n° 14044 | Fiche technique | 18350 caractères | 18350Temps de lecture estimé : 11 mn | 09/09/10 |
Résumé: Un homme rencontre l'incarnation de ses fantasmes. | ||||
Critères: ffh fhhh fbi inconnu campagne boitenuit exhib fellation cunnilingu pénétratio fsodo uro -totalsexe | ||||
Auteur : Marc Noth Envoi mini-message |
Quand je la vois pour la première fois, elle a du sperme dans les cheveux, des étincelles dans les yeux et une bite dans le cul.
Elle s’appelle Sophie et a 28 ans, mais je ne le sais pas encore. Tout ce que je sais d’elle, c’est qu’elle aime (beaucoup) le sexe. Tout ce que je vois d’elle, c’est son corps, c’est ses deux nattes brunes sur lesquelles sèchent les restes d’ébats précédents, c’est son air de salope très maîtrisé, et son costume, une machine à fantasmes : des escarpins, une paire de bas blancs, une minijupe marine plissée, troussée sur son dos nu. Ses gros seins se balancent au rythme de la sodomie que lui inflige le quelconque possesseur de verge qui se trouve derrière elle et lui malaxe ses petites fesses – se rend-il compte de la chance qu’il a, ce connard ?
Soudain, elle jouit. Longuement, calmement ; la tête entre les bras, elle laisse aller sereinement le plaisir auquel elle a droit, pour lequel elle s’est préparée (et est venue dans ce club privé pour adultes distingués où j’ai moi-même atterri, je ne sais trop comment). Sur son matelas de velours pourpre, entourée de quelques couples admiratifs, de quelques hommes en extase (ils en oublient même de se masturber), et de moi qui la fixe comme un abruti depuis mon tabouret de bar, la bouche entr’ouverte depuis un quart d’heure, elle jouit. Son enculeur a rempli sa mission ; il se retire et éjacule sur son dos, lui dépose un baiser appuyé sur l’anus, et s’éloigne – je ne lui ai même pas jeté un regard.
Alors elle s’anime. D’abord le cou, qui se déroule pour me laisser admirer une fois de plus son visage satisfait et fatigué ; ses yeux balaient la pièce rapidement. Ses bras se déplient, elle se relève, la voilà à genoux, trois mètres en face de moi, sous un projecteur, illuminée, déesse du sexe. (Les traces de sperme sont nombreuses, elles se voient bien sur sa peau mate. Elle a un piercing brillant au nombril. Au dessus de sa chatte brillante de mouille, une fine bande de poil qui emprisonne du sperme séché – oui encore. Ses seins sont ronds et fermes. Elle est vraiment magnifique.) Ses mains parcourent son corps quelques secondes, comme pour le réveiller. Elle se lève. Elle a soif. Elle va prendre un verre au bar. Dans trois secondes elle sera à côté de moi.
Un rapide inventaire de mes atouts : taille moyenne, bien proportionné, la petite trentaine, mignon sans plus, un beau sourire, des beaux yeux impossibles à voir avec ces putains de spots partout, une belle voix impossible à entendre avec cette musique à la con. De la gentillesse, de l’intelligence et de l’humour.
Je me lance :
Je la détaille de haut en bas avec mon air « spécial timide – petit sourire coquin », m’attarde sur ses seins et ses nattes ; elle me fixe une seconde, soulève sa jupe pour me montrer son sexe et éclate de rire. C’est gagné.
Ce sera donc deux cocktails et une conversation banale sur l’air du « tu viens souvent ici – non c’est la première fois et toi ? – oui je suis une habituée, je viens quand j’ai besoin de sexe torride et efficace – en tout cas c’est impressionnant, on t’a déjà dit que t’avais de beaux yeux ? »
Elle rit encore, puis sans dire un mot, elle se penche entre mes jambes, dégrafe mon pantalon et entame une fellation experte. Cette fille est incroyable ! Quatre minutes plus tard, elle a tout avalé – la bouche à demi-ouverte, en me regardant dans les yeux. Une vraie pro.
