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n° 14022Fiche technique12716 caractères12716
Temps de lecture estimé : 8 mn
27/08/10
Résumé:  Une rencontre en forêt entre un homme et une compagne un peu "particulière"... Une relation torride et passionnée.
Critères:  hh forêt voiture hsodo tutu -travesti -transsex
Auteur : Freestyle      Envoi mini-message
Rencontre merveilleuse avec Deborah

Rencontre merveilleuse avec Déborah



Nous avions fait connaissance sur un site de rencontre. Je cherchais une compagne pour un trio avec mon épouse et j’avais été intrigué et captivé par la beauté des photos de ton profil. Rien de bien particulier, si ce n’est que je cherchais une femme et tu en étais une, mais un peu particulière. Ton sexe était celui d’un h…


Nous nous plaisions à passer de longues heures ensemble à fantasmer sur notre éventuel futur trio. Toutefois, les négociations avec mon épouse pour la réalisation d’un trio n’avançant pas, nous décidâmes finalement de nous voir à deux. Un après-midi rien qu’à nous. Nous avions fini par nous rendre compte que nous avions beaucoup de choses en commun…


Je partis donc te rejoindre un samedi après-midi ensoleillé, que dis-je, caniculaire.


Me voici donc sur ce sentier, face à toi rayonnante. Je m’approche lentement et je t’effleure du bout des doigts, toi rougissante… Tu soupires agréablement. Moi je t’enlace doucement, mes mains courant sur ton corps, caressant ta nuque ; toi, tu te serres contre moi. Déborah, tu te blottis contre mon corps chaud et protecteur.


À ce moment, je laisse glisser mes mains sur la courbe de tes reins ; tu approches tes lèvres des miennes.

Je te presse contre moi et nous nous embrassons… longuement, passionnément durant de longues, longues minutes de plaisir et de découvertes mutuelles.

Dans la chaleur suffocante, nos corps se serrent, s’apprécient…


Nous sommes à la lisière d’un bois et je te caresse, toi vêtue de cette magnifique robe rouge et de tes talons aiguilles.


Nos baisers d’abord timides se font plus fougueux et nos désirs se devinent sous les tissus qui collent à nos peaux. Je presse mon bas-ventre contre le tien pour que tu sentes mon sexe dur. La chaleur moite attise nos pulsions et déjà mes mains glissent sur tes fesses dont je découvre les courbes à travers la toile de ta robe. Tu pousses de petits soupirs…


Tu ne restes pas inactive, tu m’as poussé sur la portière de ta voiture et tu as commencé à déboutonner ma chemise… Je ne me lasse pas de ta bouche, de ton rouge à lèvre rouge Dior et de ton parfum Chanel n°5.



Tu caresses mon torse velu et musclé et tu savoures mon parfum de macho. J’adore les blondes, elles savent y faire.


Mes mains passent sous ta robe, tes fesses sont douces. Tu portes un string en soie et dentelle, sans doute rouge. Mes doigts s’approchent de ton « vagin » et tu ondules la croupe au maximum pour en profiter au mieux.



De ma main gauche, je caresse tes seins. Après quelques instants de ce traitement, alors que mon sexe est collé à ton « clito », tu n’y tiens plus et tu ouvres ma braguette. Tu t’accroupis et extrais difficilement ma queue. Elle se dresse bien droite devant toi et tu t’étonnes délicieusement de sa belle taille. Tu la glisses doucement entre tes lèvres légèrement entrouvertes et passes ta langue délicatement sur mon gland et sa toute petite ouverture où tu perçois une délicieuse petite goutte de liquide séminal que tu avales goulûment.


Ta langue parcourt toute cette belle hampe dressée et puis tu la glisses toute dans ta bouche jusqu’au fond de ta gorge ; ce qui me fait pousser un petit cri de plaisir et poser ma main sur ta nuque. J’accompagne gentiment ton mouvement de va-et-vient et tu insistes à chaque fois que je suis tout au fond de toi. Tu sens mon bassin qui se met à tanguer comme si je te prenais comme une véritable femme. Ma respiration se fait de plus en plus courte et tu m’entends gémir de plaisir en me priant de continuer et en te disant que j’aime.


Ceci décuple ton envie de moi et tu glisses tes mains sur mes bourses si douces. Tu te mets à les pétrir délicatement. Mon souffle est de plus en plus court et je te dis que je vais venir ! Tu me demandes de continuer pour que je puisse jouir en toi. Tu ressens tout à coup une bonne giclée de mon liquide contre ton palais et ta bouche s’emplit de moi. Tu aimes et d’autres grandes giclées suivent en te rendant folle de joie et de moi.


