n° 14033 | Fiche technique | 46690 caractères | 46690Temps de lecture estimé : 28 mn | 05/09/10 |
Résumé: Comment un accrochage a bouleversé ma vie... | ||||
Critères: fh fhhh fplusag jeunes extracon vacances piscine forêt campagne fsoumise hdomine cérébral voir exhib fdanus partouze confession | ||||
Auteur : Elodie S Envoi mini-message |
Comme notre maison est relativement isolée, une fois par mois, je prends ma voiture et fait les trente kilomètres qui me séparent du Leclerc pour remplir placards et congélateurs. Cet exercice ne m’enchante guère, je déteste pousser mon caddy dans la bousculade au milieu de familles nombreuses pour qui la sortie hebdomadaire à l’hypermarché est l’évènement de la semaine. Comme mes deux enfants sont en colonie de vacances, aujourd’hui, je peux chiner plus tranquillement dans la galerie marchande et regarder s’il y a des affaires intéressantes en solde. Je craque pour une petite robe d’été blanche toute simple et un bikini rouge tellement mini que je vais en devoir réserver son usage à la piscine familiale. Puis je remplis le caddy à l’hypermarché, et lorsqu’il déborde, passe en caisse.
C’est un bel après-midi de juillet, j’aimerais bien aller faire un tour en centre ville, mais renonce à se projet, le surgelé supporte mal la chaleur. Arrivée à l’intersection du chemin de terre qui mène à notre maison, je m’apprête à tourner à gauche lorsque j’entends un énorme fracas. Mon rétroviseur est pulvérisé, et je vois une moto sans conducteur me dépasser, puis un motard sans moto glisser sur la route et me dépasser aussi. Mon Dieu, j’ai tué quelqu’un !
Je me précipite vers le motard. Heureusement, il bouge. Le côté gauche de sa combinaison est râpé, il soulève la visière de son casque et, assis sur la route, m’apostrophe avec violence :
Je ne suis pas sure d’avoir mis mon clignotant. Je tremble un peu…
L’homme se relève en grimaçant, va jusque sa moto, coupe le contact, et regarde les dégâts… Il peste contre les femmes qui, selon lui, ne savent pas conduire et contre moi en particulier.
Il relève sa moto, j’essaie de l’aider à la pousser jusqu’au garage de la maison car il claudique de manière prononcée, mais je suis bien maladroite, et il me dit :
Je vais rechercher ma voiture, la gare. L’homme est assez grand, il a enlevé son casque quand j’arrive. Je suis immédiatement frappée par sa jeunesse, il ne doit pas avoir vingt ans. Malgré ses grimaces, il a un beau visage, des cheveux blonds bouclés assez longs, des yeux azur, un nez aquilin, des traits fins. Une gueule d’ange, me dis-je, malgré les circonstances.
Il me suit au salon en maugréant. Je lui montre le sofa, il s’y installe.
Visiblement, il a du mal à le faire, son bras gauche est douloureux. Je l’aide à se dépoter de cette seconde peau. Il m’arrête quand elle arrive sur ses hanches. Dessous, il a un t-shirt à manches courtes vert. Je regarde son bras. Il a la peau arrachée du coude jusqu’au poignet. Il gémit lorsque je lui soulève l’épaule. Je regarde attentivement la blessure. Elle est assez étendue, mais visiblement, seulement superficielle : seule la peau, légèrement râpée, est abîmée. Je lui demande de bouger le bras, puis l’épaule. Il grimace, mais il ne semble pas y avoir de fracture.
Lorsque je reviens avec le nécessaire, je le trouve debout, tentant d’ôter le bas de sa combinaison d’une seule main.
En maugréant, il se couche sur le dos. J’ôte ses bottes et descends le zip jusqu’à son entrejambes. Je prends la combinaison sur ses hanches et la descend avec d’infinies précautions. Le cuir colle sa peau. Il soulève son bassin pour m’aider. Son slip apparaît, assorti à son t-shirt. Il est minuscule, et je ne peux m’empêcher de regarder l’importance protubérance qu’il cache plutôt mal.
Je tire sur la jambe droite, indemne, du bas de sa combinaison. Il ne lui reste plus que la jambe gauche, mais elle adhère au niveau du mollet. Pour la décoller, je glisse la main le long de sa cuisse jusqu’à sa blessure et décolle le cuir de la chair. Mon coude heurte sa virilité bien innocemment, je me sens mal à l’aise. Je parviens à dégager la jambe gauche. Il la bouge. Là encore, il ne semble pas y avoir de fracture. Je sens qu’il s’apaise un peu, que sa colère contre moi retombe. Je prends la trousse de secours et, avec douceur, lui désinfecte le bras. Puis je le recouvre de poudre cicatrisante, et lui fait un pansement de gaze. Il me demande :
Je suis flattée par son compliment. C’est le premier mot aimable qu’il me dit !
J’examine son mollet. La blessure est moins grande, mais un peu plus profonde. De petits cailloux y sont visibles.
Je tamponne sa blessure avec une solution légèrement alcoolisée. Il serre les dents. Lorsque cela me paraît propre, je mets une crème apaisante, puis la poudre. Je le bande, puis le regarde. Je croise son regard fixé sur mes seins, je n’ai pas fait attention, mais mon corsage baille largement sur mon soutien-gorge. Je suis troublée, mais je me dis qu’après tout ce que je lui ai fait endurer, je ne peux pas lui en vouloir de se rincer un peu l’œil ainsi. Je laisse mes boutons donc ouverts comme si de rien n’était, et m’assure de la stabilité du pansement. Lorsque je me relève, j’ai l’impression que la protubérance de son slip a encore grossi. Je vais lui chercher un jean de mon mari. C’est un peu large à la taille, court sur les jambes, mais ça va quand même.
