Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14026Fiche technique93577 caractères93577
Temps de lecture estimé : 53 mn
30/08/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  La relation charnelle Gendre - Belle-Mère que nous entretenons perdure mais un changement inattendu vient troubler notre secret.
Critères:  ffh fplusag extracon alliance exhib noculotte lingerie fgode pénétratio fdanus fsodo hdanus hgode confession -couple+f -bellemere
Auteur : Ducfranck            Envoi mini-message

Série : Belle-maman

Chapitre 03 / 04
Douce belle-maman

La relation charnelle Gendre – Belle-mère que nous entretenons perdure mais un changement inattendu vient troubler notre secret.


Pour les présentations je vous invite à lire les deux textes précédents (n° 12452 et 13294).



oooOOOooo



Depuis la rentrée scolaire le train-train a repris, j’emmène le fiston à l’école avant d’aller travailler et la douce Huguette va le chercher en fin de journée. Je les retrouve chez nous dès que je suis libéré de mes obligations. Il n’y a que le mercredi où Jules passe la journée complète chez sa grand-mère.


Comme les rentrées précédentes nos relations sont empruntées comme si les congés qui nous ont tenus séparés avaient mis les compteurs à zéro. Les premières semaines nous nous faisons de petites caresses sur les bras, dans le dos mais rien de vraiment sexuel, même nos baisers sont chastes.


J’aime bien cette période où nous redevenons adolescents, où nous nous cherchons pour voir si nous sommes toujours d’accord pour poursuivre. Il est très agréable de ressentir son cœur se pincer, d’attendre avec impatience le moment de se revoir. Je suis accroc à sa présence, j’aime son odeur, sa voix, ses yeux verts, Huguette est ma drogue. Une addiction à laquelle jamais je ne me ferai désintoxiquer.




– 1 –



La relation véritablement charnelle de cette rentrée débute lorsque nous nous retrouvons devant la salle où se tiennent les réunions de l’association dont nous faisons partie. Il est vingt heures et nous sommes un groupe de six personnes à patienter. Au bout d’une quinzaine de minutes Gérard, l’un des membres, reçoit un coup de fil du président et nous fait part de la nouvelle :



Je vous fais grâce de la suite car il y a quelques tensions dues à des divergences d’opinions dans l’association et notre Gérard s’est énervé vertement. Les esprits calmés notre groupe se sépare.

Avec ma douce Huguette nous nous retrouvons seuls et elle me propose, souriante, d’aller nous restaurer. C’est à pied que nous traversons le centre de Bagnols-sur-Cèze pour aller manger sous les arcades, place de la mairie. Le souper est plus que correct, le vin excellent et la douloureuse passe d’autant mieux que c’est belle-maman qui invite.


Nous marchons dans les rues désertes et silencieuses de la ville-dortoir pour retrouver mon véhicule. Nous ne nous pressons pas, une main passée sur ma hanche me maintient contre elle, je fais de même en posant une main sur son postérieur. Nous sommes amoureux, insouciants, nos baisers sont longs et langoureux. Il n’y a personne et nous en profitons, un peu trop peut être…


Face à face, nous nous enlaçons, ma cuisse vient frotter son mont de Vénus, les tissus de nos pantalons sont largement humides. Je la coince contre la vitrine d’une agence de voyage en lui pelotant la poitrine par-dessus son pull. Sa main gauche frotte sans ménagement la bosse de mon entrejambe. Cela devient plus bestial, nos bouches sont avides, nous perdons toute notion.


Ma boucle de ceinture tombe, les boutons ne maintiennent plus mon pantalon ; c’est à pleine main qu’elle me masturbe. Je ne suis pas en reste, mes doigts glissent sur ses poils pubiens et titillent sans discontinuer ses zones sensibles. Nos gémissements ne cessent que lorsque nos lèvres sont scellées. Une deuxième main est montée sous le pull pour caresser sa poitrine, les tétons sont pincés et roulés entre l’index et le pouce. À chaque pression, je ressens une différence sur le rythme appliqué à mon sexe.

Je fais de vagues tentatives pour la pénétrer mais nos pantalons nous gênent. Huguette me susurre à l’oreille de continuer à nous caresser, j’écoute et mes mains reprennent leurs positions. Nous jouissons tous les deux, nos gémissements résonnent contre les murs, nous sommes seuls au monde.


Silence. Durant quelques secondes nous sommes muets, statiques, nos yeux sont les seuls organes dotés de vie. Un petit bisou tout doux sur les lèvres et nous nous rhabillons à la va-vite. Puis, toute contente, je la regarde lécher et sucer les doigts de sa main qui étaient quelques temps auparavant autour de mon cylindre. Je fais de même avec celle qui a joué avec son fruit juteux. La scène n’est sûrement pas des plus stylisée pour des hypothétiques spectateurs mais pour nous, qui nous regardons droit dans les yeux, il en dégage une atmosphère torride.


Rebelote, nous nous sautons au cou pour un baiser puissant et sans fin. Le problème est que nos sens sont de nouveau en émoi. Les mains se font moins sages, les baisers plus torrides. Cette irrépressible envie de forniquer revient en puissance, nous sommes repris par cette tornade et c’est le crissement, au loin, d’un pneu qui nous fait reprendre nos esprits.



Je ne réponds pas, je me contente de la regarder remonter un à un les boutons de son pantalon. Je la trouve superbe en train de se rhabiller, de redescendre son pull, de remettre sa veste en place. Je la prends par la main et nous marchons vers le parking.


Arrivés à la voiture nous rencontrons trois jeunes que nous suivons à l’association. Heureusement nous ne nous tenions plus ! Quelques palabres et un bon sermon sur le fait de méfu de la beu. Eh oui, les lascars arborent un joint odorant de belle taille qu’ils se passent en souriant.

Un garçon en particulier reçoit les foudres de mes paroles, car nous avons eu de longs entretiens et nous avons réussi à lui faire intégrer un BTS en alternance. Je lui demande de passer me voir à la permanence le jeudi suivant et nous prenons congé.


Aussitôt dans la voiture Huguette me demande de démarrer et de ne plus m’arrêter jusqu’à ce que je la dépose chez elle. Je n’ai pas le temps de faire tourner la clef dans le contact qu’elle défait mon pantalon. Le moteur tourne à peine que sa bouche enserre mon pénis frétillant. Sa technique est infaillible et je dois me concentrer comme jamais sur la conduite du véhicule. D’habitude, lorsqu’elle me gratifie d’une fellation en voiture, je stoppe rapidement ; ce soir la donne est différente, j’ai eu l’ordre de continuer quoi qu’il se passe. Les sensations au niveau de mon bas-ventre sont fantastiques, la vitesse de déplacement de l’auto en témoigne. Je me traîne péniblement en seconde dans la ville pour rejoindre le quartier de ma coquine. Garé devant chez elle, je suis déjà propre et reboutonné. Je lui propose de lui donner du plaisir à mon tour mais elle refuse en me bâillonnant d’un baiser visqueux aux effluves musqués. Ces parfums me tournent la tête et mes mains tentent une exploration plus poussée. Belle-maman s’écarte, ouvre la portière et me souhaite une bonne soirée.


Je rentre à la maison frustré de ne pas avoir pu lui rendre la politesse. Durant le trajet jusqu’à mon village, je n’aurais de cesse de matérialiser son sexe dans mes pensées. C’est toujours en rêvant que je marche pour ouvrir le portail ; c’est en bloquant le deuxième battant que je tombe comme une merde – désolé, mais il n’y a pas d’autre mot – dans une flaque d’eau. C’est donc complètement trempé que je rentre chez moi.


Marine éclate de rire en me voyant me dessaper dans le hall et entasser mes habits imbibés de boue. Je fais la moue pour donner le change, mais intérieurement je suis content car la boue cache les effluves de parfum et de sécrétions qui maculent les tissus. Sans lui faire de bisous, je file à la salle de bain me laver le corps mais aussi les dents car je ne sais pas comment je pourrais lui expliquer mon haleine. À moins de mentir et de lui raconter que je suce des hommes dans les vignes, mais là je m’égare.