Nous voilà dans ma voiture ; elle s’est vaguement rhabillée (un chemisier blanc très transparent) ; sur le siège passager, elle m’indique les directions d’un air rêveur en se caressant gentiment l’entrejambe. Elle habite un immeuble moderne du centre ville. Elle m’embrasse langoureusement dans l’ascenseur, je n’ai bien sûr pas débandé depuis sa fellation ; les portes s’ouvrent, elle s’avance et se met à quatre pattes au beau milieu du couloir de son immeuble. Elle relève sa jupe, glisse sa tête entre ses mains, et d’un ton suppliant :
Je m’exécute, bien évidemment. Il me faut trois coups de langue et deux doigts pour préparer le passage ; très vite, je suis au fond de ses fesses, mes mains entourant ses gros seins. Elle n’a visiblement pas peur de réveiller les voisins avec ses petits cris de plaisir. Je jouis rapidement au fond de son cul, du sperme coule sur ses cuisses quand elle se relève. Main dans la main, nous entrons chez elle, je la serre dans mes bras, parce que je suis un grand tendre et que ce n’est pas parce que je viens de l’enculer sauvagement dans son couloir que je n’ai pas envie d’un câlin. Elle me glisse à l’oreille :
Elle rit et m’entraîne dans sa salle de bain. Elle s’assoit, les jambes bien écartées, je m’agenouille à ses pieds et pose la tête sur sa cuisse. Elle pisse par à-coups, pour faire durer le plaisir ; elle pousse des petits soupirs de soulagement. Le liquide clair coule de son sexe en petit jets, c’est très beau à voir.
Je me jette sur sa chatte humide et salée. Elle a gardé quelques gouttes, qu’elle lâche dans ma bouche comme un cadeau que j’accepte avec délectation. Même calée sur le siège des toilettes, elle reste sexy et glamour. Je lui mange le clitoris, caresse l’intérieur de ses cuisses. Elle ne tarde pas à jouir, les yeux mi-clos.
Cette fois, on peut aller se coucher. Nous nous endormons dans son lit, moi contre son dos, comme de vieux amants.
Une odeur de café frais me réveille. Je m’étire et me demande si cela n’a été qu’un doux rêve. Mais non, je suis dans un lit qui n’est pas le mien ; Sophie doit être un train de prendre un petit-déjeuner à côté. Je découvre sa chambre, lumineuse et meublée avec goût. Au dessus du lit, des photos encadrées me confirment définitivement l’existence de Sophie. Ainsi que sa principale passion : l’une des photos est un portrait, on y retrouve son joli visage, son air mutin ; elle fixe l’objectif, pétillante, ça ferait une très belle photo d’identité si un filet de sperme ne sortait pas de sa bouche. Un autre cliché la montre en pied, totalement nue sur une plage, bras et jambes écartées. Une troisième photo est un gros plan sur son sexe, retravaillé pour un effet « dessin ». En plus petit, sur une commode, une photo d’elle à contre-jour, avec un jet de pipi qui se détache nettement du fond de ciel bleu. On dirait donc que je ne suis pas le seul à apprécier cette vision…
J’enfile mon caleçon et la rejoins au salon. Elle me tourne le dos, debout face à la fenêtre ; elle est vêtue d’un top blanc qui s’arrête en haut des fesses, et c’est tout. Je contemple la vue de son magnifique cul un moment, avant de m’approcher et de déposer un baiser-hommage sur chaque fesse. Elle se retourne et m’enlace, elle sent encore le sexe :
On rigole tout les deux, elle m’embrasse dans le cou. Derrière nous, une porte s’ouvre. Je sursaute et me retourne : une fille vient de sortir de la salle de bain. Aussi blonde que Sophie est brune, mais avec le même air de petit fille pas-si-sage. Elle aussi semble ignorer la pudeur : seule une mini-serviette est nouée autour de sa taille, ses seins sont à l’air – ils sont beaucoup plus petits que ceux de Sophie, plus pointus, mais ils sont magnifiques. Je n’en crois pas mes yeux. Elle, par contre, ne semble pas spécialement surprise de me voir, ni gênée d’apparaître dans cette tenue. Elle lance un grand « Bonjour ! » et se dirige vers nous.
