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Temps de lecture estimé : 17 mn
12/08/10
Résumé:  Pauline et Jean s'aiment depuis longtemps. Ils décident de fêter leur amour.
Critères:  fh amour fellation 69 pénétratio fsodo -couple
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message
Noces d'étain

Noces d’étain



Pauline range la vaisselle du dîner dans le lave-vaisselle. Jean, dans la chambre de Marilou, tente de calmer sa fille en lui donnant un dernier baiser. Un coup d’œil dans celle d’Aurélien, il lit le dernier Titeuf.



Avec un soupir de soulagement, mais aussi de bonheur, Jean revient dans la cuisine auprès de sa femme.



Ce soir, à la télé, rien d’intéressant.



Pauline et Jean forment un couple heureux. C’est rare actuellement, mais pour eux, c’est le cas. Certes ils se chamaillent parfois, mais on se demande si ce n’est pas seulement pour avoir l’occasion de se réconcilier au lit.

Ils se sont connus il y a plus de vingt ans.

Pierre, était et reste le meilleur copain de Jean. Ils se connaissaient depuis l’école primaire. Pauline, sa cousine, les a rejoints en seconde. Pierre les a présentés l’un à l’autre. Décision heureuse, car tous deux, d’un naturel assez timide, auraient mis longtemps avant de se parler : Jean, n’osant pas aborder les filles et Pauline les garçons.

Avec Pierre, tous trois assez travailleurs, intelligents, bûchaient souvent ensemble. Ils ont effectué leur seconde et première sans problème. Et cette relation d’amitié s’est transformée pour Jean et Pauline en amour. Pourtant ils n’avaient jamais conclu.

Pierre se sentait un peu écarté dans le groupe. Heureusement, en début de terminale il a déniché l’âme sœur, Émilie, une fille très jolie, dans une section différente. Et, il a délaissé ses copains pour son amour. Mais son travail et surtout ses notes s’en sont ressentis. En fin d’année, Jean et Pauline ont eu leur bac avec mention, Pierre après repêchage.


Les proches sont venus fêter l’anniversaire du couple. La famille au grand complet leur a offert un magnifique cadeau : une série de pots en étain en référence à leurs noces. La journée a été gaie, animée, merveilleuse. Une vingtaine de personnes, cela représentait un sacré travail. Heureusement que le traiteur avait livré le repas.

Les frères et sœurs, tous mariés, ont décidé de sortir en boîte, les grands parents s’étant offerts pour garder les petits enfants. Ce n’est pas une punition pour eux, au contraire, et les enfants sont fous de joie de se retrouver entre cousins.

Pauline et Jean, heureux d’être enfin seuls, font signe de la main aux voitures qui s’éloignent. Voila, les derniers invités partis, maintenant au travail. On débarrasse les tables, le nettoyage sera pour demain.

Pendant un long moment, ils s’affairent dans la maison, dégageant le plus encombrant. Puis ils se douchent et s’écroulent dans les fauteuils.



Ils ont pioché dans les restes du repas dans le frigo, grignoté sur un coin de table. Un bon café et au lit.

En ce mois de juin, la nuit tombe très tard. Les époux se déshabillent de chaque côté du lit. Les yeux de Jean sont fixés sur sa vis-à-vis. Pauline qui a compris ses intentions, le regarde en souriant. Oubliant la chemise de nuit habituelle, elle s’allonge nue entre les draps

Délaissant le pyjama, Jean vient à côté, contre elle. Inutile d’exprimer verbalement ses sentiments, son sexe parle pour lui. Le saisissant à pleine main, elle lui dit :



Ils s’aiment depuis qu’ils se sont rencontrés en seconde. Ils connaissent leurs corps, leurs désirs depuis plus de treize ans. Et malgré tout de temps, ils se désirent toujours autant. Très souvent ils se prouvent leur amour, de différentes manières, mais toujours pour leur plus grand plaisir.

Après un baiser langoureux, il descend vers les seins, comme deux flans sur la poitrine mince. Longuement il tète comme un nouveau né. Quand il sent les bourgeons se raffermir, il se dégage, pivote et vient honorer le buisson. Sa femme a devant elle un organe au maximum de sa forme. Elle l’embrasse, le lèche puis l’enfourne au plus profond de sa gorge. Un plaisir inouï la submerge en sentant son bouton taquiné, aspiré. Chacun s’applique à amener l’autre au bord du plaisir. Lorsque l’un d’eux est prêt à craquer, il arrête l’autre.

