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n° 13990Fiche technique16927 caractères16927
Temps de lecture estimé : 11 mn
09/08/10
Résumé:  À quoi peut rêver une jeune femme divorcée et seule dans la vie ?
Critères:  fh inconnu hdomine cérébral massage anulingus pénétratio fdanus fsodo confession -internet
Auteur : Nat la basque  (40 ans, divorcée et avec pour seul amant mon entreprise.)      Envoi mini-message
Rêve et fantasme d'une quadra bien seule...

Trois heures déjà que je somnole dans ce TGV bondé, les lumières de la ville au lointain défilent et il me reste deux heures encore avant d’arriver au Pays Basque. Il est 23 heures et je me rendors jusqu’à ma destination finale.


Une heure du matin, le train s’arrête en gare, c’est le terminus de mon voyage hebdomadaire. En effet, depuis plusieurs mois je travaille la semaine à Paris et je rentre tous les jeudis soir chez moi, à Bayonne. Un week-end bien mérité après mes 60 ou 70 heures de travail au bureau.


Paulo, mon chauffeur de taxi habituel m’attend comme toutes les semaines, il vient à ma rencontre sur le quai pour prendre mes bagages, je lui fais la bise et il me remmène chez moi. Très gentiment il dépose les valises dans mon entrée, je lui offre un café vite fait et me voilà enfin dans mon antre pour un repos bien mérité. Une bonne douche et, sans vraiment prendre le temps de m’essuyer, je m’effondre ainsi sur mon lit et disparais dans les bras de Morphée en quelques secondes.


Vendredi matin, debout à 7 heures, pour encore une demi journée de travail au bureau de Bayonne, cet après-midi, repos, sieste, farniente et sport également pour m’entretenir.

Le soir arrive. Ce sera un plateau pizza car je n’aime pas faire la cuisine pour moi toute seule. J’ai hâte également de me connecter sur mon tchat habituel où je retrouve deux ou trois amis. On discute de tout et de rien, de notre semaine de travail, de nos projets. On ne se connaît pas plus que ça et on ne s’est jamais vus, ce qui nous permet de nous livrer plus facilement, sans arrière-pensée ni jugement de l’autre.


Tiens ce soir il y a Jack ! J’aime bien Jack, il connaît beaucoup de choses et il est très tolérant. Je ferme toutes les autres fenêtres qui s’ouvrent dès qu’une femme se connecte. Généralement ce sont de vieux pervers obsédés qui ne veulent qu’une chose, faire une cam, s’exposer et demander un strip-tease. Je les vire tous et me mets hors ligne afin d’être tranquille avec Jack.


Je lui raconte ma semaine qui fut particulièrement épuisante physiquement et psychologiquement. Je suis un peu dépressive ce soir, la fatigue mais aussi et surtout la solitude qui me pèse de plus en plus depuis ma séparation avec mon mari. Séparation qui remonte à sept mois déjà. Sept mois seule, noyée dans le travail, sans épaule pour m’appuyer, sans câlin, sans amour. Sept mois de misère affective malheureusement.


Comme à plusieurs reprises déjà Jack me propose un massage virtuel, c’est sympa, amusant mais que virtuel et sans effet bien sûr. Ce soir-là et pour la première fois notre discussion s’échauffe un petit peu tout en restant très soft néanmoins.



Après ces paroles je suis légèrement ennuyée. Je ne connais pas plus que ça cet homme, je n’ai jamais rencontré qui que ce soit par le net mais je ne veux pas me dégonfler non plus.



Je réside dans une région où il y à un million d’habitants, il ne connaît ni mon nom ni mon village, tout juste mon activité professionnelle mais c’est un bien maigre indice. Je suis assez sûre de moi, je ne prends aucun risque et je vais même le narguer en le provocant.



