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Temps de lecture estimé : 8 mn
05/08/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  Les fantasmes avoués de domination et de soumission de Paul et Laurie, couple qui se découvre encore après six ans de mariage.
Critères:  fh fsoumise vengeance cérébral voir noculotte lingerie jeu fouetfesse -couple
Auteur : Pongo      
Nouveaux rapports dans le couple

Je m’appelle Paul, mon épouse s’appelle Laurie. Mariés depuis six ans, nous avons 29 ans chacun.

Je vais ici vous raconter comment nous avons commencé, ma femme et moi, à assumer tranquillement nos fantasmes de domination et de soumission, en donnant progressivement des détails sur notre vie de couple.


Cela a commencé il y a quatre ans, par un jeu érotique que j’avais proposé à Laurie : ce jeu ressemblant à un jeu de l’oie classique, mais avec des cases du type « Tirer une carte surprise » ou « Enlever un vêtement » ou encore « Tirer une carte soumission ».


Laurie, cadre de santé à haute responsabilité, n’était pas vraiment joueuse (ni au travail, ni à la maison !), mais pour pimenter le quotidien, je l’avais doucement amenée à jouer avec moi.


Le travail de Laurie prenait une place importante : elle y apprenait à adopter une attitude plus froide, plus réfléchie, qui n’était pas forcément dans sa nature. Elle rentrait donc à la maison fatiguée et avait besoin de se détendre pour oublier le boulot.


Et cela finissait par me poser problème : cette femme resplendissante, chic, habillée en tailleur (souvent jupe courte), talons hauts, chemisier blanc (parfois légèrement transparent), qui partait au travail, se métamorphosait le soir. Allongée sur le canapé, changée en pantalon large et tongs, la descente était raide.

Pour la détendre, pour me faire plaisir et pour pimenter la sexualité de notre couple (qui en pâtissait), j’avais donc pensé à un jeu érotique gentillet.


Après plusieurs minutes, Laurie tomba sur une énième case "Soumission" : elle tira une carte, la lut mentalement avec une expression de surprise, puis finalement me la tendit. Je lus « Recevez une tape sur les fesses de la part de votre partenaire ».

Je souris et commençai à me sentir excité.



Elle se mit debout et se retourna. Je la sentais légèrement nerveuse.

Laurie portait une jupe longue que j’entrepris de lui relever, une tape à travers la jupe me semblant bien peu intéressante.



Évidemment que j’en profitais ! Pourtant, je découvrais une fois de plus une de ces grandes culottes blanches en coton; je n’en pouvais plus, de ces affreux sous-vêtements. Ces derniers temps, elle ne portait plus que ça : plus fort qu’elle. Momentanément, dans le jeu, je décidais maintenant qu’il était temps que ça cesse.



Je décidai d’aller jusqu’au bout, espérant que ça lui plaise au final.



Je tirai brutalement vers le bas. Elle se retrouva culotte aux genoux, jupe relevée, fesses à l’air… Mon jean se tendit instantanément à cette vue superbe de la paire de fesses fermes et rebondies de ma femme.

Surprise, Laurie tenta de se dégager.



Cette remarque fut celle de trop. Ma main claqua sur ses fesses, un claquement sec et très sonore.



Étonnée de mon comportement, sentant que cela dépassait le cadre du simple jeu, elle en resta sans voix et sans bouger, durant de longues secondes.


À cet instant, je me dis qu’elle méritait une explication sur ma réaction.


Son comportement ne faisait qu’empirer mois après mois, surtout à cause du stress accumulé au travail.

Je m’étais déjà dit qu’elle avait sûrement besoin d’un homme qui prenne les décisions, peut-être plutôt autoritaire, et qui lui dirait tout ce qu’elle devrait faire. Elle n’aurait plus à réfléchir.

Et comme cela m’excitait également, je lui avouai tout cela.



Sur ces paroles qui me faisaient un peu trembler moi-même, je me levai et la regardai dans les yeux, attendant sa réponse.



Laurie m’excitait terriblement : l’entendre ainsi, exprimer son accord, culotte baissée (ma femme garde une légère toison pubienne), provoquait chez moi un désir que je réprimai difficilement.

Je continuai sur le même ton viril.



Elle m’obéit, et je la suivis dans la chambre. Une fois Laurie assise, j’ouvris sa garde-robe et fouillai dans ses vêtements.



Je sortis dans l’ordre : une courte jupe droite noire qui lui arrivait à mi-cuisse, et un chemisier blanc semi-transparent.


