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Temps de lecture estimé : 27 mn
11/08/10
Résumé:  Catherine retrouve Anne-Marie, sœur de son patron et formatrice en anglais. Après un mois d'absence sans le moindre cours, Catherine est impatiente de la revoir après la formation privée si particulière qu'elle a reçue.
Critères:  fff fsoumise fdomine humilié(e) exhib cunnilingu fgode champagne fouetfesse -fsoumisaf -exhib -vêtements
Auteur : Bijanus            Envoi mini-message

Série : Catherine

Chapitre 06
La punition

Pour ce texte je me suis amusée à grossir fortement le trait aussi bien pour les relations si spéciales qui lient Anne-Marie et Catherine (voir : Une formation peut en cacher une autre) que sur la partie la plus chaude du récit.









Catherine retrouve Anne-Marie, la sœur de son patron et sa formatrice en anglais. Après un mois d’absence sans le moindre cours, Catherine est impatiente de la revoir après la formation privée si particulière qu’elle a reçue.




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Les cours avec Anne-Marie reprennent enfin à l’agence. Entre sa grippe qui l’a clouée au lit deux semaines et les vacances durant lesquelles elle est partie, voilà presque un mois qu’ils ont été interrompus. Je n’ai pas eu droit à mes cours particuliers non plus, bien sûr, pendant cette période. Autant dire que ce vendredi, je suis très impatiente même si la leçon est collective. J’ai tant envie de la revoir et suis curieuse aussi de savoir comment elle va se comporter avec moi désormais. Bien sûr, je n’ai pas prévu d’enfiler mon costume d’élève soumise et obéissante en la présence de mes collègues de travail mais pourra-t-elle résister à l’envie de jouer la professeure tyrannique avec moi malgré tout ?


L’heure du cours est enfin arrivée, nous sommes Marc, Estelle et moi-même assis autour de la table attendant l’arrivée d’Anne-Marie. Marc me demande :



J’ai juste le temps de finir ma phrase qu’Anne-Marie entre dans la pièce.



Tout le monde hoche la tête en répondant oui. Anne-Marie m’a particulièrement regardée quand elle a demandé si on était prêts à reprendre.

Fidèle à elle-même elle nous assène son cours selon sa méthode habituelle. Une règle à la main, elle est brusque dans ses gestes, sèche dans ses réponses, dans ses remarques et le reste au diapason. Elle passe souvent dans mon dos pour me tamponner l’arrière-train avec la règle à la moindre remarque. Évidemment cela reste invisible aux yeux des autres et aussi facilité par mon fessier qui dépasse largement du petit tabouret où je suis assise. La moindre occasion est bonne pour me donner discrètement une petite tape, incorrigible j’en mouille déjà. Cependant toute allusion à nos cours privés s’arrête là mais suffit déjà à m’emmener vers la route du plaisir.


Le cours prend fin et mes deux collègues disparaissent rapidement de la salle. Je traîne volontairement pour me retrouver seule à seule avec ma professeure. Anne-Marie ne tarde pas à me parler :



Il est évident qu’Anne-Marie profite d’être seule avec moi pour reprendre son rôle du professeur si particulier que j’ai pu découvrir chez elle. Je réponds, reprenant moi-même mon rôle d’élève obéissante :



Vous méritez une leçon en punition de votre comportement. C’est évident n’est-ce pas ?



Elle disparaît sans un mot de plus. En rentrant chez moi et le reste de la soirée, j’essaye d’imaginer ce à quoi je peux m’attendre pour demain. Il est certain qu’Anne-Marie a imaginé un nouveau jeu pervers dont je serai l’héroïne principale. La présence annoncée d’autres personnes m’inquiète un peu. Anne-Marie a su me donner un immense plaisir par des chemins et des méthodes que je n’aurais jamais imaginés il y a quelque temps mais j’étais seule avec elle. Quoi qu’il en soit, je me sens déjà excitée à l’idée de me mettre à son service pour ce samedi soir et, de plus, cela me fera remonter quelques années en arrière.