Puis on continue de discuter de la pluie et du beau temps. Une heure plus tard notre conversation se finit ainsi



Je retourne à Paris pour ma semaine, puis de nouveau, TGV, Paulo le taxi, une douche et Morphée. Vendredi soir je me connecte de nouveau au tchat mais mon copain Jack n’est pas là ce soir. Je surfe à gauche à droite et je vais voir ma messagerie. Tiens un message de Jack !



Ça va ! Je ne pensais même plus à ce pari un peu stupide, comme tous les paris d’ailleurs.


Samedi matin, je me lève tôt, deux heures de sport, douche, les courses au BAB et repas. Il est 14 heures et cette histoire de pari commence à me tracasser un peu. Jamais je ne me suis dégonflée devant un pari et ça ne sera sûrement pas aujourd’hui la première fois. Mais tout de même, je ne suis pas vraiment fière ni tranquille.


14 heures 30, je me surprends à regarder par dessus le portail mais il n’y a pas une seule voiture de garée, personne. Je suis soulagée. Comme j’avais promis, je mets un post-it sur la sonnette afin que Jack ne rentre pas dans la mauvaise maison au risque d’être pris pour un cambrioleur. De toute manière il ne pourra jamais trouver ma maison, donc je le fais simplement par acquis de conscience.


14 heures 50… Je ne me dégonfle pas, j’ouvre la porte d’entrée retourne sur la pelouse au bord de la piscine, pose une serviette et m’assieds dessus. Je me déshabille entièrement, jette mes vêtements plus loin, me bande les yeux avec un bas et m’allonge ainsi à plat ventre.


Cela fait maintenant cinq ou dix minutes que je suis allongée dans cette position et personne. Je ne suis pas bien tranquille car le portail ouvert n’importe qui pourrait rentrer. Le voisin pour entretenir le jardin, un livreur, un ami… Je commence même à flipper, comment expliquer à quelqu’un mon attitude. Je me trouve ridicule. Je vais faire une photo de loin et sans trop de détails, je l’enverrai ce soir à Jack pour lui montrer que je ne me suis pas dégonflée.


Tout d’un coup, stupeur, ma respiration s’arrête littéralement, mon cœur plafonne à 200, mes tempes vont éclater… j’entends des pas dans le gravier.

La panique m’envahit, je vais pour arracher mon bandeau mais une main me colle au sol et m’immobilise.



Je suis quelque peu soulagée que ce soit Jack et non le voisin ou un passant perdu. La situation aurait été des plus ridicules !


Je vais pour enlever le bandeau mais les deux mains de Jack me bloquent. J’essaye de discuter mais il reste muet comme une carpe. Je l’entends aller et venir et, défi oblige, je reste ainsi dans cette position osée et peu glorieuse, nue allongée sur le ventre et les yeux bandés. Mon amour propre fait que je joue le jeu, j’ai perdu. Ma fierté me dit d’accepter ce pari totalement idiot et stupide, j’en conviens mais je l’ai pris !


Je sens la présence de Jack au-dessus de moi et je l’entends s’agenouiller à côté. Ses deux mains d’un coup balaient mon corps de haut en bas, des épaules aux pieds en effleurant à peine la peau. Un léger frisson, l’huile de massage parfumée coule sur mon corps de haut en bas. Jack est bien venu en effet pour pratiquer un massage. Ses deux mains reprennent leurs grands mouvements pour l’étaler sur l’ensemble de mon corps. Maintenant, il commence le massage des épaules et de la nuque et je ressens rapidement un grand bien-être. Finalement un vrai massage c’est agréable et je regrette moins d’avoir perdu ce pari. J’en suis même presque contente. Je m’allonge maintenant de tout mon long en me décontractant complètement. Ce massage tout en douceur commence sous les meilleurs auspices. Les deux mains me massent la nuque, le cou, les épaules, la colonne vertébrale.


Jack s’empare maintenant de mon pied droit et me masse la plante ainsi que les orteils, puis le mollet et la cuisse en remontant jusqu’à la limite des fesses. L’autre jambe également jusqu’au niveau de la fesse gauche.