Jean vient alors au côté de sa partenaire. Il la pénètre doucement, et c’est l’union. La cadence est irrégulière, rapide au début, plus chaotique ensuite. Quand l’un se sent proche du plaisir, il freine l’autre afin de ne pas jouir en égoïste. Puis, à un moment, sans qu’une parole soit prononcée, ils se déchaînent simultanément et connaissent le plaisir.

Ils sont retombés cote à cote. La tête de Pauline repose sur l’épaule de son mari. Fatigués, mais heureux, ils savourent leur bonheur.




Les yeux fixés au plafond, Jean parle.



Pierre, ton cousin lui aussi était content, plus heureux même que nous, il avait réussi alors qu’il n’avait aucun espoir de succès. Aussi, pour fêter ça, il m’a invité chez lui quelques jours plus tard, tu étais partie chez tes grands parents.

Son père et sa mère y étaient allés eux aussi passer quelques jours. Pierre en avait profité pour inviter Émilie. Et c’est là que j’ai connu ta cousine Hélène. Elle était, et reste, une femme magnifique. Grande, « bcbg, beau cul belle gueule ». Tu la connais mieux que moi. J’ai été impressionné par sa beauté. Mais elle était inaccessible : la sœur de mon meilleur copain, puis trop vieille pour moi. Et surtout, je t’aimais. Mais elle était quand même magnifique en robe d’été.

Ton cousin nous a présentés. Il lui a expliqué que je t’aimais, depuis longtemps. Ensuite il est allé rejoindre Émilie.

Hélène m’a souri et nous avons parlé. Ébloui par sa beauté, j’ai répondu à ses questions automatiquement sans réfléchir. J’étais trop occupé à tenter d’apercevoir un sein qui sortait presque de sa robe. Je ne me rendais pas compte qu’elle s’amusait de moi. Et je lui ai avoué que je n’avais jamais connu de femme, me conservant pour toi.

Pierre nous a proposé de nous baigner. L’eau était un peu fraîche, j’étais content de ne pas avoir de maillot. Mais j’espérais voir Hélène en bikini.



Je ne pouvais pas refuser.

Pierre m’a prêté un caleçon de bain, puis est allé se changer dans sa chambre avec son amie. Hélène m’a dit de venir dans la sienne. J’étais intimidé, un peu effrayé, me demandant comment j’allais faire, mais difficile de refuser.

Je ne savais comment me déshabiller en présence d’Hélène. Mais elle, tranquillement s’est mise nue. Puis, elle a arrangé ses cheveux. Ses bras levés faisaient se dresser ses seins. J’étais hypnotisé. Elle m’a dit d’un air innocent :



Si, c’était la première fois ! Mais naturellement j’ai dit le contraire. Pourtant, elle avait compris mon innocence en la matière.



J’ai quitté short et slip, face au mur.



Naturellement, je bandais comme un cerf. J’ai obéi, mettant ma main pour dissimuler mon organe. Elle a souri et m’a dit :



S’avançant vers moi, elle a écarté ma main et a saisi mon sexe.



Elle m’a poussé sur le lit, et me saisissant, elle m’a branlé. Je n’ai pas pu résister longtemps et j’ai explosé, lui arrosant la main et une partie de la cuisse.



Je croyais rêver. Me tenant toujours par la queue, elle m’a amené dans la salle de bain. Heureusement personne ne nous a vus. Avant de me laver, elle a goûté de mon sperme sur sa main.



Nous sommes retournés dans la chambre et avons mis nos maillots.

En descendant nous avons trouvé son frère et sa copine. Cette dernière allongée sur le ventre, prenait un bain de soleil. Son haut était détaché afin de ne pas laisser de traces dans le dos. Hélène en la voyant dit :



Et elle a libéré ses seins. Émilie semblait un peu gênée et hésitait à se retourner. Pierre l’a persuadée de le faire.

Je suis allé me baigner, car malgré le soulagement qu’Hélène m’avait procuré, je sentais remonter mon désir. Heureusement l’eau fraîche m’a sauvé. J’ai nagé longuement afin de me calmer. Puis je me suis séché au soleil en évitant de regarder les filles.