En tous les cas, ce fou-rire a eu du bon puisque ma femme est venue me rejoindre sous la douche quelques minutes après…



oooOOOooo



Le lendemain, Huguette vient chercher le petit Jules à la maison comme tous les mercredis car c’est elle qui s’en occupe aussi lorsqu’il n’a pas école. Elle est adorable, elle vient avec des viennoiseries pour son petit-fils, j’essaie d’en subtiliser une mais je me fais réprimander.



Je les regarde partir en oubliant même de lui demander un bisou, il faut dire que je suis hypnotisé par belle-maman. Sa tenue sexy y est pour beaucoup, bottes mousquetaires à hauts talons, jupe trapèze, résilles sur les jambes, bustier et par-dessus, une veste courte en cuir. Elle ne fait pas du tout son âge, une tenue pareille est dure à porter sans paraître vulgaire, eh bien, elle y a réussi. Dès qu’ils disparaissent de ma vue, je prends la porte.


Toute la journée je suis aux abonnés absents, je n’arrive pas à me concentrer. Les seules données que veut bien mettre en disposition mon cerveau sont celles en rapport avec la veille au soir et les visions enchanteresses du matin.


Je peux vous dire que je n’ai pas traîné pour sortir du boulot pour aller chercher mon fils chez belle-maman. Je sonne, le fiston m’ouvre et me prend illico la main pour me montrer le garage qu’il a fabriqué en Lego. J’ai juste le temps de saluer ma maîtresse qui, par bonheur, n’a pas changé de tenue. Pendant que je m’amuse avec Jules assis par terre, Huguette vient me passer le téléphone, c’est Marine qui appelle pour dire qu’elle rentrera tard car elle a une réunion sur la fusion de son entreprise avec un grand groupe. Donc pas besoin de l’attendre pour souper car ils ont prévu de se faire livrer à manger par un traiteur. Dès que j’ai raccroché, belle-maman me dit :



Le petit garçon exulte et j’acquiesce en silence, trop content de passer la soirée ici. Je reste un long moment à profiter du fiston tandis qu’Huguette s’affaire en cuisine. Elle revient pour demander à son petit-fils s’il veut prendre son bain.



Je suis la petite troupe dont la femelle dominante fait tanguer dangereusement son adorable croupe. Je reste en retrait dans la salle de bain et, pendant que Jules se déshabille, je regarde la belle mamie mettre le tapis antidérapant, régler la température de l’eau. Elle exhibe ses charmes comme au début de notre relation, la seule différence est l’absence de lingerie. C’est avec délectation que je me régale de voir le haut des bas-résilles, ses cuisses musclées, et même dans certaines positions, je peux voir les deux entrées que j’aime tant visiter.


Pour laver le turbulent garçonnet Huguette s’agenouille et se penche sans avoir omis de relever la jupe puis d’écarter ses jambes pour avoir plus de stabilité. Je m’approche, mais pas trop près pour ne pas avoir le reflexe de la toucher ; à cette distance je peux même voir l’humidité faire luire ses lèvres boursouflées. La rosette de son anus semble frétiller, c’est sûrement une illusion d’optique due à mon envie d’y plonger la bouche. Malheureusement le bain est de courte durée, enfin c’est l’impression que j’en ai eue. Le séchage donne lieu à quelques vues dignes d’intérêts.


Après quelques jeux, nous passons à table, Jules en bout de table. Huguette reste très sage à part quelques agacements de ses pieds sur mes jambes. Un long câlin sur un fauteuil avec le fiston puis je vais le coucher dès que je sens que sa tête devient lourde.



Je m’apprête à accueillir ma douce dans les bras lorsque je la vois repartir, à regret, vers la cuisine. Je patiente quelques longues minutes à zapper car la télévision était verrouillée sur une chaîne enfant.

Belle-maman revient avec un plateau qu’elle dépose délicatement sur la table basse : café, fine champagne, gâteaux et chocolats le composent.



Je prends une tasse de café accompagnée d’un chocolat noir truffé pendant que nous parlons. La coquine fait dévier nos paroles sur une certaine soirée où nous nous étions avoué nos envies érotiques. La température monte de plusieurs crans en l’espace d’un petit quart d’heure. Je commence à être sérieusement à l’étroit dans mon slip, Huguette s’en aperçoit mais feint de ne rien voir et continue en me questionnant.



Le bustier n’est maintenu que par de fines bretelles et sa poitrine est généreusement soulevée vers le haut. Tout simplement superbe. Les mains sur ses genoux sagement joints, elle tient le petit verre à digestif et m’écoute en plantant ses pupilles dans les miennes. J’ai du mal à soutenir son regard lorsque je dévoile, à nouveau, mes envies les plus cachées. Surtout qu’Huguette ne se gêne pas pour me demander le plus de détails possibles. Je suis à la fois mal à l’aise (pourtant elle les connaît, je ne devrais pas être honteux) et très excité de rouvrir la porte de mes secrets.



Comme la dernière fois, je ne me fais pas prier pour aller visiter son entrejambe. Je pose mes mains sur ses genoux que je caresse doucement, j’adore sentir le nylon sous mes doigts puis, fermant les yeux, je balance mon visage vers le triangle. Surprise, mon nez n’est pas accueilli par la douceur moite de son sexe velu, le contact est plutôt frais. J’ouvre les yeux mais à cette distance et dans la pénombre, je ne vois qu’une masse sombre. Toujours à genoux je me redresse, jette un coup d’œil à la douce coquine dont le visage est radieux, et j’appuie sur l’intérieur de ses genoux.


Cette nouvelle surprise est de taille, dans tous les sens du terme. En effet, les cuisses s’écartant, la jupe est remontée vers ses hanches ce qui a libéré le sexe factice qui est emprisonné dessous. Une culotte latex noire et brillante maintient la tige de vinyle qui a la même teinte.



Je mets quelques instants à ingurgiter cette nouvelle donne avant de répondre par l’affirmative.



Il est vrai que je lui ai avoué que j’aimerais avoir une expérience homosexuelle et si cet appareillage ne peut remplacer un être de chair, cela s’en rapproche. Surtout que mon postérieur a eu l’habitude d’accueillir quelquefois les jouets de mon adorable belle-mère.

La seule chose qui m’inquiète un peu, c’est la taille de l’olisbos, il est un peu plus large que les joujoux habituels. D’ailleurs mon pénis est aussi de taille inférieure, Madame a envie de me remplir et l’expression de son visage trahit son envie d’essayer.


Elle prend mon visage à deux mains et le remonte pour me donner un doux baiser avant de m’agenouiller devant la table et de me demander de défaire mon pantalon. J’exécute ses demandes, elle baisse les tissus recouvrant mes fesses et lorsque mon slip rejoint le pantalon autour de mes genoux, elle pousse mon buste pour que je m’allonge sur la table basse. Mon sexe touche le bois froid mais je ne débande pas d’un millimètre, l’excitation est à son comble. Deux mains viennent séparer mes globes et une langue vient lécher sans timidité mon petit trou. J’adore !


Les baisers ne durent guère longtemps, je sens un liquide froid et poisseux recouvrir ma raie. Je sais que ma belle a vidé une bonne dose du gel anal que l’on utilise régulièrement à mon encontre. Il n’y aura pas d’autres préliminaires ; c’est maintenant le puissant gland en plastique qui se colle sur mon anneau qui fait ventouse. J’essaie de me détendre et je pousse lorsque je ressens belle-maman, qui me tient fermement par les hanches, enfoncer le pieu factice. Je suis étonné de ne pas ressentir de vive douleur, j’accueille le gode assez facilement et je me laisse aller à gémir bruyamment. Il est aspiré entièrement, je suis heureux de ma performance et absolument comblé par le plaisir procuré ; celui-ci est décuplé lorsqu’Huguette commence les mouvements de bassin. Nous haletons et gémissons à l’unisson. J’envoie même mon postérieur à la rencontre de la queue qui me perfore et je regrette les habits qui entravent mes jambes, sans lesquels je me serais ouvert encore plus.



D’habitude l’échange s’arrête là mais aujourd’hui c’est différent, Madame me domine et profite de la situation pour aller plus loin :



Dur de se concentrer dans un moment de plaisir aussi intense. Je n’aurais jamais pensé que cela soit aussi agréable, mon boyau est bouillant pourtant d’innombrables sensations me parviennent. Une chose m’étonne, c’est que je ne sois pas en érection, par contre des fourmillements dans la hampe et mon gland sensibilisent mon sexe.