Sophie fait les présentations :
Annabelle me fait une bise chaleureuse, puis enlace Sophie et l’embrasse sur la bouche.
Nous voilà tous les trois à table, Sophie cul-nu, Annabelle topless : à elle deux, elles sont habillées, ou à poil, c’est selon. En discutant, il s’avère qu’elles sont non seulement belles et coquines, mais aussi drôles, vives et intelligentes. Annabelle est artiste, c’est elle qui a pris les photos de Sophie que j’ai vues dans sa chambre. Elle fait aussi des dessins et des sculptures – elle expose en ce moment des moulages de son sexe et de celui de Sophie dans une galerie du centre-ville.
Sophie, elle, a un boulot plus classique : elle travaille pour une petite librairie / maison d’édition. Elles ont toutes les deux 28 ans (mais font moins que leur âge), et se connaissent depuis qu’elles ont 16 ans. Elles ont connu leurs premières expériences sexuelles ensemble, partagé leurs premiers garçons… Elles se sont vite rendu compte qu’elles avaient un appétit érotique hors du commun, et ont décidé d’en profiter à fond. Ensemble, elles ont tout essayé (je me demande ce que « tout » implique).
Parfois, elles ont aussi des relations plus régulières, un petit copain qui reste plusieurs mois ; mais en définitive, leur plus grand amour reste l’une envers l’autre. Bien évidemment, je suis tombé fou amoureux des deux.
En sortant de la douche, Sophie enfile juste une robe d’été, qui lui arrive à mi-cuisse. Annabelle porte une jupe courte et un débardeur, sous lequel ses deux petits seins pointent avec arrogance. Alors que je fais une remarque sur l’absence de culotte de Sophie, Annabelle écarte les jambes et s’incline jusqu’au sol, me faisant découvrir un magnifique cul, dégagé lui aussi de tout textile.
Quant à moi, je n’ai pas de vêtement de rechange, et j’adopte donc la mode du jour.
Les filles connaissent un petit coin de nature agréable et isolé dans les collines qui entourent la ville. Après une marche de quelques minutes à travers les chênes verts, on se retrouve dans une clairière à l’abri des regards (je passe sur la partie « pique » et vais directement à la case « nique », mais pour ceux que ça intéresse vraiment, on a apporté des sandwiches au jambon de pays et une bouteille de muscadet).
On déplie une grande couverture, et les filles décident de me faire un petit spectacle. À genou l’une en face de l’autre, elles commencent par s’embrasser fougueusement. Annabelle retire sa jupe – elle a le pubis totalement rasé – et soulève la robe de Sophie et lui masse les fesses avec vigueur, puis la déshabille complètement pour lui dévorer les seins.
Gourmande, elle les lape, les lèche, les tète, les mord, les embrasse, les tape, les caresse ; elle s’y frotte le front, les joues, comme une chatte en chaleur. Puis elle glisse sa langue le long du corps parfait de Sophie, et s’allonge sur le dos entre ses cuisses pour lui lécher la chatte – la seule activité qui vaille en ce bas monde, me dis-je intérieurement. Je me fous à poil pour être à l’aise et me déplace autour des filles pour ne rien louper du spectacle. J’ai l’impression de bander sans discontinuer depuis la veille.