Je comptais aller me changer seul, mais Hélène ne m’en a pas laissé la possibilité Elle m’a suivi et comme la fois précédente, s’est mise nue. Alors j’ai fait de même. Mais à nouveau mon sexe s’est dressé.



Arrivé devant elle, elle m’a pris la tête et m’a roulé un fameux patin. Heureusement, avec toi, j’avais pratiqué ce genre de caresse, je n’étais pas tout à fait novice. Mais là, j’étais tombé sur une professionnelle. J’ai plus appris en quelques minutes que tout ce que j’avais connu auparavant.



Je suis parti, j’étais sur un nuage. À cette époque là, je roulais encore en mobylette. Et sur le chemin du retour, moi, qui était un acrobate sur ce genre d’engin, j’ai failli avoir un accident bête, tant j’étais plongé dans mes pensées.

J’ai demandé à mes parents la permission de rester le lendemain coucher chez mon copain : il avait une piscine. Naturellement, j’ai eu leur accord.

Le lendemain, je suis parti dès la fin du déjeuner. Quand j’ai sonné, j’ai vu arriver Hélène étonnée de me voir si tôt.



À l’ombre des pins, il y avait des matelas de plage. Elle a quitté sa robe, elle était nue.



Naturellement, j’ai obéi volontiers. Je n’osais la regarder. Mais bientôt, j’ai entendu son souffle régulier, elle dormait. Je me suis soulevé et approché d’elle. Elle était magnifique ! Son buste de sportive, avec des seins larges et fermes. Son ventre plat, sa taille assez fine et surtout ses cuisses. J’avais beaucoup entendu parler du buisson qui dissimulait le sexe, j’avais effleuré le tien. Mais là, rien ! Elle était épilée et ressemblait à un bébé. Mais, c’était une femme avec toutes ses particularités. Les jambes étaient légèrement écartées et ne cachaient rien. Je suis resté là probablement longtemps, j’étais sidéré.

Tout à coup, une main a appuyé sur la nuque et je me suis retrouvé le nez sur son sexe.



J’avais naturellement entendu par les copains l’expression « bouffer un cul » avec description de la méthode et des plaisirs ressentis. Mais il y a loin de la théorie à la pratique.

Ma bouche a cherché le bouton que j’avais repéré et, de la langue j’ai tenté de le taquiner. Pendant quelques minutes elle m’a laissé faire, puis relevant ma tête elle m’a placé tête bêche. J’ai repris mon occupation dans une position plus pratique. Et j’ai senti mon sexe aspiré par une ventouse. La sensation était nouvelle, mais merveilleuse. Je me sentais palpiter et prêt à éclater. Je ne sais comment Hélène l’a deviné, mais elle a rendu la liberté à mon sexe.

Elle m’a ramenée contre elle et m’a murmuré à l’oreille :



Et là sur le grand lit, elle m’a appris à caresser sa poitrine, son sexe, et même son cul. Et surtout, les différentes manières de pénétrer une femme et comment lui donner du plaisir. Nous sommes restés dans la chambre tout l’après-midi.



Le soir, j’ai téléphoné à mes parents leur indiquant que je resterai peut-être plusieurs jours.

Nous n’étions que tous les deux. Manger, dormir, se baigner, et surtout faire l’amour. J’étais au paradis. Je la prenais le plus souvent possible, à tout moment, n’importe où. Elle riait de mon empressement.

Pourtant le troisième jour, pendant le repas, elle m’a dit :



Depuis ce moment, je n’ai jamais eu l’occasion de la rencontrer seule. Ensemble, nous l’avons rarement revue. Mais je lui suis particulièrement reconnaissant de m’avoir ainsi éduqué.

Je t’en prie pardonne-moi, je lui avais promis de ne jamais en parler, mais je ne pouvais te le cacher plus longtemps, je t’aime trop.


Pauline est restée silencieuse. Jean a eu peur de l’avoir fâchée, qu’elle l’aime moins.



Comme elle te l’avait dit, elle est arrivée avec son ami chez nos grands parents. Nous étions réunis, tous les cousins, cousines, onze en tout. De Michel l’aîné, vingt cinq ans, jusqu’à la « petite » Chloé quinze ans, qui était plus grande que moi. En plus, les copines des plus âgés, et Dave l’ami d’Hélène. Il y avait une ambiance terrible, on chahutait, on se baignait, on jouait, et puis le soir on dansait, ou on discutait.

