n° 14025 | Fiche technique | 20944 caractères | 20944Temps de lecture estimé : 13 mn | 29/08/10 |
Résumé: Souvenirs de vacances. | ||||
Critères: fh couplus extracon fépilée vacances amour intermast facial fellation cunnilingu confession -entrecoup | ||||
Auteur : Lekteur Envoi mini-message |
Mercredi 28 juillet
21 h 00
Ma chérie,
Voilà dix jours déjà que nous avons quitté la maison. Les enfants sont heureux d’être à Nice et de profiter de la plage.
C’est dommage que tu n’aies pas pu te joindre à nous mais, que veux-tu, ton travail ne nous a pas laissé le choix.
Tu me manques et mes nuits sont agitées, tellement je pense à toi.
Ici c’est la ville de tous les excès. Les femmes sont court-vêtues et c’est un vrai régal pour les yeux. Sur la plage chaque jour, nous avons droit à un défilé de starlettes, toutes plus coquettes les unes que les autres…
J’ai parfois du mal à rester zen devant tous ces corps dénudés et tu me manques.
Hier, nous sommes allés dans l’arrière-pays niçois pour rechercher un peu de fraîcheur. Nous avons trouvé un vieux château en ruine qui domine toute la vallée et nous nous sommes installés à l’ombre des pins. Pendant que j’organisais notre pique-nique, les enfants sont allés jouer au foot.
J’ai vu arriver un couple avec deux enfants de l’âge des nôtres et c’est naturellement qu’ils se sont mis à jouer au foot ensemble.
Je me suis rapproché d’eux pour les surveiller et c’est ainsi que j’ai fait connaissance de leur parents. Ils s’appellent Stéphane et Estelle et leurs enfants se prénomment Lyse et Theo.
Lui, a 40 ans et est plutôt sportif. Il est brun, doit mesurer près de 1 m 80. Il est plutôt beau gosse et d’un naturel enjoué.
Elle, a 36 ans, est blonde et assez petite. Elle est fine mais dotée d’une poitrine généreuse. Elle semble plutôt réservée.
Ils sont, comme nous, venus chercher un peu de quiétude en altitude. Ils sont bordelais et en vacances pour trois semaines. Nous avons décidé de nous rapprocher pour partager notre repas et surtout pour que les enfants puissent continuer à jouer. Tu verrais comme ils étaient heureux d’être ensemble.
Pendant que nous installions les serviettes pour le repas, j’avoue avoir pris le temps de regarder Estelle de plus près. C’est une belle femme avec des cheveux blonds coupés courts et ses yeux verts sont troublants. Son petit short lui moulait les fesses et, plusieurs fois, j’ai eu une vue plongeante sur ses seins généreux. Quelle belle journée ! La bouteille de rosé qu’ils avaient apportée nous a bien désaltérés et nous a aidés à nous détendre.
À la fin du repas, nous discutions comme si nous nous connaissions depuis longtemps.
Après le repas, Stéphane et Estelle voulaient aller marcher un peu, mais leurs enfants voulaient rester avec les nôtres. Je leur ai proposé de les surveiller pendant qu’ils faisaient leur ballade mais ils ont refusé. Je suppose que confier leurs enfants à un inconnu était inconcevable pour eux et je les comprends.
Du coup, seul Stéphane est allé marcher vers le château et Estelle et moi avons surveillé les enfants. Elle s’est installée sur une pierre à proximité du champ où jouaient nos enfants. Elle était assise les jambes repliées et la tête posée sur les genoux.
Dans cette position, son short dessinait parfaitement les contours de son sexe. Sur les côtés, je voyais les dentelles de sa culotte blanche.
Elle était blonde, je ne pouvais plus en douter. Quelques poils s’échappaient sur le côté et j’avoue que j’étais aux anges.
Abrité derrière mes lunettes je me régalais de ce spectacle.
Je devais être rouge car au bout d’un moment, elle m’a demandé si tout allait bien et si je voulais de la crème pour me protéger du soleil. Je prétextai le rosé et la chaleur et décidai de me lever pour aller me rafraîchir en cachant tant bien que mal une érection naissante.
