n° 13988 | Fiche technique | 9868 caractères | 9868Temps de lecture estimé : 6 mn | 09/08/10 |
Résumé: D'un seul regard, il l'oblige à... | ||||
Critères: fh extracon inconnu fsoumise hdomine pénétratio init -fsoumisah | ||||
Auteur : Petit Bouquet Envoi mini-message |
Blanche est ce genre de femme qu’il déteste. Bourgeoise, hautaine et… blonde.
Elle porte des vêtements complètement ringards. Mais où va-t-elle chercher des fringues comme ça ? Des chemises à carreaux, des jupes plissées, des grands colliers aux couleurs criardes, des bas blancs. L’horreur. Et sa coiffure ! Quelque chose entre Nana Mouskouri et Sheila. Elle doit avoir une quarantaine d’années, le visage agréable. Elle fait très certainement du sport… son corps est plutôt bien foutu.
Franck s’est dit que ce serait peut-être sympa de « s’amuser » un peu avec elle.
Il sonne chez elle, un mercredi vers 21 h 30. D’un simple regard, il l’oblige à ouvrir la porte. C’est là que tout a vraiment commencé.
Ils s’asseyent dans un canapé terriblement confortable. Toute la maison est confortable d’ailleurs. Moderne sans être froide.
Il s’est assis d’un côté du canapé, elle à l’opposé, dans une drôle de posture : assise mais du bout des fesses, comme si elle était prête à s’enfuir.
Le seul regard de Franck la transperce. Elle se sent obligée de répondre, d’obéir. Bien pratique ce pouvoir, pense-t-il.
Il commence :
Le tutoiement la déroute quelque peu.
Pfffff, pense-t-il, quel prénom !
De mieux en mieux.
Magnifique. Il va vraiment pouvoir s’amuser avec elle. Il voit déjà toutes les possibilités que cela implique.
Il l’entend répondre dans un souffle :
Après quelques secondes d’embarras…
Elle est mûre. Pratiquement vierge, mais mûre.
Elle baisse les yeux et répond :
Aaaaaaaaaargh. Quelle horreur ! Comment peut-on la délaisser ? Pauvre fille. Même s’il ne supporte pas son genre, il se dit qu’on ne peut pas négliger une femme, quelle qu’elle soit.
Sans un mot, elle se lève et se dirige vers les escaliers. Il la suit de quelques secondes. Arrivés dans une chambre plutôt vaste, elle se retourne vers lui, comme pour attendre les instructions suivantes.
La salle de bain donne directement dans la chambre.
Seul dans la chambre, il profite de ce moment pour mettre son nez un peu partout. Il y a une assez grande table de nuit débordante de livres, à côté d’un grand lit à baldaquin. Il ouvre les tiroirs et y trouve encore des livres : de bons romans et de très belles éditions de livres de philosophie. Qui l’eut cru ? Une blonde… Comme quoi !
Après cette visite sommaire, il tire les rideaux. Ils sont plutôt épais et la chambre est quasiment dans le noir. Il s’installe, nu, dans le lit, toutes lumières éteintes. En imaginant ce qu’il va bien pouvoir lui faire, il sent son sexe se durcir.
Quelques minutes plus tard, elle sort de la salle de bain, habillée d’un peignoir en éponge rose pâle. Mon Dieu ! Beurk ! Heureusement que la pénombre l’empêche de voir correctement la couleur de cette espèce de sortie de bain horrible. Cela lui aurait bien coupé toute envie d’aller plus loin. Il lui intime l’ordre de se coucher auprès de lui. Encore une fois, elle hésite.
Il parle d’une voix de plus en plus chaude, de plus en plus envoûtante. Elle doit s’avancer pour l’entendre correctement.
Elle se couche à son tour, mais garde les mains serrées contre sa sortie de bain. Il se rapproche d’elle, un peu trop près… elle se raidit. À ce moment, il se dit qu’il a peut-être placé la barre un peu haut. Avec beaucoup de douceur, il donne quelques légers baisers sur son front. Avec beaucoup de lenteur, il lui embrasse le cou. Il se veut chaleureux. Délicatement, il passe sa main sur sa joue, la fait descendre vers la nuque, les épaules. Elle commence peu à peu à se détendre. Il lui demande de défaire la ceinture de son peignoir, ce qu’elle fait non sans une certaine réticence. Elle a une poitrine plutôt menue, mais très ferme. Il adore. Il passe ensuite sa main entre ses deux seins, effleurant à peine sa peau. Il fait le tour de l’un, du bout des doigts… le tour de l’autre. Elle respire de plus en plus fort. Lorsqu’il touche l’aréole, elle sursaute. Il la caresse avec plus d’insistance, fait rouler les pointes entre ses doigts. Il prend possession de ses seins, à pleine main. Il commence, lui aussi, à être très excité, son membre se gonflant.
Blanche remue de plus en plus. On ne s’est jamais occupée d’elle de la sorte, et cela lui fait un bien fou. Elle sent son entrejambe complètement humide, et c’est bien la première fois qu’elle éprouve ce genre de sensation ! Elle est complètement réactive à ces mains qui ne sont même pas descendues plus bas que le nombril. Il lui enlève, non sans mal, sa sortie de bain. Avec plus de fermeté dans la voix, Franck lui ordonne de lever les bras au-dessus de la tête. Il lui lèche avidement les aisselles. Il sent qu’elle en a la chair de poule… tout son corps devient granuleux. Il insiste de plus belle, lui léchant les seins, le cou, de nouveau les aisselles… ce qui déclenche son premier orgasme. Il est subjugué ! C’est bien la première fois qu’il arrive à faire jouir une femme de cette manière.
Son phallus est tendu… cette femme le trouble. La façon dont elle a eu cet orgasme est vraiment étrange. Cela l’excite terriblement. Il faillit la prendre, là, comme ça, sans sommation. Mais il réussit à se contrôler. Au lieu de cela, il recommence à la caresser. Franck descend, cette fois, jusqu’au sexe. Elle tressaille, toujours passive mais de plus en plus excitée, à la limite lascive. Il glisse une main à l’intérieur de la cuisse. À plusieurs reprises, il passe ses doigts le long des grandes lèvres. Glisse l’index dans la fente trempée. Ce doigt qui monte et descend lentement dans cet amas de chair, bouillonnant de désir. Il va jusqu’au clitoris, descend sur l’anus. Le liquide qu’il recueille entre les lèvres lubrifie assez facilement cette zone inexplorée. Il recommence ce parcours, plusieurs fois, de l’anus au clitoris. Celui-ci étant outrageusement sensible, elle jouit pour la deuxième fois. Foudroyant.
Franck ne tient plus. Il se redresse, se positionne au-dessus d’elle, en missionnaire, et glisse sa verge au fond de son vagin. Après seulement quelques mouvements de va-et-vient, ses poussées se font quelque peu désordonnées. Il éjacule (enfin !) de longs et puissants jets de sperme. C’est une véritable délivrance…
Franck s’affale sur le côté. Blanche vient se blottir contre lui. Après avoir dormi une vingtaine de minutes, il se lève, s’habille et, avant de quitter la chambre sans bruit, laisse une note sur la table de chevet :
Appelle-moi dimanche soir sur mon portable : 85 24 28 25 27.
Elle dort toujours.
Franck a passé une excellente soirée. Il a joui comme rarement. Il y a l’attrait de la nouveauté avec Blanche. Il se sent en devoir de lui apprendre toute une série de sensations qu’elle ne connaît sûrement pas. Il rentre chez lui, de manière relativement automatique, perdu dans ses pensées. Il songe à tout ce qu’il lui va « devoir » lui apprendre.