Juste après ma séparation, je m’étais retrouvée au chômage et une amie m’avait proposé un job de serveuse dans son restaurant pour me dépanner. Dépannage qui dura deux années finalement. Ce souvenir me fait réaliser le chemin que ma vie sexuelle a parcouru lors de ces deux ou trois dernières années. Depuis la surprenante révélation que j’ai eue grâce à Sabrina et ma première exhibition pour son plaisir et surtout le mien. Les années qui ont suivi n’ont fait qu’amplifier mon attirance pour les autres femmes mais aussi le désir de m’exhiber de plus en plus à la moindre occasion. De plus, le plaisir que j’ai eu en prenant le rôle d’une élève soumise, me fait encore franchir un palier supplémentaire dans ma recherche sans fin des joies du sexe. J’ai l’impression d’être comme une alcoolique qui, au début, n’avait besoin que de deux ou trois verres pour se sentir pompette et qui doit maintenant s’attaquer à une bouteille entière d’alcool fort pour arriver au même résultat. La différence fondamentale étant quand même que cela ne nuit pas à ma santé. Je dirais même que je ne me suis jamais sentie aussi bien dans ma peau ; voir les gens autour de vous vous reluquer, le plus souvent avec appétit, ne peut que donner confiance en soi.


Le samedi soir venu, je pars donc finalement sereine chez Anne-Marie. Un soupçon de stress quand même me tortille le ventre mais au fond de moi, je sais que tout ce que peut imaginer ma professeure sera certainement source de jouissance pour moi à la fin. Le petit plaisir que j’ai juste pris vendredi alors qu’elle me tapotait les fesses du bout de sa règle n’est pas fait pour m’en dissuader.


Je sonne à la porte et elle s’ouvre après quelques secondes. Anne-Marie apparaît, elle est habillée avec une grande classe. Elle porte une robe courte satinée vert sombre, très décolletée, ce qui met en valeur sa poitrine généreuse. D’autant plus qu’un bandeau assorti cintre sa taille juste sous les seins. La robe s’arrête largement au-dessus du genou lui donnant une silhouette élancée.



Lorsqu’elle me tourne le dos, je vois qu’elle porte aussi des collants ou bas très habillés, avec une large couture qui longe tout le milieu de la jambe pour aller jusqu’au talon. Elle me guide le long du couloir qui doit aller vers les chambres et me dit :



Anne-Marie me montre du doigt des habits déposés sur un lit qui trône au milieu de la chambre où nous venons d’arriver. Elle poursuit :



Seule dans la pièce j’examine ma tenue pour la soirée. Je m’attendais au costume de serveuse ou de bonne que l’on voit dans les vieilles séries télé, mais ce n’est pas du tout le cas. Je prends en main un pantalon de couleur fuchsia fluo très brillant fait d’une matière très élastique. La coupe montre qu’il est d’une taille particulièrement basse mais me paraît aussi diablement petit pour moi. J’étudie le reste des habits, il semble que pour tout sous-vêtement, il n’y ait qu’un bustier de prévu. J’ai beau fouiller, je ne trouve pas de culotte. Je me déshabille complètement et, une fois nue comme un ver, j’enfile le bustier. Il est blanc satiné, me descend jusqu’à l’estomac et, comme un vrai bustier, il n’a pas de bretelles.


Mon désormais presque 95 D a du mal à entrer dedans et mes seins boudinent et forment des petits bourrelets qui s’échappent par-dessus la dentelle. Je mets par-dessus le top blanc à manches courtes, il a une grande encolure ronde finissant par un V à sa base qui s’enfonce entre mes seins. Le V en question est boutonné par un lacet formant des croisillons. Lacet que je serre pour que finalement seule l’encolure forme mon décolleté, déjà bien assez large comme ça. Le top est assez court et s’arrête sur mon nombril. L’ensemble me serre aussi pas mal comme pour le bustier.


Je jette un œil sur le miroir placé sur un mur ce qui me confirme mon sentiment. Le top est bien tendu de toute part, mon bustier faisant des marques bien visibles à travers le tissu. On dirait qu’Anne-Marie a vu un peu juste en ce qui concerne la taille et je n’ai pas l’impression que c’est le pantalon qui va me faire changer d’avis. La matière est incroyablement élastique, on dirait presque un legging, aussi j’arrive à l’enfiler à même le corps malgré mon appréhension. Mais j’ai beau tirer dessus comme une acharnée, il reste terriblement bas sur mes hanches. Pour un pantalon taille-basse, il est vraiment très bas. Il stoppe un peu au-dessus de mon pubis, découvrant largement mon ventre arrondi. Comme il s’arrête aussi au milieu de mes hanches, un bourrelet bien rond s’est formé de chaque côté, débordant au-dessus du pantalon, j’ai ainsi deux superbes poignées d’amour de part et d’autre.