Il s’assied, je lui propose une bière, il accepte.
Lorsque je me penche pour la lui servir, je sens à nouveau son regard dans mon décolleté. Je reste penchée plus longtemps que nécessaire, j’ai l’impression de me faire pardonner ma maladresse ainsi.
Il m’explique qu’il allait retrouver son cousin près de Sète et qu’il est bien embêté car il va devoir attendre que sa moto soit réparée. Spontanément, je lui propose de rester le temps nécessaire chez nous. Mon mari, qui doit rentrer de Paris le soir même, a un ami réparateur spécialisé dans les deux roues. Je lui passe mon téléphone pour qu’il avertisse son cousin. Je file vider les courses de ma voiture, non sans lui avoir amené une seconde bière.
J’ai à peine fini lorsque Laurent m’appelle. Il a un contretemps et ne rentrera que le lendemain en début d’après-midi. J’hésite à lui dire que j’ai eu un accident, et je décide de ne le lui révéler que lorsqu’il sera là. Avec mon mari, j’arrive mieux à me faire pardonner mes bêtises en tête à tête…
Me voilà seule avec le beau motard que j’ai blessé. Prise d’une idée saugrenue, je passe dans ma chambre et décide d’ôter mon soutien-gorge, tout en fermant un bouton de plus. Lorsque je reviens au salon, Kevin feuillette une revue. Au regard qu’il me lance, je me rends compte qu’il a tout de suite vu mon changement vestimentaire, et qu’il semble apprécier. Je lui dis que je vais préparer le dîner, et lui propose des langoustines. Il me répond adorer les crustacés. Je prépare le dîner, il s’est assis dans un fauteuil où il peut me voir m’affairer dans la cuisine. Ses yeux ne me quittent pas…
Nous nous installons. Son appétit fait plaisir à voir, et il me demande comment je peux être à la fois infirmière et cuisinière ! Sa conversation est drôle, il m’apprend qu’il a 19 ans, qu’il prépare les concours d’ingénieur, et que c’est sa première moto, acquise d’occasion il y a peu, que j’ai abîmée. Il prétend ne pas avoir de petite amie stable, je le soupçonne de multiplier les conquêtes féminines avec la gueule qu’il a. Il voulait avec son cousin visiter les plages du Languedoc et peut-être pousser jusqu’à la Costa Brava. Il me demande si je connais le Cap d’Agde où il projette de s’arrêter. Je lui dis que j’y suis allée avec un ami, avant mon mariage.
Rieur, il me catalogue comme pratiquante régulière du naturisme. Je rougis un peu, et lui avoue que je suis souvent nue dans ma piscine, quand mon mari est là. Il me rétorque qu’il aimerait bien s’y baigner… Je le prie d’attendre la cicatrisation de ses blessures avant de songer à profiter d’une piscine. Nous papotons jusque tard comme si nous nous connaissions depuis longtemps, je lui parle à plusieurs reprises de Laurent et des enfants pour lui prouver que je suis une femme sérieuse puis je l’installe dans la chambre de mon fils Ludovic. Au moment de nous quitter, il m’embrasse sans que je m’y attende tout près de la commissure de mes lèvres. Je dors mal cette nuit-là, revoyant successivement des clichés dans ma tête : le choc, la moto puis le motard qui glissent sur la route, le slip de Kevin, son beau visage…
Il est déjà neuf heures lorsque je rentre dans sa chambre avec le petit déjeuner. J’ai un choc : il est nu, le drap baissé, et me tourne le dos. Je vois ses fesses : elles sont petites, nerveuses, musclées. Je distingue aussi ses bourses posées entre ses cuisses. Je toussote, il se retourne, me sourit. J’ai du mal à détacher les yeux de son sexe, il remonte très lentement le drap en me fixant…
Il se cale sur son oreiller avec un sourire craquant, je dépose le plateau devant lui, avec des croissants réchauffés. Lorsque je reviens avec ma trousse à pharmacie, il est dans la même position, mais il a dévoré tout le contenu de son plateau. Je m’attaque à son bras, la plaie est saine, je lui renouvelle mes soins. Je sais que pour son mollet, je vais devoir baisser le drap, et qu’il est nu dessous. Je suis troublée, plus que je voudrais ; jamais, depuis que je suis mariée, je n’ai dû faire face à ce genre de situation, de tentation devrais-je dire. Au moment où je vais lever le drap, sa main se pose sur la ceinture de mon peignoir et la dénoue. Il s’ouvre. La nuisette que je porte dessous ne cache pas grand-chose de mon corps, elle est rose, assez transparente…
Me voilà presque plus nue que nue devant un garçon de 15 ans mon cadet. Par transparence, il doit voir tous les détails de mon corps ! C’est un peu osé de se faire parvenir ainsi ! Je soulève le drap par le bas pour éviter de dénuder le garçon. Voyant cela, Kevin va plus vite que moi et le repousse complètement ! Sa virilité pointe comme un mat. Nos regards se croisent, troubles, comme aimantés. J’essaie d’ignorer son membre, virilement dressé à quelques centimètres de mon visage, cela est impossible. Je sens qu’il s’amuse de mon refus de relever les yeux. Je prends alors le parti de lui tourner le dos et défais son pansement. Ses yeux glissent sur mon corps, je les sens en épiant tous les contours. Sa main se pose sur ma cuisse, à la limite de ma nuisette, et remonte sur ma fesse. J’esquive en reculant, j’ai bien du mal à le désinfecter, le prie de se calmer. Je lui réitère que je suis mariée, mère de deux enfants, et bien trop vieille pour lui. Ça le fait éclater de rire. Je finis de désinfecter la plaie et refais le pansement. Il me prend la main, la pose sur son sexe. Il est dur, il est doux, il est beau. Machinalement, je le fais coulisser mes doigts. Je m’en veux de l’avoir blessé, je me sens sa débitrice. Il me regarde avec sa gueule d’ange, son regard sur mon corps est brûlant. Il me dit :
Presque malgré moi, je m’incline, le prends dans ma bouche, et, avec une infinie lenteur, le guide vers ma gorge. Il me dit que je suis super bonne , que c’est merveilleux ce que je lui fais, que ma bouche est un océan de douceur. Je vais, je viens, ma main soupèses ses bourses, je l’engloutis jusqu’à ma gorge, le recrache, le reprends, il durcit encore, il grogne, il éclate, m’inonde… Je pars en courant, la bouche pleine de sa semence, honteuse ! Je ne me reconnais plus !