En disant cela, ses mains quittent mes hanches pour se saisir de mes fesses pour les écarter au maximum dans le seul but de me pénétrer encore plus profondément. J’entends ses halètements suggestifs mais je n’arrive plus à vraiment prendre mon pied, pourquoi me parle-t-elle de cette confidence ?



Huguette se redresse, je ne sens plus ses gros mamelons chauds me caresser le dos, et elle commence à se retirer. Je suis abasourdi par sa demande, je ne sais pas trop quoi penser de la situation. Je m’en veux même de m’être autant dévoilé durant la soirée confidence. Les questions-réponses se bousculent à la vitesse de la lumière dans mon cerveau embrumé. La solution de me laisser aller avec Huguette, en qui j’ai entièrement confiance, est la seule qui me vient. J’attends donc que le gland factice sorte entièrement pour ouvrir la bouche :



Ses mains me tiennent la taille et ses ongles s’enfoncent dans ma peau pendant que le membre coulisse dans mon ventre. Cela fait un long moment que dure la séance mais je ne m’en lasse pas. J’aimais déjà le plaisir anal mais le fait d’être pris dans cette position tout en avouant à ma maîtresse ce secret très intime, me met presque en transe. Je ne me pose plus aucune question de moralité et réponds à ses questionnements tout en me laissant labourer les chairs.



Tout ça pour pouvoir me punir à sa manière, quelle gourgandine. Derniers coups de reins, Madame jouit bruyamment tandis que j’ânonne et gémis en m’épanchant sur le sol. Je n’aurais jamais cru avoir un orgasme sans que l’on me touche le sexe ou les testicules. Huguette s’affale sur mon dos, transpirante et essoufflée. Sur le moment, je ne comprends pas pourquoi elle jouit aussi fortement. Elle m’embrasse dans le cou, me dit des mots doux au creux de l’oreille et me tourne la tête pour que l’on puisse s’embrasser.



Sous la douche, tout n’est que caresse sensuelle. J’enlève son slip de latex sous les jets d’eau massants et je m’aperçois que la culotte est aussi bien équipée à l’intérieur qu’à l’extérieur. Huguette a des soupirs de contentement lorsque les deux pénis courts mais épais quittent ses orifices. Je laisse tomber la culotte à trois têtes et je me redresse pour l’enlacer et la traiter à mon tour de coquine invétérée.


Je quitte ma belle et rentre chez moi, je suis seul et je vais directement me coucher. Je m’endors rapidement malgré mon postérieur endolori. Marine arrivera plus tard et je me réveillerai juste le temps de lui donne un baiser avant de repartir dans les bras de Morphée. Les rêves qui m’accompagneront durant la nuit n’ont pas beaucoup de sens mais ils seraient, je pense, réprouvés par la Morale.



oooOOOooo



Le lendemain j’emmène Jules à l’école et vais travailler. Toute la journée je suis dans mon monde, mes pensées tournées vers mon initiation au gode-ceinture. Si, par hasard, je ne pense plus à la chevauchée, mon séant me le rappelle vite. Le soir, je ne vais pas chez belle-maman, c’est Marine qui ira chercher le monstre, je suis de permanence à l’association. Au début je m’y suis inscrit pour être avec Huguette mais j’ai pris goût à aider ces personnes en difficulté donc je me suis investi.


Ce soir j’ai quelques personnes à rencontrer, dont l’un des jeunes pris en flagrant délit, il y a deux soirs. C’est marrant, lorsqu’ils sont sans leurs copains, il y a moins de fanfaronnade. Je repasse une couche sur les dangers de la drogue à Ronaldo, pour info, il n’est pas footballeur (pas sportif du tout, d’ailleurs). Puis nous passons à ses exploits à l’école, et là je suis agréablement surpris, durant les deux mois passés, il est bien noté par ses professeurs et le rapport de son tuteur en entreprise est lui aussi très flatteur.


Je rentre vers vingt-deux heures ce soir-là, Marine me fait la réflexion que cela fait trois soirs de suite que nous ne nous voyons pas et elle me promet un week-end torride. Je ne suis absolument pas déçu par ses promesses et dès que nous en avons eu l’occasion, nous nous sommes retrouvés intimement, ce qui n’est parfois pas simple avec un garçonnet.




– 2 –



Les vacances de Toussaint sont déjà là, le temps gris et humide aussi. Le repas de famille se déroulant chez les beaux-parents se passe très bien, même mes parents sont présents. Vers dix-sept heures tout le monde nous quitte, nous restons tous les quatre pour ranger le bazar laissé par la quinzaine de convives. Je dis quatre car Jules est allé passer la nuit chez mes parents.


Au bout d’une heure et demie, tout est propre et nous sommes invités à finir les restes. Nous passons outre l’apéritif car le déjeuner a été assez arrosé. Au début, nous sommes éteints mais au fur et à mesure des discussions cela s’anime. Le dessert et le pousse-café se prolongent tard dans la soirée. Le beau-père a les yeux qui papillotent sérieusement, pourtant il arrive à suivre le fil puisque ses interventions tombent à propos. Les petits verres arrivent et la bouteille qui les accompagne m’est familière, c’est la liqueur de verveine que je fabrique à temps perdu.



Et voilà Marine a fermé le claquet de son vieux ; comme à chaque fois, au lieu de répondre, il s’emmure et picole. Ce n’est pas que ça me gêne, mais aujourd’hui il était agréable. C’est à trois que nous finissons la soirée car il est allé s’enfoncer dans un fauteuil, a pris une bouteille d’Armagnac et se rince la gorge en regardant une chaîne résumant les matchs de foot de la semaine.


Nous ne sommes pas ivres mais suffisamment imbibés pour avoir le verbe volubile. C’est drôle que les sujets qui intéressent souvent les gens dans cet état sont ceux ayant trait au sexe ou à l’argent. Au départ, nous partons du prix du chariot de courses, puis à celui des fringues des enfants en passant par celles des adultes, pour finir par les achats typiquement féminins, les bijoux, les sacs à main et la lingerie. Pour faire rapide tout a augmenté dans des proportions démentes (l’alcool aidant, les prix s’enflamment…). Qui dit lingerie, dit sexy et qui dit sexy…



L’ambiance est montée d’un ton mais sans être pesante, il règne un sentiment confus, mélange d’érotisme torride et d’interdit sous-entendu. Sans aucune hésitation, ma belle-mère se lève de sa chaise puis déboutonne son haut qu’elle pose sur le dossier de la chaise. Elle n’attend pas pour dégrafer la fermeture de sa jupe qui rejoint le chemisier. Nous sommes ébahis par son aisance, mais aussi par la sensualité que dégage la tenue qui la couvre. Je pose le verre à mes lèvres et je fais mine de boire pour ne pas être le premier à parler.



Encore l’argent… Remarquez pendant ce temps personne ne s’occupe de moi et mon cerveau peut engranger les images de belle-maman. Guêpière à jarretelles, bas et un string du plus bel effet, le tout en dentelle. Le rouge et noir lui va à ravir, quelle finesse du tissu, magnifiques sont les jeux de transparence.



Belle-maman préfère abdiquer, se rhabille sous les railleries de sa fille et nous finissons la soirée avec moins d’entrain que quelques minutes plus tôt. Un pétard mouillé, je commençais pourtant à apprécier ce délire strip-tease et mes pensées tournaient à plein régime, dommage…




– 3 –



Quelques soirs plus tard, Marine est au téléphone avec sa mère. La discussion est, comme d’habitude, très longue et je n’y prête pas trop attention, montant même le son de la télévision pour pouvoir suivre mon film dans de bonnes conditions. C’est lorsque je m’aperçois que Marine change de ton que je tends l’oreille, voyant mon manège, elle se lève du canapé pour aller s’asseoir un peu plus loin.



Je me retrouve seul devant l’écran plasma haute-définition mais je ne le regarde pas, je ne peux que penser à leur conversation. J’imagine tout ce que peut raconter Huguette, je connais ses joujoux par cœur, certains très intimement. J’ai assisté à des séances de masturbation qui m’ont fait jouir sans que l’on me touche ou que je me touche. Ces pensées font monter mon mat immédiatement. Il faut que je sache… Sur la pointe des pieds, je me dirige vers la porte entrebâillée de la cuisine. Je reconnais le dos nu de ma femme assise sur une chaise en train de papoter, le combiné d’une main et un cola light d’une autre. Je m’approche au plus près afin de capter ses dires.