Mon ventre offre le même spectacle sur le devant et, quand je me retourne pour m’examiner de dos, sans surprise je vois que le tissu s’arrête à la limite de mes fesses. Je ne sais pas si c’est l’aspect brillant, la couleur ou le pantalon trop juste mais mon fessier à l’air plus rebondi que jamais ; on a l’impression qu’il va faire exploser le tissu. Je fais quelques pas et mouvements et, comme je m’y attendais, le pantalon a la fâcheuse tendance à vouloir s’échapper par le bas. Je vais passer la soirée à tirer dessus pour le remettre en place. Il ne me reste plus qu’une veste caraco de la même couleur que le pantalon, mais sans l’aspect brillant, à passer. Une fois fermée, la veste est aussi courte que le top et entre un haut trop court et un bas trop bas une large partie de mon ventre rond est à l’air. Je suis vraiment habillée d’une bonne taille en dessous. Alors que j’enfile la paire de petites bottes aux talons importants, j’entends Anne-Marie qui se rappelle à mon bon souvenir.



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J’entends des pas dans le couloir annonçant son arrivée. Quand elle apparaît je lui réponds :



Je la suis, passe par sa cuisine, prends un plateau chargé de petits canapés et je vais vers le salon. Il a été un peu réaménagé pour l’occasion. Trois fauteuils sont autour de la table basse, l’un faisant dos à la porte-fenêtre où je me suis déjà pavanée lors de mon dernier cours et les autres lui font face, la table basse au centre.


Je fais plusieurs allées et venues pour porter différentes boissons, victuailles et ustensiles. Dès que j’ai les mains libres je suis obligée d’ajuster mon pantalon pour ne pas l’avoir au milieu des fesses. Je vois qu’Anne-Marie m’observe à chaque fois avec un sourire et des yeux brillants qui en disent long sur le choix de tenue vestimentaire qu’elle a fait pour moi. Des vêtements aussi ajustés ne sont pas le fruit du hasard, mais je n’en doutais pas une seconde.

La sonnette retentit, l’hôte de la maison se dirige vers la porte d’entrée en me disant :



Je prends la place demandée. La porte s’ouvre et j’entends le brouhaha habituel des salutations et des pas qui avancent vers le salon. Deux personnes accompagnent ma professeure. Par les conversations, je comprends les prénoms respectifs des deux invités. Marie est la plus jeune, la trentaine plutôt ronde, belle poitrine, des cheveux et des yeux très noirs et un nez un peu fort signe de femme de caractère. Elle porte un legging rouge pâle, une tunique noire fermée par une large ceinture et le tout monté sur une grande paire de bottes. Maryse est tout l’inverse, la cinquantaine, assez sèche de corps. Aussi blonde que Marie est sombre de cheveux, habillée avec un tailleur très classique, le tout donnant un aspect bourgeois très BCBG. Anne-Marie fait comme si je n’étais pas là mais Marie me lance régulièrement des regards brûlants, je sens un trop-plein de perversité dans cette fille-là. Anne-Marie dit enfin :



Anne-Marie prend place dans le fauteuil devant moi et ses deux convives dans ceux d’en face.



Je pars sous le regard de Marie qui ne me quitte pas des yeux. Alors que je quitte la cuisine avec la bouteille pour revenir au salon, j’entends Marie dire :



Le claquement de mes talons annonçant mon arrivée coupe-là la conversation et quand je rentre dans le salon, les trois se regardent en échangeant des sourires de connivence. Comme je me suis arrêtée pour les observer, Anne-Marie lance :



Je sers Maryse et m’approche de Marie tout en remontant pour la énième fois mon bas qui ne pense qu’à descendre. Loin de me tendre son verre pour me faciliter la tâche, elle le garde près d’elle au niveau de son ventre alors qu’elle est profondément assise dans le fauteuil. Je commence à verser le précieux liquide quand elle bouge volontairement son verre. Je ne peux réagir à temps et une partie du champagne s’écoule sur elle. Marie tire sa tunique en arrière, me bouscule la main ce qui ne fait que faire couler plus de liquide sur son ventre et son entrejambe. Marie braille :



Avec un sourire de satisfaction évident Marie remonte sa tunique et me laisse approcher le torchon à la main. Je commence à essuyer le tissu imbibé. L’humidité a rendu le legging légèrement transparent, je vois un triangle sombre se détacher sur le rouge clair du tissu. Je ne suis pas la seule à ne pas avoir de culotte pour la soirée on dirait. Alors que je m’attarde sur le ventre de Marie, elle me lance :



Ma main toujours armée de son torchon glisse vers son entrejambe qu’elle écarte légèrement au premier contact. Du coin de l’œil, je vois le plaisir s’afficher sur son visage si sévère jusqu’à présent. Puis sa main me repousse.