Quand je me levai, son sourire en coin me fit prendre conscience qu’elle n’était pas dupe de mon petit manège. Et c’est tout penaud que je m’installai un peu plus loin en lui disant que j’allais m’assoupir un peu.
Je me suis endormi un long moment. C’est une pression sur mon épaule qui m’a réveillé. Estelle, accroupie près de moi, me tendait un tube de crème en me disant que si je restais comme ça, c’est une insolation que j’attraperais.
Face à moi une fois de plus, c’est son petit short que j’avais devant les yeux.
Quel délicieux réveil…
Je décidai donc de me lever et de me mettre de la crème. Stéphane est revenu de son escapade au château peu après, et nous avons bu une bière bien fraîche. Il aurait aimé prendre plus de temps pour marcher un peu mais ne voulait pas revenir trop tard.
Ainsi s’acheva notre journée. Nous avons échangé nos coordonnées en nous promettant de nous retrouver bientôt…
Voilà, ma chérie, tu sais tout de notre pique nique. Tu sais que je suis un incorrigible voyeur, n’est-ce pas ?
Si tu avais été là, nous aurions sans doute profité du soleil pour nous livrer à nos petits jeux coquins. Tu me manques terriblement…
Lundi 2 août
20 h 30
Ma chérie,
Notre week-end s’est bien passé. Nous avons chaque jour retrouvé Stéphane, Estelle et leurs enfants à la plage. Stéphane passe sa journée dans l’eau avec les enfants alors qu’Estelle préfère faire la crêpe au soleil.
Notre complicité est indéniable et j’ai hâte de te retrouver afin que tu puisses, toi aussi, faire leur connaissance.
Aujourd’hui, nous sommes retournés en montagne, là où nous avons fait connaissance. Nous avions convenu de nous retrouver là-haut. Ils sont arrivés vers 8 h 30 afin que Stéphane puisse aller marcher un peu.
Avec les enfants, nous sommes arrivés vers 9 h 30. Ils étaient impatients de retrouver leurs copains. À notre arrivée, Lyse et Théo sont venus nous chercher sur le parking, pressés qu’ils étaient de jouer avec nos enfants.
Estelle était déjà installée sur notre lieu de pique-nique. Elle était habillée d’une fine robe d’été qui lui arrivait au-dessus des genoux. Comme elle était belle, ainsi vêtue…
Une fois nos affaires déballées, je suis retourné surveiller les enfants à l’endroit même où la dernière fois, j’avais observé Estelle. Elle m’a rejoint et, elle aussi, s’est mise sur son rocher favori. Même si elle avait pris soin de plier sa robe sur ses genoux et de poser sa tête comme à son habitude, je pouvais clairement voir sa culotte.
Cette fois-ci plus de short pour me cacher la vue… Un vrai moment de bonheur ! J’avais du mal à suivre la conversation et, caché derrière mes lunettes, je n’avais d’yeux que pour son mont de Vénus.
À un moment sa fille nous a rejoints et elles se sont mises à chahuter toutes les deux. J’assistais ébahi à ses mouvements de jambes. J’étais comme hypnotisé par ses trésors et j’ai pu voir que c’était un string qu’elle portait. Il était fait de dentelle bleu-ciel avec un petit papillon rouge sur le dessus. Quelques poils blonds s’échappaient sur le côté. J’ai même cru apercevoir une légère humidité qui m’a laissé songeur.
J’avais une érection terrible et je n’osais plus bouger. Puis Lyse est retournée jouer avec les garçons. Estelle était toujours dans la même position et son string transparent là, à quelques mètres de moi.
Puis elle s’est levée, prétextant une envie pressante. À son retour, j’ai tout de suite remarqué qu’elle avait enlevé son soutien-gorge. Midi approchait, aussi elle m’a demandé de l’aider à organiser le repas. Ses seins pointaient sous sa robe et cela, je t’assure, je ne l’ai pas rêvé. Quand elle se penchait, je pouvais voir ses magnifiques tétons. Ils étaient énormes, j’avais envie de les prendre entre mes doigts.
Puis elle m’a demandé d’aller chercher les enfants pour le repas. À mon retour, j’ai constaté qu’elle avait remis son soutien-gorge.
Surprenant non ?