Après m’être brossé les dents et avoir pris une douche réparatrice, je me maquille, en string devant ma coiffeuse. Soudain, je sens une présence derrière moi : Kevin, vêtu des seuls pansements que je lui ai faits, s’est introduit subrepticement dans ma chambre et me regarde de ses grands yeux bleus.
Il a vraiment des côtés d’adorable garnement, ce garçon ! Pour la première fois de ma vie, je me maquille, à demie nue, avec un homme que je connais à peine, tout nu, qui me regarde par-dessus mon épaule ! En plus, il m’est facile de constater que je lui fais de l’effet et qu’il reprend de la vigueur. Je la joue courte, l’évite pour prendre dans ma garde-robe la première jupe qui me tombe sous la main, passe un chemiser et l’envoie s’habiller. Il me fait remarquer que ses vêtements sont encore sur la moto. Je vais les lui chercher.
Évidemment, Laurent fait une drôle de tête quand il découvre une moto dans le garage, puis un jeune homme dans la maison. Je lui explique ce qui s’est passé (enfin, le début, c’est-à-dire l’accident), il me jette un regard noir, serre la main de Kevin et va avec lui estimer les dégâts. Je prépare le repas. Ils passent un coup de téléphone et m’informent que le copain garagiste de Laurent, un nommé Gérard que je connais de vue, estime avoir entre deux et trois jours de réparation au vu de la description des dégâts. Il passera chercher la moto en début d’après-midi et en profitera pour emmener Kevin en ville pour qu’il prenne un train pour rejoindre son cousin. Je signe le constat amiable préparé par Laurent. Le courant passe vite et bien entre lui et Kevin ; pendant le repas ils discutent mécanique, sport, etc. comme s’ils se connaissaient de longue date. Lorsque le mécanicien vient prendre Kevin et sa moto, après le café, Laurent insiste pour que celui-ci vienne coucher à la maison quand il reviendra la chercher.
Le passage éclair de Kevin chez moi et dans ma vie me laisse perplexe, car j’ai fait des choses que je n’ai pas l’habitude de faire. Je me demande si c’est avoir trompé Laurent, de l’avoir pris dans ma bouche, de m’être maquillée à demi nue devant lui. D’un autre côté, Kevin, avec son look d’ange et sa fraîcheur coquine, m’émeut bien plus que je ne le voudrais.
Trois jours plus tard, Kevin m’appelle, me dit que le garagiste l’a informé que sa moto est réparée. Il pense venir le lendemain et me demande :
J’annonce à Laurent la visite de notre motard le lendemain. Il me demande de bien le recevoir.
Je mitonne une de mes spécialités culinaires, un soufflé aux Saint-Jacques au safran. Afin de préparer son déplacement, Laurent reste travailler à la maison, et en milieu de matinée, Kevin arrive. Surprise, il est accompagné de son cousin, un garçon de 25 ans environ, assez fort, qui me déplaît d’entrée : il a un regard vicieux, avec de petites lunettes étranges. Je fais remarquer à Laurent que je n’attendais qu’une personne. Il me rétorque que Kevin ne pouvait pas arriver à pied ! Mon déjeuner va être un peu juste. J’installe les deux cousins dans la chambre de Ludo, et pars préparer ma table. Les hommes se retrouvent à la piscine.
Je les rejoins pour l’apéro. J’ai mis mon nouveau maillot : 4 (petits) triangles rouge carmin retenus par des anneaux ivoire sur le dessus des seins et le côté des hanches. Mon arrivée suscite des sifflements admiratifs, et Kevin applaudit ! Les hommes sont dans l’eau, accoudés chacun dans un coin, un verre à la main. Je rejoins mon mari. Il étend sa jambe, et je m’assois sur son genou. La conversation porte sur le foot et l’OM. Barbant… Tout en parlant, Laurent glisse sa main sous mon haut, et me saisit un sein. Au gré de la conversation, il remue la main et me flatte le sein. Je me rends compte alors que les deux autres ont le regard scotché sur les mouvements qu’il fait, mais lui ne semble pas s’en rendre compte. J’essaie de m’esquiver, il me maintient ainsi avec fermeté. Par moment, mon téton émerge de mon bonnet et les garçons le voient. Je serre les cuisses autour de sa jambe pour lui signifier d’arrêter ce petit jeu ; il se méprend sur mon geste, et descend sa main sous mon maillot jusqu’entre mes fesses, laissant mon aréole dénudée. Je suis obligée de la remettre à l’abri des regards. Son doigt sous l’eau m’agace machinalement en passant de ma rosette au bord de mon minou. Je finis par m’échapper de son emprise et sors de l’eau, prétextant que mon soufflé mérite surveillance ! Quelle malchance, pour une fois que Laurent est d’humeur câline et que j’ai droit à des caresses préliminaires, il y a deux importuns pour me regarder.
