n° 14042 | Fiche technique | 7352 caractères | 7352Temps de lecture estimé : 5 mn | 08/09/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Relation sexuelle sur le lieu de travail entre un supérieur et sa secrétaire plus âgée. | ||||
Critères: fh fplusag collègues travail pénétratio confession -travail | ||||
Auteur : Rob Roy (Epicurien) |
Cette histoire s’est passée en 2001, elle est réelle. Seuls les lieux et les prénoms ont été changés pour conserver l’anonymat des protagonistes.
Je venais d’être affecté au "Fort des Pleureuses", contre mon gré, dans un poste qui me rebutait avant même de le découvrir. En effet, je me retrouvais à remplacer deux personnes dans des fonctions que je n’avais jamais exercées. Outre le management de l’équipe que j’allais avoir en charge, j’allais devoir faire preuve de qualités d’adaptation au fur et à mesure où je découvrirais l’ampleur de la tâche.
Je fis donc la connaissance de mon équipe de travail, cette dernière était composée de six personnes, dont Mme G, la secrétaire, Karine de son prénom. Cette dame, âgée de 44 ans, était séparée et déjà mère de trois grands ados. La différence d’âge (j’avais 35 ans) et la différence de fonctions ne fut pas une barrière.
Bien qu’étant son chef de service, nous avions sympathisé immédiatement ; ses qualités professionnelles et sa bonne humeur quotidienne étaient pour moi une source de réconfort. Elle avait une silhouette agréable que trois grossesses n’avaient pas déformée, des hanches pleines, une poitrine naturelle, massive et lourde, des jambes galbées entretenues par une pratique régulière de la course à pied. Et, pour finir, un magnifique regard plein de vie et d’espièglerie.
C’était une femme épicurienne qui appréciait la bonne chair, le partage d’agréables cépages et qui ne s’offusquait nullement devant une plaisanterie grivoise. Le travail nous rapprocha peu à peu ; elle m’enlevait régulièrement des épines du pied en faisant tout son possible pour me faciliter la tâche. De mon côté, je faisais en sorte d’exercer un management plutôt souple sur l’équipe afin de créer un véritable esprit de cohésion.
En dehors du travail nous partagions une passion commune qui était la course à pied. Régulièrement nous avalions les kilomètres ensemble, si bien que cela nous rapprochait progressivement un peu plus. Il faut dire qu’elle était plutôt désirable dans ses petits shorts moulants et dans ses débardeurs de course qui lui moulaient la poitrine. Elle savait aussi s’habiller plutôt sexy – et jamais vulgaire – au quotidien. Petite jupe laissant découvrir ses jambes, petit chemisier, talons, la parfaite tenue de la secrétaire modèle. Je ne pouvais m’empêcher de respirer les effluves de son parfum lorsque nous travaillions l’un à côté de l’autre, ni m’empêcher de regarder ses ongles rouges carmin ou plonger mon regard dans ses décolletés vertigineux.
Un jour, alors que nous revenions d’un de nos footing, je lui proposai de venir s’étirer dans la salle de sport du fort, étant le responsable de ce local de par mes fonctions, j’étais le seul à posséder les clés donc certain de ne pas être dérangé.
Mon professionnalisme m’amena à lui faire quelques remarques sur son manque de souplesse et sur les raideurs que cela pouvait lui occasionner. Je lui dis que c’était parce qu’elle était trop tendue et qu’elle n’arrivait pas à se relâcher. Je lui proposai de s’étendre sur le dos pour faire une petite séance de relaxation, de fermer les yeux et de se concentrer uniquement sur ma voix.
De la voir là, allongée, les yeux clos, les bras le long du corps, la bouche entrouverte et sa magnifique poitrine se soulevant au rythme de ses inspirations, je ne pus m’empêcher d’approcher ma bouche de ses lèvres. Elle fut surprise par mon geste, ne s’attendant pas à cela de ma part. Mais, une fois le premier choc passé, elle me rendit mon baiser, avec fougue et passion. J’appris par la suite qu’elle en mourait d’envie depuis quelque temps. Nos bouches ne cessaient de vouloir se dévorer, nos langues se mélangeaient avec avidité.
Pendant ce temps mes mains s’aventuraient sur son corps de femme ; je caressais cette magnifique poitrine à la fois ferme et lourde que je convoitais depuis longtemps. Ses pointes de seins se dressaient sous mes doigts, ma main voulait aller encore plus loin et découvrir son intimité, progresser vers ce trésor offert. Son sexe était brûlant, moite de désir, mes doigts étaient trempés.
Dans un moment de lucidité, elle me fit remarquer que nous venions de courir, que nous étions trempés de sueur et surtout que le temps nous manquait, car le travail nous appelait. La raison prit le pas sur le désir, une bonne douche (froide) et retour au travail mais je ne comptais pas en rester là.
Un peu plus tard dans la journée, je lui transmis un petit post-it sur lequel je lui disais qu’après les horaires de boulot j’allais retourner en salle de musculation pour faire un peu de renforcement et d’étirements et qu’elle pouvait passer si elle le désirait, le message était clair.
Je commençai mes exercices avec fébrilité sans savoir si elle viendrait. Au bout de dix minutes, elle entra, ce jour-là elle portait une magnifique petite jupe bleue qui mettait en valeur le galbe et le bronzage de ses jambes, sa longue chevelure était dénouée et lui tombait en cascade sur ses épaules. Elle était la femme à la fois sensuelle, pleine de charmes mais aussi de passion.
Bien décidés à poursuivre et assouvir le désir éprouvé un peu plus tôt, nos bouches se rencontrèrent à nouveau pour un baiser plein de fougue et de passion. Ses lèvres étaient peintes d’un rouge flamboyant, mes mains exploraient à nouveau ce corps qui me faisait fantasmer. Plus rien ne comptait, seuls le désir et la passion nous animaient.
Mes mains remontèrent la petite jupe bleue sur ses hanches voluptueuses, je caressai ses fesses à pleines mains, mon sexe durcit instantanément à m’en faire mal. Je voulais découvrir son intimité, m’enfoncer en elle, fusionner avec elle.
De son côté sa respiration s’accélérait, son souffle était court. Ma bouche se collait à sa poitrine, mes lèvres la parcouraient, s’attardaient sur la pointe de ses seins durcis par le désir. Sa petite culotte fut retirée avec frénésie. Nous nous couchâmes sur un tapis de sol et là, je m’enfonçai en elle. C’était chaud, c’était même brûlant, humide ; je n’avais qu’un désir, m’enfoncer au plus profond de cette grotte, de cette chambre aux trésors.
Cette passion nous amena rapidement, l’un comme l’autre, à un orgasme fulgurant, je ne pus me retenir ; je me déversai en elle. Jamais je n’avais éprouvé une telle jouissance, j’avais l’impression que tout mon corps n’était que liquide et que je me répandais en elle. Ses doigts se plantaient dans mon dos, me labouraient, ses jambes m’enserraient, elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler.
Cela avait été bref mais vraiment violent et c’est un souvenir (et un désir encore aujourd’hui) à jamais gravé dans ma mémoire. Cette étreinte fut suivie d’autres tout aussi passionnées et intenses, mais là c’est une autre histoire.
Merci madame « Karine » pour ces moments de passion, de fougue, d’amour mais aussi de tendresse.