Sophie s’est maintenant positionnée en 69 au-dessus d’Annabelle ; elle lui bouffe le cul avec une vraie gourmandise. Annabelle écarte et soulève les jambes pour lui faciliter le travail ; Sophie enfonce sa langue dans l’anus, le plus profondément possible. Après avoir bien préparé le passage, elle entame un va-et-vient avec son index, tandis que sa langue s’occupe du clitoris. L’effet est immédiat, Annabelle jouit dans une série de longs cris libérateurs. Les deux filles restent quelques instants l’une sur l’autre, tête-bêche, à se bécoter tendrement le cul et la chatte ; puis elles se séparent et Annabelle annonce la suite :
Sophie glisse quelques mots à l’oreille d’Annabelle, qui rigole. Je ne tarde pas à comprendre ce qu’elles préparent.
Sophie va s’allonger dans l’herbe et commence à se masturber, tandis qu’Annabelle se positionne accroupie au-dessus d’elle ; elle ferme les yeux, se concentre. Le liquide doré ne tarde pas à sortir du sexe lisse ; d’abord quelques gouttes, puis des petits jets qu’elle s’amuse à contrôler pour arroser Sophie. Les seins, le ventre, le pubis, avant de finir dans la bouche. Sophie tire la langue pour recueillir les dernières gouttes, elle a l’air au bord de la jouissance. Annabelle l’embrasse, parcourt le corps humide de Sophie avec sa langue, lèche les gouttes de son propre pipi emprisonnées entre les seins, dans le nombril, sur les poils pubiens… Quelques coups de langue sur le sexe, et Sophie jouit à son tour. Fin du spectacle.
Les filles veulent encore me faire patienter, et déballent les victuailles. Nous mangeons, allongés nus sur la couverture ; entre deux gorgées de vin blanc, Sophie et Annabelle me donnent quelques coups de langue sur le sexe, histoire de me maintenir excité, ou de me rendre fou. Je ne suis pas en reste, et je les embrasse et les caresse à tour de rôle ; mes mains découvrent le corps menu et souple d’Annabelle. Enfin, celle-ci s’allonge sur le dos et écarte les jambes, signalant le début du deuxième acte.
Je m’agenouille et cale ma tête entre ses cuisses et entreprend de lécher cette belle minette lisse et encore gonflée de sa précédente jouissance. Sophie se place derrière moi et se consacre à mes couilles et mon trou du cul, qu’elle lèche avidement ; elle m’introduit un doigt et me masse l’anus, j’apprécie la caresse… Nous revisitons ainsi allègrement le Kâma-Sûtra : moi dans la chatte d’Annabelle, ma langue dans le cul de Sophie, les doigts d’Annabelle dans mon cul… À leur demande, je les sodomise à tour de rôle, d’abord Annabelle, puis Sophie, ce qui déclenche la deuxième jouissance de Sophie, et entraîne la mienne, enfin ! Je jouis abondamment au fond de son cul, alors qu’Annabelle s’est couchée au-dessous de moi pour me sucer les couilles. Je me retire, laissant couler un long filet de sperme du cul de Sophie : Annabelle se jette dessus et le lèche goulûment, puis elle va partager ma semence avec sa chérie dans un long baiser humide.
J’ai compris l’allusion ; j’hésite un peu : une fille qui pisse, c’est un beau spectacle, mais je trouve les mecs beaucoup moins sexy. À genou, joue contre joue, langue dehors et regard implorant, Sophie et Annabelle savent se montrer convaincantes. Je me place au-dessus d’elles et commence à pisser ; par timidité, d’abord sur une épaule, mais très vite je dirige le jet sur leurs poitrines, puis leur visage. Elles s’embrassent et se partagent mon urine, qui coule le long de leurs gorges. Annabelle avait gardé son tee-shirt, qui devient transparent. Lorsque j’ai fini, elles se jettent sur moi, humides et satisfaites. Nous nous embrassons à trois langues.
Pas de problème, elle fera la route qui nous sépare du parking les seins à l’air, sans se soucier du regard étonné des quelques randonneurs que nous croisons en chemin. Je raccompagne les filles chez elles ; elles me proposent de rester pour la nuit. J’hésite…
NDA : Annabelle, Sophie, si vous existez quelque part, écrivez-moi…