Mon soufflé est réussi, le rosé bien frais coule en abondance. Les hommes décident de faire une petite sieste avant d’aller rechercher la moto. J’en profite pour préparer la valise de Laurent. Lorsqu’il se réveille, je m’affaire en culotte et soutien-gorge. Son regard sur moi m’avertit immédiatement de ce qui va se passer, je le connais trop bien. Il m’attrape par l’élastique de ma culotte, m’attire à lui et me dévêt en un tour de main. Il me pénètre rapidement, s’agite une minute et se déverse en moi, je suis tout juste humide. Jeune mariée, il me faisait l’amour très lentement, après m’avoir longuement préchauffée ; plus le temps passe, et plus il me prend comme ça, à la sauvette, à toute vitesse, sans ces préliminaires que j’adore. J’ai une copine qui appelle ça la séance vide couilles. Ça me laisse chaque fois plus languissante de vraies caresses !
Après une douche, je retrouve Kevin pour lui refaire ses pansements. Je suis étonnée de la vitesse à laquelle il cicatrise. Les hommes partent rechercher la moto. Ils ne reviennent que pour l’heure du dîner. Laurent a essayé les deux motos, et dit préférer celle d’Olivier, plus puissante. Mon ange aux yeux bleus est ravi d’avoir retrouvé son engin. Quand je vais me coucher, ils débattent des qualités des différents modèles de motos. Visiblement, je suis un élément du paysage ! Je sens que Laurent est mûr pour en acheter une.
Je me lève aux aurores pour préparer le petit déjeuner de Laurent. En m’embrassant, il me dit avoir proposé aux garçons de rester encore quelques jours chez nous, au moins jusqu’à son retour, le lendemain très tard. Je suis dans la cuisine quand Kevin se lève. C’est la première fois que je me retrouve seule avec lui depuis notre mini aventure. Il m’enveloppe de son beau regard bleu et me fait une bise presque chaste. Je suis un peu mal à l’aise. Il me propose de m’emmener faire un petit tour à moto. Je suis réticente, surtout après ce qui nous est arrivé. Mais son enthousiasme est tel que je finis par accepter, une fois ses pansements refaits. Après lui avoir servi un copieux petit déjeuner (il a l’appétit d’un ado), puis réveillé Olivier, j’enfile un jean, un t-shirt, un blouson et le casque d’Olivier (beaucoup trop grand pour moi), je m’installe à l’arrière de son engin. Il a remis sa combinaison blanche à rayures rouges, malgré ses accrocs.
Lorsqu’il démarre, je manque de tomber en arrière ! Je dois m’agripper à ses hanches. Au deuxième virage, Kevin me parle. Je n’entends rien. Il s’arrête donc, et m’explique que je dois me pencher comme lui, vers l’intérieur du virage, et non pas vers l’extérieur. Je lui fais promettre de ne pas aller trop vite, et lui indique les directions à prendre en appuyant sur sa hanche du côté où il faut tourner. Petit à petit, je me décontracte. Kevin le sent, et accélère un peu plus. Je me maintiens fermement à ses hanches, la poitrine plaquée à son dos. Le contact et l’odeur du cuir me grisent. Nous nous arrêtons prendre un café à la terrasse d’une charmante auberge au bord d’une rivière. La patronne nous traitent de tourtereaux. Mon beau motard me félicite pour avoir trouvé si vite la position de bonne passagère, et se dit prêt à m’emmener… en Andalousie ! Nous rions de bon cœur, et je lui propose de lui faire visiter le fort du Ferget. C’est un ancien château cathare bâti au sommet d’une colline dotée d’un point de vue exceptionnel. Nous remontons sur sa machine, je me serre encore plus à lui, car il met vraiment les gaz maintenant. Est-ce le contact de son corps, le vent, la vitesse ? Je sens en moi une étrange excitation, des ondes parcourent mon corps, mes seins durcissent un peu, j’ai une boule dans le ventre.
Nous arrivons au fort, il n’y a personne. Je manque de tomber en descendant de moto, Kevin me retient par la taille. Il ôte mon casque, je suis toute décoiffée puis il prend ma main dans la sienne ; nous admirons la vue à 360° tout au long du petit chemin de ronde que nous gravissons. Nous en faisons le tour complet, main dans la main, puis nous asseyons à l’ombre d’un figuier et de pins parasols. Les cigales chantent, Kevin a entouré mon épaule de son bras. Nous ne parlons pas, nous regardons le paysage. J’ai toujours au creux du ventre cette étrange boule, plus lourde encore. Alors, je fais malgré moi un geste qui m’étonne : je prends la main de mon compagnon, la pose sur ma poitrine, et ferme les yeux.
Il a à peine bougé les doigts, et je sens des ondes qui en partent, et me traversent le corps.