Et là ce con de frigidaire se met en service, je n’entends plus rien pendant de très longues minutes. « Pourquoi je n’ai pas changé cette vieillerie avant ? ». Enfin le compresseur cesse son raffut.



Je suis démasqué, pas que cela me dérange vis-à-vis d’Huguette mais par rapport à Marine je me sens très mal. En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dresser, mon mat de cocagne se recroqueville. Je m’éclipse et retourne sur mon canapé. Ma femme ne revient qu’une demi-heure plus tard, toujours en tenue de naturiste. Ce qui devait arriver arriva, je me fais enguirlander comme il faut : ma curiosité malsaine, mon immaturité, tout y passe et c’est penaud que je me couche. Pas de coquinerie ce soir.



oooOOOooo



Juste avant les vacances de Noël, je me retrouve à la maison un jour de semaine car j’ai un dossier à monter pour un prêt à la banque. Jules étant à l’école, je peux me concentrer sans avoir à le surveiller. Il est un peu plus de onze heures lorsque l’on sonne à la porte, j’ouvre et le facteur me tend un paquet et un formulaire à signer. Dès que je rentre, j’ouvre le colis, tout content de recevoir les blue-ray commandés il y a quelques jours.


Un coup de cutter pour faire sauter le scotch et je plonge mes mains dans les chips en polystyrène. Et là, point de boîtier plastique plat, je sors des emballages d’objets érotiques. Mon premier réflexe est de regarder le nom sur le carton pour voir s’il n’y a pas eu mégarde dans la distribution. Pas d’erreur puisque c’est ma petite femme qui est destinataire des sextoys. Je suis surpris et troublé qu’elle ait franchi le cap, mais en même temps c’est assez logique suivant la conversation eue avec sa mère quelques temps avant.

Je remets tout à sa place et remets le carton en état en mettant un tour d’adhésif marron sur l’ouverture.

En fin d’après midi, je suis allé chercher Jules à l’école, nous avons fait quelques courses et nous sommes rentrés. Marine est arrivée pendant que je rangeais nos achats avec l’aide du fiston. Après le bisou, je lui dis innocemment :



Je regarde du coin de l’œil pour voir sa peau rosir dangereusement. Elle ne dit rien mais semble chercher une quelconque excuse pour ne pas l’ouvrir, je décide de la titiller par une question anodine :



Je ne rajoute rien pour ne pas la faire tourner en bourrique et je me contente de souffler en dodelinant la tête comme je fais normalement lorsqu’elle réagit d’une manière qui ne me convient pas. Quel acteur ! Je ne ferai plus aucune allusion à sa commande pour ne pas la brusquer et surtout je veux qu’elle garde son secret, même si cela n’en est plus un. J’espère juste qu’elle m’avouera rapidement sa nouvelle façon de s’amuser ; sans moi…


Jaloux de verges en plastique je serais ? Peut-être…




– 4 –



Dix-sept heures le jeudi vingt-quatre décembre, je sors du travail pour aller faire les dernières emplettes en vue du réveillon qui se déroule chez nous. Juste les parents, grands-parents et un cousin de Marine. Avec les enfants cela fait onze personnes, ma femme travaillant aussi, c’est Huguette qui a préparé le repas, mes seules missions sont d’aller chercher le gâteau (j’ai réussi à échapper à la sempiternelle bûche), le pain et le plateau de coquillages.


Le repas se passe à merveille, un des rares réveillons de Noël où je me suis senti bien dans ma peau. Curieusement cette période de l’année me rend triste et mélancolique. Les gosses sont déjà au lit, les grands se coucheront très tard. Heureusement que la maison est assez spacieuse pour pouvoir faire dormir tout le monde décemment. Les trois petits dans la chambre de Jules, mes parents dans la nôtre, les beaux-parents dans la chambre d’amis, le cousin et sa femme dans le clic-clac du bureau et nous sur le convertible du salon.


Comme tout repas de fin d’année, les excès de nourritures et de boissons font de ma nuit un enfer. Je n’ai plus vingt ans, mon corps me le fait bien sentir. Je me lève sans faire de bruit et me dirige vers la cuisine pour prendre un comprimé qui me ferait passer mes aigreurs d’estomac et l’étau enserrant mon crâne. Je prends un grand verre, lâche le cachet effervescent et attend que celui-ci fonde, le regard fixe et vide.


« Tiens, une visite », me dis-je en entendant des pas feutrés se dirigeant vers la cuisine.


Tout de suite j’imagine ma douce et tendre belle-mère venir me rejoindre pour une incartade charnelle dont nous avons le secret. Le cerveau peut vraiment fonctionner à pleins neurones malgré les toxines emmagasinées. Eh bien non, en fait c’est mon épouse qui vient s’enquérir tout simplement de mon état. Au début, elle se moque gentiment de moi en voyant le verre pétiller puis se ravise assez vite :



Pour éviter de répondre, je prends le verre et le porte à mes lèvres. Je bois le liquide salé et écœurant tandis que Marine s’agenouille le plus simplement du monde et me souhaite un Joyeux Noël avant de me gober. La fellation qui suit est divine, sensuelle et très lente. Sans se presser, elle me caresse de toutes les manières possibles. Appuyé contre la table, je me laisse faire avec un plaisir non feint, les yeux mi-clos, quelques sons feutrés sortant de mes lèvres entrouvertes.


Je ne sais pas comment je me suis rendu compte de la présence d’une ombre située derrière la porte. Dans ce petit bout de couloir, il me semble reconnaître la silhouette de la deuxième femme de ma vie. C’est bien elle qui nous épie, j’en ai la confirmation lorsque Huguette se met dans la lumière et plante son regard émeraude dans le mien. Ses yeux brillants en disent long sur l’effet que sa fille et son gendre lui provoquent.


Je ne peux retenir mon envie, je saisis la nuque de Madame pour déverser ma semence au plus profond de sa gorge.



Je réponds en grommelant et tandis qu’elle nettoie méticuleusement, je relève la tête pour m’apercevoir que la voyeuse s’est éclipsée.



oooOOOooo



La nuit fut courte car après notre petite pause coquine, nous avons installé les cadeaux autour du sapin pour que les petits les voient dès leur réveil. Et, à être levés nous avons installé les bols et les cuillères pour le petit-déjeuner.


Un quart d’heure après m’être endormi (enfin c’est l’impression que j’en ai), mon garçon me réveille en me sautant dessus en hurlant sa joie d’avoir découvert son premier vélo. En moins de deux minutes, la maison est réveillée et tout le monde se retrouve autour du sapin pour découvrir ses paquets cadeaux. Les yeux émerveillés des gamins tranchent avec ceux plus vitreux des adultes ; je me dis que les photos vont être belles en mitraillant à tout va. Bien entendu, je ne fais aucune allusion entre les cadeaux reçus et le paquet que j’ai réceptionné.


Nous nous retrouvons à table pour un petit déjeuner pantagruélique. Les petits jouent et viennent de temps à autre demander brioches et tartines qu’ils vont manger dans le salon. Les discussions vont bon train même si tout le monde a la tête dans le sac. Je regarde les convives et je m’aperçois qu’à part le beau-père qui est habillé, tout le monde a gardé sa tenue de nuit. Le cousin de mon épouse et sa femme sont en pyjama, mes deux coquines sont en nuisette mais celles-ci sont tout à fait convenables et je suis en caleçon et tee-shirt.


Le seul souci qui m’assaille est la scène qui s’est jouée cette nuit dans cette même cuisine, je ne peux enlever la vision d’Huguette nous matant. Malgré moi, les picotements de mon ventre sont annonciateurs d’une belle érection. La voilà qui remplit le coton de mon boxer de façon très visible et j’appréhende le moment où il faudra me lever. Je fais tout pour ne pas penser à cette merveilleuse fellation mais je suis obligé de lever la tête pour prendre part à la discussion et mon regard tombe forcément sur l’une ou l’autre des protagonistes. Elles ne font rien pour calmer mes ardeurs car elles ont les yeux qui brillent et pétillent de la même manière. Je suis dans de beaux draps, voilà que tous en cœur me demandent de faire du café. Je me fais prier quelques minutes mais je finis par me lever.