Pendant que les enfants mangeaient, Stéphane nous a rejoints et nous nous sommes mis à table, nous aussi. Il nous a raconté son périple et nous a dit qu’il lui restait encore un sentier à découvrir. Il espérait que nous pourrions revenir une dernière fois avant la fin des vacances.
Il avait pris quelques photos et notamment un superbe papillon. Je lui ai dit que j’adorais les papillons et que j’en avais vu un, teinté de rouge. À ce moment là, mon regard a croisé celui d’Estelle et j’ai senti qu’il se passait quelque chose. Elle m’a fait un sourire qui en disait long…
L’après-midi s’est déroulé tranquillement et nous nous sommes quittés vers 16 h 30.
Voilà, ma chérie, je t’ai tout dit. Vivement que tu sois là, avec nous.
J’espère que ce soir tu te masturberas encore, comme tu l’as fait la dernière fois… Je t’aime.
Lundi 9 août
17 h 15
Mon chéri,
Quelle bonne idée tu as eue de me dire de prendre l’avion pour vous rejoindre ce week-end. Je suis heureuse de vous avoir retrouvés. Nos retrouvailles ont été torrides, tu ne trouves pas ? Ça fait du bien au cœur et au corps. Malgré la fatigue du voyage, je suis comblée.
Les enfants sont en pleine forme et toi, tu es bronzé comme jamais.
Ça me fait penser à ce que tu dis d’habitude : le meilleur dans le bronzage, c’est le blanc. Un vrai régal.
Tu as eu raison d’organiser ce pique-nique avec Stéphane, Estelle et leurs enfants. Ils s’entendent si bien avec les nôtres…
Estelle est une bien belle femme et je comprends maintenant pourquoi elle te met dans ces états. Et Stéphane… c’est un bel homme et si charmeur…
Moi aussi, j’ai des choses à te raconter. Tu as dû remarquer qu’il avait finalement décidé de rester avec nous et non plus d’aller randonner… Quand nous les avons rejoints près des ruines et que j’ai vu qu’Estelle avais mis un short, je me suis dit que tu serais frustré. Et dire que moi, j’avais mis la petite jupe blanche que tu aimes tant… On ne peut pas gagner à tous les coups…
Quand tu m’as proposé de monter au château prendre des photos après le repas, je me doutais que tu avais des idées derrière la tête mais, si j’ai refusé, c’est que moi aussi j’en avais. Tu m’avais dit que Stéphane y était déjà allé, c’est pour ça que j’ai demandé à Estelle de t’y accompagner. J’espère que tu me raconteras comment s’est déroulée votre balade…
Même si elle a fait mine de vouloir rester avec nous, j’ai beaucoup insisté pour qu’elle t’accompagne n’est-ce pas ? D’ailleurs, tu as dû remarquer aussi que Stéphane a abondé dans mon sens, non ?
Quand vous êtes partis, j’ai rangé les affaires avec Stéphane et comme j’avais dégrafé un bouton de plus à mon chemisier, j’ai vu que je ne lui étais pas indifférente. Si Estelle a une poitrine généreuse, tu conviendras que la mienne ne l’est pas moins.
Apparemment Stéphane aime bien les fortes poitrines. Une fois les affaires rangées, je suis allée m’installer à l’endroit même où tu avais maté Estelle. Tu te souviens quand nous sommes arrivés, tu m’as montré l’endroit… Comme il y avait un peu d’ombre et que nous pouvions surveiller discrètement les enfants, j’ai demandé à Stéphane de me rejoindre. C’est naturellement qu’il s’est installé sur la pierre en face de moi.
Même si j’avais pris soin de replier ma jupe sur mes genoux, je savais qu’il pouvait apercevoir ma petite culotte. Tu sais, j’avais mis mon petit slip blanc en soie, sans les élastiques sur le côté…
Quand à un moment, notre petit dernier nous a rejoints, je lui ai fait de gros câlins et volontairement, j’ai joué avec mes jambes, moi aussi…
Ne va pas penser que c’est par vengeance que je l’ai fait, mais j’avais envie de m’amuser un peu, moi aussi.