Je lui murmure :
Ses lèvres se posent sur les miennes, légères comme un papillon. Je les entrouvre, et sa langue les lèche, ses dents me les mordillent. J’ouvre les yeux, ses grands yeux bleus sont dans les miens. Mon souffle se fait plus court, mes seins se soulèvent, sa main se fait plus lourde. Sa langue m’investit, me fouille, me pénètre. Je suis si bien, je frémis de la tête au pied.
Sa main se resserre sur mon sein, l’autre fait glisser mon blouson, pénètre sous mon t-shirt. À travers mon soutien-gorge, son doigt excite mon téton. Je pose ma main sur sa braguette. Il ôte mon t-shirt, dégrafe mon soutien-gorge et sans même l’ôter me masse la poitrine avec une infinie douceur. Je crispe les doigts sur son entrejambes, je sens son membre qui se déploie. J’ouvre la fermeture éclair, défait sa ceinture, le débusque dans son caleçon et le sors, orgueilleux. Il est aussi beau que la dernière fois. Je veux le saisir, mais il arrête mon geste et me dit :
Je le regarde au fond des yeux, prends mon air le plus coquin et lui réponds :
Il enlève mon soutien-gorge, mes chaussures, déboucle la ceinture de mon jean. Il a du mal à le faire glisser sur mes hanches car il est très serré. Je me soulève et l’aide. Je n’ai plus que mon string, il le baisse un peu, regarde un long instant ma fente et me dis :
Je fonds, je craque, je le veux.
Tout doucement, il fait glisser mon dernier vêtement sur mes hanches, mes cuisses et mes jambes. Je suis nue devant lui, en pleine nature, heureuse de l’être, sous le soleil et le chant des cigales. Il se penche vers moi et pose ses lèvres à l’orée de ma féminité. Je m’ouvre à lui, pour lui. De la pointe de la langue, il trace son chemin en moi, y pénètre, hésite, insiste, ressort, revient. Je m’écarte au maximum pour lui faciliter la tâche. Il glisse ses mains sous mes fesses, pour me soulever vers lui. Mon minou monte vers son visage, sa bouche fond sur ma féminité. Il me pénètre, m’aspire, me pompe, me boit. La pointe de sa langue agace, effrontée, mon bouton. Des ondes me secouent, je jaillis, le mouille, l’inonde. La bouche poisseuse, il émerge, me regarde, me sourit. Il est beau, il est viril. Il est mon homme.
Je retrouve des doigts sa virilité, toujours aussi ardente. Je soupèse ses bourses, elles sont lourdes, pleines de vie. Je l’attire vers moi, ma voie est toute ouverte. Il me pénètre, je le sens progresser lentement en moi, il va, il vient, il accélère, il m’ensemence, nous explosons. Nous restons un long moment, nus, au soleil, encastrés l’un dans l’autre, en nous caressant presque innocemment. Lorsque nous nous levons, il ôte avec tendresse les aiguilles de pin collées à mon dos et à mes fesses. Je lui fais promettre de ne parler à personne de nos moments d’extase. Pour la première fois, je viens de tromper Laurent. Toute poisseuse intimement, je remonte maladroitement sur la moto, et nous rentrons chez moi. Je n’ai pas connu une telle jouissance depuis que je suis tombée enceinte d’Angélique, il y a onze ans.
Lorsque nous arrivons, nous trouvons Olivier, au bord de la piscine. Il nous jette un regard noir, nous demande suspicieusement où nous avons été, ce que nous avons fait. Pourtant, j’ai pris soin de me changer et recoiffer en revenant de notre périple afin d’avoir l’air naturelle. Je leur sers l’apéro, puis les nourris. J’ai l’impression d’avoir deux nouveaux enfants avec moi tant ils dévorent. Kevin propose d’inviter Gérard, le garagiste moto avec lequel ils ont sympathisé et qui connaît Laurent le lendemain. Une bouche de plus à nourrir ! J’accepte. Nous passons l’après-midi au bord de la piscine. Je dors comme une bienheureuse, rêvant des chevauchées en deux roues puis d’être chevauchée moi-même, Kevin m’a éreintée. Lorsque je me réveille, je surprends le regard d’Olivier fixé fermement entre mes jambes. J’espère que ma féminité ne révèle pas l’objet de mes rêves…
Pendant que je prépare le dîner, les garçons font une pétanque. Laurent appelle, et confirme qu’il atterrira vers 22H00 à Marseille, et arrivera donc vers minuit. Une fois rassasiés, les garçons proposent une partie de cartes, un strip-poker. Je refuse, car je perds systématiquement au poker. Nous faisons une partie sans enjeu, bien m’en prends car j’aurais vite été en tenue d’Ève ! Lorsque Olivier s’absente un moment, je propose à Kevin de me rejoindre dans mon lit une fois son cousin endormi. Il me répond avec un grand sourire ! Vers minuit, il me rejoint dans le lit conjugal, et nous nous aimons avec douceur puis passion. Laurent déteste que je me colle à lui quand nous dormons, après l’étreinte. Kevin me laisse me lover dans ses bras, et je m’endors avec son engin au repos dans le creux de ma main. Deux autres fois dans la nuit, il me réveille, par ses douces caresses et me fait faire des tours de paradis.
Je me réveille tard, le lendemain, et Olivier est déjà dans la cuisine quand j’y arrive. Je deviens rouge comme une pivoine, il me regarde en me déshabillant du regard comme jamais et me dit :
Je pique du nez dans mon bol, horriblement gênée.