Je me contorsionne pour ne pas être pris sur le fait ; c’est gagné, je suis dos à la tablée et je peux m’activer sans être dans leur champ de vision. Je prends mon temps mais rien n’y fait, le tissu est toujours aussi tendu. Je tiens la carafe chaude au niveau de mon pubis pour aller me rasseoir. Je commence à servir, content d’avoir été discret lorsque je sens des doigts tapoter ma bosse. Un petit coup d’œil sur ma gauche montre le sourire éclatant de ma femme ; cette coquine commence même à me masturber, je deviens écarlate. Surtout que la coquine continue de converser comme si de rien n’était. Je fais le maximum d’efforts pour ne rien laisser paraître mais les yeux luisants d’Huguette me persuadent du contraire.


Je suis à la limite, je vais souiller ma lingerie si mon épouse ne cesse pas ses frictions. D’une main ferme j’attrape son poignet pour qu’elle cesse. Large sourire aux lèvres, Marine remonte lentement sa main en flattant une dernière fois, en passant, la tête hypersensible. Je suis soulagé de ne plus être sa proie, il était vraiment difficile d’arriver à me concentrer à la fois sur les conversations des convives ainsi que sur le fait de ne pas éjaculer.


La tension du bas-ventre commence à retomber lorsque je sens un pied remonter ma jambe. « Décidément, les gourmandes se sont données le mot » me dis-je à la fois heureux et affreusement gêné. Dur de ne rien laisser paraître à mon entourage et surtout à ma femme qui connait mes moindres tics lorsque je suis excité. Heureusement belle-maman masse en douceur, cela ressemble plus à une caresse qu’à une masturbation en règle.



Personne n’a l’air pressé de se lever et me rendre service alors que je me suis décarcassé, il y a quelques minutes, à leur préparer un bon café. Heureusement ma douce maîtresse se propose. Tout le monde pense qu’elle n’a pas envie de préparer ma boisson, mais je sais que sa moue non dissimulée cache sa déception de ne plus me cajoler.



Je tends le bol, elle en profite pour me caresser les doigts et file vers la plaque de cuisson faire chauffer le lait puis mettre les carreaux de chocolat à fondre. Cette fois, la pression de mon entrecuisse ne retombe pas, pourtant personne ne me touche, ma femme est partie se doucher. Il ne reste maintenant dans la cuisine que le cousin, qui a la tête entre les mains du fait d’une absorption massive de diverses boissons alcoolisées, et notre improbable couple. Huguette devient de plus en plus débridée. Sa nuisette sage devient plus grivoise, la bretelle tombe assez bas pour découvrir la naissance du sein droit et en mettant les mains sur ses hanches pour patienter, elle fait remonter le tissu bien plus haut que nécessaire.


Assis sur ma chaise, que j’ai avancée vers la table pour dissimuler mon émoi, je regarde bouche bée Madame se donner en spectacle. Sans se soucier du cousin, un index coquin vient lisser ses poils pubiens avant de coulisser tendrement en ses lèvres charnues. La scène m’anesthésie, je perds mes repères et avance une main sous la table pour sortir mon membre et le branler à pleine main. Il ne faut pas trente secondes pour que je m’épanche sur la main, le ventre, le caleçon et aussi le dessous de la table. Voyant que ma petite affaire est terminée, Huguette remonte sa bretelle et laisse retomber le tissu de la nuisette. Puis elle pose le bol devant moi, se penche pour me faire un bisou sur le front et me souhaite un bon petit-déjeuner avant de s’éclipser me laissant comme un couillon, la queue molle et souillée.


Je ne raconte pas comment j’ai tout nettoyé et comment j’ai réussi à ne pas me faire voir mais ce fut folklorique…


Le reste du vingt-cinq décembre se déroulera très chastement, même ma femme ne me tarabustera pas. Elle a dû penser que je me suis soulagé dans les toilettes ou sous la douche, elle s’est juste trompée de lieu.




– 5 –



(Je sais que pour quelques lectrices et lecteurs, cela semble répétitif mais dans notre relation les repas familiaux font parties de nos rencontres les plus fréquentes. Nous pouvons à loisir nous retrouver quelques instants seuls, cela va de quelques attouchements furtifs à parfois quelques heures de liberté. La vie n’est faite que de répétions et cette histoire n’échappe pas à la règle).


Rebelote quelques jours plus tard, lors d’un repas chez mes beaux-parents je me retrouve dans la même situation. Cette chère Huguette se trouvant face à moi, n’arrête de me titiller l’entrejambe que lorsqu’elle s’affaire quelques minutes en cuisine. Chance pour moi, la table étant rectangulaire, Marine n’a pas les bras assez longs pour me toucher sinon mon pantalon aurait été propre. L’érection ne m’a pas quitté depuis notre arrivée, belle-maman est vraiment très sexy. Des talons fins et élégants, des bas souvent visibles grâce à la petite jupe à volants qui ne demande qu’à se soulever au moindre mouvement. Le haut est translucide et laisse voir une guêpière noire du plus bel effet.


Marine n’a fait aucune critique quant à cette tenue, ni sur la transparence, ni sur la légèreté de la jupe. Elle ne me dit rien non plus lorsque mon regard reste accroché plus que de raison. Il n’y a que ses mimiques qui parfois me rappellent à l’ordre et qui me disent : « C’est ma mère tout de même ! » ou « Arrête de mater ». Bref rien d’alarmant sauf pour mon caleçon qui est distendu.


Il est plus de treize heures et nous sommes toujours à table, c’est au tour des café, liqueurs et autre mignardises.


Je commence à ne plus pouvoir bouger sur ma chaise, l’érection me fait presque mal, mon cerveau est empli de pensées malsaines et salaces. J’ai du mal à retenir mon attention sur autre chose que le corps de ma belle-mère, j’arrive tant bien que mal à soutenir la conversation. Le pied revient à la charge alors que je suis en train de répondre à une question de beau-papa. Mon visage s’empourpre puis je bafouille une réponse, par chance tout le monde rit et met ça sous le coup de la gorgée d’Armagnac qui est passée de travers. Les orteils n’arrêtent pas une seconde les massages. J’ai envie de sauter sur belle-maman et de l’honorer à même la table.



Puis Marine se lève pour aller aux toilettes, Huguette enlève son pied prestement et le remet dans sa chaussure. Lorsqu’elle revient s’asseoir, tout le monde est sage et discute. Au premier coup d’œil, je n’ai rien remarqué mais lorsque je me tourne une nouvelle fois vers ma femme, je suis éberlué : Madame a profité de sa pause pour retirer carrément son soutien-gorge et dégrafer quelques boutons. La poitrine ronde et ferme est un régal pour les yeux ; lorsqu’elle s’aperçoit que je la fixe, elle lance un regard de défi à sa mère. Et voilà, tout recommence, j’ai l’impression de me revoir il y a une année. Pour couper court à la prochaine discussion qui s’annonce houleuse, je préfère m’éclipser pour m’assoupir dans un des fauteuils du salon.


Les oreilles aux aguets, je ne perçois aucune animosité dans leurs voix, elles papotent sereinement. Je ne sais pas quoi penser : est-ce que Marine se doute de quelque chose ? Huguette lui a-t-elle avoué nos écarts de conduite ? Leur connivence me fait presque peur en ce jour, les entendre discuter comme deux copines parlant d’un amant est très troublant. Car c’est bien cela que j’entends : elles parlent de moi et pas seulement de comment je me comporte avec ma famille, mais de choses plus intimes. Je fais toujours semblant de faire la sieste et mes oreilles aiguisées arrivent encore à accrocher leurs paroles malgré leur ton de confidences. Eh oui, j’ai des lunettes pour lire, mais de très bonnes oreilles, ce qui m’arrange fortement aujourd’hui.


Ma femme lui raconte quelques anecdotes sur notre intimité mais sans entrer dans le détail, sa mère fait des « ohh » et des « ahh » pour donner le change mais sans en dévoiler plus sur ses sentiments à mon égard. Puis vient le moment où Marine, après une profonde inspiration lui avoue :



Oups je vais passer un sale quart d’heure, je ne m’attendais pas à ce que le sujet dérape comme cela. Je m’enfonce dans le fauteuil tout en tendant l’oreille et en appréhendant la suite des confidences.



