pontoise devant toutes mes classes, les garçons tapaient dans leurs mains, hurlaient des obscénités à mon égard et se ruaient sur moi ! Le proviseur arrivait dans ma classe, me traînait dans son bureau et voulait m’y violer !
J’ai bien du mal à choisir le corsage adéquat, le lendemain matin. Soit je suis trahie par de la transparence, soit le tissu adhère trop. J’opte finalement pour ce moindre mal, et choisis un corsage en coton jaune, avec une jupe bleue, droite, juste au-dessus du genou.
L’atmosphère de mon cours me paraît pesante. Je sens le regard d’Abou, du fond de la classe, peser lourdement sur moi. J’évite, une fois de plus, autant que je peux, de croiser son regard. Après une demi-heure, je le vois s’agiter. Il met son majeur dans sa bouche, et mime une fellation obscène, les yeux dans mes yeux. Les battements de mon cœur s’affolent. Je dois garder mon calme. Changeant sans justification le contenu de mon cours, je demande de traduire, chacun pour soi, un passage particulièrement ardu de Cervantès. Ça ronchonne, mais ça suit.
J’erre sans but au milieu des élèves en me rapprochant insensiblement d’Abou qui me fixe intensément, sans même avoir ouvert son livre pour commencer la traduction. Arrivée derrière lui, je me penche, encadrant sa nuque de mes seins, comme si je lisais sa copie par-dessus son épaule. Il me prend le coude d’une main pour me maintenir ainsi, et de l’autre défait mes deux premiers boutons. Il relâche sa pression, je me relève et croise alors le regard pétrifié de Kamel, son voisin, sur la naissance de mes seins.
Comme un automate, je retourne vers mon pupitre. Kamel a-t-il vu le geste de son copain ? Jusqu’où voient-ils ma gorge ?
Arrivée à mon pupitre, je baisse les yeux. La naissance de mes seins est bien visible. Mais Kamel continue à me fixer, tout comme Abou. Me reboutonner serait un geste d’aveu, visible par beaucoup ! Le pire est que mes tétons ont durci d’émotion et pointent sous mon corsage. Pour éviter les regards, je décide de les laisser plancher plus que le quart d’heure prévu. Ce calcul s’avère assez vite caduc, car lorsqu’ils ont fini, ils relèvent les yeux, et les regards, les uns après les autres, s’accrochent à ma poitrine sans plus la lâcher. Même les filles s’y mettent ! Je décide donc de faire ramasser les copies et finis le cours en corrigeant le texte ventre au tableau. Je ne sors de la classe, reboutonnée, que lorsque mon collègue prof de géo entre et arrive en retard pour mon cours suivant.
À midi, je reçois un SMS d’Abou :
Elo, bravo, tu as des nibards toujours aussi superbes ! Mes potes n’ont fait qu’en parler pendant la récré. Je suis fier d’eux et de toi !
J’ignore si eux, ce sont ses copains, ou mes seins ! Mais c’est peut-être un peu déplacé, cette volonté d’enseignante que j’ai de vouloir leur apprendre la précision des mots, dans un tel contexte !
Le soir venu, il m’appelle. Son enthousiasme pour ma prestation n’a pas décliné, et je me bouche les oreilles lorsqu’il me rapporte les commentaires que ses camarades auraient faits au sujet de mon buste.
J’ai du mal à ramener la conversation sur le rendez-vous avec Youssef pour la photo. Il me confirme que nous irons samedi soir chez lui, puis m’annonce tout de go :
Et il raccroche…
Le ciel m’est tombé sur la tête, ce jeu va beaucoup trop loin. Tout ça est de ma faute, je paie mes excès comptant. En plus, je m’imagine ce qui m’attend si je vais chez Youssef, et mon plan pour récupérer l’Origine du Monde version Youssef tombe à l’eau. Je torture mes méninges, il doit bien avoir une solution : je vais me faire porter pâle vendredi, et en profiter pour changer le lieu du rendez-vous !
J’appelle le proviseur le jeudi soir, et l’informe que je suis au fond de mon lit avec une forte fièvre. Je n’ai pas coutume de tirer au flanc, et je tourne comme une lionne en cage le vendredi matin.
Je reçois un coup de téléphone d’Abou, furieux, le vendredi après les cours. Je me fais très chatte avec lui, lui réitérant l’envie de lui faire des tonnes de câlins et de l’avoir entre mes cuisses, malgré ma prétendue fatigue. Je lui demande même ce qu’aime boire Youssef pour préparer la soirée ce samedi, qui, vu mon état, ne peut avoir lieu que chez moi. J’arrive à l’amadouer, il me rappelle peu après et m’informe que Youssef a finalement accepté de venir chez moi, et qu’il adore la bière.