Heureusement, Kevin nous rejoint, et j’évite soigneusement tout tête-à-tête avec Olivier durant la matinée. Vers midi, Gérard arrive. À peine plus âgé que Laurent, il est petit (à peine plus grand que moi), très râblé, avec des sourcils incroyablement buissonneux. Tout en muscles, je lui trouve un look italien. De l’apéro jusqu’au dessert, je n’entends parler que gros cubes, courses et wheeling (j’apprends que c’est rouler sur une seule roue). Décidément, je suis exclue de leur conversation ! Nous prenons le café au bord de la piscine. Lorsque j’ôte mon paréo, Kevin et Olivier me charrient, car j’ai mis un maillot une pièce très sage. Ils insistent pour me voir dans mon petit maillot rouge. Je finis par accéder à leur demande et retourne me changer. Lorsque je réapparais, ils arrêtent de chahuter dans l’eau et me sifflent en cœur.
Ils me font jouer au water-polo. Je suis avec Kevin contre les autres. Évidemment, à chaque contact, j’ai droit à des mains baladeuses. À un moment, Olivier m’attrape le pied, et je sens la chaînette en or que j’ai autour du mollet se casser. Je demande aux hommes de me la rechercher au fond de la piscine, et Olivier décide que celui qui la trouve aura le droit de m’embrasser. Il gagne, s’approche de moi, me saisit par la taille, m’enlace étroitement et m’embrasse sur la bouche. Je serre bien évidemment les lèvres, mais sa main me dénoue mon cordon de soutien-gorge, qui ne tient plus que par mon cou. Je crie et rattrape mes bonnets qui flottent devant moi. Il en profite pour défaire les nœuds de mon bas de maillot et me l’enlever, s’éloignant de moi en agitant son trophée en l’air. Les autres rient à gorge déployée. Mon bas de maillot a remplacé le ballon pour le water-polo !
Ils nagent sous l’eau, et tournent autour de moi, comme des requins autour d’une pauvre petite sirène. Olivier propose que tout le monde se mette à poil, et trois slips de bain volent sur le bord de la piscine. Kevin s’approche de moi, m’enlace. Je sens son membre contre mon ventre. Il dénoue mon soutien-gorge et l’envoie rejoindre les effets masculins. Étrangement passive, je le laisse faire. Les hommes chahutent entre eux, je me tiens un peu à l’écart dans un coin. Ils décident d’une course de crawl, et j’ai sous les yeux trois hommes intégralement nus, debout sur le bord de la piscine, avant le départ que je suis sensée donner. Je patiente plus que de raison pour leur permettre de s’élancer. Avoir trois services 3 pièces dénudés à deux mètres de moi me fait un effet puissant que j’ai du mal à dissimuler. Si Kevin est long et fin comme sa silhouette, Olivier semble avoir une virilité qui lui rentre dans le ventre. Gérard me surprend et m’attire malgré moi : sa tige est beaucoup plus large et trapue et ses fruits sont deux fois plus gros que ceux des autres. Je donne enfin le top départ. Difficile de départager le gagnant entre Kevin et Gérard ! Chacun d’entre eux prétend avoir triomphé, et prétend l’arbitre partiale. Je me sens soudain soulevée hors de l’eau. Gérard s’est glissé entre mes jambes, et je me retrouve assise sur ses épaules, ma vulve nue contre son cou. Il avance vers la partie la plus profonde de la piscine, sa tête disparaît sous l’eau, je dois me retenir à son cou, il assure sa prise en remontant ses mains très haut à la jointure de mes cuisses. Je me sens langoureuse… Il tourne et revient vers l’endroit le moins profond. Les deux autres nous regardent, subitement tranquilles. Ses doigts sont maintenant au bord de ma fente, que je sens s’ouvrir, humidifiant sa nuque. Mes seins pointent.
Il gravit l’escalier, sort de l’eau, déploie une serviette sur un des grands fauteuils allongés et m’y dépose avec une infinie douceur. Je ferme les yeux, les cigales chantent. Je sens les deux autres s’approcher, et la main de Gérard au bord de ma féminité. Elle décrit des cercles concentriques, très lents, très doux, effleurant par instant ma toison, puis s’en éloignant pour y revenir. Je m’ouvre, j’ai du mal à respirer, mes seins, agités par mon souffle court, durcissent et me lancent presque douloureusement. J’imagine l’obscénité de ma position exhibitionniste, ouverte à la caresse d’un homme que je connais à peine, devant deux autres intégralement nus. Pourtant, les yeux clos, je ne veux surtout pas interrompre ce jeu de mains impensable pour l’épouse presque parfaite que je suis. Il y a maintenant six mains qui courent sur mon corps, mais aucune ne me pénètre malgré mon envie. Je me cambre, je gigote, je gémis, je frémis. Deux bras puissants me relèvent, un corps indiscutablement masculin se glisse sous moi, on me recouche dos sur son ventre. Je reconnais Kevin. Son membre fièrement dressé frotte entre mes fesses et sur mon ventre, des doigts entrent dans ma chatte, en sortent, frôlent mon anus, en ouvrent l’entrée, repartent, reviennent. Je suis béante. Lentement, le sexe se pointe sur mon petit trou, en forcent l’entrée. Kevin me sodomise.