Mes grands parents très compréhensifs, s’étaient réfugiés dans une annexe. Nous avions la maison pour nous. Les filles occupaient les chambres, les garçons avaient monté leurs tentes dans le jardin.

J’étais d’humeur plutôt maussade, tu me manquais beaucoup. Mes parents n’avaient pas voulu que je t’invite, j’étais trop jeune.

J’occupais une chambre avec Hélène. Dave, son ami couchait théoriquement dehors. Mais le soir, pendant notre petit bal ou nos discussions, ils montaient tous les deux et j’attendais leur retour pour aller dormir.

Avec ma cousine, nous couchions dans le même lit. Et, tu la connais bien, elle m’a fait parler. Trouver quelqu’un à qui je puisse raconter mes amours, c’était merveilleux pour moi. Je lui ai tout dit de nos timides caresses, et surtout la promesse que nous nous étions faîte de nous garder l’un pour l’autre.

Elle m’a expliqué que maintenant j’étais une femme. Elle se mettait nue pour s’habiller et m’a convaincue de faire de même. J’ai cédé malgré ma pudeur Après tout, c’était une femme et en plus ma cousine. Elle a comparé nos poitrines. La sienne, tu la connais, était magnifique. À côté, je faisais encore gamine.

Je lui ai avoué que tu me caressais les seins. Elle m’a demandé si je ressentais du plaisir. Je lui ai naturellement dit que oui.



Je t’avoue qu’elle avait une technique diabolique et que, franchement c’était bien mieux qu’avec toi. Je n’ai pu me retenir de gémir de plaisir. Et ainsi petit à petit, elle m’a caressé tout le corps. Sa langue était merveilleuse. J’ai eu un orgasme inouï.

Le lendemain soir, j’attendais avec impatience ses caresses. Aussi dès qu’elle m’a touché, j’ai été au paradis. Elle m’a appris à lui donner du plaisir.

Ce soir-là, nous nous sommes aimées. Mais, m’a-t-elle dit après, ce n’est rien à côté du plaisir que donnent les hommes. Tu peux me croire, j’aime bien tes caresses, mais quand c’est Dave, je saute au plafond.

Ma curiosité était excitée et je voulais la voir faire l’amour avec son copain. Le soir quand ils sont montés, je les ai suivis discrètement. Dans l’escalier, j’entendais les soupirs de plaisir d’Hélène. Je me suis avancée jusqu’à la porte. Elle était entrouverte, la lumière allumée, je les ai regardés s’aimer. Je ne me suis éclipsé que lorsqu’ils ont eu pris leur plaisir. J’étais bouleversée, j’espérais que je connaîtrai avec toi autant de bonheur.

Quand plus tard, nous sommes allées nous coucher, Hélène ne m’a pas caressée.



Elle s’est retournée pour dormir Alors le plus discrètement possible, je me suis masturbée.

Le lendemain soir, elle a consenti à me caresser. Nous étions en tête bêche, en travers du lit, j’étais au paradis quand j’ai vu arriver devant mon visage un sexe énorme. Je n’avais pas entendu entrer Dave. J’ai été surprise, choquée, paralysée, effrayée, ne sachant que faire.



Ils m’avaient donc piégée ! J’ai vu la tige s’enfoncer lentement dans le con que j’étais en train de lécher quelques secondes avant. Je n’avais vu et touché que ton sexe, et encore avec beaucoup de réticence. Là, j’en avais un en action, à quelques centimètres de mon visage.



Et j’ai vu ce cône rose cesser son mouvement, se dégager, et se présenter devant ma bouche. J’étais incapable de réagir. Lentement, doucement il a pénétré, a glissé sur ma langue, s’est immobilisé. Je n’ai pas bougé, me demandant si ce n’était pas un cauchemar. Mais la tige a commencé à glisser dans ma bouche. Un moment elle est allée jusqu’au fond de ma gorge. Puis elle s’est retirée, s’est remise en place dans le con d’Hélène.

Hélène clamait son bonheur. Dave a cessé tout mouvement, s’est dégagé. Ma cousine a basculé sur le côté, me dégageant.