Remontant une fois encore mon pantalon qui avait dégringolé pendant ma séance de nettoyage, je déboutonne la veste caraco dans la foulée et la dépose. C’est vrai que je respire mieux même si mon top me serre toujours et s’il est évident que le but n’est pas de m’aider à me sentir mieux. Marie croit bon d’ajouter :



Durant ce discours peu élogieux à mon égard, j’ai repris place derrière Anne-Marie comme elle me l’avait demandé. Je suis déjà excitée, je m’en rends compte maintenant que je suis au calme. La fourberie de Marie et les conséquences qui ont suivi ont déjà fait monter la température dans mon bas-ventre. L’ambiance que je sens aussi chaude que les esprits des trois femmes présentes contribue aussi à me mettre dans tous mes états. Anne-Marie me tire de ma réflexion :



Je quitte ma place et prends un grand plateau en inox bien rempli. Je le tends d’abord à Marie et me retourne pour faire le pas qui me sépare de Maryse pour la servir quand mon pied accroche quelque chose. J’ai juste le temps de voir que Marie m’a fait un discret croche-patte avant de perdre à moitié l’équilibre. Je me rattrape plus ou moins mais une dizaine de canapés dégringolent du plateau pour aller atterrir sur le beau tailleur de Maryse. Un regard bleu acier me foudroie, Maryse hurle :



Je récupère les canapés encore collés à la veste qui est maintenant recouverte de taches roses un peu partout. Maryse commence à se déboutonner et je l’aide à s’en défaire. Je reste surprise en voyant ce que Maryse portait sous sa veste. Elle a un superbe body en dentelle noire dévoilant son corps en transparence par endroits. On pourrait même dire qu’elle a un beau décolleté mais sa poitrine menue le remplit bien peu.



C’est sur ces mots ambigus que je quitte le salon pour réparer mes « bêtises ». Lorsque je reviens, Anne-Marie dit :



Je m’approche d’elle. Je n’ai aucune crainte car je sais par avance que quoiqu’elle fasse, cela va juste pousser encore plus loin mon excitation sexuelle.



À peine penchée, elle défait le nœud du lacet qui ferme le corsage de mon haut et tire violemment sur l’échancrure. Elle l’ouvre ainsi largement jusque sous mes seins. J’ai dorénavant un décolleté géant qui offre aux regards de ces dames mon bustier et mes seins qui débordent de toutes parts. Je vois l’œil ravi de Maryse à cette vue mais ce n’est rien par rapport aux regards de Marie. Anne-Marie poursuit :



J’agite plus violemment la première bouteille que j’ai prise, jus de pamplemousse, et mon regard tombe sur le miroir face à moi. Je peux ainsi juger de l’état de ma tenue actuelle. Mon top écartelé laisse voir mes seins déborder du bustier et mes mouvements violents sur la bouteille les font trembler à l’extrême, donnant l’impression qu’ils vont s’échapper de leur cage. Mon ventre à l’air libre grâce au pantalon ultra bas et le top trop court, est secoué de tremblements légèrement déphasés avec les gestes de mon bras. Je sens aussi ce satané pantalon glisser continuellement sur mes hanches, ou plutôt sous mes hanches.

Je sers Maryse et Anne-Marie, mais au moment de servir Marie :



Un sourire pervers aux lèvres, elle ajoute :



Son regard braqué sur mon corsage ne m’a pas échappé et je sais pourquoi, elle souhaite tant avoir son jus bien agité. Aussi je ne peux que chercher à lui faire plaisir, il faut bien compenser mes « bêtises ». Je saisis la bouteille du bon breuvage, je lui tends un verre et je me plante devant elle. Je me penche légèrement tout en secouant la bouteille comme une hystérique. Mes seins laiteux sont secoués en tous sens, tressautent comme si j’avais un marteau-piqueur dans les mains. Je crains même de les voir s’échapper de leur nid, enfin, je ne ressens pas vraiment de crainte bien sûr. Marie est hypnotisée et certainement encore sous le charme du spectacle car elle ne pense pas à me faire un coup vache quand je lui sers son verre. Le service fini et après avoir remonté une fois de plus mon pantalon, j’entends Anne-Marie m’ordonner :



Les mains prises par un nouveau grand plateau bien rempli, je sers ces dames, Maryse, Anne-Marie et je finis ma tournée par Marie.