Elodie, tu vas devoir jouer serré ; l’opération de récupération de l’Origine du Monde selon Youssef entre dans sa phase cruciale !
J’ai joué le grand jeu pour les recevoir ! Une caisse de bière au frais pour Youssef (je comprends maintenant pourquoi il a un début de bedaine), des petites bougies parfumées pour tamiser l’ambiance, string et soutien-gorge jaunes achetés avec Abou, porte-jarretelles et bas noirs, jupette noire et le caraco orange ajusté qu’Abou voulait pour notre sortie au centre commercial. Dans la glace, j’ai l’impression d’avoir une fille de mauvaise vie en face de moi. Je me suis maquillée comme un arbre de Noël, et jamais je n’avais eu à porter des vêtements avec des couleurs aussi peu harmoniques. Je m’arrose littéralement d’un parfum lourd et bon marché. Je suis prête !
Lorsque je leur ouvre la porte, mes deux lascars me regardent ahuris, comme des enfants affamés devant un caramel tropical. Leur bouche forme des O, leurs gros yeux roulent dans leur orbite. Je les fais rentrer et prends le bouquet qu’Abou m’a gentiment apporté. Visiblement, Abou avait fait part à Youssef de ma préoccupation concernant la photo et ils s’attendaient à tout sauf à ce type d’accueil torride de ma part.
Je virevolte, les frôle, et je leur sers à boire. Ils se sont confortablement assis dans mes deux fauteuils. Youssef me mange littéralement des yeux et tente de me peloter sans douceur chaque fois que je passe à portée de ses grosses paluches. Sans l’encourager, je n’esquive pas ses gros doigts fureteurs.
Je mets de la musique, et esquive des pas de danse lascive. Je mime un effeuillage !
Je mets mes mains en coupe pour leur offrir mes seins, lève sensuellement la jambe pour dévoiler string et porte-jarretelle. J’éteins l’électricité et, à la lumière des bougies, en me retournant, je fais glisser mon caraco, défais l’agrafe de mon soutien-gorge et, sans l’ôter complètement, me retourne vers eux. Ma silhouette se découpe en ombre chinoise sur le mur. Par la fente de ma jupe, très doucement, je dégrafe l’un des bas, et le fais glisser sensuellement sur ma jambe.
Pantalon aux mollets, Youssef a sorti sa pine et la tripote. Abou bande aussi à travers son jogging, mais mon petit jeu le surprend visiblement, et ses gros yeux roulent de surprise dans leur orbite. Ma jupe est maintenant à terre. Youssef a saisi son portable et me photographie sous toutes les coutures. Abou reste sidéré devant mon manque de réaction devant ce mitraillage en règle. J’ôte mon soutien-gorge et fais tressauter mes seins, puis fais glisser avec lenteur, par-dessus mon porte-jarretelle, en leur tournant le dos, mon string sur mes fesses. C’en est trop pour Youssef, qui le crochète violemment pour m’attirer à lui. Il me fait mal, et sa main empoigne ma vulve, ses doigts me pénètrent sans ménagement.
Abou a lui aussi dénudé Son Engin, il bande comme un taureau.
Elodie, attention, tu dois jouer serré !
Le gros black tente de m’asseoir sur sa pine, je l’esquive et m’agenouille entre ses cuisses, une langue avide en avant. Abou m’a contournée, m’a déplié les jambes. Il me caresse la chatte. J’avale le pieu de Youssef avec difficulté. Il est presque aussi massif que celui d’Abou, mais son goût et son odeur sont repoussants.
Abou me pistonne à grands coups de SA Queue, ce qui me projette vers le membre de Youssef. Je suis au bord du vomissement, mais LE Membre d’Abou me chauffe délicieusement. Youssef m’a saisi par les cheveux, et s’agite dans ma gorge. Son plaisir monte, le mien aussi… Il m’inonde de sa semence en criant, mais Abou continue d’entrer et sortir de moi. J’éclate à mon tour, puis Abou lâche son jus et s’affale sur mon dos. Je suis remplie de semence, dans la bouche, dans la chatte… Je ne veux pas avaler la semence de Youssef, et m’échappe à la salle de bain.
Nous reprenons peu à peu nos souffles et nos esprits. Je leur propose de manger un morceau, ils acceptent enthousiastes. Toujours vêtue de mon unique porte-jarretelle, je vais à la cuisine en prenant discrètement au passage le portable de Youssef. Je reviens leur servir à boire, Youssef m’assène deux belles claques sur les fesses en me traitant de « salope de petite femelle blanche » et rote en buvant sa bière.
Je retourne dans la cuisine pendant que se réchauffent les tranches de gigot que je leur ai achetées. Je vide toutes les mémoires du portable de Youssef (photos, numéros, adresses, etc.), déboîte légèrement sa coque et le mets dans un tiroir. Je mets la table, Chaque fois que je passe à portée de Youssef, j’ai droit à un tripotage en règle.