Durant la nouvelle pause qu’elle prend dans son monologue Huguette ne rajoute rien sinon un acquiescement imperceptible à mon ouïe aiguisée. Pour ma part, je suis toujours couleur pivoine mais ce n’est plus l’excitation qui me rend nerveux mais plutôt le mélange honte et horreur d’être démasqué. Des sueurs froides et chaudes m’assaillent par alternance, couplées avec la boule au ventre ; je suis loin de faire le fier, encore une sensation vécue l’année dernière mais cette fois tout est décuplé.



Alors là, je suis scotché, je ne feins même plus de dormir, Marine sait que j’écoute et parle normalement. Elles sont dans la cuisine, moi dans le salon et par bonheur, papy et Jules bricolent la voiture télécommandée dans le garage. J’ai les jambes qui tremblent, la gorge sèche, et le ventre tordu par cette impression horrible d’avoir fait la plus grosse connerie de ma vie.



Je ne sais plus quoi penser, d’ailleurs je ne pense pas du tout à ce moment précis. Mon corps ne reçoit que des sentiments contradictoires qu’il a du mal à interpréter correctement.



Je suis abasourdi par cette déclaration, je n’arrive même pas à savoir si tout cela est réel, si ce n’est pas un pur délire de mon cerveau d’homme dépravé. Je regarde directement vers les deux femmes pour m’apercevoir que tout est véridique, le contraste est saisissant entre le visage souriant et apaisé de Marine et celui, tiré, de sa mère. Un long silence envahit les deux pièces, je ne sais combien de temps il a duré mais il est pesant, lourd, car les réponses que nous allons fournir à ma femme vont changer le cours de notre existence.


Pour une fois je ne fuis pas la réalité, je me lève et me dirige vers le couple mère-fille et je prends une main à chacune. Les peaux sont moites, les regards ne s’esquivent pas, ils sont soutenus, on ne peut retranscrire avec des mots tout ce qui est passé par nos regards mais je peux vous dire que cela fût très intense.



Sans nous laisser réfléchir, elle nous fait un bisou à chacun sur les lèvres. Ne vous méprenez pas, ma femme, qui est fille unique, embrasse ses parents de cette manière depuis qu’elle est toute petite, n’y voyez pas une connotation purement sexuelle.



oooOOOooo



Nous restons main dans la main, sans bouger le moindre cil, sans émettre le moindre son. Complètement KO par ce qu’il vient de se produire, c’est encore plus puissant que lorsque nous avions décidé d’avoir une relation. Impossible de décrire ce qui allait se passer, de savoir où tout cela aller nous mener. Nous vivions une liaison adultérine, certes pas très conventionnelle, mais une liaison avec des secrets que nous détenions à deux. Maintenant nous sommes liés en même temps par le sang et le mariage. Même s’il n’y a pas à proprement parler de relation incestueuse, c’est plutôt dérangeant de se dire que je ne pourrai plus rien cacher à l’une ou l’autre.


Ça ouvre peut-être des perspectives pour certains mais je ne suis pas sûr d’être assez fort mentalement pour supporter deux femmes soudées entre elles. J’espère que je ne finirai pas exclu du groupe ; en fait est-ce que Marine ne nous manipule pas pour faire imploser le tout, en douceur, sans faire de vague ?


Pour l’instant nous débarrassons la table, nettoyons et remplissons le lave-vaisselle dans un silence de mort uniquement troublé par les bruits de la voiture télécommandée thermique.


Papy et Jules sont désormais dehors, le ménage est terminé. Je suis assis avec Huguette sur le canapé, nous n’avons pas encore parlé. Tout à l’heure j’ai réussi prendre la parole, je me demande encore comment. Là, je n’arrive pas à parler à ma maîtresse, ma confidente. D’habitude si loquace, elle n’arrive pas exprimer ce qu’elle ressent. Deux couillons, deux adolescents, voilà à quoi on aurait pu nous comparer. Je finis par me lancer par une banalité:



Je n’ai pas le temps de répondre, elle arrive. Elle est reposée et superbe avec son chemisier encore ouvert et sa robe qui remonte sur les cuisses, preuve qu’elle s’est allongée sur un lit. Sa tenue est aussi sexy que celle de sa maman. Durant un instant des images fantasmagoriques me sautent devant les yeux. Je me dis simplement que je suis l’homme le plus chanceux qui existe.



Pas besoin d’en dire plus ou de lui apporter une réponse, elle retourne dans la chambre se rhabiller correctement et part dehors jouer avec son père et son fils.


Seuls. Silence. Sentiments.


Rien ne sera plus comme avant, un nouveau challenge s’offre à nous. Marine a eu le temps d’ingurgiter toutes les informations, même les plus douloureuses et elle a pris son temps pour prendre une décision, sa décision. Même si nous sommes les instigateurs de cette complexe situation, nous nous retrouvons piégés par celle qui était au départ flouée. Ce n’est qu’un juste retour, nous l’avons faite souffrir, à notre tour maintenant.


L’après-midi se termine par une discussion à voix basse, quelques banalités, aucun des deux ne sait vraiment sur quel pied danser et quoi dire sur le sujet.



oooOOOooo



J’ai édulcoré les passages de larmes, de pardon pour ne pas surcharger le paragraphe mais l’esprit de cet après-midi est conservé.


Je ne vous raconte pas non plus les longues discussions qui ont émaillé le début de l’année 2010 dans mon couple, avec ma maîtresse ou le trio au complet et je ne compte pas celles qui ont eu lieu entre femmes. Jamais de heurts, uniquement des conversations de grandes personnes responsables qui vivent une situation complètement décalée par rapport à la normalité. Durant cette période nous n’avons pas eu de relations charnelles avec ma maitresse à part quelques bisous furtifs. Pas que l’envie n’y était pas, mais nous avions décidé de ne plus nous toucher jusqu’à ce que la situation soit parfaitement claire entre nous.




– 6 –



C’est à partir de fin février que la situation s’est débloquée, tout en douceur. Le samedi vingt-sept février exactement, nous passons un week-end au ski ; enfin, les beaux-parents nous ont invités dans le petit chalet qu’ils ont loué.


Vers huit heures trente, Jules est au lit et une demi-heure plus tard beau-papa va regarder le foot dans sa chambre ; en fait, il va s’endormir devant la télévision et comme le clic-clac du salon n’est pas confortable…

Je me retrouve donc avec les deux femmes, je suis devant l’évier et elles m’amènent la vaisselle à laver. Chaque fois qu’elles passent derrière moi, je sens une main me toucher les fesses. Le plus troublant est qu’elles le fassent chacune leur tour en faisant des commentaires sur leur fermeté.


Puis elles me laissent terminer de nettoyer et elles vont s’asseoir dans le salon. Dès qu’elles sont assises, elles commencent à parler. Rapidement la conversation tourne autour du sujet de l’année : notre trio et plus particulièrement, mon cas.



Je pose les deux cafés et quelques amuses-bouche et je m’assois autour de la table basse en me demandant ce qui va encore advenir. Je n’ai pas entendu toute la conversation car la machine à café est assez bruyante, il n’y a que la fin de la dernière phrase que j’ai bien comprise et j’appréhende de savoir le sujet qui va être abordé même si je pense avoir deviné.


Chronologiquement, ma maîtresse officielle explique comment se sont déroulés nos premiers émois. Mon voyeurisme, son exhibitionnisme, les premiers baisers, les premiers émois charnels, rien n’est oublié. De temps à autre, je donne mon avis ou des précisions. J’étais très embarrassé au début mais au bout d’une demi-heure, je converse normalement, nous sommes tous trois calmes et sereins. Nous rigolons, parfois Marine parait outrée par nos exploits mais tout se passe dans la bonne humeur, nous sommes presque étonnés mais les nombreuses entrevues antérieures portent leurs fruits.