Sans la regarder et sans hésiter, j’ouvris son tiroir de sous-vêtements et en sortis une guêpière noire en dentelle, avec porte-jarretelles, qu’elle ne portait jamais, ainsi qu’une paire de bas noirs. Volontairement, je ne sortis ni string, ni culotte.


Je posais le tout sur le lit à côté de Laurie.



Je la fixais dans les yeux tandis qu’elle se mettait debout.



Elle recommençait, je la coupais sèchement.



Son visage esquissa-t-il un sourire ? Cela lui plaisait… Je crois qu’elle avait compris.



Et elle commença à se déshabiller. Je sortis de la chambre et allai m’asseoir dans le salon, tout tremblant et excité.


Laurie prend son temps et je lui laisse volontiers. Il faut moi-même que je garde mon calme et le contrôle de la situation. Dix minutes plus tard, Laurie apparaît dans la tenue précédemment choisie : elle est magnifique, ses longues jambes (ma femme mesure 1 m 72) gainées de bas noirs, affinées par la paire de talons aiguilles, un chemisier blanc transparent qu’elle a boutonné jusqu’en haut, qui laisse voir le haut de la guêpière. Elle me regarde de ces yeux noisette, un léger sourire (plutôt coquin ?) aux lèvres en voyant l’effet qu’elle a créé en entrant. Je me lève lorsqu’elle arrive à ma hauteur et me tend la culotte qu’elle portait quelques minutes plus tôt.



Je la prends et la tends par les deux bords, bien devant elle.



Joignant mon geste à la parole, je la mets dans la poubelle la plus proche, celle de la salle de bain. Laurie reste plantée là.



Là, je dois la rappeler à l’ordre.



Je sens alors Laurie plutôt nerveuse, tendue, mais prête à continuer. Je m’approche d’elle, l’embrasse sur la bouche doucement. Elle me rend mon baiser, je dois la repousser pour qu’elle reste à mes ordres. Je la contourne et, une fois derrière elle, glisse une main au bas de sa jupe que je commence à remonter d’une main, en caressant la jambe, puis les fesses. Je finis par sentir le tissu d’un string. N’y tenant plus, je pose deux doigts sur le tissu au niveau de son sexe, ce qui la fait sursauter, mais aussi se trémousser… N’attend-elle que ça ?



Sur ces paroles, elle se retourna et voulut m’embrasser, mais je la retins fermement.



Laurie me regarde sans vouloir comprendre. Je m’assois sur le canapé.



Je finis par me lever, excédé et excité, et remonte la jupe de Laurie rapidement. Toujours debout, lui entourant les bras pour l’empêcher de bouger, je découvre les fesses et donne trois ou quatre claques bien appuyées, qui lui arrachent des « Aïe » et des « Oh ». Enfin, j’arrive à l’allonger sur mes genoux pour continuer la correction. Une fois que Laurie est résignée, je baisse le string avec l’envie de découvrir ce qui se cache dessous.



Sans attendre, laissant le string à mi-cuisse, je glisse une main ferme et autoritaire sur son sexe, et après quelques caresses, mes doigts sont mouillés comme jamais. Mon sexe se tend, terriblement excité par la magnifique vue.



Laurie se trémousse de plus en plus. Je dois reprendre le contrôle.

Je retire ma main, et redonne une claque sonore sur les fesses de ma belle.



Je continue la fessée, elle l’avait méritée. Après quelques minutes, et quelques sanglots, j’arrête et reprends mes caresses.



Mais je stoppe net, la relève.



Elle tente de m’amadouer en m’embrassant. Elle n’a pour réponse qu’une paire de claques sur ses fesses rouges.



Elle veut remonter son string.



Résignée, elle m’obéit et se met en position, regardant le coin, mains sur la tête, les fesses rougies, sanglotant.

Je la contemple, un désir fou de la prendre sauvagement contre le mur, mais je dois garder le contrôle.

Au bout de dix minutes, je vais susurrer à son oreille.



Elle y tombe en me chuchotant un « Merci, Paul » que je n’oublierai jamais. Après un sourire coquin (là, pas de doute !), elle s’accroupit et entreprend de déboucler ma ceinture… Je ferme les yeux et la découvre quelques secondes après en train de me sucer sans aucune retenue, avec une envie incroyable.

Me regardant dans les yeux, une main me tient le sexe, elle se caresse de l’autre, libérant tout son plaisir, tout mon plaisir, tout notre plaisir.



C’était une étape de notre couple.

Merci de l’avoir lue jusqu’au bout.