Deborah, tu lèches soigneusement mon organe qui ne débande pas et puis tu te relèves, la bouche encore remplie de mon précieux liquide, tu te mets à m’embrasser longuement en prononçant bon an mal an que tu m’aimes et que tu veux que nous deux, cela continue le plus longtemps possible. Lentement, je me remets à bander…


Tu t’accroupis à nouveau et tu joues du bout de la langue avec le sommet de mon méat, tu me caresses, me lèches… Ni tenant plus, je t’ordonne :



Tu m’engloutis alors d’un trait, elle est grosse! Je sens qu’elle te plaît. Tu vas et tu viens et je t’encourage :



Quelques minutes de ce traitement et je retire ta tête en arrière :



Je te relève et te plaque dos à moi, mes mains sur ton clito bien tendu, je te le caresse doucement. Je joue avec le bout de tes tétons. Ils sont durs :



Je n’y tiens plus, je te retourne et te colle à l’auto. Je soulève ta robe et m’accroupis à mon tour, je veux te rendre ta caresse. J’écarte ton string bordeaux. Je saisis ton clito du bout des doigts. Je joue avec le sommet de ton aiguillon amoureux, ma langue va-et-vient ; je te prends du bout des lèvres, tu gémis de plus belle… Mes doigts caressent ton « vagin », lentement mais sûrement, je ramène la salive qui s’écoule de mes lèvres sur ton clito vers ton vagin.


Je lèche et mes mains caressent tes fesses… Un doigt et puis deux entrent dans ton vagin.



Tu te trémousses et mouilles davantage et ton corps commence à tanguer comme un bateau ivre. Quelques va-et-vient et tu laisses perler au bout de ton clito une goutte salée !



Tu souris… Cela fait une semaine que tu ne t’es pas touchée comme je te l’ai demandé, tu t’es abstenue !

Un rien suffirait à te faire jouir, exploser…



Mais tu ne veux pas que cela vienne si rapidement ! Tu veux que cela dure infiniment…

Nous nous embrassons fougueusement! L’un contre l’autre, nos bas-ventres en feu… Tu penses alors :



Nous nous embrassons fougueusement ! Nos langues se marient et se lancent dans un ballet incessant où nos cœurs se mettent à battre de plus en plus fort, tellement nous avons envie l’un de l’autre. L’un contre l’autre, nos bas-ventres en feu… Je t’adore :



Hmmmmmmm, ces mots t’enivrent et décuplent tes déhanchements qui, naturellement, déjà, ont commencé.


Je veux que tu sentes à quel point je te désire ; je te retourne, tu t’appuies sur la voiture, bras tendus, jambes écartées, croupe relevée au maximum ! Et ce, pour me présenter au mieux ta petite grotte d’amour où tu aimerais que je plonge corps et biens.

J’ordonne doucement :



Tu te mets alors à tortiller du cul. Tes déhanchements de plus en plus marqués m’excitent de plus en plus et tu sens la pointe de tes tétons se durcir d’un plaisir envahissant tout ton corps. Je colle ma verge tendue à la raie de tes fesses et déjà, je sens ton clito qui se tend.


Je relève ta robe et colle ma queue à ton entrejambe, tu bascules ton bassin d’avant en arrière et stimule mon gland. J’ai entrouvert le haut de ta robe et mes mains massent le bout de tes seins au travers de la guêpière bordeaux en soie que tu portes. Plusieurs minutes s’écoulent et mes mains passent de tes seins à ton clito. Je sens que tu mouilles au travers de ton string… Je n’y tiens plus, je l’abaisse, me penche et lèche ton vagin, le lubrifiant au maximum de salive, mes doigts courent sur ton clito. Au bout de deux minutes de ce traitement, tu cries :



J’entre alors deux doigts et exerce un lent va-et-vient.



Ce mot Amour t’électrise au plus haut point et ton corps se met à tanguer encore davantage pour que j’aille encore plus profond en toi. Tu gémis de plaisir, tu tortilles du cul sur mes doigts et le regard hagard, tu cries :



Je n’y tiens plus, ma bite remplace lentement mes doigts et j’entre doucement dans ton vagin en te disant :



Et tu me réponds :



Toute cambrée, tu tournes alors la tête vers moi et tes lèvres cherchent les miennes. Elles se rejoignent et je t’embrasse avec une passion que tu n’as jamais connue. Je te remplis ainsi du haut et du bas et nous aimerions que ce moment jamais ne s’arrête. Nos corps sont dans une danse ressemblant à une transe et je te susurre que je t’aime et que je t’aime et que je veux que jamais cela ne cesse et tu en fais tout autant.


Tu veux que je te fasse sentir ma jouissance en explosant en toi, tu veux que je crie dans ta bouche, ça y est, tu viens, tu es à moi et dis-tu :



Ta jouissance s’écoule le long de ton clitoris. Je passe mes doigts pour en recueillir un peu et je te les donnes à sucer. Je te dis :



Ces paroles te rendent folle et ivre de bonheur et, en accentuant encore tes mouvements de bassin, tu provoques mon orgasme où je t’hurle tous les mots écrits précédemment. Un petit vent frisquet fait ondoyer ta petite robe qui nous caresse les cuisses et délicatement je me glisse hors de toi. Nous nous regardons dans les yeux où tu vois poindre une petite larme de bonheur.


Satisfait, je te donne la main et t’invite à t’asseoir près de moi, dans la voiture.


Je te confie que ce fut extraordinaire et que je n’avais jamais connu cela. Tu en fais de même et longuement encore nous nous embrassons sous le regard de chalands qui envient notre bonheur.

Je te dis tendrement:



Tu m’avoues que non et gentiment, je te dis :



Je démarre simplement la voiture. Je n’ai pas mis vingt minutes pour rejoindre le petit magasin et en te prenant par la main, je t’y fais entrer. Je confie quelques mots à la vendeuse et je te prie de te rendre dans la cabine…


à suivre…