Puis un autre corps d’homme se couche sur moi, ventre à ventre, m’écrasant un peu. Olivier me pénètre. Ils s’agitent de concert, les deux pieux se rejoignent en moi, se touchent dans mes parois. Pour la première fois de ma vie je suis prise par deux hommes à la fois. J’entrouvre un œil, je vois Gérard qui me regarde un sourire aux lèvres. Ça s’agite en moi, une vague me soulève, puis une autre, puis une autre. Je geins, je crie, je pleure… De puissants jets de semence m’inondent de part et d’autre. Je retombe, inerte, anéantie…
Lorsque je reviens à moi, je n’ai qu’une idée, me laver, je me sens souillée… Je repousse Olivier, encore sur moi, et tente de me lever. La tête me tourne, je chancelle, Gérard me prend par l’épaule. Je lui dis :
Il me conduit vers la douche de la piscine. Je me blottis entre ses bras, il dirige le jet longuement sur mes orifices souillés. Je me sens mieux. Son pieu percute ma cuisse, je le regarde, il est étonnement gros. Il capte mon étonnement, prend ma main, la pose dessus. La peau est douce, de grosses veines la sillonnent. Je le caresse tendrement, il plonge ses yeux dans les miens. Ses yeux ont un pouvoir magique, je fonds rien qu’en les regardant. Ils sont à la fois tendres et autoritaires, câlins et exigeants. Il me soulève en me prenant sous les cuisses et porte mon bassin à la hauteur du sien. Mes muqueuses sont encore sensibles de la présence d’Olivier, et je sens centimètre par centimètre sa progression en moi. Je me tiens à son cou, il m’attire tout contre lui. Il s’immobilise, je n’ai jamais eu l’impression d’être aussi remplie. Puis il s’anime, doucement, fermement.
Chaque fois qu’il fait mine de sortir, je geins de déception. Mais il revient en moi, de plus en plus profond. L’eau ruisselle sur nos corps, et je me sens plus lourde. Sa cadence s’accélère, ses bourses butent contre moi, je le sens se durcir, nous partons tous les deux, je déborde de lui.
Durant une bonne partie de l’après-midi, ils on fait de moi un jouet, j’ai été leur poupée. Ils m’ont caressée, je les ai masturbés. Ils m’ont tétée, je les ai embrassés. Ils m’ont sucée, je les ai engloutis. Ils m’ont pénétrée, je les ai absorbés. Ils se sont déversés en moi, j’ai coulé sur eux. Ils m’ont aimée, et j’ai aimé…
Cependant, au bout d’un moment, je suis devenu sèche, et Olivier m’a fait vraiment mal en me pénétrant à nouveau J’ai crié, les larmes aux yeux, et me suis enfuie pour m’enfermer à double tour dans ma chambre, sauter dans la baignoire où j’ai doublé la ration de sels de bain. Lorsque je reprends conscience, j’ai honte. Je viens de me donner à 3 hommes en même temps. En fin de journée, on frappe à la porte. C’est Gérard, qui doit partir. Je lui dis au revoir à travers la cloison, et note son n° de portable. Je m’habille comme si j’allais à une vente de charité, et fais le dîner. Poissons pannés surgelés, le minimum ! L’ambiance est plutôt fraîche, je m’en veux de mes excès de sensualité.
À la fin du repas, Kevin me supplie de le recevoir dans ma chambre. Je refuse net. Je me couche, et ne me relève que lorsque j’entends des voix. Laurent est arrivé, il trouve les garçons en pleine partie de cartes et son épouse sortant de la chambre conjugale en robe de chambre très stricte. Ils restent à discuter, je vais me recoucher. Endormie, je sens Laurent se glisser en moi. Il n’a pas pu voir, par chance, les marques de mon après-midi de débauche sur mon corps, et surtout mes seins. J’ai d’horribles traces. En plus, j’ai mal aux reins, au ventre. Heureusement, il éjacule en moi au bout de deux minutes, je feins un plaisir partagé.
Je ne me lève, le lendemain, soigneusement couverte, que lorsque les garçons, qui ont pris le petit déjeuner avec Laurent, sont prêts à partir. Une semaine après, j’ai rappelé Gérard…
Depuis le départ des garçons, il y a six mois, mon rythme de vie a changé. Un vendredi sur deux, je vais à la ville, rejoindre Gérard de 10h à midi (sa femme, une grosse matrone que j’ai aperçue une fois, est au cours de gymnastique à cette heure). Je n’ai pas à proprement parler de sentiment pour lui, mais une impérieuse attraction pour la manière dont il sait calmer les besoins de mon corps. Ensuite, je me balade en ville où vais déjeuner avec une copine. L’après-midi, je fais mon Leclerc, puis récupère Ludovic et Angélique au lycée et les ramène à la maison. Gérard m’a proposé de m’emmener dernièrement passer le week-end à la chasse avec ses copains, dans un pavillon forestier qu’ils louent. Bien entendu, n’ayant pas pu trouver une excuse pour Laurent et un point de chute pour les enfants, je n’ai pas pu accepter. Il veut aussi me faire découvrir une boîte échangiste à Montpellier avant la fermeture de la chasse (je sens que la chasse est un bon prétexte pour échapper à son épouse !).
Lorsque j’arrive à son garage, je dois monter à son bureau, qui surplombe l’atelier, par une échelle métallique ajourée. Systématiquement, ses deux mécaniciens viennent sous l’escalier quand j’y monte, avec des airs de conspirateurs. Ils doivent bien se douter de ce que je viens chercher chez leur patron. Gérard prétend que cela s’explique car ils ont l’habitude des petites jeunes et pas des femmes dans leur plénitude comme moi ! Son bureau n’est pas très vaste, les murs sont tapissés de photos de courses de moto. Il a une grande table avec beaucoup de papiers, son gros fauteuil en cuir, deux chaises devant lui et un sofa élimé dans un coin. Un petit cabinet de toilette jouxte l’entrée. Une lumière verte ou rouge permet d’indiquer aux visiteurs s’ils peuvent rentrer, lorsqu’ils se présentent en haut de l’escalier. Les deux seules grandes baies vitrées du bureau donnent dans l’atelier, lui permettant de surveiller d’en haut ce qui s’y passe.