Quand nous avons été à nouveau seuls, j’ai bien remarqué la bosse qui déformait son short. Puis j’ai eu l’audace de lui demander si c’était moi qui le mettais dans cet état. Il s’est empourpré et s’est mis à bafouiller qu’il était désolé. Je lui ai demandé si le spectacle lui plaisait, ce à quoi il a répondu que cela valait tous les beaux paysages du monde. Quel charmeur…
J’ai refermé les jambes en lui disant que ce n’était pas juste que ce soit à sens unique. Il était surpris et m’a demandé ce qu’il devait faire. Je lui ai alors dit que, moi aussi, j’aimerai bien voir…
Je n’en reviens toujours pas de mon audace. Moi si prude, avec tant de principes, tu te rends compte ? À croire que j’évolue positivement comme tu le dis si bien… Toujours est-il que je rajoutai que s’il voulait que j’enlève ma culotte, il fallait que de son côté, il libère son sexe.
Devant son absence de réaction, je me suis levée et suis allée un peu plus loin derrière le bosquet pour l’enlever. Quand je suis revenue, je me suis rassise en prenant soin de bien tenir ma jupe. Puis je lui ai montré ma petite culotte. Alors il a baissé son short et son sexe s’est enfin libéré. Il était raide comme un i. Il m’offrait là un merveilleux spectacle.
Sa verge est plus longue que la tienne et plus fine aussi. Par contre, son gland était énorme et violacé comme s’il était à deux doigts d’exploser. J’ai relevé les jambes pour lui montrer mon abricot tout lisse. J’étais trempée, je dégoulinais, j’ai étalé ma mouille sur ma chatte et mon petit trou et me suis masturbée.
À un moment, il m’a demandée s’il pouvait me toucher mais j’ai refusé. Il m’a dit qu’il comprenait et m’a demandé ma petite culotte. Il l’a portée à son nez tout en continuant à se masturber. Moi, je continuais de me caresser. Mes doigts s’agitaient sur mon petit bouton et s’enfonçaient tantôt dans mon côté pile tantôt dans mon côté face.
J’étais comme hypnotisée par son gland qui disparaissait et réapparaissait sans cesse. Soudain il s’est contracté et s’est vidé à grands jets sur ma petite culotte. C’en était trop pour moi, j’ai enfoncé trois doigts dans ma chatte et j’ai joui moi aussi.
Il m’a alors rendu ma culotte. J’ai pris un mouchoir pour m’essuyer tellement j’étais trempée et en ai profité pour essuyer ma culotte. Je l’ai remise en le regardant droit dans les yeux. Il m’a tendu la main pour me relever et, ensemble, nous sommes allés rejoindre les enfants.
Quand vous êtes arrivés nous avons continué à discuter comme si de rien n’était et la suite de l’après-midi, nous l’avons passée ensemble jusqu’à ce que vous me déposiez à l’aéroport.
Et toi mon amour, tu m’as promis de me dire comment s’est passée ta balade.
J’attends de te lire avec impatience….
Lundi 09 août
Ma chérie,
Je n’en reviens pas. Tu me surprendras toujours, et c’est pour ça que je t’aime. Je suis content que tu aies pu, toi aussi, prendre du plaisir…
Quand nous vous avons quittés, nous avons pris le petit sentier menant au château. Estelle était devant moi et je n’avais d’yeux que pour ses fesses. Je pouvais deviner qu’elle portait un string. Tout en discutant, nous avancions en nous extasiant du paysage. Je lui ai dit que j’espérais encore voir des papillons rouges. Elle m’a répondu avec un sourire coquin qu’une fois au château, on les chercherait ensemble.
Nous avons donc continué notre ascension. Arrivés là-haut, nous avons découvert un superbe paysage. Le château comportait plusieurs pièces ouvertes. Dans l’une d’elles, il y avait une petite ouverture qui devait, à l’époque, être une fenêtre par laquelle on avait une vue sur toute la vallée.
« Viens voir » m’a dit Estelle. J’ai dû me rapprocher d’elle pour accéder à la fenêtre et pour regarder par dessus son épaule. Elle a pris appui sur moi tout en me détaillant le paysage. Je sentais ses fesses bouger contre mon sexe. Elle ne pouvait plus douter de mon désir. Je lui susurrai à l’oreille que je n’avais pas vu de papillon et elle me répondit que je n’avais sans doute pas bien regardé.