Je me penche, pliée en deux, posant presque le plateau sur ses genoux. Une fois de plus, elle reluque ma poitrine, qui déborde encore plus du bustier de par ma position que les canapés. Elle finit par en choisir un et alors que je m’y attends le moins, elle donne un discret coup de genou sous le plateau. Surprise ! Il m’échappe d’une main et se déverse en partie sur elle et sur le sol. Marie hurle :



Tout en disant ceci, Anne-Marie se lève et tourne son fauteuil d’un quart de tour de façon que son côté soit en face des deux invitées.



Obéissante je prends la position couchée sur le dossier du fauteuil. Cette même position qui m’avait permis de recevoir, il y a un mois, la fessée la plus excitante et jouissive que je n’avais eue de ma vie. Le ventre en appui sur le dossier, le buste pendant dans le vide et les fesses tendues vers le haut, j’attends ma punition. Marie intervient alors :



Je vois que je suis aussi en pleine vue devant la porte-fenêtre dont les petits rideaux sont bien écartés. La nuit étant presque tombée, la pièce éclairée doit offrir une vue limpide depuis l’extérieur. Il me semble d’ailleurs voir une silhouette à la fenêtre d’un des appartements d’en face, un étage plus haut. En forçant ma vue, je vois maintenant nettement une forme humaine derrière cette vitre. Je ne sais pas pourquoi mais je pense immédiatement à mon patron, frère d’Anne-Marie, je suis persuadée que c’est lui, une sorte de sixième sens. Ça m’excite encore plus de penser qu’il est là derrière cette fenêtre.


Je sens alors une main passer sur mes fesses tendues, Marie est maintenant derrière moi. Elle me pétrit une fesse en clamant :



Elle finit à peine sa phrase qu’une claque tombe sur mon postérieur, suivie rapidement d’une deuxième. Le dosage est aussi exquis que celui d’Anne un mois plus tôt. Que du plaisir, pas la moindre douleur. À la troisième, je ne peux retenir un gémissement.



Une nouvelle claque tombe, toujours aussi jouissive, et une autre.



Elle glisse sa main entre mes cuisses écartées, je sens ses doigts frotter mon sexe à travers le tissu léger du pantalon.



Sa main continuant à frotter mon intimité à travers le pantalon, elle m’assène plusieurs nouvelles tapes sur le cul, donnant un résultat encore plus évident que précédemment.



Je me redresse de ma position couchée et je sens Marie saisir mon top dans mon dos par l’encolure. Ses mains se glissent à l’intérieur et elle tire violemment pour l’écarter jusqu’à lui faire passer mes épaules. Le textile craque et Marie poursuit son œuvre en faisant tomber le vêtement le long de mes bras. Celui-ci finit par glisser tout seul jusqu’au sol, atterrit sur mes pieds me laissant comme seul vêtement mon bustier débordant de mes chairs.



Mon pantalon a encore plus glissé que d’habitude suite à la fessée. Ma foufoune est à deux doigts d’apparaître et je sens que ma raie des fesses émerge largement de l’autre côté. Je m’apprête à le faire remonter quand Anne-Marie m’interpelle :



Prenant place, j’en profite pour regarder par la fenêtre l’immeuble d’en face. La silhouette est toujours là de l’autre côté, un étage plus haut. Évidemment, d’ici je ne peux confirmer que c’est Francis, mon patron, mais malgré tout, j’en suis certaine, comme je suis certaine qu’il ne manque rien de ce qui se passe ici.


N’étant plus le centre d’intérêt des trois filles pour l’instant, je rajuste machinalement mon bustier qui, lui aussi, glisse vers le bas. Cela ne change pas grand-chose, mes seins débordent toujours autant dès que je relâche la lingerie. Mes larges aréoles sont à deux doigts d’apparaître. Je vois aussi qu’un appareil de photo est posé à côté d’Anne-Marie, je ne l’avais pas vu avant. J’ai certainement dû être prise en photo plusieurs fois depuis le début sans m’en rendre compte. Espérons que les clichés n’échoueront pas dans de mauvaises mains comme la dernière fois (NDA : voir L’odieux chantage).