Gérard adore que je mette des dessous en lingerie fine, mais m’a étrangement demandé de porter, aujourd’hui, non pas un string mais une culotte un peu couvrante et des bas. J’ai complété ma tenue par un petit tailleur gris plutôt strict et un corsage blanc. Dessous, j’ai un porte-jarretelles blanc avec des bas fumés, la culotte qu’il m’a demandé de mettre et un soutien assorti. Lorsque j’arrive devant la porte, la lumière est rouge. Je donne 3 petits coups, puis 2, notre code. La lumière passe au vert et il m’ouvre la porte à distance. Je pénètre dans son repère. Les pieds sur la table, il est en grande conversation téléphonique, au sujet de l’organisation d’une course. Il me sourit et me fait signe de me déshabiller. J’enlève tailleur et corsage. Il descend ses jambes et me couve du regard en continuant à parler, me fait signe de m’approcher et me montre sa braguette en reculant son fauteuil… J’ai compris, je me cale entre ses jambes et descends son zip. J’attrape son membre déjà raide et le sors. Je m’agenouille, l’observe et commence à le sucer du bout des lèvres. Le combiné toujours à l’oreille, il me pousse la nuque vers le bas pour que je l’absorbe plus. Je sors aussi ses bourses et les caresse de la main pendant que je le pompe. Je sens son plaisir peu à peu monter, il congédie son interlocuteur, pousse ma tête encore plus fort et crache sa liqueur dans ma bouche en grognant. Je mets un moment à récupérer, puis le nettoie de ma langue et vais me rincer la bouche et refaire mon maquillage dans le cabinet de toilette. Il surgit derrière moi, pose ses mains sur mon soutien-gorge, le baisse et en extrait mes seins sans même l’ôter. Je le sens déjà bander. Je suis sidérée, à chaque fois, de la propension qu’il a d’être très rapidement dur à nouveau. Je n’avais jamais, avant, connu d’homme comme ça, aussi vigoureux. Je dois d’abord en arrivant lui ôter la pression comme il dit, comme il dit, et après il s’occupe admirablement de moi, à tel point que l’épouse fidèle que j’étais jusqu’il y 6 mois vient, deux fois par mois, assouvir avec lui sa sensualité insatisfaite par Laurent.
Une de ses mains quitte ma poitrine et m’enveloppe une fesse, sous la culotte. Elle la tire légèrement vers le bas, et il y introduit et son sexe, et ses couilles qu’il enveloppe dedans en la relevant. Évidemment, l’élastique me tire sur les hanches et le ventre, mais l’impression est grisante, comme si nous étions tous deux dans la même culotte ! Son membre glisse le long de mon anus et de mes lèvres intimes, les entrouvrant légèrement. Baissant les yeux, je le vois ressortir devant et repousser vers l’avant le tissu de mon sous-vêtement, comme si j’étais dotée moi-même un demi sexe d’homme entre les jambes ! Je suis très humide, je le réclame en moi. Mas il repart en arrière, puis revient, puis repart. Tout est en sensuels frottements. Je tente de baisser ma culotte pour qu’il puisse me pénétrer, mais il retient mon geste. N’en pouvant plus, j’explose, je vois son regard dans la glace me fixer intensément.
Je reprends mon souffle, il plie légèrement les genoux, sexe et bourse toujours contre mes fesses, dans ma culotte. Il passe ses mains sous l’élastique de mon porte-jarretelles et les pose sur mes hanches, bloquant les côtés de mon cache-sexe. Je me soulève sur la pointe des pieds, mais il m’est impossible d’entrouvrir plus les cuisses. Son membre écrase mes lèvres intimes. Comme je suis onctueuse, millimètre après millimètre, il rentre en moi. Les mains sur le lavabo, je m’incline autant que je peux. J’ai l’impression qu’il se coude, que je me déforme. L’inexorable pénétration dure pendant plusieurs minutes, je me sens ruisseler de manière continue, serre les dents pour ne pas crier. Tout d’un coup, ne pouvant plus s’enfoncer, il baisse d’un seul coup ma culotte et me pistonne comme un forcené. Je m’évanouis presque. Sa semence jaillit tel un geyser.
Étendue sur le sofa, je récupère. Il va bientôt falloir que je m’en aille. Il me refait cependant l’amour encore une fois, de manière plus traditionnelle cette fois ! Il me promet encore plus pour la prochaine fois, et garde en souvenir ma culotte, distendue et souillée de nos sucs. En descendant l’escalier, j’ai l’impression que les deux mécanos me devinent nue sous ma jupe.
Cela a été notre dernière partie de jambes en l’air. Dix jours plus tard, il avait un grave accident de moto qui l’a condamné au fauteuil roulant plusieurs années. Je l’ai revu une fois, en maison de rééducation, en évitant son épouse bien entendu. Il me demande de lui montrer mes seins. Un petit plaisir que je ne peux lui refuser ! Puis de m’approcher pour le caresser. Malgré la coque qui serre son bassin, j’essaie de réanimer l’objet de mes trop grands désirs. En vain… Et l’irruption d’une infirmière, pour le moins stupéfaite, coupe notre dernier câlin !
De nouveau, je ne vais au Leclerc qu’une fois par mois et ma routine d’épouse et de mère…