Il s’assied maintenant au-dessus de mes cuisses et masse en grands cercles les fesses et les reins. Je me sens bien et je trouve ce massage assez excitant en définitive. Que dis-je, assez excitant… je le trouve même très excitant ! Il y a tellement longtemps qu’un homme ne m’a pas touchée comme ça. Même mon mari ne le faisait pas à l’époque et après sept mois d’abstinence, les mains d’un homme, même inconnu, sur mes fesses et au creux des reins m’excitent au plus haut niveau.


Après ce massage du fessier, Jack se lève, m’écarte légèrement les deux jambes et se repose à genoux entre mes mollets. Ses deux mains me pétrissent avec vigueur les deux fesses, écartant les globes avec force et je me rends compte que dans cette position, je lui expose mon intimité épilée de près. Je sens alors ses doigts caresser lentement le bord de ma vulve et je me laisse faire. Le bonheur monte en moi, l’excitation est à son comble et c’est ainsi qu’un doigt tout doucement pénètre ce sexe ouvert et qui ne demande que ça.


Son doigt commence lentement de longs va-et-vient, puis un deuxième doigt l’accompagne. En même temps son pouce titille par derrière, mon petit anus qui malgré mes quarante ans est toujours vierge. Cette petite fleur qui m’a si souvent fait fantasmer mais que mon mari n’a jamais voulu explorer à mon grand désespoir.


Son pouce tourne autour de mon anus pendant que ses doigts fouillent mon sexe et frottent délicatement le clitoris qui doit se redresser comme un coq. Le bonheur est en moi, je gémis de plus en plus fort, mon corps se tortille, mon bassin se soulève pour profiter encore plus de cette main inquisitrice et tout doucement, je sens le pouce pénétrer mon anneau arrière par petits mouvements successifs. C’est assez douloureux mais quel bonheur de me faire enfin sodomiser pour la première fois de ma vie et même si ce n’est que par un pouce. Sa main maintenant s’active de plus en plus vite, je sens que ma mouille se fait abondante et que je vais jouir très vite.


Jack retire sa main et soulève mon bassin, je suis alors en position de levrette et je ne bouge pas. J’attends, entièrement offerte à cet inconnu qui me fait goûter au bonheur après un si long désert sexuel. Après un moment qui me paraît une éternité, je sens sa main écarter ma vulve et son sexe me pénétrer doucement et prendre possession de mon corps. De grands va-et-vient profonds et de plus en plus rapides me font perdre la tête, je perds toute notion de lieu et de temps, je jouis, j’exulte, j’explose complètement en cris de bonheur et d’orgasme. Au même moment Jack, dans un râle, me massacre littéralement le bassin ; je sens son sexe énorme en moi qui se décharge pour mon plus pur bonheur.


Nos deux corps ainsi inanimés restent allongés dans l’herbe le temps de reprendre leurs esprits. Jack se retire et je me sens dégoulinante de sperme et de mouille mélangés. Je nage totalement dans le bonheur, enfin je peux regoûter aux joies de la chair et de l’amour ! Je veux enfin enlever mon bandeau que j’ai toujours sur les yeux mais Jack me retiens tout de suite pour m’en empêcher. Le massage n’est pas fini, dit-il !


Il me retourne lentement pour me positionner sur le flanc gauche, sa main au-dessus du pubis me massant le ventre puis passant entre les seins pour me masser le cou et la nuque, ensuite il me prend le bras verticalement et me le masse à deux mains. De nouveau sa main sur mon pubis, il recommence le même mouvement en écrasant mon sein contre son bras à chaque passage. Une dizaine de fois il répète ce mouvement puis me bascule sur l’autre flanc et masse de la même manière mon bras gauche.