Puis elle tourna la tête et déposa un baiser sur le coin de ma bouche. Mes mains se posèrent alors sur ses hanches et remontèrent jusqu’à ses seins. Je pouvais sentir les pointes dressées. Ses deux obus étaient fermes. J’ai alors passé mes mains sous son tee-shirt et l’ai remonté tout doucement.
Elle me tournait toujours le dos, aussi j’en profitai pour dégrafer son soutien-gorge et tomber l’ensemble. Dans cette position, je pouvais à loisir les soupeser et les caresser. Je l’ai retournée afin de pouvoir mieux les voir. Ses mamelons étaient énormes et roses. Les pointes étaient érigées et quand je les mordillai, je l’entendis soupirer.
Tout comme toi, cette caresse semblait lui plaire énormément. Puis je me suis mis à genoux, j’ai déboutonné son short et tiré la fermeture. Je l’ai fait glisser et je l’ai aidé à passer ses chaussures. Le papillon était là, devant moi, comme la récompense promise.
Qu’elle était belle ainsi, en string et chaussures de marche avec les chaussettes repliées !
J’ai alors déposé un baiser sur le petit animal qui trônait au-dessus de sa fente et j’ai rehaussé son string sur ses hanches. Malgré sa toison fournie, je pouvais voir clairement les contours de son abricot. J’ai joué un moment avec l’élastique puis je l’ai retournée afin de contempler son petit cul.
Quand à nouveau j’ai saisi le string sur ses hanches, elle s’est cambrée et s’est accoudée à la fenêtre. J’ai fait glisser doucement la ficelle qui séparait chacune de ses fesses et ai fini par la mettre nue, en lui laissant uniquement ses chaussures. Elle a écarté les jambes et rapproché son cul de mon visage. J’ai commencé par l’embrasser puis j’ai écarté ses lobes et ai glissé ma langue dans son sillon.
Dans cette position, je pouvais voir les lèvres de son abricot ouvertes et gorgées de désir. Tandis que ma langue forçait son canal secret, mes doigts étaient littéralement engloutis par sa chatte ruisselante.
Mon pouce s’activait sur son clitoris et il ne lui fallut pas longtemps pour exploser de jouissance. Je continuai à la caresser doucement jusqu’à ce qu’elle reprenne ses esprits. Alors elle se retourna, me releva et me roula une pelle terrible… Puis elle me colla contre le mur et me dit : « à moi de te donner du plaisir maintenant ».
Elle ouvrit un à un les boutons de ma chemise et caressa longuement mon torse. Puis elle s’accroupit et descendit mon short. Mon sexe déformait mon boxer. Elle me caressa doucement puis libéra ma verge qui se dressa devant elle.
Elle déposa délicatement une série de bisous puis décalotta mon gland. Du bout de la langue, elle le lécha sur toute sa longueur avant de le frotter contre son visage. De la voir ainsi à genoux devant moi m’excitait terriblement.
Elle posa ses deux mains sur mes hanches et commença à engloutir ma bite. Elle la mit entièrement dans sa gorge en faisant des mouvements de va-et-vient. À chaque fois elle le relâchait entièrement et le reprenait au plus profond de sa bouche.
Puis elle prit sa main et commença à me masturber, d’abord tout doucement, puis de plus en plus vite. Elle l’avait mouillé abondamment et le regardait grossir de plus en plus.
N’y tenant plus, j’éjaculai à grands jets sur son visage et sur ses seins. Mon sexe n’en finissait plus de se vider. Elle étala mon sperme sur son visage avec ma queue puis me suça doucement.
Alors elle remonta mon boxer et mon short, puis prit un kleenex pour effacer les traces de mon outrage. Je la rhabillai à mon tour après avoir passé ma langue dans sa chatte et posé un baiser sur son petit papillon.
Nous sommes redescendus vers vous en nous promettant de nous revoir bientôt à Angers ou à Bordeaux.
Voilà ma chérie, la fin de mon aventure. J’espère que tu as pris autant de plaisir à la lire que moi à l’écrire.
Je t’aime