Je suis sur des charbons ardents après cette brève séance de fessée et le reste. Je meurs d’envie de me caresser ; là devant cette fenêtre et devant elles. De sortir mes seins de leur cache et de glisser ma main sur mon sexe que je sens brûlant et trempé. Mais non, je dois attendre car je suis soumise à leurs volontés, leur désir sera de me faire jouir à un moment ou à un autre et cela viendra bientôt et cela sera bien plus terrible que de simples caresses.


Elles discutent quelques minutes comme si je n’étais pas là puis Anne-Marie m’ordonne :



J’exécute l’ordre et je me penche sur Maryse avec mon plateau. Elle a les yeux fixés sur mon décolleté, mes seins débordent encore un peu plus de par ma position penchée. Je sens un regard d’envie, de jalousie, sa poitrine menue doit la complexer. Marie revient déjà, avant qu’elle ne rentre dans le salon, il me semble l’avoir vue du coin de l’œil agiter la bouteille. Croit-elle que c’est du jus de fruit ?


Maryse me tend déjà son verre mais il faut que je débouche la bouteille avant. J’ai à peine repoussé le bouchon que le champagne jaillit en un énorme geyser et asperge Maryse des pieds à la tête. Sa jupe et son body sont imbibés du luxueux breuvage. Marie exulte :



Elle me pousse vers sa maigre poitrine, me colle la bouche contre sa chair trempée. Je commence à lécher et j’ai en bouche un curieux goût fait d’un mélange de parfum, de peau et de champagne. Maryse promène ma tête sur tout son torse, sur le haut de ses seins que je continue à lécher abondamment. Maintenant elle me pousse vers son ventre et ajoute :



Je retire le vêtement et je m’apprête à m’agenouiller pour lui dévorer le ventre de ma langue quand Marie m’ordonne :



Je m’exécute et me penche. Je sens mon pantalon glisser encore plus le long de mes fesses, je m’apprête à tirer dessus mais je me rappelle à temps l’ordre d’Anne-Marie. Je le laisse donc glisser inexorablement, j’ai rapidement la moitié du cul à l’air maintenant.


Je suis obligée de jouer la girafe et d’écarter les jambes pour pouvoir être suffisamment penchée et atteindre le ventre de Maryse. Après une ou deux minutes, alors que je suis toujours pliée en deux, tout occupée à mon nettoyage, je sens deux mains agripper mon pantalon. Instinctivement, je commence à tourner la tête mais Maryse me la recolle aussitôt sur son ventre et la pousse même vers son intimité. Les deux mains tirent d’un coup sec mon pantalon, me mettant ainsi le cul complètement à l’air. J’entends Marie exulter une fois de plus :



Et Anne ajoute en rigolant :



Je sens une main, que je présume être celle de Marie, me caresser les fesses puis une claque tombe, puis une autre toujours avec ce même dosage subtil et excitant. La série continue avec un rythme lent et suave, c’en est trop et je suis obligée de stopper mon léchage pour pousser des petits gémissements incontrôlables. Maryse se plaint :



Maryse me repoussant, je me relève en ayant toujours les jambes écartées. Je vois Marie prendre le grand couteau posé sur la table et l’approcher de mon entrejambe. Elle le fait glisser sur le tissu de mon pantalon toujours tendu entre mes cuisses, quelques secondes plus tard le textile cède. Je me retrouve ainsi vêtue des deux jambes du pantalon toujours bien tendues sur mes jambes. J’ai l’air ainsi de porter deux cuissardes s’arrêtant en haut de mes cuisses avec un bout de tissu pendouillant au bout.



Alors que je m’installe, elle disparaît quelques secondes pour réapparaître munie d’une sorte de battoir en bois grand comme une planche à pain.



J’ai à peine placé mes mains que le premier coup tombe en faisant un bruit mat de claquement. Je sens mon corps se secouer sous l’impact, mais comme toujours, que du plaisir. Même décuplé car une plus grande partie de mon cul reçoit sa dose. Le rythme est lent mais le battoir tombe à fréquence régulière, chaque coup fait trembler mon corps un peu plus. Une fois encore mes gémissements sortent de ma bouche, incontrôlables et de plus en plus expressifs.