Maintenant il m’allonge sur le dos, s’agenouille au-dessus de mes cuisses et me masse le ventre, les seins, prend les deux tétons qu’il roule délicatement entre ses doigts et aussitôt je me sens redécoller pour un voyage au bout de l’amour. Ses lèvres se posent sur les miennes, nos langues se mélangent dans un long et fougueux baiser qui me rappelle mes premières amours.


J’ai toujours les yeux bandés et j’entends qu’il cherche quelque chose dans un sac proche. Il commence alors à m’embrasser les seins, me mordiller les tétons qui sont de plus en plus droits et durs. D’un coup il me prend le téton et fixe dessus une pince, ça fait mal mais c’est bon, divinement bon. L’autre sein, à son tour, bénéficie du même sort. De nouveau il me retourne et me repositionne comme tout à l’heure, les fesses en l’air dans la posture de la levrette.


Je sens ses mains s’affairer sur mon minou et mon anus encore tout endoloris. Il écarte doucement ma vulve et à ma surprise me pénètre avec un objet, un gode certainement. Il l’enfonce doucement et je commence à mouiller de nouveau. Encore une fois je me laisse faire, je suis sa chose, son objet sexuel tout comme il est mon maître et j’adore ça. Maintenant le gode est entièrement enfoncé, il fait de long va-et-vient et je sens le bonheur, le plaisir m’envahir de nouveau.


Il masse toujours mon anus mais cette fois-ci, je sens son gland se présenter à la porte et lentement s’enfoncer. J’ai mal, c’est douloureux mais c’est un fantasme qui se réalise, un rêve de toujours qui enfin va vivre. Je le laisse faire et petit à petit sa verge me pénètre complètement. Tout doucement il entreprend des allers-retours, puis de plus en plus vite. J’ai mal, je crie de douleur mais également de jouissance avec cette double pénétration qui est une première pour moi.


Jack s’active doucement en grands et profonds mouvements, la douleur au fur et à mesure fait place à une excitation croissante. Les pinces sur les tétons, le gode dans la chatte en double pénétration et Jack qui me sodomise de plus en plus fort font que je passe de la jouissance à un orgasme puissant et phénoménal une explosion de tous mes sens, je perds toute notion, toute réalité, et je meurs de la petite mort. Je sens Jack se vider encore une fois en moi et je m’effondre à plat ventre à demi consciente. Je reste ainsi un long moment comme KO à la fin d’un combat. Jack se retire, ressort le gode et je reste immobile à reprendre mes esprits cinq ou dix minutes encore.


J’entends Jack aller et venir puis il me retourne et me prend dans ses bras. Il m’emporte avec lui et quelques mètres plus loin me dépose sur une chaise au bord de la piscine. J’ai toujours les yeux bandés, il m’écarte les cuisses assez largement m’attache les chevilles et les genoux aux pieds de la chaise les jambes totalement ouvertes puis m’attache les bras dans le dos. Je suis alors entièrement exposée au beau milieu de la terrasse, ligotée aveugle et offerte aux yeux de la nature, des oiseaux, du soleil. Je l’entends alors plonger dans la piscine et nager sereinement. Après plusieurs longueurs, il ressort de l’eau, s’approche de moi et me susurre à l’oreille de l’attendre gentiment qu’il va prendre une douche, puis il m’embrasse tendrement


Dix minutes, un quart d’heure, une demi-heure, je m’inquiète mais j’attends sagement mon maître. Une heure… c’en est trop, je me fais du souci et défais mes liens qui n’étaient que très modérément serrés. J’enlève mon bandeau et vais rechercher mes vêtements. Je l’appelle mais pas de réponse, je cherche, rentre dans la maison et découvre sur la table du salon un énorme bouquet de fleurs magnifiques et un petit mot à côté sur lequel Jack me remercie pour tout et pour cet après-midi exceptionnel.


Le soir, le lendemain et les jours suivants je l’ai attendu sur le tchat mais, plus jamais, je n’ai revu son pseudo.