Je suis un peu comme dans un rêve, de parler ouvertement de nos ébats, plus que coquins parfois, à mon épouse en présence de ma maîtresse. La sensation est indescriptible mais bien réelle. Bien entendu, certains de mes fantasmes ne sont pas abordés…



Les larmes aux yeux, elle vient nous enlacer et embrasser longuement avant d’aller se coucher. Mon épouse nous souhaite une bonne soirée en mettant tendrement la main de sa mère sur la mienne et nous dit une nouvelle fois à quel point elle nous aime. C’est proprement irréel, jamais je n’aurais pensé une chose pareille possible. Elle nous laisse seuls, au rez-de-chaussée.



oooOOOooo



Les yeux dans les yeux durant quelques secondes, nous nous regardons avant que nous nous embrassions fougueusement. Mes mains sont déjà sous le pull et le tee-shirt à dégrafer le soutien-gorge. Huguette n’est pas en reste et déboutonne mon pantalon. En un rien de temps, nous sommes nus sur le canapé, chacun explorant de sa bouche l’intimité de l’autre. La très longue pause de notre relation exacerbe nos envies. Je lèche, lippe et suce tous les replis et recoins de sa féminité. Elle n’est pas en reste et me rend la pareille avec une habileté rare. Nous jouissons à l’unisson, rapidement je récolte son nectar odorant, elle m’avale avec gloutonnerie.


Pas de coït ce soir-là, nous restons un long moment pour nous embrasser et nous caresser. Une nouvelle gâterie tête-bêche et nous remontons dans nos chambres respectives. Je la laisse dans la salle d’eau et me dirige vers le cabinet de toilettes.


Je n’ai pas le temps d’atteindre la porte, Marine surgit de notre chambre, complètement nue et me tire vers le lit.



Jamais je ne l’avais vue dans cet état, elle m’embrasse, me déshabille, me complimente, me dit des choses coquines. Ma femme est totalement transformée. Je suis sur le dos, elle dessus et elle danse sur mon mat en me parlant entre deux soupirs de contentement.


Elle me dit qu’elle aime que je la trompe, que ça l’excite de me savoir avec sa mère, de savoir que nous avons fait des bêtises dans le salon, qu’elle aime les effluves de nos ébats sur mes lèvres et ma queue (ce sont ses termes), de sentir le parfum de sa mère sur ma peau, etc. En bref, elle me fait le bilan de ce qu’elle aime dans ma relation extraconjugale.


Son rythme est plus souple, ses fesses ondulent sur mon pubis, droit dans les yeux elle m’avoue que nos confessions de la soirée lui ont donné envie d’être initiée aux jeux charnels que nous pratiquons :



Marine accélère ses mouvements de rotation combinés aux va-et-vient et lorsque l’orgasme nous submerge, elle susurre à mon oreille :



Madame s’allonge près de moi une main sur ma poitrine et s’endort comme à l’habitude, très rapidement, me laissant cogiter sur cette nouvelle information. Je ne suis ni surpris, ni en colère, juste troublé par cette demande. J’arrive même à comprendre son raisonnement. Savoir qu’elle va, elle aussi, vivre des choses incroyables avec une autre personne, m’excite. Je ne pensais jamais avoir le ressenti de ceux que l’on appelle les cocus-contents. J’ai un pincement au cœur en me disant qu’un jour elle viendra et qu’elle m’avouera être passée à l’acte mais cela me convient.


À six heures du matin, je lui écris une courte missive pour lui dire que je suis d’accord avec son souhait. Je lui demande de ne pas en parler à sa mère, ce sera moi qui serais l’intermédiaire, je veux tout savoir de sa future relation pour pouvoir à mon tour la raconter à Huguette. Je ne sais pas pourquoi j’ai tant envie d’être masochiste de la sorte, une envie, un besoin. Ma deuxième demande est plus simple : je ne veux pas connaître le nom de la ou les personnes qu’elle rencontrera.


Je m’endors heureux, la tête légère, soulagé de la tournure des évènements.


Le lendemain je me réveille seul, pas un bruit dans l’appart. Tout le monde est déjà sur les pistes. J’arrive dans la cuisine, la table est mise pour mon petit déjeuner. Je décachète l’enveloppe apposée sur le verre de jus de fruit, il n’y a qu’une feuille pliée avec quelques mots manuscrits par mon épouse :


« Je t’aime »


Tout simplement, sans fioriture, l’acception de nos conditions respectives est condensée dans ces mots. Je suis ému, touché par sa sincérité.




– 7 –



Pour les vacances d’avril, nous louons un appartement au bord de l’eau, à Frontignan pas loin de Montpellier. Bien entendu, nos nouvelles relations nous obligent à inviter les beaux-parents. Huguette n’y voit pas d’inconvénient, beau-papa ne pourra pas se libérer et ne viendra donc que quelques jours. Cela ne nous gène pas le moins du monde, c’est pour Jules que nous sommes déçus, il adore son papy.


Nous arrivons le vendredi soir avec ma femme et notre garçonnet. Belle-maman et son cher époux n’arriveront que le lendemain matin. Dans le lit, Marine se love contre moi et me parle d’une voix tendre :



La pause bisou après cette phrase a failli être plus longue que prévue tant j’ai enserré ma femme pour lui faire l’amour.



La croupe en l’air, bien cambrée, Madame donne de la vigueur au bambou mollasson qui me sert de sexe. Pendant qu’elle me suce en me regardant droit dans les yeux, je l’imagine léchant un autre membre. Cela ne m’écœure pas, ne me gène pas, je suis tout simplement content. Je prends sa tête à deux mains pour imprimer le rythme, Marine se laisse faire. Son nez touche parfois les poils pubiens ; docile, elle ne rechigne pas, elle me fait comprendre qu’elle est toute à moi malgré ses écarts.


Sentiments étranges que de se savoir trompé, même avec consentement, à la fois jaloux mais troublé. Chez nous, c’est l’excitation et le plaisir de partager nos expériences qui prennent le dessus.


Je prends ses cheveux et les tire pour l’amener à gober mes testicules, ce qu’elle réalise avec avidité. Il m’en faut plus, je relève et écarte mes jambes pour présenter ma raie culière. Ma femme ne se pose pas de question et vient lécher mon œillet. Je colle ses lèvres, la tenant fermement pour qu’elle me pénètre de son muscle.

La scène est torride et redouble d’intensité lorsqu’elle me dit en se dégageant quelques secondes :



Sa tête replonge entre mes fesses, bien aidée par mes doigts, agrippés dans ses cheveux. Sa langue est très sournoise, s’immisce en profondeur. Je sens son souffle rauque chauffer mes muqueuses déjà bouillonnantes.


Tout à l’heure, elle parlait de bestialité, je lui en donne, je ne me reconnais pas. Je tire sa tignasse pour qu’elle me gobe à nouveau, je fais fi de ses haut-le-cœur et l’oblige à m’avaler en entier. Elle pourrait tout faire cesser puisque ses mains appuyées sur mes cuisses sont libres de toute entrave.


Je tire à nouveau pour qu’elle vienne m’embrasser. Nous nous enlaçons sans fin, je la pénètre ainsi, sans cesser le baiser. Je ne la bouscule plus, nous ne sommes plus qu’un couple amoureux qui fait l’amour avec passion. Nous nous retrouvons. Cela fait des années que je n’avais pas eu une étreinte aussi agréable et sensuelle avec ma femme. Même après l’orgasme commun, nous restons soudés. J’arrive même à avoir une nouvelle érection alors que je suis bien au chaud dans son chaudron. C’est reparti pour une étreinte jusqu’au bout de la nuit. Par chance nos bouches ne laissent pas échapper de son, le petit Jules ne sera pas réveillé.



oooOOOooo



Le lendemain, c’est la joie qui règne au petit-déjeuner. J’ai retrouvé ma femme. Elle avait raison en disant que cette situation permettrait de retrouver son équilibre. Bien sûr, elle parlait pour elle mais je me rends compte que je me sens comme elle, équilibré dans ma tête malgré l’incongruité de la situation.


Dix heures trente, nous accueillons Huguette en plein petit-déjeuner. Eh oui, l’autre n’est pas venu, suite à une dispute houleuse la veille, Monsieur n’a pas voulu rendre visite à son petit-fils. Passons sous silence cet incident qui a éteint notre bonne humeur pour le reste de la journée. Nous ne nous couchons pas tard et sans aucune effusion.