Le battoir s’abat plus fortement mais je suis trop en transe pour sentir une forme de douleur quelconque, incroyablement juste une vague de jouissance me submerge. Mon corps trop secoué par le traitement finit par faire glisser mon bustier. Mes seins libérés pendent alors dans le vide comme deux grosses poires juteuses se balançant au rythme de la sarabande dictée par le battoir. Puis je jouis enfin en poussant un cri aigu, je n’aurais jamais cru qu’un jour un tel artifice m’amènerait au Nirvana du sexe.



Maryse s’est enfoncée dans le fauteuil, jambes bien écartées, son entrejambe à la limite du coussin. Je me redresse péniblement pour la rejoindre, encore sous le coup de la jouissance, mes jambes tremblent. Maryse dégrafe son body à l’entrejambe, dévoilant un sexe épilé, des lèvres charnues et proéminentes. Nul besoin d’ordre pour savoir ce qu’elle attend de moi. Je m’agenouille et me penche entre ses cuisses. Immédiatement ses mains s’emparent de ma tête et la collent sur son sexe. Ma langue se déchaîne alors sur sa chatte qui s’ouvre immédiatement sous mes coups de langue répétés, son bassin s’agite pour accentuer le plaisir que je lui procure. Elle ne tarde pas à geindre et prononcer des mots plus ou moins incompréhensibles.


Je sens un pied qui pousse mes cuisses vers l’extérieur, une demande claire pour que j’écarte les jambes. En même temps une main me pousse dans le creux des reins pour me faire cambrer plus le cul. J’entends alors Marie dire :



La curiosité est trop forte. J’arrête de dévorer la chatte de Maryse pour tourner la tête. Je vois Marie seulement habillée de son legging rouge, sa poitrine voluptueuse libre, mais le plus intéressant est ce qu’elle porte autour de la taille. Une sorte de ceinturon entoure sa taille mais descend aussi entre ses jambes, un gode en forme de sexe est fixé dessus. Je n’ai pas le temps d’admirer plus l’objet car Maryse me recolle vigoureusement la tête sur son bas-ventre alors que son bassin s’agite encore plus frénétiquement.

Peu après, deux mains me prennent la taille et je sens quelque chose me pénétrer en profondeur.



Munie de son engin diabolique, Marie entame un mouvement rapide de va-et-vient. J’entends son bassin taper de plus en fort mes fesses. Régulièrement, je suis obligée de relever la tête pour faire entendre mon plaisir. Maryse, compréhensive, me laisse quelques secondes avant de faire replonger ma tête entre ses cuisses. Mais il ne faut que quelques minutes pour que j’atteigne une nouvelle fois l’extase. En appui sur les jambes de Maryse, mon corps se cambre, ma gorge lâche un râle puissant et interminable. Ma tête est toujours entre les mains de Maryse et je l’entends dire :



Anne-Marie m’enjambe et me saisit les bras pour me faire redresser le torse. Maryse apprécie le spectacle, sa main rejoint son sexe immédiatement et alors que ses doigts jouent avec elle dit :



Mes seins s’entrechoquent et s’agitent en tous sens sous les coups répétés que subit mon arrière-train. Je sens qu’une nouvelle vague de jouissance monte de plus en plus en moi, mes cris et gémissements reprennent de plus belle, mélange de cris, de pleurs et de râles. Marie se lâche aussi :



J’explose une nouvelle fois. Je n’avais jamais joui à une fréquence aussi rapide. Je ne crie plus, je hurle. Finalement, après quelques secondes, minutes, je ne sais, je ne suis plus qu’un sac vide, je suis épuisée. Marie me laisse enfin. Comme toujours quand je prends mon pied de nombreuse fois, je me sens fatiguée. Mais là, je suis totalement éreintée, proportionnellement au plaisir que j’ai reçu. Je vois vaguement Marie s’approcher de Maryse alors qu’Anne-Marie fait glisser sa robe sur ses épaules et dévoile sa poitrine. Je ne sais pas comment mais je me retrouve sur le fauteuil près de la fenêtre. Je m’endors, une main sur ma chatte, geste réflexe, à la recherche des quelques miettes de plaisir que je pourrais encore en tirer.


Quand je me réveille, la pièce est vide, mon fauteuil est tourné face à la fenêtre. Comme je me redresse, toujours dans la même tenue, le bustier autour de la taille et mon pantalon-cuissard sur les jambes, j’entends la voix d’Anne-Marie.



Encore vaseuse, je reprends mes vêtements, Anne-Marie m’attend devant la porte d’entrée.



Alors que je passe devant elle pour sortir, elle lâche une grosse tape sur mes fesses en me disant :