Mes deux blacks devisent vivement dans leur langue. Je devine que ma plastique est l’objet de leurs commentaires salaces et détaillés, car ils jettent des coups d’œil appuyés sur chacune des parties de mon corps les unes après les autres en s’esclaffant !
Rira bien qui rira le dernier !
Je les sers humblement, ils dévorent. Youssef tire plusieurs fois de suite sur l’élastique de ma jarretelle qui claque sur ma fesse, je finis par l’ôter de peur des marques.
Youssef marque le coup, Abou opine dans mon sens. Je me garde d’avouer que j’en ai dans mon sac.
Youssef hésite, me regarde longuement. Il doit se dire que le jeu en vaut la chandelle, puisqu’il enfile son pantalon sans même mettre son caleçon et sort.
Abou me regarde étrangement et me dit :
J’ignore son commentaire, range les assiettes et en profite pour récupérer le portable de Youssef et le poser sur ma table de nuit. Je sors ensuite le petit sac de poudre d’Irma.
Youssef sonne, je lui ouvre, il arbore fièrement son paquet de capotes tout en me pinçant méchamment un téton.
Je le regarde de manière très langoureuse et lui propose une bière avant l’effort. Il accepte, surpris de ma docilité apparente. Je la lui sers dans la cuisine en y incorporant la poudre marron d’Irma en regardant bien l’heure.
Je me laisse, très soumise, peloter par Youssef qui finit sa bière ; ses mains sont brutales et douloureuses. Malgré tout je lui propose d’aller dans ma chambre pour la suite avec un clin d’œil allumeur ; bien que dans sa langue natale, je comprends la réponse.
Je me déhanche devant eux et leur dis :
Je regarde ma montre, encore six minutes !
Je m’installe en levrette, la tête dans les bras sur l’oreiller, le cul bien haut et bien ouvert, les cuisses écartées. J’entends les réflexions des hommes, et Youssef, capote au bout du mât, m’embroche sans douceur. Il me saisit les seins et les tire brutalement comme si j’étais une vache laitière avec des mamelles. Je me dis au fond de moi-même : « La traite des blanches, c’est au propre comme au figuré ! »
Sous ses coups de boutoir, mon coude heurte la table de nuit, son portable s’ouvre et roule à terre en trois morceaux.
Plus que quatre minutes, Youssef me pistonne de son mandrin. Il ne faut absolument pas que mes sens s’échauffent sous ses coups de piston. Je pense à l’enterrement de ma grand-mère, dont j’étais la chouchoute, à mon banquier, toujours menaçant, au gros collègue de chimie à l’haleine fétide, qui me poursuit de ses avances lorsque je suis seule avec lui dans la salle des profs, au jour où j’ai appris que j’étais nommée pour un remplacement dans le 93. Surtout rester sèche et frigide. Et soudain ce que j’attendais tant se produit : les coups de piston de Youssef faiblissent, je sens sa queue qui dégonfle et qui sort piteusement de mon antre, avec un préservatif rose qui menace de tomber au bout :
Son appendice viril pend de manière ridicule, et la capote ressemble à une baudruche dégonflée qui s’y balance au bout. Un éclair de désarroi sincère traverse son regard… Je reçois une violente claque sur les fesses, me retourne, il me vise la tête, furieux, mais Abou l’en empêche en retenant son bras !
Éclate alors une violente altercation entre les deux noirs dans leur langue. Finalement Youssef, hystérique, ramasse son portable en morceaux sur le sol, se rhabille et sort en claquant la porte. La fesse toute rouge, je me lève, prends dans la salle de bain un tube de vaseline, prends mon Abou par la main, la lui tends en flattant Sa Virilité encore en bon état et lui susurre :
Épilogue
Abou a su se servir de la vaseline. Pendant deux mois, mes folles nuits avec lui ont continué. J’ai pu le convaincre de ne pas être trop exigeant dans les exhibitions au lycée (au moins, car ailleurs, il a continué à me demander des trucs coquins) contre des tenues plus féminines. Puis j’ai été mutée à la rentrée pour effectuer un nouveau remplacement loin dans la banlieue sud.
Nos rencontres se sont espacées, et j’ai noué une liaison avec un prof d’informatique de mon lycée du type gendre idéal, de trois ans mon aîné ; enfin, idéal le jour surtout, car les nuits, il ne parvient pas à me faire oublier mon Abou.
Et je voudrais ici remercier Abou (pardon pour avoir légèrement modifié ton prénom) pour tout ce qu’il m’a apporté s’il venait à me lire, car il m’a révélé ma plénitude de femme.
… Abou, « être une femme sensuelle, tu sais, c’est pas si facile ! »