Je me suis retrouvé face à Hélène, Dave s’est placé derrière moi. Entre mes fesses je sentais son gourdin.



Ce que je voulais, je n’en savais plus rien. Plus de grands principes, mais une peur de ne pas me montrer à la hauteur, de ne pas me comporter en femme.

Hélène a pris ma main et l’a posée dessus l’obélisque dressé. Je t’avais branlé quelquefois, je savais comment faire, mais il me paraissait plus gros, plus dur.

Guidant mon poignet, elle a dirigé le sexe sur mon bouton. Et elle m’a branlée. Mais je dois reconnaître que je l’aidais beaucoup et bientôt je l’ai fait toute seule. Mon plaisir était immense et je sentais que j’allais jouir.



Je lui ai obéi, me doutant de ce qui allait se passer, mais j’étais trop bien, ils étaient si gentils.



Et lentement il s’est avancé. C’était bon. Puis il y a eu une résistance. J’aurais du l’arrêter, mais je suis restée muette. Et quelque chose a craqué entre mes cuisses. Doucement, il a progressé, écartant mes chairs. J’avais un peu mal, j’étais à la fois heureuse d’être femme, et navrée de te tromper.

Quand son pubis a touché le mien, il s’est immobilisé. La main d’Hélène est venue entre nous deux pour me caresser le clitoris.



J’avais oublié toutes les précautions que je m’étais juré de prendre, le SIDA ou tomber enceinte. Au point où j’en étais, autant leur faire confiance.

Cette présence en moi me surprenait plus qu’elle ne me blessait. Il est vrai que ma cousine usait de toute sa science pour me donner du bonheur. Une légère sensation de plaisir m’a fait gémir et sursauter, ce n’était pas l’orgasme, mais ce n’était pas trop mal pour une première fois.

Dave s’est retiré, sans avoir toujours débandé.



Elle s’est mise à quatre pattes, il est venu derrière elle. De la main, elle l’a guidé vers sa rondelle et il s’est enfoncé dans son cul. J’avais entendu parler de ça, mais je pensais que ce n’était qu’un fantasme qui faisait rêver les hommes. Mais non, là, devant mes yeux, ma cousine se faisait enculer.

Après quelques minutes, Dave s’est immobilisé, son visage s’est crispé, exprimant sa jouissance. Puis, il s’est dégagé, est descendu du lit, est parti vers la salle de bain. Hélène m’a pris dans ses bras et m’a embrassé chastement, tendrement, comme le fait une mère qui console son enfant.



Quand nous avons entendu Dave descendre l’escalier nous sommes allés nous doucher ensemble.

J’ai mis longtemps à m’endormir, taraudée par un double sentiment : être femme et t’avoir trompé. Le matin, Hélène était souriante comme si rien ne s’était passé.

Toute la journée j’ai pensé à la scène de la veille. Je me dégoûtais d’avoir cédé. Mais par ailleurs j’aurais bien aimé recommencer.

Le soir nous sommes montées toutes les deux et avons commencé à nous caresser. Mais je n’y avais plus autant goût, j’aurais aimé faire l’amour avec un homme.



Derrière la porte, il n’attendait que cela. Et pour la première fois j’ai eu un orgasme.

Pendant près d’une semaine, il est venu tous les soirs et nous a contenté toutes les deux. Puis les grands parents, qui ne se doutaient de rien, craignant seulement que je sois témoin de leurs amours, ont expliqué très clairement à Hélène et à Dave qu’il valait mieux qu’ils partent.

Et lorsque au mois d’août nous nous sommes aimés, j’ai joué les vierges, et toi de ton côté tu te faisais passer pour puceau. Mais au moins nous avons connu le plaisir dès notre première union. Et tous deux nous le lui devons.

Voilà la raison pour laquelle je l’ai moi aussi choisie, pour le même motif que toi.



Hélène était descendue de Paris pour la semaine. Jean et Pauline l’ont invité à manger et lui ont révélé qu’ils s’étaient tout dits. Et surtout qu’il la remerciait de son initiative.

Elle a éclaté de rire, heureuse de ce dénouement. Elle devait loger chez ses parents, mais elle est restée chez eux. Et les nuits suivantes ont été plutôt mouvementées.