Le dimanche matin est plus sympathique, il est à peine sept heures lorsque je descends à la cuisine, belle-maman est déjà levée et prépare le petit-déjeuner pour toute la famille. Elle irradie littéralement, souriante et enjouée, elle me roule une galoche (j’aime bien cette expression !) très coquine et qui instantanément tend mon caleçon.



Je l’aide tout en regardant les pointes de ses seins faire des arabesques sous la fine soie. Elle fait de même sur la bosse du boxer blanc. Je ne peux me retenir, je m’approche et l’embrasse tendrement. J’entrouvre la soie pour saisir un sein et jouer avec le mamelon. Douce belle-maman vient frotter son mon de Vénus sur ma verge au travers du coton devenu rapidement humide. Ma douce maîtresse s’écarte de moi et dit :



Le reste de ma petite famille descendra une demi-heure plus tard et, après les avoir servis, Huguette et moi nous nous sommes préparés afin d’aller faire les premières courses des vacances. Je conduis sa voiture en direction de Sète, il doit bien avoir un supermarché ouvert le dimanche matin.



oooOOOooo



Marine a complimenté la tenue de sa mère lorsqu’elle est sortie de la salle d’eau. Pourtant j’aurais pensé le contraire, c’est effectivement joli pour une soirée mais de là à aller faire le plein de victuailles !

Talons hauts fuschia en peau retournée donc ce qui donne une couleur mate (je ne sais pas si je m’exprime bien mais j’ai fait l’effort d’aller dans le placard d’Huguette pour les décrire !). Au dessus, une tunique bigarrée d’une marque espagnole à la mode, bien connue. Qu’elle soit sein nu ne choque pas vraiment, même si on voit au premier coup d’œil que tout ce qui est dessous est libre ; c’est surtout que celle-ci est assez courte et quelle ne porte ni leggings, ni short. En fait, elle a juste enfilé un boxer noir à dentelles que l’on peut apercevoir suivant l’inclinaison de la lumière.


Dans la voiture, je lui demande comment elle peut mettre une chose aussi torride. Elle me rétorque du tac au tac :



Je ne peux pas dire que ce fut l’émeute dans le magasin, mais les regards des hommes n’étaient pas très discrets. Heureusement, vu l’heure, il n’y avait pas trop de monde dans les rayons. Certaines situations étaient tout de même comiques lorsqu’ils étaient accompagnés et qu’ils se faisaient remettre dans le droit chemin. Bien entendu à la caisse, une vieille rombière (qui ne devait pas être bien plus âgée qu’Huguette) l’a fusillée de ses vilains yeux perçants, tout au long de l’attente.


Lorsque nous arrivons à l’appartement, personne mais par la baie vitrée nous voyons Marine et Jules édifier un château de sable.


Les courses bien rangées nous prenons une pause bien méritée sur la terrasse qui se trouve au niveau du sable de la plage. Aucun touriste ne vient troubler le paysage, tout au plus quelques habitants qui viennent se balader, on est loin de l’affluence de la pleine saison. Mon fils et mon épouse nous font coucou et continuent la construction.



Elle veut que je lui enlève son boxer, je le fais et le pose délicatement sur le bord du lavabo après l’avoir humé. Huguette relève sa tunique, s’accroupit dans la douche et urine tout en me regardant. Ce n’est pas la première fois qu’elle s’adonne à ce genre d’exhibition dont je suis assez friand mais ce qui me perturbe un peu plus c’est lorsqu’elle me dit :



Elle me fait approcher, déboutonne le short et le baisse accompagné du slip. Elle est accroupie sous moi, tenant mon sexe dirigé vers la faïence, je n’y arrive pas, je bloque.



Il me faut quelques minutes de concentration avant que les premières gouttes ne sortent, suivies bientôt pas un jet dru qui s’écrase entre ses pieds. La coquine me donne des mots d’encouragement, comme si j’étais un gamin. Je ne sais quel fantasme lui a traversé l’esprit mais je trouve très mignon qu’une femme tienne mon pénis et le secoue pour faire tomber les reliquats.


Mignon jusqu’à un certain point puisqu’elle m’avale d’un coup pour une fellation endiablée. Des doigts viennent me fouiller, d’autres écartent et griffent mes fesses, sa langue s’enroule sur ma tige comme sur un pirouli. Je ne supporte pas longtemps le traitement et m’épanche sur sa langue.



J’obtempère, me lave lorsqu’elle me le demande et laisse couler l’eau sur mon dos. Elle a préparé une bombe de mousse à raser hypoallergénique et un rasoir multi-lames. Je sais ce qu’il va m’arriver et je commence à avoir une nouvelle érection.



Nouvel orgasme, ma douce Huguette savoure le liquide translucide avant de reprendre ce qu’elle avait commencé.



Elle enlève le surplus en quelques minutes, il faut dire que si je suis fourni en épaisseur de poils, la zone couverte n’est pas bien étalée. Je n’ai quasiment pas un poil sur les cuisses et le ventre, je ne parle pas de ma poitrine. Pour parfaire la chose, elle me fait me retourner et me pencher pour élaguer la raie culière. Les choses sérieuses attaquent avec l’aspersion et l’étalage de la mousse suivis de près par la morsure de l’acier. Je ne bouge pas d’un millimètre et reste immobile debout les jambes écartées. Quelle dextérité, pas une coupure et Madame s’applique à retirer tous les poils même ceux dans les replis les plus inaccessibles.


Le rinçage en règle est suivi du séchage puis la partie la plus agréable : le massage abondant avec une crème hydratante. La dame y met du sien, en me disant comme il agréable de toucher ma belle verge glabre. Les mots étaient en réalité plus crus, ce langage ordurier qu’aime utiliser Huguette lorsqu’elle est très excitée. Je suis enduit de crème de l’anus au gland, en passant par les bourses et le pubis.


Lorsque ma verge est tendue comme souhaité, la grand-mère se penche sur le lavabo et me présente son fessier. Je ne demande pas ce que je dois faire, je prends ma tige d’une main et la dirige directement sur son anneau le plus étroit. Cela fait longtemps qu’il n’a pas était assailli et je m’en rends compte.


Heureusement que la crème agit comme un lubrifiant car je ne suis pas disposé à assouplir le muscle. Belle-maman pousse en haletant pendant la progression dans l’étroit boyau. Le côté gauche du visage écrasé sur la vitre, elle reçoit en soufflant les pistonnages que j’impose à son postérieur.


Je ne sais pas si elle a eu un orgasme ou juste du plaisir, mais ce qui est sûr, c’est que ses râles étaient très puissant vers la fin de l’assaut. Je ne me retiens pas pour jouir dans ses entrailles, ne me retirant que lorsque je deviens totalement flasque. Je regarde ensuite ses fesses musclées au milieu desquelles se dessine un rond noir parfait. Huguette sait que je la regarde et cambre son dos pour me montrer encore mieux sa face la plus secrète.


Comme lors de notre voyage au Sénégal, je ne résiste pas à venir collecter ma propre liqueur sortant du puits moite et délicieusement chaud. Sans vouloir choquer et surenchérir dans le salace, ce jour-là j’ai enfoncé ma langue et mes doigts profondément pour masser ma belle et recueillir la totalité de ma propriété.


Je n’avais pas envie de cesser de la fouiller, lorsque son cratère se tarit, je fus bien obligé d’arrêter mes caresses. À genoux, contemplant ce magnifique cul, j’entends ma douce belle-maman :



Je regarde ma montre, il est onze heures vingt. Effectivement, il ne nous reste plus trop de temps pour batifoler. Nous nous rhabillons prestement, pour aller préparer le repas. Frustrés nous sommes et c’est bien normal mais nous sommes quatre dans l’appartement, on ne fait pas toujours ce que l’on veut.



La réponse est positive sans sous-entendu malgré le fait que personne n’est dupe sur ce qu’il s’est réellement passé. Nous avons été discret c’est le principal. Nous nous sommes même lavés les dents et fait un brin de toilette avant de descendre.



oooOOOooo



La semaine est agréable, tout se passe pour le mieux. J’ai eu deux autres occasions de passer du temps avec ma belle-mère et toutes les soirées avec ma femme.


Pas une fois nous n’avons parlé de nos relations, tout était pour ainsi dire normal. Des vacances en famille de rêve avec toutes les personnes que j’aime…



À suivre